Mais tout dépend peut etre de la raison pour laquelle on est au fond du trou.

Une profonde solitude dans certains cas, pour remonter il suffirait de quelqu'un qui appelle.

Ca ne suffit pas mais c'est inestimable, toujours, bien sûr. S'enquérir régulièrement de la personne et écouter. C'est de l'attention dont elle a besoin en premier lieu.

C'est pour ça que c'est compliqué, si quelqu'un de dépressif l'appelle, il n'écoutera pas forcément, lui aussi il aura besoin d'écoute... Et comme le dit passion06, quand soi-même on n'est déjà pas bien, on n'a pas grand chose à offrir.

Je serais plutôt d'accord avec January. Difficile de donner quand on a soi même tellement besoin qu'on nous donne.

C'est pas toujours le cas.

Certains souffrent de ne pas pouvoir donner.

Par exemple il y a des hommes plus ou moins dépressifs qui, quand il leur arrive un enfant inattendu et meme pas désiré, se mettent a se transformer, s'épanouir au soin qu'ils apportent a cet enfant.

Dans la littérature il y a le cas d'Athos ( un grand alcoolique) , des "3 mousquetaires", dans le "vicomte de Bragelonne".

Mais les exemples dans la vie courante ne manquent pas non plus.

C'est pas toujours le cas.

Certains souffrent de ne pas pouvoir donner.

Par exemple il y a des hommes plus ou moins dépressifs qui, quand il leur arrive un enfant inattendu et meme pas désiré, se mettent a se transformer, s'épanouir au soin qu'ils apportent a cet enfant.

Dans la littérature il y a le cas d'Athos ( un grand alcoolique) , des "3 mousquetaires", dans le "vicomte de Bragelonne".

Mais les exemples dans la vie courante ne manquent pas non plus.

L'enfant inattendu il est arrivé pour moi alors que j'étais stabilisée (mais toujours sous traitement). Les amis j'en avais pas, les relations non plus. Je venais de retrouver mon mari après une période de séparation (les retrouvailles sont parfois "productives"...). C'est sûr qu'après la tempête que j'avais traversée quelques années plus tôt, cet enfant est apparu comme un miracle, un rappel à la vie. Cette grossesse a sans doute été la meilleure que j'ai eue et j'ai profité de ce dernier bébé bien plus que j'avais pu profiter des autres. Ce genre d'événement (une naissance) après le déluge psychique, c'est sûrement ce qui peut arriver de mieux.

C'est pas toujours le cas.

Certains souffrent de ne pas pouvoir donner.

Par exemple il y a des hommes plus ou moins dépressifs qui, quand il leur arrive un enfant inattendu et meme pas désiré, se mettent a se transformer, s'épanouir au soin qu'ils apportent a cet enfant.

Dans la littérature il y a le cas d'Athos ( un grand alcoolique) , des "3 mousquetaires", dans le "vicomte de Bragelonne".

Mais les exemples dans la vie courante ne manquent pas non plus.

"Certains souffrent de ne pas pouvoir donner"

C'est vrai, c'est pathologique chez certains. Ils sont rarement en épisode majeur, mais leur dépression est souvent devenue chronique.

Et c'est vrai aussi, ces enfants-là on les appelle des enfants pansements. Il faut aider les parents derrière, parce-que c'est pas simple pour ces enfants-là.

Pour les hommes je ne peux pas dire, mais pour les femmes dépressives par exemple, qui prennent la décision de tomber enceintes, le deal est simple : "je veux qu'on m'aime, et un enfant adore sa mère non ?"

Pour les personnes âgées, on retrouve un peu ce comportement aussi, la recherche d'amour inconditionnel. Par exemple, tout le monde a entendu tel ou tel qui avait une dizaine de chats, des chiens, etc...

L'enfant inattendu il est arrivé pour moi alors que j'étais stabilisée (mais toujours sous traitement). Les amis j'en avais pas, les relations non plus. Je venais de retrouver mon mari après une période de séparation (les retrouvailles sont parfois "productives"...). C'est sûr qu'après la tempête que j'avais traversée quelques années plus tôt, cet enfant est apparu comme un miracle, un rappel à la vie. Cette grossesse a sans doute été la meilleure que j'ai eue et j'ai profité de ce dernier bébé bien plus que j'avais pu profiter des autres. Ce genre d'événement (une naissance) après le déluge psychique, c'est sûrement ce qui peut arriver de mieux.

Donc j'ai la surprise de constater que je ne dit pas que des conneries.

"Certains souffrent de ne pas pouvoir donner"

C'est vrai, c'est pathologique chez certains. Ils sont rarement en épisode majeur, mais leur dépression est souvent devenue chronique.

Et c'est vrai aussi, ces enfants-là on les appelle des enfants pansements. Il faut aider les parents derrière, parce-que c'est pas simple pour ces enfants-là.

Pour les hommes je ne peux pas dire, mais pour les femmes dépressives par exemple, qui prennent la décision de tomber enceintes, le deal est simple : "je veux qu'on m'aime, et un enfant adore sa mère non ?"

Pour les personnes âgées, on retrouve un peu ce comportement aussi, la recherche d'amour inconditionnel. Par exemple, tout le monde a entendu tel ou tel qui avait une dizaine de chats, des chiens, etc...

Ce n'est pas du tout de ça que je parle, le contraire meme.

Un etre qui a besoin de nous, peut nous transcender.

Il y a cette citation: " L'enfant est un pere pour l'homme" je l'interprete comme ceci:

L'enfant qui a besoin de soin oblige l'homme a grandir.

Mais c'est vrai qu'il y a des gens qui font des enfants dans le but d'aimer et d'etre aimé, et je trouve ça irresponsable au possible.

"Enfant pansement" c'est pas beau... je préfère dire "enfant miracle", à un moment où aucun gynéco n'aurait parié que je puisse de nouveau tomber enceinte (après plusieurs fausses couches). Je suis croyante (même si parfois je doute), c'est sans doute pour cela que je préfère y voir un "miracle" plutôt qu'un pansement.

Donc j'ai la surprise de constater que je ne dit pas que des conneries.

Ce n'est pas du tout de ça que je parle, le contraire meme.

Un etre qui a besoin de nous, peut nous transcender.

Il y a cette citation: " L'enfant est un pere pour l'homme" je l'interprete comme ceci:

L'enfant qui a besoin de soin oblige l'homme a grandir.

Mais c'est vrai qu'il y a des gens qui font des enfants dans le but d'aimer et d'etre aimé, et je trouve ça irresponsable au possible.

D'autant qu'on n'est jamais sûr d'être aimé à la folie par tous ses enfants. Je sais de quoi je parle : j'en ai eu quatre...

Mais c'est vrai qu'il y a des gens qui font des enfants dans le but d'aimer et d'etre aimé, et je trouve ça irresponsable au possible.

Comme on était dans la pathologie, moi j'y suis restée

"Enfant pansement" c'est pas beau... je préfère dire "enfant miracle", à un moment où aucun gynéco n'aurait parié que je puisse de nouveau tomber enceinte (après plusieurs fausses couches). Je suis croyante (même si parfois je doute), c'est sans doute pour cela que je préfère y voir un "miracle" plutôt qu'un pansement.

D'autant qu'on n'est jamais sûr d'être aimé à la folie par tous ses enfants. Je sais de quoi je parle : j'en ai eu quatre...

Ben t'as raison de l'appeler "miracle", tu l'as pas voulu pour te soigner.

Ca c'est sûr, mais avant d'en avoir on le sait pas

Donc j'ai la surprise de constater que je ne dit pas que des conneries.

Ce n'est pas du tout de ça que je parle, le contraire meme.

Un etre qui a besoin de nous, peut nous transcender.

Il y a cette citation: " L'enfant est un pere pour l'homme" je l'interprete comme ceci:

L'enfant qui a besoin de soin oblige l'homme a grandir.

Mais c'est vrai qu'il y a des gens qui font des enfants dans le but d'aimer et d'etre aimé, et je trouve ça irresponsable au possible.

D'où sort cette citation ?? Qui a pu écrire une horreur pareille !

L'enfant n'est PAS et ne DOIT JAMAIS être le parent de ses enfants. Si les parents ont "besoin" ils doivent s'adresser à des personnes capable de remplir leurs besoins, quelqu'ils soient. Et ces personnes sont FORCEMENT des adultes !!

Il n'y a rien de pire que l'on puisse faire à un enfant que de le mettre au monde dans l'espoir qu'il comblera ce qu'on a pas eu aujourd'hui ou ce que l'on a pas eu hier de nos propres parents.

Je regrette, mais je ne peux avoir ni comprehension, ni modération par rapport à ce qui touches l'enfant et je préfère être du côté de l'enfant qui souffre dans le cas qui nous occupe.

Si je prends mon cas personnel, mais il y en a des milliers d'autres, je suis né avec l'espoir, pour mes parents, que je sauverais leur couple ! Bien entendu je n'ai rien sauvé du touit, et quand bien même je l'aurais voulu ! Il y avait de la violence et quelques coups dans ce couple en bout de route, ma mère a fait une dépression, et comme par ailleurs sa propre enfance avait été désastreuse, elle avait infiniment plus besoin qu'on s'occupe d'elle plutôt que de s'occuper d'un enfant fusse-t'il le sien.

Ces gens là n'auraient JAMAIS dû avoir d'enfant. Ils ont eu deux enfants pour tenter de se donner l'amour qu'ils n'avaient pas obtenus de leurs propres parents respectifs. Mon frère et moi étions, en quelque sorte, des "parents de substitution". Au bout de la route, j'aurais passé la plus grande partie de mon existence à réparer les dégâts infligés par une telle famille. Certes il y en a des millions d'autres, mais celle-là était la mienne...

Maintenant je veux bien admettre que l'arrivée d'un enfant peut constituer un véritable choc bénéfique, car le besoin de "donner" est tout aussi fort que le besoin de "reçevoir". Mais donner et ne pas attendre plus de l'enfant que ce qu'il est en mesure REELLEMENT de donner...

C'est mon interprétation de cette citation Rodolphe.

Et j'ai bien précisé que dans ce cas la il s'agit d'enfants inattendues et meme pas souhaités.

La nécessité de prendre soin de quelqu'un peut nous obliger a grandir.

D'autant qu'on n'est jamais sûr d'être aimé à la folie par tous ses enfants. Je sais de quoi je parle : j'en ai eu quatre...

Pour moi , un enfant ne doit jamais aimer ses parents à la folie , de toute façon....

(sauf quand ils sont en bas-âge , s'entend)

Merci d'avoir répondu :)

Dans ce cas j'espère que le traitement ne t'amoindrit pas et que tu peux "vivre ta vie".

Arrêter de boire est très difficile, c'est une sacrée victoire que tu as remportée là.

J'ai bu plus que jamais après le suicide d'un cousin de ma femme. Celle-ci m'a mis au pied du mur : "Ta famille ou l'alcool". Epreuve moins dure que je ne croyais. Mais je dois dire que le démon couve en moi.

J'ai des traitements qui me fatigue énormément. En plus d'une maladie "non mortelle" peut-être du à la bouteille.

J'ai bu plus que jamais après le suicide d'un cousin de ma femme. Celle-ci m'a mis au pied du mur : "Ta famille ou l'alcool". Epreuve moins dure que je ne croyais. Mais je dois dire que le démon couve en moi.

J'ai des traitements qui me fatigue énormément. En plus d'une maladie "non mortelle" peut-être du à la bouteille.

Et bien... merci de te livrer, c'est loin d'être évident.

Je te félicite pour ta force et ton courage !

Tu vas y arriver.... :)

D’après une récente étude, les gens qui ne consomment pas d’alcool seraient plus susceptibles de mourir jeunes !

Vous serez surpris par les résultats de récentes études sur la consommation d’alcool, qui démontre que les personnes consommant l’alcool de façon régulière meurent moins tôt que les personnes qui ne boivent pas ! D’après le Time, le fait de ne pas boire l’alcool vous donne une espérance de vie plus courte, contrairement à celui ou celle qui en consomme régulièrement et de façon modérée.

L’étude s’est focalisée principalement sur des individus âgés entre 55 et 65 ans et les a étudiés sur la période de 20 ans, en incluant plusieurs paramètres comme la situation socio-économique et le niveau d’activité physique des sujets. C’est le psychologue Charles Holahan de l’université du Texas à Austin, qui a dirigé cette étude. Il affirme que le taux de mortalité chez les personnes qui n’ont jamais bu, et chez les grands buveurs est très élevé, contrairement à celui des personnes qui consomment l’alcool de façon modérée.

Sur les 1824 participants, seuls 41% des buveurs modérés sont morts prématurément, alors qu’on recense 60% chez les grands buveurs et 69% chez les non-buveurs. En somme, malgré les risques de dépendance à l’alcool, ou de cirrhose, les personnes qui consomment l’alcool ont moins de chances de mourir prématurément que les non-buveurs ! Une explication qui prend du sens lorsqu’on sait que l’alcool facilite les relations entre les personnes, et que l’activité sociale est très importante pour avoir une bonne santé mentale et physique.

Bon et bien, reste plus qu'à trouver la bonne dose de ce "nouveau" médicament de longévité   

Dommage qu'une personne guérie ne se soit pas exprimée ! Il y a tant à dire.

Ce n'est pas l'alcool qui est mauvais .

Mais c'est une consommation immodéré qui devient  nuisible .

En l'occurrence .... si nous ne dominons pas l'alcool .... c'est lui qui nous domine .

Ceci est valable pour tout le reste d'ailleurs .

Bien sûr qu'il n' est pas interdit de boire un petit coup .... et même d'être ( un peu ) pompette de tant en tant en période de fête ..... évidemment ... il ne faut pas conduire dans ces états là .

Le problème ( et c'est là que ça devient délicat ) .... c'est que nous devons garder le contrôle sur notre consommation .

La perte de contrôle signifie .... que nous sommes devenus dépendant . Et là .... ça se corse sérieusement .

Et c'est là que l'alcool devient mauvais ! Qu'appelle t-on modérément ?

il y a 5 minutes, la-thonaille a dit :

 

Et c'est là que l'alcool devient mauvais ! Qu'appelle t-on modérément ?

L' alcoolisme est une plaie ... comme toutes les drogues d'ailleurs .Du moment que l'on devient dépendant .... on devient un esclave .

Modérément .......  s'adresse à ceux qui on encore conscience que la barrière entre l'esclavage de l'alcool et sa consommation intelligente ..... est bien plus que très minces .

Il suffit d'un rien pour devenir alcoolique .

Et la plupart du temps ( au début ) on n' y voit que du feu . On ne s'en rend pas du tout compte .