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Invité Quasi-Modo

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 478 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Fais de ta vie un rêve et d'un rêve une realité

C'est de saint exupery

Je préfère penser que la vie est un sommeil dont l'amour en est le rêve paradoxal

Parfois on le rêve parfois on le vit et la mort n'est que l'amour dont l'apostrophe s'est perdu dans l'acte manqué de l'eu hanté (u en t)

Modifié par zenalpha
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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Je préfère penser que la vie est un sommeil dont l'amour en est le rêve paradoxal

Ah oui j'aime bien...

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Quelle est notre position dans le rêve, sinon en fin de compte d’être foncièrement celui qui ne voit pas? Il ne voit pas où ça mène, il suit, il peut même à l’occasion se détacher, se dire que c’est un rêve, mais il ne saurait en aucun cas se saisir dans le rêve à la façon dont dans le cogito cartésien il se saisit comme pensant. Il peut se dire « ce n’est qu’un rêve », il ne se saisit pas

comme celui qui se dit, « mais malgré tout je suis conscience de ce rêve».

Aussi bien Tchouang-Tseu rêve qu’il est un papillon. Ça veut dire qu’il voit le papillon dans sa réalité de regard, car qu’est-ce que tant de figures, tant de dessins, tant de couleurs sinon, ce « donné à voir» gratuit avec ces marques pour nous de la primitivité de cette essence du regard? C’est un papillon qui n’est pas tellement différent de celui qui terrorise l’homme-aux-loups, et Merleau-Ponty en connaît bien l’importance et nous y réfère dans une note.

- Quand Tchouang-Tseu est réveillé, il peut se demander si le papillon qu’il rêve n’est pas lui, il a raison. Il ne se prend pas pour absolument identique à Tchouang-Tseu. Parce que, étant ce qu’il était, il devait savoir si bien dire qu’effectivement, c’est quand il était papillon, qu’il se sait à quelque racine de ce papillon, que c’est par là, en dernière racine qu’il est Tchouang-Tseu,

- Quand il est le papillon, il ne lui vient pas à l’idée de se demander si quand il est Tchouang-Tseu éveillé il n’est pas le papillon qu’il est en rêve.

De rêver d’être... (c’est qu’en rêvant d’être papillon il aura à témoigner plus tard qu’il se représentait comme papillon), ça ne veut pas dire qu’il est captivé. Il est capture de rien dans le rêve, c’est quand il est réveillé qu’il est Tchouang-Tseu pris dans le filet à papillons

J.LACAN

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 478 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Oui.

Selon moi, ne pas savoir distinguer le rêve de la réalité s'oppose toutefois à la continuité des choses à savoir que rêver d'être un papillon s'arrête et ne reprend pas la nuit suivante.

Cela met également de côté la perception du rêve dans son sommeil. De nombreuses fois, j'ai d'un vague à très un net sentiment de rêver intervenant même parfois dans le rêve.

Néanmoins, je pense que l'analogie renvoie au doute. Un doute à la "matrix"

Je sais que je ne perçois par mes sens qu'une faible part de la "réalité globale", il en est ainsi par exemple du spectre de lumière visible dans l'ensemble du spectre électromagnétique.

Je sais que mon cerveau réinterprète le stimulus de la "vraie" réalité au travers de mécanismes internes innés, il en est ainsi de l'illusion optique toujours sur ce thème me donnant donc une transformation d'une partie infime de réalité.

Je sais qu'il attache à ces sens des émotions, valeurs, interprétations, associations très empreintes de subjectivité renvoyant à ma conscience une relation à cette réalité bien différente de celle d'un autre.

Enfin, je sais que je retravaille à mon insu le fruit des expériences passées pour refaire l'histoire de ma réalité qui est elle même en décalage aux faits.

Au final, l'analogie au rêve n'est pas si loufoque.

Si j'enlevais la continuité perçue par d'autres qui amènent la permanence des savoirs, je serai emprunt d'un doute.

Et quand nos savoirs abordent des abstractions mathématiques dont on ne comprend pas la nature "réelle" de la relation entre ces abstractions à la 'réalité' physique, j'hallucine.

La réalité, c'est quoi ?

La psychanalyse, c'est peut être reconstruire son moi en allant un peu plus loin dans son terrier qui n'est lui même qu'une illusion. On retrouve ainsi le père Noel en reconnectant à son illusion de réalité.

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Membre, 118ans Posté(e)
nerelucia Membre 12 886 messages
Baby Forumeur‚ 118ans‚
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Auto-analyse !

car hier, j'ai émis l'hypothèse que les camps d'extermination nazis pouvaient être considérés comme moins "absurdes" que les bombes atomiques lancées sur les japonais par les américains.

j'aime.

La bombe atomique tue d'un coup, avant d'entrer dans un camp, on souffrait de la peur, faim, coups et dedans, du regard des gardes, chiens, cris plus l'innommable, la chambre à gaz.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Quand Tchouang-Tseu est réveillé, il peut se demander si le papillon qu’il rêve n’est pas lui, il a raison. Il ne se prend pas pour absolument identique à Tchouang-Tseu. Parce que, étant ce qu’il était, il devait savoir si bien dire qu’effectivement, c’est quand il était papillon, qu’il se sait à quelque racine de ce papillon, que c’est par là, en dernière racine qu’il est Tchouang-Tseu,

Je connais pas l'histoire autour de ce rêve.

Ce qui choque dans ce texte, c'est le mot "dernière", la "dernière racine"... comme si Tchouang-Tseu etait forcément plus près du papillon que de l'image qu'il a de lui-même, comme s'il y avait toujours une espèce de secret qui serait plus signifiant que le reste et que la psyK serait à même de révéler.

Tchouang-Tseu est peut-être aussi un papillon, j'ai rien contre, mais ce papillon n'a aucune raison d'être la dernière racine de Tchang-Tseu, c'est là une conception religieuse des choses, c'est là se donner le role du prêtre en contact avec le secret des âmes...

A la fin, la psyk juge de qui est Tchaung-Tseu.

.

Modifié par chapati
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

On peut lire ça comme ça oui. Ou alors lire ça comme l'idée que le lieu où est tchouang tseu ( son soi, son Je, pas son moi) n'est pas là où il se perçoit et s'imagine être à l'etat de veille, ( moi lié au corps et imaginaire).

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
La réalité, c'est quoi ?
  1. La réalité, c'est que certaines personnes font d’insupportables hors-sujets sur le topic de la psychanalyse !
    Parfois c'est inconscients, c'est par mauvaises habitudes, c'est par sophisme, c'est par manque de concentration ou par manque de réflexion;
    Et d'autre fois c'est pour troller ou faire fermer ce topic qui nuit au lobbying de la psychanalyse d'obédience freudienne.
  2. La réalité, c'est que la psychanalyse (d'obédience freudienne, en France), c'est de la merde ! #JeanPierreCoffe
    La psychanalyse (en France) ce n'est pas une science, c'est le paroxysme du sophisme !
    C'est truqué (au pire), ou tronqué la réalité pour mieux vendre des illusions.
    Et ce n'est pas moi qui le démontre, mais ces gens ICI (ou ).
    Et bercer l'humanité d'illusion n'a jamais était une solution fonctionnel sur le long terme #Anthropologie
  3. La réalité, existe sans l'humain pour la constater.
    Ce que nous observons n'est qu'une interprétation de la réalité, d'après nos moyens.
    Et les meilleurs outils dont nous disposons pour nous rapprocher le plus possible de la réalité, c'est l'objectivité et la raison (que représente la science).
    Donc, il existe "la réalité, indépendante de l'humain", puis "la réalité que nos moyens, nous permettes de percevoir, au mieux" et enfin "la réalité que nous imagions (dans laquelle nous aimerions être)".

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
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Tant qu'on l'interprète pas... :D

Ben justement on ne fait que ça, interpreter, chacun à travers son propre prisme, son propre imaginaire. D'où les desaccords d'ailleurs.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Ben justement on ne fait que ça, interpreter, chacun à travers son propre prisme, son propre imaginaire. D'où les desaccords d'ailleurs.

T'es un malin Ping.

... dommage que ce déficit au niveau de l'argumentation plombe ton discours.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 478 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

  1. La réalité, c'est que certaines personnes font d’insupportables hors-sujets sur le topic de la psychanalyse !
    Parfois c'est inconscients, c'est par mauvaises habitudes, c'est par sophisme, c'est par manque de concentration ou par manque de réflexion;
    Et d'autre fois c'est pour troller ou faire fermer ce topic qui nuit au lobbying de la psychanalyse d'obédience freudienne.
  2. La réalité, c'est que la psychanalyse (d'obédience freudienne, en France), c'est de la merde ! #JeanPierreCoffe
    La psychanalyse (en France) ce n'est pas une science, c'est le paroxysme du sophisme !
    C'est truqué (au pire), ou tronqué la réalité pour mieux vendre des illusions.
    Et ce n'est pas moi qui le démontre, mais ces gens ICI (ou ).
    Et bercer l'humanité d'illusion n'a jamais était une solution fonctionnel sur le long terme #Anthropologie
  3. La réalité, existe sans l'humain pour la constater.
    Ce que nous observons n'est qu'une interprétation de la réalité, d'après nos moyens.
    Et les meilleurs outils dont nous disposons pour nous rapprocher le plus possible de la réalité, c'est l'objectivité et la raison (que représente la science).
    Donc, il existe "la réalité, indépendante de l'humain", puis "la réalité que nos moyens, nous permettes de percevoir, au mieux" et enfin "la réalité que nous imagions (dans laquelle nous aimerions être)".

Notons qu'entre réalité et raie alitée, la même realité du son nous amène à lecture des interprétations quelque peu différentes

Alain Connes nous explique d'ailleurs que la mécanique quantique a chamboulé la perception que nous en avons sans que nous en ayons pris la pleine mesure dans la culture générale et dans l'inconscient collectif...

Aujourd'hui bien malin celui qui pose clairement la dissociation du sujet de l'objet si ce n'est en simple postulat

Connes amene sa geometrie non commutative ou ab est different de ba tel un anagramme plus subtil que nous ne le pensions

Etre ou ne pas être Voila la question se transforme en :

Oui et la poser n'est que vanité orale

Soyons vaniteux

Modifié par zenalpha
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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ben justement on ne fait que ça, interpreter, chacun à travers son propre prisme, son propre imaginaire.

D'où les desaccords d'ailleurs.

Le « discours », dont la notion se retrouve aussi au même moment au centre des recherches de Foucault,

c’est un dispositif contraignant qui oriente à la fois la pensée et la conduite de la vie, et préexiste

aux choix conscients des locuteurs, qui, alors même qu’ils se figurent en inventer librement les formes,

ne sont que les porteurs ou les servants de ces types de parlures, d’autant plus fidèles et appliqués

qu’ils ne savent pas au juste à quels ordres ils obéissent lorsqu’ils se rangent sous les rubriques propres

à telle ou telle d’entre elles.

Le discours, pièce fondamentale de l’ordre symbolique, ne sert donc ni à s’exprimer, d’un point de vue

subjectif, ni à communiquer, d’un point de vue intersubjectif, mais son unique fonction est de configurer

des attitudes ou des modes d’être, des manières d’être au monde, qui, au-delà même du fait de parler,

ont des incidences pour tous les comportements existentiels auxquels ils confèrent matériellement un sens,

en les dirigeant vers certaines directions déjà toutes tracées, suivant une logique globale que des

initiatives de parole individuelles, fussent-elles groupées, ne parviennent pas à remettre en cause.

C’est pourquoi la question de savoir quel type de discours on tient est cruciale

pour savoir qui on est ou ce qu’on est...

source : https://philolarge.hypotheses.org/87

Modifié par Théia
Source. Pensez à les préciser. Merci
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 478 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

La personnalité exprimerait donc par le langage une part de son inconscient lui même structuré comme un langage

Je me demandais ce qui caractériserait le mieux la langue si nous devions retenir ses 2 objets les plus marquants

Et me vient à l'esprit le nom et le verbe sans lequel aucune phrase structurée n'est envisageable

Le sujet au sens large qu'on enrichira d'adjectifs divers et variés et le verbe marquant la dynamique du sujet dans le temps avec une place particulière au "je"

Être et Faire, le verbe Avoir prenant dans notre schéma un rapport de liaison particulier remontant de notre inconscient notre rapport à la possession ou la domination

J'ai raison ? Oo

Je vois cette ossature centrale de l'avoir organisée par grand mère grammaire

Et voici les petits esprits nous explicitant que la grammaire serait seulement necessaire pour parler et écrire selon les règles bienséantes à connaître (pensée large, absolument aucun intervenant ne doit se sentir visé je pense à la société au sens large)

Je m'insurge !

Ai je eu besoin de la grammaire et connaître les rouages structurels de la langue pour la maîtriser ?

Ou tel Monsieur Jourdain en ai je compris intuitivement les règles informellement sans entrer dans la mécanique complexe de la technique grammaticale ?

C'est comme la vie et la psychanalyse..,

Faut il simplement vivre ou comprendre comment on vit et comment on réagit ?

Etait il prévu de comprendre la structure de notre inconscient ou de le vivre intuitivement ?

La grammaire...

C'est juste un révélateur de la beauté et de l'harmonie de la langue mais la maîtriser n'a jamais fait d'un texte banal une oeuvre qui nous emporte et révèle nos sentiments

Ne sachons pas pourquoi nous sommes illuminés davantage que de conjuguer le verbe être pour cristalliser notre beauté interieure inconsciemment grammaticale...

Peut-être les orientaux savent ils qu'on ne goûte un plaisir que parce qu'on le sait éphémère et singulier et, au dela de ce savoir, sont ils capables de tisser leur vie

Je propose de rayer de notre inconscient le verbe avoir et paraître

Si on s'interroge sincèrement sur la place de ces verbes dans sa vie se rend t'on mieux compte des vrais desirs que nous refoulons pour ne pas se sentir absent de l'avoir et du paraître en nous drapant d'artifices intellectuels comme la grammaire vue comme technique

Nous sommes tous coupables de mal vivre sauf que la petite clochette n'est pas toujours audible tant nous l'avons enterrée

Une bonne psychanalyse....

Modifié par zenalpha
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
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T'es un malin Ping.

... dommage que ce déficit au niveau de l'argumentation plombe ton discours.

C'est marrant ça, un déficit qui plombe. Un manque qui alourdit.

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

La personnalité exprimerait donc par le langage une part de son inconscient lui même structuré comme un langage

Je me demandais ce qui caractériserait le mieux la langue si nous devions retenir ses 2 objets les plus marquants

Et me vient à l'esprit le nom et le verbe sans lequel aucune phrase structurée n'est envisageable

Le sujet au sens large qu'on enrichira d'adjectifs divers et variés et le verbe marquant la dynamique du sujet dans le temps avec une place particulière au "je"

Être et Faire, le verbe Avoir prenant dans notre schéma un rapport de liaison particulier remontant de notre inconscient notre rapport à la possession ou la domination

J'ai raison ? Oo

Je vois cette ossature centrale de l'avoir organisée par grand mère grammaire

Et voici les petits esprits nous explicitant que la grammaire serait seulement necessaire pour parler et écrire selon les règles bienséantes à connaître (pensée large, absolument aucun intervenant ne doit se sentir visé je pense à la société au sens large)

Je m'insurge !

Ai je eu besoin de la grammaire et connaître les rouages structurels de la langue pour la maîtriser ?

Ou tel Monsieur Jourdain en ai je compris intuitivement les règles informellement sans entrer dans la mécanique complexe de la technique grammaticale ?

C'est comme la vie et la psychanalyse..,

Faut il simplement vivre ou comprendre comment on vit et comment on réagit ?

Etait il prévu de comprendre la structure de notre inconscient ou de le vivre intuitivement ?

La grammaire...

C'est juste un révélateur de la beauté et de l'harmonie de la langue mais la maîtriser n'a jamais fait d'un texte banal une oeuvre qui nous emporte et révèle nos sentiments

Ne sachons pas pourquoi nous sommes illuminés davantage que de conjuguer le verbe être pour cristalliser notre beauté interieure inconsciemment grammaticale...

Peut-être les orientaux savent ils qu'on ne goûte un plaisir que parce qu'on le sait éphémère et singulier et, au dela de ce savoir, sont ils capables de tisser leur vie

Je propose de rayer de notre inconscient le verbe avoir et paraître

Si on s'interroge sincèrement sur la place de ces verbes dans sa vie se rend t'on mieux compte des vrais desirs que nous refoulons pour ne pas se sentir absent de l'avoir et du paraître en nous drapant d'artifices intellectuels comme la grammaire vue comme technique

Nous sommes tous coupables de mal vivre sauf que la petite clochette n'est pas toujours audible tant nous l'avons enterrée

Une bonne psychanalyse....

Les anciens avaient remarqué il y a très longtemps ce qu'ils appellaient la langue des oiseaux.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 478 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Merci Ping.

Je connaissais l'expression sous sa forme synonyme dite du "langage des anges" dont j'use et j'abuse.

Sous cette forme, j'approfondis ce lien à Connes pour qui la découverte du boson de Higgs de manière expérimentale à démontré empiriquement l'existence du champs de Higgs.

C'est ce champs qui, en donnant sa masse aux particules par interaction à elles, leur a permis non seulement d'obtenir une existence matérielle en les sortant de leur caractère dite de particule virtuelle fantomatique mais a aussi déclenché le temps qui est étroitement associé à ce qui est massif.

Ainsi l'anagramme (donc le langage des anges) associé à l'expression "le boson scalaire de Higgs" est précisément "l'horloge des anges ici bas"....

L'heure de devenir des anges quelques secondes pour retrouver notre père noël sous l'œil de grand mère grammaire sur le coup inutile et amère..

Modifié par zenalpha
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