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Invité Quasi-Modo

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Samira "Bien souvent, ce qui est difficile pour le patient, c’est de parler de ce qui le met vraiment mal à l’aise et certains patients abandonnent car ils ont du mal à s’en exprimer ou parlent d’autres choses mais n’arriveront à aller mieux que le jour où ils y feront face."

Dans ce cas là le patient n'a qu'à parlé à son mur, à sa table, à son lit, à une arbre et sa coute moins cher et il sera mieux servi que par le psy

En ce qui me concerne, je n'ai jamais rien payé, il y a les centres médico psychologique...Sinon, ça c'est ton avis qu'il sera mieux servi que par le psy, pour ma part, il était utile que je vois un psy car il y a le côté relationnel à savoir entre autres quand on a des choses difficile à exprimer, il est important d'arriver à le dire à une personne, ça n'a pas le même impact que de le dire à un mur.

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Samira "Quand je dis interprétation juste, admettons un patient évoque une situation difficile qu’il a vécu et il culpabilise, si le psy arrive à savoir exactement pourquoi et que le patient comprend qu’il n’a plus à culpabiliser, là, un de ses problèmes va s’en aller."

Bien ça l'analysé peut se le faire toujours lui même comme job et ça coute pas la peau des c ouille ouilles

Que l'analysé peut le faire lui-même, c'est vrai mais c'est en se libérant par la parole et avec en face une personne qu'il peut comprendre. Ca ne t'es jamais arrivé de parler d'un de tes problèmes avec un de tes proches et de voir ensuite le problème différemment ?

Modifié par samira123
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Samira "mais je dirais que c’est plus le patient qui en parlant, en analysant sa situation est capable de comprendre ce qui ne va pas et le problème sera résolu"

Bien voilà c'est le patient qui fait le job, l'autre encaisse sans rien faire

Je ne sais pas si tu as été voir un psy en lui donnant beaucoup d'argent parce que je trouve que par rapport aux psys, c'est surtout ce problème là que tu relèves.

Samira "quand le patient n’y accordera plus d’importance et passera à autre chose."

Bien oui il est capable tout seul comme un grand de s'en sortir sans devoir engraisser un fainéant qui veut pas bosser à l'usine comme les copains

Si une personne est capable de s'en sortir toute seule aucune raison qu'elle voit un psy mais quand une personne a vécu des choses très douloureuses, ce n'est certes pas toute seule qu'elle peut s'en sortir.

Modifié par samira123
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Samira "Ce n’est qu’en se libérant par la parole, qu’elle va en avoir une autre vision et en comprendre mieux le pourquoi…Et le jour où elle en aura fait le deuil,"

Nul besoin d'un psychanalyste pour ça, la plupart le font très bien tout seul

Oui, si tu as des petits problèmes, tu peux en parler à tes proches et comprendre mieux le pourquoi mais à part certains qui vont faire une psychanalyse pour le plaisir, d'autres y vont parce qu'ils ont vécu des situations douloureuses qui ont provoqué chez eux des blocages relationnels ou autres et qu'ils ne peuvent justement pas exprimer à des proches d'où la nécessité de voir un psy.

Modifié par samira123
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Je vais essayer de te répondre mais si tu peux la prochaine fois évite d'écrire dans le post car après je suis obligée de reprendre toutes tes phrases une par une.

@Promethee_Hades, vu que j'ai du écrire dans tes citations pour que cela soit compris, si tu me réponds, continue comme ce que tu avais fait, si c'est moins compliqué pour toi.

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
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Bonjour Samira, bisous.;

Nous avons tous vécu, des choses très difficile a des moments divers de notre vie, certains sur le coup semble s'être assez bien passé, mais c'est des années après que l'on peut constater qu'en fait ce c'est pas du tout bien passé.

Ce que j'ai mentionné, c'est des constatations que j'ai eu face à une analyse, j'ai raconté le fait plus haut. J'ai connu le principe psychanalytique à la fin de l'adolescence, celui ci m'a semblé novateur et m'a particulièrement intéressé, il y avait des idées dedans que je trouvais pertinente, bref j'ai fait comme beaucoup de gens à l'époque de l'étudier enfin de loin je faisais d'autre études. J'ai une cousine qui vivait en Suisse avait fait ses études à Paris était pédo-psychiatre, connaissait des psychanalystes de renom sur Paris et qui m'a conseiller d'en faire une suite à des discussions que nous avons eu, elle m'a conseillé plusieurs analystes qu'elle connaissait et qui aurait du. Manque de chance elle avait tout faux, tout ceux que j'ai vue m'ont déplu, je les ai touts trouvé plus paumé que moi. J'avais un copain qui venait de passer son agrégation de psycho neurologie, il m'en a conseillé un. J'ai été le voir et avec lui, bien j'ai continué. J'étais prêt a la suivre jusqu'au bout, mais très vite je me suis rendu compte qu'il y avait problème, justement dans mes demandes. Alors là je me suis mis a décortiquer, le mécanisme, il m'a fallu très peu de temps pour comprendre, puis j'ai commencé à en jouer, quand j'ai vue que ce crétin là y tomber à pied joint justement dans sa pratique, je lui imposai son rôle, je lui imposait le silence, par ce que je savais comment le détruire, il avait réveiller le sadique cruel qui sommeillait en moi. Je me suis mis alors à étudier Freud et d'autres, j'ai cogiter dessus et me suis rendu comptes des nombreuses arnaque de cette technique. Mais pas que ça, j'ai étudié alors des aspect connexes, et me suis rendu compte de l'imposture totale de la psychanalyse. Elle a du bon cependant pas pour le patient mais pour la société, car elle permet de comprendre des mécanisme humains, qui sont traité différemment. Quand je parle de parler au mur c'est par ce que je l'ai fait, j'ai compris qu'au lieu de rester dans le silence et de ne pas y penser il fallait formuler justement il fallait énoncer, par l'énonciation on entrait dans un phénomène de catharsis, et qu'on pouvait se faire des jeux là dessus en solitaire chez sois. A l'époque je vivais à Paris j'avais des copains et copines, mais pas d'amis ils étaient à 1000 km de Paris, donc j'ai fait seul. Énnoncé sa souffrance, bien la formuler, en jouer dans divers mode, y réfléchir. On comprends tout, et même on s'en amuse.

La dessus, je me suis mis à m’intéresser aux traitement des maladies mentales, et j'en ai découvert d'autres que la psychanalyse, je les ai pratiqué non seulement sur moi, mais avec d'autres personnes, les résultats furent très réussi. Je lisai divers ouvrage à la Bibliothèque Nationale, et j'ai vu que bien avant Freud , tout étaient connu, au final je me suis rendu compte que Freud avait été un escroc, et avait tout travesti.

La seule technique que je n'ai pas pratiqué c'est celle des mouvement d'yeux, mais j'en ai entendu que du bien de la part de professionnel de la santé.

Par contre pour explorer l'inconscient profond , c'est assez facile d'ailleurs et nous le faisons tous, la vie nous offre tout les jours les moyen d'observations, il suffit de s'en servir après au lieu de ne rien dire.

Quand au erreur parentales, avec les délires freudien des balivernes, nos parents nous aiment profondément comme nous aimons nos enfants ils ont fait du mieux pour nous même s'ils sont passé à coté de certaines choses, ne sont ils pas humains comme nous ???

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
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En effet, nos idées ne tombent pas du ciel, elles sont le fruit de notre environnement et de

la perception que nous en avons, de la place que nous y avons, que nous nous en faisons, que nous

y prenons ou pas, de l'histoire du monde et de notre histoire propre.

Ainsi, tu en viens à penser (ou croire) qu'il faudrait réformer la psychanalyse sous

couvert que ceux qui la pratiquent seraient enfermés dans un schéma rigide et strict de pipicaca, mamanpapa... assez sommaire qui ne tiendrait pas compte des identifications que nous empilons

au fur et à mesure de notre vie, et qui s'enchevêtrent joyeusement (ou difficilement) les unes

sur les autres, les unes dans les autres,(...) et qui nous font ce que nous sommes, avec des satisfactions, avec des manques, avec des frustrations, avec des désirs ou des pannes de désir,

avec des joies, des peines, des incompréhensions...

Disons que c'est un problème de lecture ou de retranscription qui pose problème, comme en médecine du corps, entre l'allopathie, l'ostéopathie et l'homéopathie chacun soigne son patient avec sa technique, avec ses connaissances admises, coincé dans le cadre de sa discipline, de son école de pensées.

La psychanalyse n'échappe à ce constat, elle interprète à la " lumière " de la théorie, alors que j'essayais de te dire que chaque cas est pratiquement unique, le principe de la psychanalyse est une bonne chose, les exemples illustratifs de la pratique aussi, mais on ne peut en aucun cas transposer ce qui a été vu, trouvé ou découvert dans telle cervelle dans une autre, c'est schématiquement un peu ce qui se passerait pour une ville, notre manière d'explorer la ville est une chose, trouver des fonctions qui remplissent le même rôle n'est pas à mettre en cause non plus, mais vouloir absolument que toutes les villes soient conçues identiquement, à cause des mêmes sources, des mêmes forces, qu'il y les mêmes édifices aux mêmes endroits, qui desservent la même finalité ou le même usage, qu'on y pratique les mêmes activités pour les mêmes raisons, que les problèmes inhérents à telle mégalopole sont les mêmes que telle autre, et produisent les mêmes effets, c'est aussi ce qui fait l'attrait et l'intérêt d'aller y voir par soi-même, c'est parce que c'est foncièrement différent de sa propre bourgade, tout en ayant des apparences similaires.

Un psychanalyste devrait aussi revêtir la casquette de psychologue, l'un ne va pas sans l'autre, comme une ville ne se découvre pas, n'est pas fidèle à elle-même, que par l'étude de ses infrastructures souterraines, il faut aussi l'appréhender sur sa partie visible/apparente.

Cela constitue donc deux objections, celle de l'étroitesse théorique suivant l'appartenance, et celle de son approche partielle/incomplète.

Je ne sais où tu as pris tes informations et ce qui te conduit à cette conclusion.

Par contre, j'entends le discours dominant auquel tous nous avons à faire.

Et les pouvoirs ont, de tous temps et depuis la découverte de Freud, toujours dénigré la

psychanalyse.

Ce fut, c'est, sans doute une chance d'une certaine façon, cela oblige les tenants de cette

discipline à travailler, creuser, théoriser, pratiquer, chercher, à se débattre pour maintenir

ouvert cet espace de liberté pour que le sujet puisse déployer sa subjectivité et vivre.

Je l'avais évoqué succinctement, mais je vais te le redire, lorsque j'ai lu la première fois Freud, il y une quinzaine d'années, j'ai tout de suite été sceptique sur nombre de ses visions, tirées par les cheveux, trop exclusives, je ne me suis pas laissé séduire par sa belle rhétorique d'écrivain, mais je n'ai pas rejeté pour autant l'essentiel de son contenu, à savoir l'importance de l'inconscient dans nos vies, et sa résurgence timide, discrète dans notre conscience.

Comme je l'ai soulevé également, il n'est pas pour moi concevable, hormis troubles légers, d'associer psychanalyse avec cure ou thérapie, comme en médecine le fait de poser un diagnostic ne permet pas une guérison, ce sont deux choses distinctes, identifier et remédier, tel qu'il en va aussi dans n'importe quel processus technique !

C'est donc ma troisième objection, la psychanalyse n'a pas à se réclamer d'être curative, ce qui ne veut pas dire qu'elle ne peut pas venir en aide aux individus, cela signifie qu'elle n'est au mieux qu'une étape, ou même une voie possible, rarement une fin en soi, sauf pour celui qui veut apprendre à mieux se connaitre, dans ce cas la méthode et l'objectif coïncide.

Sur l'interprétation des rêves, sur la libido, sur le désir, sur le transfert, sur l'imaginaire,

le symbolique, le réel, la réalité, sur les névroses et les psychoses, les perversions, les phobies,

sur le symptôme, l'objectivité et la subjectivité, la liberté, sur le lapsus et les formations de

l'inconscient, les fantasmes, sur les pulsions, sur le langage, la parole, les résistances au

savoir, il me semble, à te lire que tu as collé bien des idées reçues propagées par la pensée

dominante.

Non, j'ai pris la peine et le risque de t'exposer mes propres considérations théoriques, issues d'un travail personnel de longue date sur moi, ainsi que l'analyse/étude de gens proches.

Je pense que tu n'arrives pas à faire le distinguo entre ce que je te décrie et t'explique et les critiques acerbes contre la psychanalyse, ceux qui veulent la réduire au silence, comme on voudrait le faire avec l'astrologie, or je tente de redonner ses titres de noblesse à cette activité, à la condition non qu'elle se fasse à la mode du moment, mais qu'elle se remette en cause, sur ses supports théoriques et ses interprétations et/ou limitations, ses erreurs et fourvoiements.

En clair je ne l'enterre pas, je cherche à la faire renaitre nouvelle.

L'interprétation par exemples des rêves et des lapsus devant donc être revue et corrigée pour au moins les trois raisons[/b] que j'ai invoquées ici, primo l'explicité ou " l'implicité " des pensées et secundo la proximité architecturale des connexions cérébrales entre autres langagières, mais aussi émotionnelles, sensitives, sensorielles et donc les " fausses " routes non pas par associations en série systématiquement, mais en parallèle également, et tertio de relativiser l'importance ou l'exclusivité des pulsions sexuelles comme foyer, qui plus est symptomatique, pour la psychanalyse d'appartenance freudienne.

C'est assez surprenant !

Fais-tu allusion, ici, aux théories comportementales ou/et cognitives ou à une séance

sur le divan ? A mon avis, il y a méprise ...

Ce sont là, les pistes à explorer, à tenir compte a minima, dans une approche psychanalytique réformée: tenir compte des contenus explicites et implicites ( faire preuve de psychologie sur les faits psychiques ), revoir l'association d'idées, qui n'est pas bornée à une succession logique de sens, ni même à une structure linguistique inconsciente, ceci n'en est qu'une facette, enfin envisager qu'il y a d'autres motivations chez l'individu que le sexe, d'autres leitmotivs inconscients.

J'ai répondu à Hades tous le bien que je pense des thérapies comportementales, qui n'est qu'un traitement de surface, une illusion d'intégration sociale, on fait semblant, les apparences sont sauves, ce qui peut, comme n'importe qu'elle science occulte et la force de l'esprit par auto-conviction ou suggestion, être suffisant, en réalité il suffit d'appuyer sur le bon bouton, de tirer la bonne corde de la marionnette que nous sommes pour qu'un effet se fasse ressentir, et par magie, par rétro-action, devenir satisfaisant pour le patient, car cela devient conforme à ses propres attentes/désirs, comme une sorte de résonance, un peu comme la chirurgie esthétique débloque parfois des personnes souffrantes sur leur aspect, où le problème de fond est le regard de l'autre, ou indirectement son propre regard via les canons admis, mais au lieu d'apprendre à le gérer, on préfère dissimuler/recouvrir pour ne plus à en souffrir, encore une fois on s'attaque aux apparences, ce qui par retour a un effet " bénéfique " pour le malade, bien que l'on n'ait rien guéri du tout. Mais bon, c'est tout à fait dans l'air du temps, soigner les apparences et c'est tout ! Ce qui ne m'est absolument pas satisfaisant, pas plus que de mettre les crasses sous le tapis !

Je te l'ai dit, mon fonctionnement est rigoureux et je le fais avec ardeur et opiniâtreté, sur tout domaine de la connaissance et du savoir, ce qui ne se réduit pas à un simple déballage d'opinions, d'ailleurs si tu as remarqué je fais l'effort de montrer/détailler de quoi il en retourne et non de ressasser le même message, je n'ai donc pas pris en grippe la psychanalyse en particulier, je peux être aussi critique envers n'importe quelle branche intellectuelle, je ne suis spécialiste dans aucun domaine, mais je me qualifierai tout de même de polymathe, et je me félicite de ne point appartenir à un cursus dogmatisant, de ne pas avoir suivi un formatage préalable, ou d'avoir chaussé des oeillères, on m'a traité péjorativement d'électron libre par le passé, je peux à présent le revendiquer !

:hi:

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Par contre pour explorer l'inconscient profond , c'est assez facile d'ailleurs et nous le faisons tous, la vie nous offre tout les jours les moyen d'observations, il suffit de s'en servir après au lieu de ne rien dire.

Je n'ai sans doute pas à te remercier pour ton témoignage, mais en tout cas je le salue, et j'espère que je n'arriverai pas dessus avec mes gros sabots.

J'ai trouvé plusieurs " incohérences " dans ton discours:

- La première c'est que tu reconnais tacitement que tous les psychanalystes n'étaient pas à la hauteur ou que tu n'avais pas une bonne affinité, ce qui à n'en pas douter était voué à l'échec, puisqu'il faut une certaine communion dans cette pratique et se sentir parfaitement à son aise et en confiance, on se met plus qu'à nu et ça fait peur, ceci pouvant expliquer tes " résistances "/méfiances ou défiances. Néanmoins, il serait somme toute intéressant sans faire de psychologie à deux balles, si il n'y aurait pas une question d'intelligence qui ne se serait pas immiscée dans ce refus, ne faut-il pas que le thérapeute soit perçu, senti comme intelligent, au moins autant que nous, pour lui accorder notre estime ou confiance ?

- Ensuite, tu dis qu'il y a de mauvais psychanalystes, bien que renommés, mais que l'on trouve de grands thérapeutes en TCC et que l'on peut leur faire confiance sans autres considérations, c'est étonnant ce retournement, de mon point de vue, on dirait un témoin de Jéhovah ou un protestant qui critiquait les autres religions tout en défendant la sienne, celle à laquelle il adhère !?

- Finalement avec ton entourage, n'uses-tu pas de l'inconscient et de ses rouages pour venir en aide à tes amis, avec la méthode que tu as développée, n'est-ce pas une psycho-thérapie qui emprunte immanquablement à la psychanalyse, qui elle-même l'a fait en s'appuyant sur d'autres acquis ? Freud and Cie ont été des aventuriers, peut-être n'ont-ils fait que redécouvrir ce qui existait, peut-être n'ont-ils fait que s'approcher sans toucher au but, mais on ne peut soutenir qu'ils n'aient pas balisé le terrain, et que ce soit totalement inutile, même si il y eu plus d'erreurs que de réussites, personne ne peut s'élever sans s'appuyer sur ses prédécesseurs, si ?

Crdlt,

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Oui c'est ça le problème : le type arrive avec son histoire et on lui explique que c'est pas ça l'histoire, que l'histoire c'est papa-maman... alors il est spolié, dépossédé de son histoire : il en reverra plus jamais la couleur de son histoire à lui, du processus sans doute long, tortueux, complexe, qui l'a amené à raconter cette histoire-là et pas une autre. Elle sera enfouie une couche plus loin, plus profond.

Et là on a le même effet qu'une pilule (en plus cher), le type - tant qu'il y croit au baratin du psy - n'aura pas de moyen de retrouver son, ses fils conducteurs, d'avoir une chance d'aller au bout de son truc.

Et là, ça fait du mal bien sûr la psyK.

C'est pas exactement que ça devait rester enterré, c'est qu'enterré ça mûrit, ça progresse : c'est de facon souterraine, avec le temps, que les choses avancent. S'il n'y a pas ce genre de mûrissement, mais on n'a aucune chance de venir a bout de quoi que ce soit !

.

Faux! C'est l'analysant qui parle, ce n'est pas l'analyste qui explique. Un autre faux grief contre cette profession?

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

C'est très difficile de savoir qui peut être à la hauteur, j'ai eu divers expériences psy suite à des problèmes dans l'enfance et une thérapie négative ensuite heureusement une positive mais je crois que ce qui m'a permis de m'en sortir, c'est de savoir que je ne pouvais compter que sur moi-même. Je pense que si on attend trop du psy, on risque d'être déçu, il ne faut pas y aller en pensant que le psy peut tout régler car ça dépend avant tout du patient. Après il y a la possibilité d'en voir plusieurs avant d'entreprendre une thérapie et ça ne peut être qu'au feeling ou parce que le psy dès les premières séances, on va se sentir compris ou alors demander l'avis du médecin traitant ou des professionnels parce que plusieurs se connaissent entre eux. Mais enfin dans l'ensemble, les psys que j'ai vus étaient plus ou moins biens à part celui avec qui j'ai eu une thérapie négative, il n'y a pas un type de profil mais si cela se passe bien dans le relationnel, je pense que c'est le plus important.

Ah je comprends mieux : tu n'as pas lu le fil.

Bon je te résume. J'entends bien que tu ai pu avoir une expérience positive de la psyK, particulièrement enfant, mais ici il est question de savoir ce qu'on pense de la psyK en général.

Moi j'aime pas trop, pour différentes raisons que tu liras dans le fil, et c'est là-dessus qu'il m'intéresse de débattre, pas de savoir si une personne donnée a un jour pu avoir une expérience positive avec la psyK, ce dont je ne doute pas un instant.

Bises

.

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Qu’est-ce que le cerveau humain, sinon un palimpseste immense et naturel ? Mon cerveau est un palimpseste et le vôtre aussi, lecteur. Des couches innombrables d’idées, d’images, de sentiments sont tombées successivement sur votre cerveau, aussi doucement que la lumière. Il a semblé que chacune ensevelissait la précédente. Mais aucune en réalité n’a péri. [baudelaire]

Parce que j'ai un faible pour le tout langage de Lacan qui a d'ailleurs utilisé le métaphorique palimpseste en ces termes :

[...] Il s’ajoute au fait que "l’inconscient est structuré comme un langage", reprend Jacques Lacan, un enrichissement du langage qui lui-même se trouve structuré sur deux portées : le pré-conscient et l’inconscient – ce dernier étant, j’y insiste bien, non pas plus difficile d’accès mais radicalement inaccessible, et qui se manifeste en poussant des surgeons vers l’autre niveau. Je crois qu’on peut employer l’image d’un palimpseste, vous savez, ces manuscrits sur lesquels un premier texte avait été effacé pour être recouverts d’une autre écriture. Oui, un palimpseste, vous avez deux textes à lire dont un ne surgit que là où l’autre a des défaillances, mais qui ne se relie pas du tout au premier texte et que vous ne pouvez pas entendre, aussi longtemps que sa structure n’a pas été reconnue.[...]

Je suis donc davantage intéressée par l'inconscient qui "parle" qu'à celui qui se planque dans la cave ou qui fait de la télépathie avec ses copains même si ces deux autres notions sont indispensables à la compréhension de la troisième.

Il y a, dans l'inconscient qui "parle", une part de candeur qui me fascine.

Ah ben voila, :). C'est tout à fait de ça qu'il s'agit.

Que l'enfantin récit, par ta main caressé,

Soit bien reçu, Alice ;

Dépose-le avec les rêves du passé

Qu'entrelace Mémoire,

Comme ces fleurs qui, par le pèlerin tressées,

Meurent loin de leur sol.

Alice au pays des merveilles.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Faux! C'est l'analysant qui parle, ce n'est pas l'analyste qui explique. Un autre faux grief contre cette profession?

Tu rigoles ?

Tu crois que c'est parce que le patient parle que le psyK n'agit pas ? Mais quel besoin du psyK alors ?

Et épargne-moi les "faux-juste " etc, on n'est pas a l'école !

Quant aux griefs, ils sont au nombre de quatre (etc etc c'est sans fin de le répéter ) et je constate que personne ici n'est capable d'en relever même un et de dire quelque chose de sérieux dessus.

Maintenant si tu veux des exemples du ridicule de l'interprétation familialiste systématique freudienne, ça doit pas etre très compliqué a trouver.

Mais dis-moi d'abord, sérieusement : tu crois comme Freud que tous les delires de l'humanité proviennent d'un rapport oedipien avec papa-maman ?

Juste pour savoir ta position et pas parler en l'air avec quelqu'un qui objecte sans répondre aux objections.

PS : et les griefs, ils sont pas "contre la profession " si tu as bien tout lu mais contre une vision de la psyché humaine !

.

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

@ Samira,

Admettons.

Et comment fait le patient pour savoir si le psy est à la hauteur (et donc je répète ni familialiste, ni structuraliste etc, soit théoriquement dénué de préjugés interprétatifs et ce quelle que soit la parole du patient ) ?

Où on le trouve, cet énergumène, prêt à admettre-accepter la possibilité de ne rien comprendre, laissant ainsi toutes portes ouvertes au patient ?

(à part dans la théorie j'entends)

.

Comment le patient fait pour savoir? Et bien il n'y a et il n'y aura jamais de garantie, il doit, à tort ou à raison se faire confiance et se jeter à l'eau, ou pas. C'est comme l'amour. Le risque de l'amour passe par l'amour du risque...

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce sont là, les pistes à explorer, à tenir compte a minima, dans une approche psychanalytique

réformée: tenir compte des contenus explicites et implicites

( faire preuve de psychologie sur les faits psychiques ), revoir l'association d'idées,

qui n'est pas bornée à une succession logique de sens, ni même à une structure linguistique inconsciente, ceci n'en est qu'une facette, enfin envisager qu'il y a d'autres motivations chez l'individu que le sexe, d'autres leitmotivs inconscients.

:hi:

Je ne veux pas être désagréable mais, tout de même, où as-tu vu que les psychanalystes

devraient apprendre à considérer l'implicite/explicite ! Cela doit être au programme

dans les classes CM1/CM2 ! A moins de prendre les analystes pour des cons, je ne vois pas,

désolée !

Tu prônes encore de revoir la règle de "l'association des idées ", qui permet justement

la liberté de parole, tu conseilles aux psychanalystes de ne pas être bornés (!)

tu t'imagines que les psychanalystes incultes et idiots pourraient n'avoir en tête

que "le sexe " :| !

Tu estimes que ta parole est fondée sur des savoirs bien pensés et bien réfléchis,

et que tu sais absolument de quoi tu parles !

Très bien ! Je te crois !

Ceci dit, je n'ai pas dû lire les mêmes livres que toi, je n'ai pas fréquenté les mêmes

analystes que toi, et mon expérience et mes savoirs sont tout autres !

:hi:

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Tu rigoles ?

Tu crois que c'est parce que le patient parle que le psyK n'agit pas ? Mais quel besoin du psyK alors ?

Et épargne-moi les "faux-juste" etc, on n'est pas a l'école.

Quant aux griefs, ils sont au nombre de quatre (etc etc c'est sans fin de le répéter ) et je constate que personne ici n'est capable d'en relever même un et de dire quelque chose de sérieux dessus.

Maintenant si tu veux des exemples du ridicule de l'interprétation familialiste systématique freudienne, ça doit pas etre très compliqué a trouver.

Mais dis-moi d'abord, sérieusement : tu crois comme Freud que tous les delires de l'humanité proviennent d'un rapport oedipien avec papa-maman ?

Juste pour savoir ta position et pas parler en l'air avec quelqu'un qui objecte sans répondre aux objections.

.

Ah, donc la psyk agit, content de te l'entendre dire. Le besoin de l'analyte? Et bien lorsque tu veux te regarder tu utilises un miroir non? Ce que tu vas projeter sur cet "autre" qu'est l'analyse presente l'avantage qu'il est, contrairement à un "autre lambda" capable de te retourner à l'envoyeur ce qui t'appartient, sans lui même t'envoyer ses propres projections au passage, en quelque sorte.

C'est toi qui resume la psychanalyse au polichinelle de l'Oedipe et à l'histoire familiale. S'il s'agissait juste de decouvrir ça ça serait vite reglé. C'est du rapport à la Loi ( symbolique) en fait qu'il s'agit, et je suis toujours surpris de voir à quel point l'idée qu'il faille en passer par la castration symbolique induise un tel refoulement et une telle agressivité. Alors qu'en fait tout ça n'est pas la mer à boire, si je puis dire...

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
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Comment le patient fait pour savoir? Et bien il n'y a et il n'y aura jamais de garantie, il doit, à tors ou à raison se faire confiance et se jeter à l'eau, ou pas. C'est comme l'amour. Le risque de l'amour passe par l'amour du risque...

Merci mais là je réponds a Samira, qui visiblement n'a pas lu le fil, ce que j'ai compris par la suite...

Donc c'est à remettre dans le contexte du discours de Samira, ce que tu ne fais pas.

Et moi dans ses textes, je pensais qu'elle défendait la psyK contre ma position.

Bref ce qu'il y a à comprendre, c'est qu'un individu (énergumène) qui ne juge pas , et qui surtout n'interprète pas (et pire, sous les schémas rigides préétablis par Freud, voire j'imagine Lacan - que je connais mal ) et qui en même temps exerce la profession de psyK, ça se trouve pas sous le sabot d'un cheval.

Déjà pour en trouver un hors profession c'est pas de la tarte... bref on est dans le pur théorique.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Un psychanalyste devrait aussi revêtir la casquette de psychologue, l'un ne va pas

sans l'autre, comme une ville ne se découvre pas, n'est pas fidèle à elle-même, que par

l'étude de ses infrastructures souterraines, il faut aussi l'appréhender sur sa partie visible/apparente.

Cela constitue donc deux objections, celle de l'étroitesse théorique suivant l'appartenance,

et celle de son approche partielle/incomplète.

Non, j'ai pris la peine et le risque de t'exposer mes propres considérations théoriques,

issues d'un travail personnel de longue date sur moi,

ainsi que l'analyse/étude de gens proches.

Je pense que tu n'arrives pas à faire le distinguo entre ce que je te décrie et t'explique

et les critiques acerbes contre la psychanalyse, ceux qui veulent la réduire au silence,

comme on voudrait le faire avec l'astrologie,

or je tente de redonner ses titres de noblesse à cette activité, à la condition non

qu'elle se fasse à la mode du moment, mais qu'elle

se remette en cause, sur ses supports théoriques et ses interprétations et/ou limitations, ses erreurs et fourvoiements.

En clair je ne l'enterre pas, je cherche à la faire renaitre nouvelle.

:hi:

De nombreux psychanalystes ont un DESS de psychologie ! De nombreux psychologues

interrogent leur pratique professionnelle sur le divan, et deviendront psychanalystes,

peut-être, mais en tous cas, ils ont en tête la question de l'éthique vis à vis

des humains qui leur sont confiés dans les hôpitaux ou institutions; c'est pourquoi,

nombreux sont-ils à poursuivre un travail théorique, pratique et d'analyse de la clinique.

Tu parles de ton travail PERSONNEL ! Est-ce à dire que tu as tout inventé ?

Tu ne t'es pas appuyé sur les travaux de psychanalystes ? Si oui, lesquels ?

Tu parles aussi de ta pratique de l'analyse sur des proches et sur toi même !

C'est cette pratique personnelle qui te permet donc d'en savoir quelque chose !

OK ...

Et sinon, où puises-tu tes savoirs sur les 'fourvoiements' des autres analystes ?

:hi:

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Merci mais là je réponds a Samira, qui visiblement n'a pas lu le fil, ce que j'ai compris par la suite...

Donc c'est à remettre dans le contexte du discours de Samira, ce que tu ne fais pas.

Et moi dans ses textes, je pensais qu'elle défendait la psyK contre ma position.

Bref ce qu'il y a à comprendre, c'est qu'un individu (énergumène) qui ne juge pas , et qui surtout n'interprète pas (et pire, sous les schémas rigides préétablis par Freud, voire j'imagine Lacan - que je connais mal ) et qui en même temps exerce la profession de psyK, ça se trouve pas sous le sabot d'un cheval.

Déjà pour en trouver un hors profession c'est pas de la tarte... bref on est dans le pur théorique.

Alors ça effectivement c'est un reproche justifié, si un analyste interprète à la place de l'analysant.La seule interpretation qui vaille est celle de l'analysant. Que l'analyste aide la personne à intepreter, sans pour autant le faire entrer dans le lit de Procuste de ses théories, c'est tout simplement son boulot. Que certains le fasse plus ou moins bien que d'autres, il n'y a aucune raison d'en douter, mais encore une fois, c'est valable pour n'importe quel metier.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Ah, donc la psyk agit, content de te l'entendre dire. Le besoin de l'analyte? Et bien lorsque tu veux te regarder tu utilises un miroir non? Ce que tu vas projeter sur cet "autre" qu'est l'analyse presente l'avantage qu'il est, contrairement à un "autre lambda" capable de te retourner à l'envoyeur ce qui t'appartient, sans lui même t'envoyer ses propres projections au passage, en quelque sorte.

C'est toi qui resume la psychanalyse au polichinelle de l'Oedipe et à l'histoire familiale. S'il s'agissait juste de decouvrir ça ça serait vite reglé. C'est du rapport à la Loi ( symbolique) en fait qu'il s'agit, et je suis toujours surpris de voir à quel point l'idée qu'il faille en passer par la castration symbolique induise un tel refoulement et une telle agressivité. Alors qu'en fait tout ça n'est pas la mer à boire, si je puis dire...

"sans lui-même t'envoyer ses propres projections au passage ", ah ah, qu'est-ce qu'on rigole... t'es en train de dire que les psyK sont au dessus de l'interprétation, de l'erreur ?

Bref, t'as plus qu'à expliquer à Deleuze et Guattari qu'ils ont rien compris et qu'ils mélangent tout, tu vas faire un tabac dans l'histoire de la philo !

Et non, c'est pas moi qui résume le délire à un secret de polichinelle, c'est un type qui s'appellait Sigmund Freud, tu confonds. Tu veux des exemples ?

Mais surtout continue à jouer et à ne pas tenir compte de ce que j'ai déjà dit : tu dis que j'avoue que la psyK agit - mais je l'ai dit : oui dans certains cas. Mais j'ai dit aussi que la psyK pouvait aller jusqu'à détruire des gens, tu l'as lu ça aussi ? Tu as lu qu'elle avait par exemple fait perdre dix ans (ou plus) à la recherche sur l'autisme en pontifiant que les mecs avaient un problème avec papa-maman ?

Le réel, t'as entendu parler ?

... ou alors manque de bol, c'étaient encore la faute aux mauvais psy... la recherche sur l'autisme, elle avait consulté les mauvais, pas de bol.

Pendant que les gars pontifiaient donc, un môme nommé Birgen Sellin expliquait à ce gentil groupuscule élitiste que les autistes étaient traumatisés de ne pouvoir communiquer (avec leur parents avec le monde), ce dont, dans leur savoir tout puissant, ils ne s'étaient rout simplement pas le moins du monde aperçu !

Ah, psychologie de l'homme, quand tu nous tiens !

.

Modifié par chapati
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Tu peux dire la même chose de la médecine, et de l'industrie pharmaceutique. Le scandale du médiator devrait -il par exemple nous faire jeter en bloc la médecine?

Si tu es d'accord pour dire que dans certains cas ça fonctionne, pourquoi dans le même temps vouloir en priver ceux que ça peut aider?

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