Aller au contenu

Noter ce sujet


Invité Quasi-Modo

Messages recommandés

Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

@ Dompteur,

J'ai pas dit que tu étais idiot, mais je suis confondu devant autant de prétention, ainsi que cette facon de l'étaler grassement, en prenant les gens pour des idiots, ce qui ne correspond ni à tes moyens intellectuels ni à quoi que ce soit de tolérable vis-à-vis de l'autre.

Ici tu viens comme un sale môme pleurnicher sur l'épaule de Louise en espérant que ta contribution fera bon poids, s'additionnera au speech louisien ? Tu cherches quoi, à entrainer un mouvement de foule, une grève générale des instances de la philosophie ffrienne ?

Il y a un sujet, ne déplaise, et si tu as cité Deleuze a bon escient, bravo, mais qu'est-ce que tu veux que ça me foute ? Et là encore, il te faut dire des mots blessants, glisser "excroissances grossières" en fin de texte comme pour marquer ton territoire, face à ce modèle de féminité, cet ange de douceur et de sensualité qu'est notre si chère Anna à tous :coeur:

Mais pour qui tu te prends ? Tu as quel âge ? Pas celui du type ayant longuement mûri sa reflexion sur la psyK on dirait...

Bref, tes intrusions sont inutiles et peu glorieuses. Merci d'y remédier.

Sir ce, on pourrait laisser place au thème, si sa seigneurie daigne nous en laisser le loisir. En échange de quoi on la lira peut-être une prochaine fois.

Fin de parenthèse.

.

Modifié par chapati
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

Je ne faisais pas de lien avec la psychanalyse de la sorte, contrairement à Anna.

De plus je ne suis que le colporteur de ce qui se trame dans la tête des chercheurs eux-mêmes, au mieux j'ai synthétisé brièvement, mais comme tu me l'invitais il y a peu, je t'enjoins à faire tes propres recherches à partir des éléments que j'ai fourni, tu te feras ainsi ta propre opinion ( effet miroir, non lacanien il va s'en dire ).

La ce fut fait il y a bien des années, et bien au delà de ce que tu puisse imaginer, mais c'est uniquement pour ma gueule, je partage pas mon travail. Ni là dedans ni dans certain autres domaine.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les thérapies cognitives et comportementales (TCC) visent la réduction d’un symptôme,

la psychanalyse propose d’en rechercher le sens. Elle ouvre donc sur une véritable quête intellectuelle, dont la préservation, au-delà 
des questionnements légitimes sur son apport

face à telle 
ou telle problématique, 
est un enjeu de civilisation.

Il faut faire preuve de modestie, de prudence, admettre que nous ne savons pas tout sur tout. En hôpital, en institution, les équipes doivent chercher des complémentarités et des collaborations, au cas par cas, en respectant la cohérence des approches.

La psychanalyse va à l’encontre d’une conception dominante aujourd’hui de l’humain qui

repose sur « trois moins » :

moins de temps, moins de coût et le moins d’interrogation du sens possible.

Interroger le sens nécessite du temps d’investigation, d’interprétation, de construction.

La conception dominante s’en prend donc à cette tâche. Austérité, austérité ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 743 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Les neurosciences utilisent la méthode expérimentale commune à toutes les sciences pour avancer dans la compréhension du fonctionnement du cerveau. Or il y a peu de sciences qui sont arrivées au bout de leur objet d'étude mais le chemin qui reste à parcourir ne définit pas les voies de garage.

Classiquement, certaines découvertes en neurosciences comme en toutes sciences remettent en question une partie des théories déjà élaborées, comme le rôle nouveau attribué aux astrocytes. Mais c'est par les neurosciences que les connaissances nouvelles sont créées.

Notre fonctionnement psychique est inséparable du corps, et particulièrement du cerveau. Et ce n'est pas parce que l'approche cellulaire voire moléculaire rend complexe la compréhension de ce fonctionnement qu'elle est une erreur. Le fonctionnement psychique d'un squelette étant nul, le lien entre pensée et corps reste nécessaire.

Tant que l'on croira comprendre quelque chose en regardant s'allumer des trucs par-ci par-là sur un écran, via l'imagerie médicale, de ce qui se passe dans l'esprit d'une personne, on en restera au même stade que l'anthropologue face aux figures pariétales, ( ou à un type prenant la température des composants d'un ordinateur en fonctionnement pour le comprendre ), c'est à dire à conjecturer, à spéculer... comme si la vie se résumait à l'activité cellulaire que l'on a mis en évidence, la psyché devrait se réduire à ce que l'on voit s'agiter dans et autour des neurones !?

Il est clair que ce n'est pas en décrivant les " symptômes " du sentiment amoureux, les effets observables, que l'on saura ce que c'est, de même décrire les effets visibles par le truchement d'une machine de notre psyché ne nous apprend rien de ce qu'elle est, pas plus qu'en regardant les mots mis côte à côte que je t'écris. Et quand bien même on aura un modèle fiable de description, cela nous restera inintelligible, au même titre que la gravitation relativiste nous est impénétrable alors que la théorie n'a pas été prise en défaut !

Il ne faut pas confondre les causes d'un processus/phénomène et les émanations/manifestations de celui-ci, si je rentre dans une salle où l'odeur de transpiration se fait oppressante, cela ne me dit rien de ce qui a provoqué cette diffusion, je peux certes faire des corrélations, mais je ne peux garantir la causalité, et si je pense pouvoir le faire, pour une certaine activité, je ne serai sans doute pas en mesure de savoir pourquoi des gens se sont réunis pour l'exécuter, dans toute chaine de causes à effets, il y a toujours un moment où la cause précédente du dernier effet observable nous échappe, la seule échappatoire est de donner du sens à ce que l'on observe, et le seul outil qui en soit capable c'est justement notre cognition, le mieux que nous puissions espérer c'est que la psyché se décrypte elle-même jusqu'à ses propres limites, et à ce jeu, le chemin le plus direct est encore " l'introspection ", car elle ne se limite pas à un élément mis en évidence par tel ou tel truchement, elle est en prise directe avec toutes les sensations possibles, émises, ressentis, il " suffit " de savoir observer, l'expérience et la logique s'occupant dans fournir du sens, cette méthode est extrêmement efficace ( par ce biais j'ai découvert des choses, dont j'ai pris connaissance ultérieurement et qui ont été mises en évidence laborieusement par diverses associations d'individus et parfois sur plusieurs générations, au prix d'instrumentation lourde ! )

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Cocaïne pour enfants la ritaline !

La psychiatrie de la fin du 20e siècle, a cherché à médicaliser nos enfants. Ainsi ont surgi toutes sortes de diagnostics correspondant à ce que l’on considérait avant comme des caractéristiques de comportement

(timidité, difficultés scolaires, agitation...).

Ces diagnostics ont même été compilés afin d’écrire ce qui est encore aujourd’hui la bible de la psychiatrie,

le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), dont on a publié la 5e version il y a à

peine un an.

L’hyperactivité n’est que l’un de ces diagnostics. Dans les années 60, le psychiatre Leon Eisenberg avait

prétendu « découvrir » le « trouble du déficit d’attention avec hyperactivité » (TDAH)

et l’avait fait ajouter au DSM en affirmant que le TDAH avait une origine génétique, rendant ainsi le traitement médicamenteux moins discutable. :mouai:

Seulement sept mois avant de mourir, il a avoué dans une interview donnée à ‘‘Der Spiegel’’ qu’en réalité, le TDAH

est l’exemple révélateur d’une maladie fabriquée de toutes pièces.

Pourtant, deux tiers des enfants diagnostiqués hyperactifs sont traités par psychotrope. Les prescriptions de

Ritaline® ou le Concerta®, se sont multipliées,apportant des milliards dans les caisses des laboratoires.

Le nombre d’enfants traités n’a jamais cessé d’augmenter depuis lors.

En France, l’augmentation des ventes est de 70% en 5 ans.

Aux Etats-Unis, le phénomène atteint une ampleur presque inimaginable. On parle désormais de « génération Ritaline ».

Modifié par LouiseAragon
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

A deja-utilise,

Oui, vous évoquez "la méthode expérimentale", ou analyse des causes,

vérification des hypothèses... que vous confondez avec l'introspection !

INTROSPECTION : En parlant de l'effort d'une conscience qui se prend comme objet

dans un but de connaissance de soi.

Faire de l'introspection. Effort d'une conscience qui analyse ses pensées, ses sentiments,

ses états d'âme, qui réfléchit sur eux à des fins d'investigation psychologiques !

:hi:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Time is money. Therapies brèves, TCC, et autres, ne perdons pas de temps à chercher l'origine du cri, faisons le taire, c'est moins long, et s'il le faut, on a même des jolies pilules colorées pour ça. Tu vas pas bien? Un petit coup d'oeil dans le DSM, on te trouvera bien une étiquette à coller sur tes symptômes. Tu n'iras pas mieux pour autant, mais tu sauras comment s'appelle ta maladie. Sinon tu as un autre choix, celui d'envisager ta souffrance non pas comme un disfonctionnement, mais comme un appel venu de l'interieur à changer quelque chose. Lorsque tu ignores les besoins de cet "autre toi en toi", celui-ci n'a plus d'autre choix que d'envoyer des signaux de plus en plus génants en guise d'appel à la conscience. L'enjeu est alors d'essayer d'entendre et d'entamer un "dialogue" avec soi-même, ou de tenter de se debarasser de ces manifestations gênantes en les traitant comme on le ferait d'une douleur physique. Mais attention, se debarasser de la douleur lorsque tu as mal au dents n'empêche pas l'abcés de continuer à gonfler.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Tant que l'on croira comprendre quelque chose en regardant s'allumer des trucs par-ci par-là sur un écran, via l'imagerie médicale, de ce qui se passe dans l'esprit d'une personne, on en restera au même stade que l'anthropologue face aux figures pariétales, ( ou à un type prenant la température des composants d'un ordinateur en fonctionnement pour le comprendre ), c'est à dire à conjecturer, à spéculer... comme si la vie se résumait à l'activité cellulaire que l'on a mis en évidence, la psyché devrait se réduire à ce que l'on voit s'agiter dans et autour des neurones !?

Il est clair que ce n'est pas en décrivant les " symptômes " du sentiment amoureux, les effets observables, que l'on saura ce que c'est, de même décrire les effets visibles par le truchement d'une machine de notre psyché ne nous apprend rien de ce qu'elle est, pas plus qu'en regardant les mots mis côte à côte que je t'écris. Et quand bien même on aura un modèle fiable de description, cela nous restera inintelligible, au même titre que la gravitation relativiste nous est impénétrable alors que la théorie n'a pas été prise en défaut !

Il ne faut pas confondre les causes d'un processus/phénomène et les émanations/manifestations de celui-ci, si je rentre dans une salle où l'odeur de transpiration se fait oppressante, cela ne me dit rien de ce qui a provoqué cette diffusion, je peux certes faire des corrélations, mais je ne peux garantir la causalité, et si je pense pouvoir le faire, pour une certaine activité, je ne serai sans doute pas en mesure de savoir pourquoi des gens se sont réunis pour l'exécuter, dans toute chaine de causes à effets, il y a toujours un moment où la cause précédente du dernier effet observable nous échappe, la seule échappatoire est de donner du sens à ce que l'on observe, et le seul outil qui en soit capable c'est justement notre cognition, le mieux que nous puissions espérer c'est que la psyché se décrypte elle-même jusqu'à ses propres limites, et à ce jeu, le chemin le plus direct est encore " l'introspection ", car elle ne se limite pas à un élément mis en évidence par tel ou tel truchement, elle est en prise directe avec toutes les sensations possibles, émises, ressentis, il " suffit " de savoir observer, l'expérience et la logique s'occupant dans fournir du sens, cette méthode est extrêmement efficace ( par ce biais j'ai découvert des choses, dont j'ai pris connaissance ultérieurement et qui ont été mises en évidence laborieusement par diverses associations d'individus et parfois sur plusieurs générations, au prix d'instrumentation lourde ! )

Il n'y a pas que le divan comme moyen d'amener à la conscience des contenus inconscients. D'ailleurs qui n'a pas eu spontanement des prises de consciences? La meditation, par exemple est aussi un moyen de créer les conditions de ce que les pratiquants du zen appellent satori. Il ne s'agit pas de savoir, mais d'une sorte d'eureka, d'illumination de la conscience soudaine, un peu comme si quelque chose qu'on avait pourtant sous le nez apparaissait et faisait sens. Voila ce qui se passe pendant une analyse. Une suite de prises de conscience, rien de bien spectaculaire, rien de terrible, mais ça change tout. Tu dis avoir decouvert des choses par le biais de l'introspection. Il s'agit effectivement bien de decouvrir ce qui est deja là.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 758 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
Posté(e)

Vous êtes bien gentils tous les deux ( ping et louisearagon,) à vouloir soulager tous les symptômes "psy" par vos méthodes diverses et variées, mais ( je me répète) encore faut-il avoir éliminé les autres étiologies!

Encore une fois tout ne se règle pas à coup d'introspection ou de méditation ou de séance de psychanalyse. Quand la tête ne va pas faut d'abord chercher un dysfonctionnement du corps.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Vous êtes bien gentils tous les deux ( ping et louisearagon,) à vouloir soulager tous les symptômes "psy" par vos méthodes diverses et variées, mais ( je me répète) encore faut-il avoir éliminé les autres étiologies!

Encore une fois tout ne se règle pas à coup d'introspection ou de méditation ou de séance de psychanalyse. Quand la tête ne va pas faut d'abord chercher un dysfonctionnement du corps.

Arf ! Tu es gentille aussi de prendre les gens pour des "c..."

Ton inter reflète la mauvaise foi ! Les psys ne prétendent pas soigner "tous' les symptômes,

ni même les cancers, ou la poliomyélite ... ( :cool: )

Ils ne prétendent pas éliminer du corps social les autres métiers ou professions, ni

supprimer le scanner et la prise de sang ... :blush:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 758 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
Posté(e)

On parle bien des psychanalystes, hein...je sais bien qu'ils ne prétendent pas tout soigner, mais sans formation, comment peuvent-ils savoir si le gars qui se présente à eux clafi de troubles anxieux, n'a pas tout bêtement un dysfonctionnement thyroïdien? Ou bien un syndrome génétique qui se manifeste uniquement par des troubles du comportement?

ma question est très sérieuse.

Modifié par chanou 34
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On parle bien des psychanalystes, hein...je sais bien qu'ils ne prétendent pas tout soigner, mais sans formation, comment peuvent-ils savoir si le gars qui se présente à eux clafi de troubles anxieux, n'a pas tout bêtement un dysfonctionnement thyroïdien? Ou bien un syndrome génétique qui se manifeste uniquement par des troubles du comportement?

ma question est très sérieuse.

Tu devrais trouver la réponse ... :o°

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 743 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Oui, vous évoquez "la méthode expérimentale", ou analyse des causes,

vérification des hypothèses... que vous confondez avec l'introspection !

Pourtant si tu m'as bien suivi depuis le début, tu auras remarqué que bien qu'utilisant un vocabulaire admis, populaire, j'en ai une définition qui dépasse le cadre académique, convenu, cela a été vrai dès le départ avec la psychanalyse, ce qui nous a valu quelques incompréhensions, mais c'est tout aussi vrai pour l'introspection, qui n'a rien à voir avec ce que faisait les types de la Renaissance, je ne peux tout bonnement pas inventer un terme à chaque fois, c'est pourquoi je décris ce que j'entends par là, il faut le voir comme des extensions de ce qui se pratique, ce pourquoi je ne parle pas de révolution comme Chapati mais de réforme, et donc ne mérite sans doute pas un vocable nouveau, quoique c'est peut-être contestable j'en conviens ( je reconnais mon incompétence, l'absence de don, à innover sur les termes employés ) !

:drinks:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

On parle bien des psychanalystes, hein...je sais bien qu'ils ne prétendent pas tout soigner, mais sans formation, comment peuvent-ils savoir si le gars qui se présente à eux clafi de troubles anxieux, n'a pas tout bêtement un dysfonctionnement thyroïdien? Ou bien un syndrome génétique qui se manifeste uniquement par des troubles du comportement?

ma question est très sérieuse.

On peut raisonnablement penser qu'avant de s'adresser à un analyste la personne a commencé par consulter le corps médical. C'est lorsque finalement tu as l'impression justement que les solutions que celui-ci te propose, et notamment les anxiolityques et autres anti-depresseurs dont , rappellons le la France est championne de comsommation, que peut apparaître le besoin de s'adresser ailleurs. Il ne sera alors pas demandé à la personne d'arreter son traitement, ni de continuer à faire tous les examens médicaux qu'elle veut. Elle sera juste ecoutée differement et entamera un travail qui n'a rien à voir avec la medecine finalement.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 758 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
Posté(e)

On peut raisonnablement penser qu'avant de s'adresser à un analyste la personne a commencé par consulter le corps médical.

ce que je voulais savoir c'est si, la première fois qu'un psychanalyste voit un nouveau patient, il commence par lui poser ces questions, justement! Et est-ce que si le patient répond par la négative, le psychanalyste le renvoie en lui demandant de commencer par le début?

Ce qui m'intéresse ici ce n'est pas les motivations du patient, elles sont évidentes, il veut aller mieux, c'est la façon de procéder du thérapeute. Qui a une responsabilité au moins morale, mais probablement aussi juridique.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pourtant si tu m'as bien suivi depuis le début, tu auras remarqué que bien

qu'utilisant un vocabulaire admis, populaire, j'en ai une définition qui dépasse

le cadre académique, convenu, cela a été vrai dès le départ avec la psychanalyse,

ce qui nous a valu quelques incompréhensions, mais c'est tout aussi vrai pour l'introspection,

qui n'a rien à voir avec ce que faisait les types de la Renaissance, je ne peux tout bonnement pas inventer

un terme à chaque fois, c'est pourquoi je décris ce que j'entends par là, il faut le voir comme des extensions

de ce qui se pratique, ce pourquoi je ne parle pas de révolution comme Chapati mais de réforme, et donc

ne mérite sans doute pas un vocable nouveau, quoique c'est peut-être contestable j'en conviens ( je reconnais mon incompétence, l'absence de don, à innover sur les termes employés ) !

:drinks:

C'est vrai les mots ne sont jamais que la représentation de la chose !

C'est pourquoi on parle ...parfois sans fin ... et aussi pourquoi, pour plus de compréhension,

on a crée dictionnaires et encyclopédies ... c'est pratique ! (Sans doute trivial)

Ceci dit, l'introspection est un acte solitaire, vous vous y retrouvez ...je suppose !

Et de quelle réforme parlez-vous ? :|

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Toujours pas la moindre réponse, ni le moindre intérêt pour les objections soulevées. Chacun prêche pour ses croyances, voire pour certains son expérience personnelle (ce qui est déjà mieux).

La place de ce fil eut été dans la section "Religion".

Rien à signaler, rien de neuf.

@ Chanou,

Strictement rien ne garantit quoi que ce soit de l'attitude du psyK. Si le type est honnête et pas trop con, il pourra prendre le genre de précaution que tu dis, sinon non. Il n'a aucune compétence de toutes façons pour diagnostiquer une maladie "physique", à l'opposé du chaman par exemple, lui aussi recepteur d'un "savoir" oral, mais supposé connaître les plantes médicinales etc.

.

Modifié par chapati
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Toujours pas la moindre réponse, ni le moindre intérêt pour les objections soulevées. Chacun prêche pour ses croyances, voire pour certains son expérience personnelle (ce qui est déjà mieux).

La place de ce fil eut été dans la section "Religion".

Rien à signaler, rien de neuf.

http://www.revue-chimeres.fr/drupal_chimeres/?q=node/329

« L’anti-oedipe», un enfant fait par Deleuze-Guattari dans le dos de Lacan, père du« Sinthome »

:sleep:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

ce que je voulais savoir c'est si, la première fois qu'un psychanalyste voit un nouveau patient, il commence par lui poser ces questions, justement! Et est-ce que si le patient répond par la négative, le psychanalyste le renvoie en lui demandant de commencer par le début?

Ce qui m'intéresse ici ce n'est pas les motivations du patient, elles sont évidentes, il veut aller mieux, c'est la façon de procéder du thérapeute. Qui a une responsabilité au moins morale, mais probablement aussi juridique.

Le premier entretien, gratuit en general, sert precisement à ça, à evaluer la possibilité d'une eventuelle future collaboration ou pas, en fonction de differents paramètres, dont evidemment l'etat de la personne. Il est evident qu'une personne en pleine depression n'est pas en mesure d'entamer une analyse. Je vois mal un analyste digne de ce nom ne pas orienter une personne en urgence d'abord vers un medecin, pour le cas peu probable ou le reflexe de la personne souffrante soit d'avoir decidé de s'adresser à un psychanalyste plutôt qu'à un medecin. C'est plutôt l'inverse qui se passe, des medecins qui orientent leurs patients vers des psychanalystes, à mon avis.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×