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Une guerre civile est elle possible en France?

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:plus:

http://www.bfmtv.com/societe/emmanuelle-cosse-souhaite-voir-des-particuliers-heberger-des-refugies-1025010.html

Un texte non signé et non authentifié mais jugé crédible par les CRS interrogés et se présentant comme le « journal de bord » d’un membre des forces de l’ordre en faction à Calais, tourne actuellement sur la toile. Le groupe « Les Calaisiens en colère » l’a épinglé sur sa page Facebook.

Les CRS parlent , la guerre civile est imminente

Publié le 19 février 2016 par voixdupeuple

VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE LES MEDIAS VOUS CACHENT…

Voici le reportage « Journal d’un CRS » que vous ne trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !

PAROLES DE POLICIER : (Prenez le temps de lire jusqu’au bout)

Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de

«La Jungle» à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous…

Ce CRS raconte :

« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

Une honte de les garder sur notre sol !

« La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas ! Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

04:30 ― Réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.

13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] «Deux poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules».

Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !

Anarchistes des groupes « NO BORDER »

Les «NO BORDER» [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidé;os pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.

Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des « blagounettes » sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit…

Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? » – « Moi »répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.

Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».

00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir,sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre !

La semaine avant notre arrivée, «Les Calaisiens en Colère» ont apporté une aide considérable aux collègues présents.

Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer.

N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des forces de l’ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.

Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation.

01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.

02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.

02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.

02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.

Pareil à des Gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.

Déchaînement de violence

Cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner la vidéo (12:48)

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.

À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.

Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus.

Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !

M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?)

David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.

Il nous faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.

La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.

L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !

Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.

La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.

Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant.

06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)

La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.

J’en passe… C’est trop long…. Je suis fatigué… »

Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre.

[2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999.

[3] Véhicules-Recueil.

[4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron).

[5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg.

[6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).

[7] Voir la page Facebook des « Calaisiens en Colère »

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Invité Tar Baby
Invités, Posté(e)
Invité Tar Baby
Invité Tar Baby Invités 0 message
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Je retiens juste : " non signé, non authentifié " inutile donc d'en lire plus.

À quoi, qui celà sert-il de mettre un texte dont on ne sait même pas si c'est vrai.

Modifié par Tar Baby
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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Je retiens juste : " non signé, non authentifié " inutile donc d'en lire plus.

À quoi, qui celà sert-il de mettre un texte dont on ne sait même pas si c'est vrai.

le texte n 'est qu ' un témoignage.. il est à prendre pour ce qu 'il est, rien de plus. Je peux dire que cette réalité là n 'est pas inventée... mais de là à signer, à poster nom et adresse.... ne serait que par défi ou dépit relèverait du "vrai" suicide pour le coup..

Je te laisse à tes doutes et les autres participants au topic à leur partis pris.

Bien le bonsoir,

D.

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Pas mal.

Mais pas besoin de connaitre la fierté pour éprouver la honte.

Le problème c'est d'y trouver une réponse.

Et c'est pas en mettant les choses sous le tapis qu'on la trouvera, en disant : "oui c'est pas moi".

Ok c'est pas toi c'est pas moi.

C'est ton grand-père mon grand-père.

C'est les hommes, la honte d'être un homme.

Qui se permet de raccrocher au nez d'une personne qui dit ses amis morts à Auschwitz.

Circulez y'a rien à voir

Et la vie et la vie...

Sans blagues. T'as eu l'impression qu'au cours de 35 dernières années de shaming de la France on t'a proposé des solutions à "Auschwitz" ?

Pour mémoire et contrairement aux assertions de Caroline Fourest le régime ALLEMAND a exécuté des millions de personnes majoritairement en POLOGNE.

Donc non c'est pas mes grand-parents ou les tiens. Le seul objet de cette honte projetée c'est qu'on la ferme et qu'on ne réclame pas ce qu'on nous doit. Par respect pour des morts ....

On respecte les morts. Et les vivants quand est-ce qu'on les respecte ? C'est plus facile de respecter un mort qu'un vivant, on n'a pas à le nourrir, pas à lui payer un salaire, pas à lui trouver un logement. Le mort n'a pas besoin d'augmentation de salaire, de débouchées pour ses produits, pas besoin d'une scolarité valable. Le mort n'a pas d'avenir.

Alors arrêtez de nous faire chier avec vos putains de morts.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Sans blagues. T'as eu l'impression qu'au cours de 35 dernières années de shaming de la France on t'a proposé des solutions à "Auschwitz" ?

C'est pas les morts le problème, c'est qu'est-ce qui a pu faire qu'un pays extermine les gens sur la seule base raciale (raciale-religieuse).

Un pays supposé "évolué", à la pointe de l'évolution telle que vue par les blancs, les occidentaux : c'était quoi cette évolution qui a pu aboutir à ça ? Qu'est-ce qu'on a pu faire pour arriver à ça ?

Et ça c'est notre question à nous (et pas en tant que coupables on est d'accord).

Qu'est-ce que c'est cette notion d'homme découlant de l'histoire de l'occident, de sa culture etc, qui a pu amener à ça ?

A toute cette honte...

.

Modifié par chapati
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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Salut Roger :hi:

@ Tar Baby

"Je retiens juste : " non signé, non authentifié " inutile donc d'en lire plus.

À quoi, qui celà sert-il de mettre un texte dont on ne sait même pas si c'est vrai."

Ce que je peux te dire c 'est qu ' en 25 ans de métier, j 'ai vu la situation de ma profession, la situation sociale du pays se dégrader, les rapports entre personnes se tendre et la malhonnêteté intellectuelle et morale s 'installer un peu plus chaque jour.

Sur ce site, j 'essaie, lorsque j 'interviens, de laisser de côté les égos, le mien tout d 'abord.

Je réagis aux choses qui me font bondir, non sans avoir ruminer auparavant.

Pour ce qui concerne ce post en particulier, celui que tu refuses de lire (j 'ai noté mais chacun fait comme il veut), tu commentes de façon négative. Tu aurais pu te contenter de ne pas lire, mais tu vas nier la crédibilité que d 'aucun autre pourrait accorder à ce texte. Je ne sais si il est authentique ds le sens où il relate aux instants "T" des situations vécues en chair et en os par le narrateur, mais le contenu du récit, la forme, le vocabulaire et le déroulé me paraissent possibles...

Je travaille avec des gens qui ont peur et on raison d 'avoir peur de perdre leur boulot. Ceci explique pas mal de choses. L ' obligation de réserve est une chose terrible pour qui voudrait aujourd'hui dire un "peu" son quotidien. De fait, seuls les canaux officiels sont considérés comme dignes de foi. S 'en contenter est une bêtise, une stupidité, une compromission pire que celle imposée par cette obligation de réserve que j 'évoque un peu plus haut.

Si tu ne crois pas, ne veux pas croire, ne veux pas savoir alors libre à toi, libre à chacun et à tous... Il n 'y a d ' aliénation mentale que l ' aliénation volontaire... La victime est complice du bourreau... et le juge remporte la mise...

Il s 'est passé bcp de choses en très peu de tps ces derniers mois... Bcp savent, à commencer par chacun d ' entre nous. A voir le mensonge partout, la politique devenue officiellement mafieuse et illégitime, les résistances qu 'on écartèle et qu 'on dissout (à coup de 49.3 par exemple)... Mais nous sommes nombreux à continuer de nier.... Soit!

J' ai de toute façon cesser de réfléchir et ne me fais pas d 'illusion quant à la suite.

Pour en revenir au post en question..

J 'ai connu et connaîtrai sans doute encore ce genre de situation... Ce qui fait tenir? Le communautarisme professionnel, l 'esprit de corps, et la certitude du danger imminent , ... après, chacun vit avec, mais "tous" (sont et restent) "seuls", chacun ds un coin.. Sauf que le ras l 'bol est là et surtout, plus que tout, cette idée : malgré tous les efforts et les sacrifices consentis, on empêchera rien.

"A quoi cela sert il?" Tu as sans doute raison, ... à rien

Modifié par Xsylon
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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

@ Jacky :

Je ne doute en rien de votre sincérité, pas plus que je ne doute de votre peine et de votre dégoût..

Une fois dit,...

Je note que votre ami DDR, est seul venu polluer les débats en ramenant l ' histoire à Dieudo, et donc à la "Shoa."

J ' ai effectivement posté une vidéo sur le post "attentat à Nice", une vidéo ou Dieudo s ' exprimait et donnait son avis... En aucun cas il ne s ' agissait d 'autre chose..

Sauf que, plutôt que d 'écouter, de chercher à comprendre ou à zapper purement et simplement, le reproche m ' a été fait non pas sur "Attentat à Nice " mais sur CE topic... et que comme un seul homme, sans que personne ne vous demande rien vous ne ré-enchérissiez sur le sujet en jetant 2 ou 3 pelletées sur le b..el...

Bref, Dés lors que l 'on écoute une parole autre, et surtout si elle a à voir avec Dieudo, c 'est obligatoirement faux et l 'on est obligatoirement.... anti-sémite?...

Je ne mets en cause votre sincérité, encore une fois et vous accorde le bénéfice de la maladresse, mais vous reproche votre façons de faire, de vous adresser à moi (n 'avez vous pas fait le voeu de "ne pas me lâcher" et ne m 'avez vous pas confié que je vous sois "très cher"??...sans que je ne vous demande rien ni même ne vous interpelle sur aucun sujet et à aucun moment..

Vous fîtes ainsi d ' ailleurs à plusieurs reprises et réitériez vos invectives à plusieurs reprises.. me poursuivant comme poursuivant le Diable...

Bref, Dieudo est noir, mais" on" le dit Nazi,.. il rassemble mais on l 'excommunie...

Bref, voilà ce que j 'en pense moi, que ça vous plaise ou pas... et que ça déplaise aussi au plus grand nombre.. (ça me réjouis)...

Pour le reste, votre chevalier blanc trouvera peut être à y redire mais je n 'y reviendrai plus..

Comment dites vous?

Bonne journée.

Xsylon.

un petit up! :bo:

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

C'est pas les morts le problème, c'est qu'est-ce qui a pu faire qu'un pays extermine les gens sur la seule base raciale (raciale-religieuse).

Un pays supposé "évolué", à la pointe de l'évolution telle que vue par les blancs, les occidentaux : c'était quoi cette évolution qui a pu aboutir à ça ? Qu'est-ce qu'on a pu faire pour arriver à ça ?

Et ça c'est notre question à nous (et pas en tant que coupables on est d'accord).

Qu'est-ce que c'est cette notion d'homme découlant de l'histoire de l'occident, de sa culture etc, qui a pu amener à ça ?

A toute cette honte....

Nous avons semble-t-il une appréciation divergente du problème, car si la honte est contemporaine, le nazisme appartient au passé.

Le problème que nous avons à résoudre est donc la honte et pas le nazisme qui est pour sa part résolu.

Chercher à solutionner le nazisme, c'est in fine brasser encore et toujours la même honte, à tort ou à raison, mais surtout à tort et à des fins ignobles. Pour assommer le peuple et le rendre incapable d'assumer ses revendications légitimes.

Ce qui est en soi une très grande honte.

Pour comprendre ce qui s'est passé, il faut faire tout ce qui est interdit. A savoir s'intéresser à tout ce qui est censuré.

Si vous ressentez cette honte, alors vous ne pouvez pas savoir ce qui s'est passé car elle conditionne votre vie, vos lectures, et votre esprit critique. Vous êtes prisonnier. Et vous retenez au fond de l’abîme ceux qui voudraient s'émanciper.

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

Salut Roger :hi:

@ Tar Baby

"Je retiens juste : " non signé, non authentifié " inutile donc d'en lire plus.

À quoi, qui celà sert-il de mettre un texte dont on ne sait même pas si c'est vrai."

Salut Xsylon. ;)

Juste un mot sur les textes non-signés.

Pas mal de gens sur les forums ont une attitude confinant au scientisme, parce que c'est un support virtuel donc ça n'inspire pas spontanément confiance.

Le fait est qu'ils ne font pas confiance à leur propre esprit critique pour tirer le vrai du faux et ont tendance aux jugements péremptoires du genre "ça vient de tel site donc c'est faux". Ils en sont inconsciemment réduits à croire que les rubriques météo et nécrologique des journaux russes ou iraniens sont automatiquement mensongères.

C'est aussi un modèle qui leur a été donné, je pense.

Pour ma part j'ai déjà lu des témoignages similaires sur des sites n'entrant pas dans la catégorie "source officielle".

Modifié par Roger_Lococo
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Membre, Posté(e)
exilée Membre 674 messages
Baby Forumeur‚
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Un texte non signé et non authentifié mais jugé crédible par les CRS interrogés et se présentant comme le « journal de bord » d’un membre des forces de l’ordre en faction à Calais, tourne actuellement sur la toile. Le groupe « Les Calaisiens en colère » l’a épinglé sur sa page Facebook.

Les CRS parlent , la guerre civile est imminente

Publié le 19 février 2016 par voixdupeuple

VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE LES MEDIAS VOUS CACHENT…

Voici le reportage « Journal d’un CRS » que vous ne trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !

PAROLES DE POLICIER : (Prenez le temps de lire jusqu’au bout)

Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de

«La Jungle» à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous…

Ce CRS raconte :

« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

Une honte de les garder sur notre sol !

« La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas ! Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

04:30 ― Réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.

13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] «Deux poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules».

Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !

Anarchistes des groupes « NO BORDER »

Les «NO BORDER» [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidé;os pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.

Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des « blagounettes » sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit…

Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? » – « Moi »répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.

Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».

00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir,sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre !

La semaine avant notre arrivée, «Les Calaisiens en Colère» ont apporté une aide considérable aux collègues présents.

Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer.

N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des forces de l’ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.

Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation.

01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.

02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.

02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.

02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.

Pareil à des Gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.

Déchaînement de violence

Cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner la vidéo (12:48)

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.

À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.

Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus.

Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !

M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?)

David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.

Il nous faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.

La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.

L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !

Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.

La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.

Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant.

06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)

La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.

J’en passe… C’est trop long…. Je suis fatigué… »

Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre.

[2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999.

[3] Véhicules-Recueil.

[4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron).

[5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg.

[6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).

[7] Voir la page Facebook des « Calaisiens en Colère »

Le témoignage de ce CRS est introuvable sur le lien que vous citez. Pourriez-vous donner me dire exactement où vous avez trouvé ce texte? merci.

Modifié par exilée
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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Le témoignage de ce CRS est introuvable sur le lien que vous citez. Pourriez-vous donner me dire exactement où vous avez trouvé ce texte? merci.

C'est la déliquescence totale de notre pays.

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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Salut Xsylon. ;)

Juste un mot sur les textes non-signés.

Pas mal de gens sur les forums ont une attitude confinant au scientisme, parce que c'est un support virtuel donc ça n'inspire pas spontanément confiance.

Le fait est qu'ils ne font pas confiance à leur propre esprit critique pour tirer le vrai du faux et ont tendance aux jugements péremptoires du genre "ça vient de tel site donc c'est faux". Ils en sont inconsciemment réduits à croire que les rubriques météo et nécrologique des journaux russes ou iraniens sont automatiquement mensongères.

C'est aussi un modèle qui leur a été donné, je pense.

Pour ma part j'ai déjà lu des témoignages similaires sur des sites n'entrant pas dans la catégorie "source officielle".

re Salut Roger.

Merci de garder la tête froide. Je commence moi à saturer...

Tu rassembles mes pensées... et les dis mieux que moi.. :)

Le témoignage de ce CRS est introuvable sur le lien que vous citez. Pourriez-vous donner me dire exactement où vous avez trouvé ce texte? merci.

https://voixdupeuple.wordpress.com/2016/02/19/les-crs-parlent-la-guerre-civile-est-imminente/

Modifié par Xsylon
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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Nous avons semble-t-il une appréciation divergente du problème, car si la honte est contemporaine, le nazisme appartient au passé.

Le problème que nous avons à résoudre est donc la honte et pas le nazisme qui est pour sa part résolu.

Chercher à solutionner le nazisme, c'est in fine brasser encore et toujours la même honte, à tort ou à raison, mais surtout à tort et à des fins ignobles. Pour assommer le peuple et le rendre incapable d'assumer ses revendications légitimes.

Ce qui est en soi une très grande honte.

Pour comprendre ce qui s'est passé, il faut faire tout ce qui est interdit. A savoir s'intéresser à tout ce qui est censuré.

Si vous ressentez cette honte, alors vous ne pouvez pas savoir ce qui s'est passé car elle conditionne votre vie, vos lectures, et votre esprit critique. Vous êtes prisonnier. Et vous retenez au fond de l’abîme ceux qui voudraient s'émanciper.

Sauf que si on comprend le nazisme, on n'a plus à traîner cette honte : on comprend ce qu'il s'est passé, le pourquoi de cette horreur.

Le problème c'est qu'on commémore, on dit "plus jamais ça" mais on sait pas de quoi il s'agit... alors on paie une dette infinie sans espoir de redemption. Et les types qui nous disent "plus jamais ça" n'ont rien l'air non plus d'y comprendre, alors ça sonne comme une injonction sans objet.

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

Exact.

En vérité je ne comprends pas TOUT ce qui s'est passé. Mais ma connaissance plus étendue aujourd'hui que ce qu'elle était en sortant de l'école des mœurs politiques et internationales me permet de réaliser que tous nos dirigeants sont aussi monstrueux qu'Hitler.

On nous dit "plus jamais ça" alors que 30 ans plus tôt le Roi des Belges exterminait 10 millions de Congolais par amputation des bras à la machette. Et que ce n'est même pas dans les livres d'histoire. Personne ne commémore des "nègres crevés" © Pulp Fiction - 1994.

Combien d'indiens, d'aborigènes, d'africains ont été exterminés ? Plus que tous les morts des deux guerres mondiales. Et qui en a quelque chose à foutre ? Qui fait son mea-culpa ?

Aujourd'hui encore les aborigènes comme les indiens d'amérique du nord sont traités comme s'ils n'existaient pas, on leur file une alloc minable pour qu'ils deviennent oisifs et alcooliques et que leur race s'éteigne.

Barack Obama, le prix nobel de la paix fait pleuvoir les missiles hellfire indistinctement sur n'importe qui dans le monde parce que SIGINT (un programme qui repère des cartes sim) décide que tel ou tel est terroriste. 99% des tirs visent des cartes SIM dans au moins 6 pays ou aucune guerre n'est en cours.

Quelqu'un lui a dit "plus jamais ça" ? Non. C'est des bougnoules leur vie ne vaut rien.

re Salut Roger.

Merci de garder la tête froide. Je commence moi à saturer...

Tu rassembles mes pensées... et les dis mieux que moi.. :)

Je fais ça depuis plus longtemps. Mais tu peux m'appeler Iceman ^^

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Invité Tar Baby
Invités, Posté(e)
Invité Tar Baby
Invité Tar Baby Invités 0 message
Posté(e)
1471471585[/url]' post='10356636']

Tu as raison...

Ce n 'est pas signé. C 'est forcément faux..

de plus il est clair que l auteur aurait dû mettre son adresse et son tph... à ttes fins utiles

http://www.dailymoti...la-moto_animals

1471472341[/url]' post='10356660']

le texte n 'est qu ' un témoignage.. il est à prendre pour ce qu 'il est, rien de plus. Je peux dire que cette réalité là n 'est pas inventée... mais de là à signer, à poster nom et adresse.... ne serait que par défi ou dépit relèverait du "vrai" suicide pour le coup..

Je te laisse à tes doutes et les autres participants au topic à leur partis pris.

Bien le bonsoir,

D.

Où est-ce que j'ai dit que c'était faux ? Nulle part, j'émets un doute légitime, sur un texte publié par les calaisiens en colère, comme leur nom l'indique, ils sont en colère contre les immigrés. Peut-on à partir de là croire à ce texte sans se poser de questions ? Et bien contrairement à ce que dit lococo, je réfléchis, et je refuse de gober l'histoire telle que vendue par ce collectif. C'est peut-être vrai et c'est peut-être faux. Beaucoup de commentaires sur ce forum, dès qu'il y a agression ou attentat, sont faits par des personnes qui se précipitent, et prennent pour argent comptant tout ce qui est diffusé sans attendre que ce soit vérifié, pour au final se rendre compte que des infos étaient fausses.

Et n'en déplaise à ton copain lococo, c'est bien parce que je suis capable de me faire une idée toute seule comme une grande, que je refuse de gober tout ce que je lis.

1471517989[/url]' post='10357174']

Salut Roger :hi:

@ Tar Baby

"Je retiens juste : " non signé, non authentifié " inutile donc d'en lire plus.

À quoi, qui celà sert-il de mettre un texte dont on ne sait même pas si c'est vrai."

Ce que je peux te dire c 'est qu ' en 25 ans de métier, j 'ai vu la situation de ma profession, la situation sociale du pays se dégrader, les rapports entre personnes se tendre et la malhonnêteté intellectuelle et morale s 'installer un peu plus chaque jour.

Sur ce site, j 'essaie, lorsque j 'interviens, de laisser de côté les égos, le mien tout d 'abord.

Je réagis aux choses qui me font bondir, non sans avoir ruminer auparavant.

Pour ce qui concerne ce post en particulier, celui que tu refuses de lire (j 'ai noté mais chacun fait comme il veut), tu commentes de façon négative. Tu aurais pu te contenter de ne pas lire, mais tu vas nier la crédibilité que d 'aucun autre pourrait accorder à ce texte. Je ne sais si il est authentique ds le sens où il relate aux instants "T" des situations vécues en chair et en os par le narrateur, mais le contenu du récit, la forme, le vocabulaire et le déroulé me paraissent possibles...

Je travaille avec des gens qui ont peur et on raison d 'avoir peur de perdre leur boulot. Ceci explique pas mal de choses. L ' obligation de réserve est une chose terrible pour qui voudrait aujourd'hui dire un "peu" son quotidien. De fait, seuls les canaux officiels sont considérés comme dignes de foi. S 'en contenter est une bêtise, une stupidité, une compromission pire que celle imposée par cette obligation de réserve que j 'évoque un peu plus haut.

Si tu ne crois pas, ne veux pas croire, ne veux pas savoir alors libre à toi, libre à chacun et à tous... Il n 'y a d ' aliénation mentale que l ' aliénation volontaire... La victime est complice du bourreau... et le juge remporte la mise...

Il s 'est passé bcp de choses en très peu de tps ces derniers mois... Bcp savent, à commencer par chacun d ' entre nous. A voir le mensonge partout, la politique devenue officiellement mafieuse et illégitime, les résistances qu 'on écartèle et qu 'on dissout (à coup de 49.3 par exemple)... Mais nous sommes nombreux à continuer de nier.... Soit!

J' ai de toute façon cesser de réfléchir et ne me fais pas d 'illusion quant à la suite.

Pour en revenir au post en question..

J 'ai connu et connaîtrai sans doute encore ce genre de situation... Ce qui fait tenir? Le communautarisme professionnel, l 'esprit de corps, et la certitude du danger imminent , ... après, chacun vit avec, mais "tous" (sont et restent) "seuls", chacun ds un coin.. Sauf que le ras l 'bol est là et surtout, plus que tout, cette idée : malgré tous les efforts et les sacrifices consentis, on empêchera rien.

"A quoi cela sert il?" Tu as sans doute raison, ... à rien

À mettre un peu plus d'huile sur le feu.

1471519349[/url]' post='10357199']

@ Jacky :

Je ne doute en rien de votre sincérité, pas plus que je ne doute de votre peine et de votre dégoût..

Une fois dit,...

Je note que votre ami DDR, est seul venu polluer les débats en ramenant l ' histoire à Dieudo, et donc à la "Shoa."

J ' ai effectivement posté une vidéo sur le post "attentat à Nice", une vidéo ou Dieudo s ' exprimait et donnait son avis... En aucun cas il ne s ' agissait d 'autre chose..

Sauf que, plutôt que d 'écouter, de chercher à comprendre ou à zapper purement et simplement, le reproche m ' a été fait non pas sur "Attentat à Nice " mais sur CE topic... et que comme un seul homme, sans que personne ne vous demande rien vous ne ré-enchérissiez sur le sujet en jetant 2 ou 3 pelletées sur le b..el...

Bref, Dés lors que l 'on écoute une parole autre, et surtout si elle a à voir avec Dieudo, c 'est obligatoirement faux et l 'on est obligatoirement.... anti-sémite?...

Je ne mets en cause votre sincérité, encore une fois et vous accorde le bénéfice de la maladresse, mais vous reproche votre façons de faire, de vous adresser à moi (n 'avez vous pas fait le voeu de "ne pas me lâcher" et ne m 'avez vous pas confié que je vous sois "très cher"??...sans que je ne vous demande rien ni même ne vous interpelle sur aucun sujet et à aucun moment..

Vous fîtes ainsi d ' ailleurs à plusieurs reprises et réitériez vos invectives à plusieurs reprises.. me poursuivant comme poursuivant le Diable...

Bref, Dieudo est noir, mais" on" le dit Nazi,.. il rassemble mais on l 'excommunie...

Bref, voilà ce que j 'en pense moi, que ça vous plaise ou pas... et que ça déplaise aussi au plus grand nombre.. (ça me réjouis)...

Pour le reste, votre chevalier blanc trouvera peut être à y redire mais je n 'y reviendrai plus..

Comment dites vous?

Bonne journée.

Xsylon.

un petit up! :bo:

Dieudonné est un pourri qui voudrait nous faire croire qu'il fait de la provocation avec son humour à deux balles. Et ce uniquement pour gagner du fric, faire dans l'antisémitisme, et ramener des musulmans au FN. thumbdown.gif

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Invité Xsylon
Invités, Posté(e)
Invité Xsylon
Invité Xsylon Invités 0 message
Posté(e)

Où est-ce que j'ai dit que c'était faux ? Nulle part, j'émets un doute légitime, sur un texte publié par les calaisiens en colère, comme leur nom l'indique, ils sont en colère contre les immigrés. Peut-on à partir de là croire à ce texte sans se poser de questions ? Et bien contrairement à ce que dit lococo, je réfléchis, et je refuse de gober l'histoire telle que vendue par ce collectif. C'est peut-être vrai et c'est peut-être faux. Beaucoup de commentaires sur ce forum, dès qu'il y a agression ou attentat, sont faits par des personnes qui se précipitent, et prennent pour argent comptant tout ce qui est diffusé sans attendre que ce soit vérifié, pour au final se rendre compte que des infos étaient fausses.

Et n'en déplaise à ton copain lococo, c'est bien parce que je suis capable de me faire une idée toute seule comme une grande, que je refuse de gober tout ce que je lis.

À mettre un peu plus d'huile sur le feu.

Dieudonné est un pourri qui voudrait nous faire croire qu'il fait de la provocation avec son humour à deux balles. Et ce uniquement pour gagner du fric, faire dans l'antisémitisme, et ramener des musulmans au FN. thumbdown.gif

Sans moi cette fois.

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

Où est-ce que j'ai dit que c'était faux ? Nulle part, j'émets un doute légitime, sur un texte publié par les calaisiens en colère, comme leur nom l'indique, ils sont en colère contre les immigrés. Peut-on à partir de là croire à ce texte sans se poser de questions ? Et bien contrairement à ce que dit lococo, je réfléchis, et je refuse de gober l'histoire telle que vendue par ce collectif. C'est peut-être vrai et c'est peut-être faux. Beaucoup de commentaires sur ce forum, dès qu'il y a agression ou attentat, sont faits par des personnes qui se précipitent, et prennent pour argent comptant tout ce qui est diffusé sans attendre que ce soit vérifié, pour au final se rendre compte que des infos étaient fausses.

Et n'en déplaise à ton copain lococo, c'est bien parce que je suis capable de me faire une idée toute seule comme une grande, que je refuse de gober tout ce que je lis.

Salut,

En lisant ton commentaire, ça ne m'a pas convaincu que tu le lisais mais au contraire que tu refusais de le lire a priori.

Ce qui est un comportement récurrent, en général je vois écrit "RT => Poubelle". Ca veut dire que les gens ont peur de lire. Peur d'être contaminés par le mensonge. Et donc qu'ils n'ont pas confiance dans leur jugement.

J'imagine que si tu penses que c'est faux tu as certainement des raisons de le penser, raisons qui se trouvent dans le texte et non dans son absence de signature.

Parce que franchement publier en signant un texte alors qu'il y a des consignes officielles disant de garder le silence ... ce serait vraiment débile. On sait tous que les lanceurs d'alertes ne sont jamais applaudis par la hiérarchie qu'ils viennent de balancer.

Ma méthode à moi, consiste à lire les sources. Et on trouve la raison de les suspecter ou de les rejeter dans ce qu'elles disent.

En tout cas voila sur quoi portait ma remarque, les gens qui refusent de lire.

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
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"que voulez-vous, très cher!!! j'ai eu des connaissances qui sont mortes dans des camps de concentrations et d'exterminations nazis... pourriez-vous comprendre mon dégoût? et puisque je vous tiens, je ne vous lâcherais pas tant que vous n'aurez pas assimilé cette cruelle vérité." Jacky

L' holocauste est une vérité historique... la "shoa" une "trouvaille" (seul les Juifs et les Juifs seuls) d ' Israël. C 'est un joker, un veto, un justificatif et une excuse pour le (et du) régime israëlien (lui aussi) qui agit en tous points comme agissait le régime nazi.

Quant aux gens, aux vôtres connaissances disparus en camps nazis , je n 'ai aucun compte à rendre à personne, pas même à vous... j 'ai bien assez à faire..

Mais peut être qu 'un jour les Palestiniens demanderont des comptes à ceux qui les persécutent aujourd 'hui,.. peut être même aux victimes de la " Shoa"...

C 'est assez de ces réductions mentales systématiques.

mon cher ami, savez-vous ce que veut dire le mot "shoa"? je préfère vous traduire: "catastrophe" est le terme le plus proche que l'on puisse évoquer... cela n'a rien d'une trouvaille, seul un idiot peut nous sortir une telle stupidité. cela n'a rien d'un joker de plus, très cher, il vous faut admettre une vérité: j'ai oui par moi-même un imbécile ashkénase, bien traditionaliste, sortir: "pour les palestiniens, la solution est simple, il faut tous les rafler et les mettre dans un train pour les envoyer ailleurs."... j'ai cru mourir de honte devant une telle monstruosité dite avec une satisfaction non feinte... encore une chose, il vous faut faire des choix dans la vie sémantique; soit c'est un veto, soit c'est une excuse, soit c'est un justificatif ou encore un joker... à vous de choisir! vous aurez des comptes à rendre, mon cher ami. jacky.

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Invité Xsylon
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Invité Xsylon
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1471519349[/url]' post='10357199']

@ Jacky :

Je ne doute en rien de votre sincérité, pas plus que je ne doute de votre peine et de votre dégoût..

Une fois dit,...

Je note que votre ami DDR, est seul venu polluer les débats en ramenant l ' histoire à Dieudo, et donc à la "Shoa."

J ' ai effectivement posté une vidéo sur le post "attentat à Nice", une vidéo ou Dieudo s ' exprimait et donnait son avis... En aucun cas il ne s ' agissait d 'autre chose..

Sauf que, plutôt que d 'écouter, de chercher à comprendre ou à zapper purement et simplement, le reproche m ' a été fait non pas sur "Attentat à Nice " mais sur CE topic... et que comme un seul homme, sans que personne ne vous demande rien vous ne ré-enchérissiez sur le sujet en jetant 2 ou 3 pelletées sur le b..el...

Bref, Dés lors que l 'on écoute une parole autre, et surtout si elle a à voir avec Dieudo, c 'est obligatoirement faux et l 'on est obligatoirement.... anti-sémite?...

Je ne mets en cause votre sincérité, encore une fois et vous accorde le bénéfice de la maladresse, mais vous reproche votre façons de faire, de vous adresser à moi (n 'avez vous pas fait le voeu de "ne pas me lâcher" et ne m 'avez vous pas confié que je vous sois "très cher"??...sans que je ne vous demande rien ni même ne vous interpelle sur aucun sujet et à aucun moment..

Vous fîtes ainsi d ' ailleurs à plusieurs reprises et réitériez vos invectives à plusieurs reprises.. me poursuivant comme poursuivant le Diable...

Bref, Dieudo est noir, mais" on" le dit Nazi,.. il rassemble mais on l 'excommunie...

Bref, voilà ce que j 'en pense moi, que ça vous plaise ou pas... et que ça déplaise aussi au plus grand nombre.. (ça me réjouis)...

Pour le reste, votre chevalier blanc trouvera peut être à y redire mais je n 'y reviendrai plus..

Comment dites vous?

Bonne journée.

Xsylon.

lors du dépôt de plainte,

n 'oubliez pas ce morceau là....

daté du 18/8/16

12h22

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Invité Xsylon
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