il y a 9 minutes, ouest35 a dit :

L'ONU condamne et ... en même temps  :

"ONU. Le Venezuela va entrer au Conseil des droits de l’Homme, sous les critiques"

Publié le 17/10/2019 à 22h48

Le Venezuela va siéger au Conseil des droits de l’Homme pour la période 2020-2022. Caracas, qui a qualifié d'« importante réussite » son élection à l'Assemblée générale des Nations unies, a remporté 105 voix lors de ce scrutin marqué par des applaudissements à l’annonce du résultat, ce 17 octobre. Une majorité de 97 voix sur les 193 membres des Nations unies était nécessaire pour l’emporter"

https://www.ouest-france.fr/monde/venezuela/onu-le-venezuela-va-entrer-au-conseil-des-droits-de-l-homme-sous-les-critiques-6570034Mardi soir sur ARTE :

L’Arabie Saoudite ayant une place éminente aux conseil des DHs, quelle conclusion tirer ?

C’est un organisme inclusif , « le en même temps «  n’a donc rien d’illogique  . Avoir une place au conseil des DHs n’a jamais signifié qu’ils étaient respectés . 

https://information.tv5monde.com/video/au-venezuela-le-black-friday-fait-fureur-malgre-la-crise-economique

https://information.tv5monde.com/video/au-venezuela-le-black-friday-fait-fureur-malgre-la-crise-economique

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Le virage de l’austérité . Un inédit socialiste ?

https://amp.lepoint.fr/2350619

A cours de liquidités, Nicolas Maduro a flexibilisé le contrôle des changes et des prix qui prévalaient à l'époque de son prédécesseur Hugo Chavez (1999-2013). Tant que les prix du baril étaient élevés, le défunt chef de l'Etat pouvait sortir le carnet de chèques pour importer à tout-va sans se soucier de la production nationale.

Mais avec la chute des prix du brut et la dégringolade de la production vénézuélienne, passée de 3,2 millions de barils par jour il y a dix ans à 700.000 aujourd'hui, le modèle est devenu intenable.

....

C'est aussi un retournement de l'histoire. Depuis 2013 et son accession à la présidence, Nicolas Maduro n'avait de cesse de dénoncer le "dollar criminel", affirmant que les prix affichés dans la monnaie américaine étaient "manipulés".

Récemment pourtant, il a opéré un virage à 180 degrés.

Dans une récente interview, il a dit n'avoir rien contre la dollarisation de fait de l'économie, affirmant même y voir une "soupape" pour adoucir le "blocus économique" de Washington qui a mis en place un embargo sur le pétrole vénézuélien en avril.

C'est surtout la reconnaissance d'un état de fait. A Caracas, les boutiques qui vendent fromages français et steaks américains en dollars pullulent.

Mais, fait nouveau, dans les quartiers populaires aussi, le billet vert a ses entrées. "Les gens viennent et ils paient en dollars", indique Junior Nieves, épicier dans le quartier d'El Valle.

Le dollar confère un statut social a celui qui en possède, dans un pays où le salaire minimum équivaut à environ 9 dollars. "J'aimerais avoir des dollars, mais je n'en ai pas", se lamente Eloy Rivas, un laveur de voitures de 57 ans.

....

. Proscrit pendant 15 ans, le dollar fait un retour fracassant au Venezuela avec la bénédiction de Nicolas Maduro qui met son pays à la diète budgétaire.

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il y a 41 minutes, DroitDeRéponse a dit :

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Le virage de l’austérité . Un inédit socialiste ?

https://amp.lepoint.fr/2350619

A cours de liquidités, Nicolas Maduro a flexibilisé le contrôle des changes et des prix qui prévalaient à l'époque de son prédécesseur Hugo Chavez (1999-2013). Tant que les prix du baril étaient élevés, le défunt chef de l'Etat pouvait sortir le carnet de chèques pour importer à tout-va sans se soucier de la production nationale.

Mais avec la chute des prix du brut et la dégringolade de la production vénézuélienne, passée de 3,2 millions de barils par jour il y a dix ans à 700.000 aujourd'hui, le modèle est devenu intenable.

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C'est aussi un retournement de l'histoire. Depuis 2013 et son accession à la présidence, Nicolas Maduro n'avait de cesse de dénoncer le "dollar criminel", affirmant que les prix affichés dans la monnaie américaine étaient "manipulés".

Récemment pourtant, il a opéré un virage à 180 degrés.

Dans une récente interview, il a dit n'avoir rien contre la dollarisation de fait de l'économie, affirmant même y voir une "soupape" pour adoucir le "blocus économique" de Washington qui a mis en place un embargo sur le pétrole vénézuélien en avril.

C'est surtout la reconnaissance d'un état de fait. A Caracas, les boutiques qui vendent fromages français et steaks américains en dollars pullulent.

Mais, fait nouveau, dans les quartiers populaires aussi, le billet vert a ses entrées. "Les gens viennent et ils paient en dollars", indique Junior Nieves, épicier dans le quartier d'El Valle.

Le dollar confère un statut social a celui qui en possède, dans un pays où le salaire minimum équivaut à environ 9 dollars. "J'aimerais avoir des dollars, mais je n'en ai pas", se lamente Eloy Rivas, un laveur de voitures de 57 ans.

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. Proscrit pendant 15 ans, le dollar fait un retour fracassant au Venezuela avec la bénédiction de Nicolas Maduro qui met son pays à la diète budgétaire.

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se souvenir de sa fifille embrassant des dollars à Miami, elle réfléchit fort bien l'image de son père... bref, en faisant ce qu'il a fait, constituante à sa botte, main mise sur la justice, gratifications à outrance des militaires et de sa police... élections truquées...discours fleuves sur les horribles USA et sa monnaie... une population qui a migré au péril de sa vie... un pays exsangue... et paf, le voilà vantant le dollar! quelle pauvre baudruche! quel con et c'est cet abruti que notre Mélenchon national portait aux nues! quelle honte! 

https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/en-direct-du-monde/au-venezuela-la-production-de-cafe-devrait-chuter-de-80-en-2019_3720491.amp

La production de café au Venezuela ne devrait pas dépasser les 20 000 tonnes cette année, soit bien moins que la demande nationale. Le premier problème est un problème mondial : le prix du café baisse depuis plus de vingt ans, rappelle Vicente Perez, président de Fedeagro et lui-même producteur de café. "Quand les prix sont mauvais, l’année suivante, un agriculteur ne peut entretenir sa ferme correctement, donc il produit moins. Et c’est ainsi tous les ans. Donc chaque année la production chute. En termes de chiffres, on est passé d’un million six cent milles sacs de café, qu’on appelle quintal, à une estimation pour cette année d’environ 300 000 quintaux." 

Si la chute est si vertigineuse au Venezuela c’est bien évidemment parce que la crise économique empire la situation. Avec l’hyperinflation et les pénuries en tous genres, les producteurs de café ont encore moins de ressources que leurs voisins colombiens ou brésiliens par exemple. Et aucune culture n’est épargnée même si toutes ne subissent pas une baisse mondiale de leur cours.

L'État est obligé d'importer la nourriture

Il est, par exemple, devenu presque impossible de se fournir en fertilisants, en semences, ou en produits agro-chimiques. Les pénuries d’essence rendent les tracteurs inutilisables, d’autant que ceux-ci n’ont pas été changés depuis des dizaines d’années. Les conséquences sont évidemment désastreuses.

Le résultat c’est que la superficie de terres cultivées dans tout le pays a chuté de 80%. Et le peu de production agricole qu’il reste ne s’écoule pas entièrement car avec l’hyperinflation, le citoyen n’a plus de pouvoir d’achat et ne peut pas se l’offrir.

 

Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/en-direct-du-monde/au-venezuela-la-production-de-cafe-devrait-chuter-de-80-en-2019_3720491.amp

La production de café au Venezuela ne devrait pas dépasser les 20 000 tonnes cette année, soit bien moins que la demande nationale. Le premier problème est un problème mondial : le prix du café baisse depuis plus de vingt ans, rappelle Vicente Perez, président de Fedeagro et lui-même producteur de café. "Quand les prix sont mauvais, l’année suivante, un agriculteur ne peut entretenir sa ferme correctement, donc il produit moins. Et c’est ainsi tous les ans. Donc chaque année la production chute. En termes de chiffres, on est passé d’un million six cent milles sacs de café, qu’on appelle quintal, à une estimation pour cette année d’environ 300 000 quintaux." 

Si la chute est si vertigineuse au Venezuela c’est bien évidemment parce que la crise économique empire la situation. Avec l’hyperinflation et les pénuries en tous genres, les producteurs de café ont encore moins de ressources que leurs voisins colombiens ou brésiliens par exemple. Et aucune culture n’est épargnée même si toutes ne subissent pas une baisse mondiale de leur cours.

L'État est obligé d'importer la nourriture

Il est, par exemple, devenu presque impossible de se fournir en fertilisants, en semences, ou en produits agro-chimiques. Les pénuries d’essence rendent les tracteurs inutilisables, d’autant que ceux-ci n’ont pas été changés depuis des dizaines d’années. Les conséquences sont évidemment désastreuses.

Le résultat c’est que la superficie de terres cultivées dans tout le pays a chuté de 80%. Et le peu de production agricole qu’il reste ne s’écoule pas entièrement car avec l’hyperinflation, le citoyen n’a plus de pouvoir d’achat et ne peut pas se l’offrir.

 

Voila un pays qui dispose LARGEMENT du potentiel suffisant en terme d'autosuffisance agricole et dans lequel le peuple crève de faim.

.... un exemple de plus des résultats édifiants d'un étatisme de gauche....

Ou quand une idéologie politicienne crasse met ses théories EN APPLICATION SUR LE TERRAIN....

Pas étonnant que notre méluche national soit en extase et cite Maduro en exemple.

Mélenchon qui n'est pas plus que Maduro foutu de cultiver autre chose qu'un terreau insurrectionnel. 

Il y a 1 heure, versys a dit :

Voila un pays qui dispose LARGEMENT du potentiel suffisant en terme d'autosuffisance agricole et dans lequel le peuple crève de faim.

.... un exemple de plus des résultats édifiants d'un étatisme de gauche....

Ou quand une idéologie politicienne crasse met ses théories EN APPLICATION SUR LE TERRAIN....

Pas étonnant que notre méluche national soit en extase et cite Maduro en exemple.

Mélenchon qui n'est pas plus que Maduro foutu de cultiver autre chose qu'un terreau insurrectionnel. 

Avec 4.5 millions de réfugiés peut être 6 en 2020 le Vénézuéla est en passe de dépasser l’exode massif que connaît la France . Soyons humble, écoutons les propos des sonneurs et sonneuses d’autres sons de cloche insoumis , balayons devant notre porte où des millions de citoyens fuient la dictature !

Pauvre France ! Pays le plus malheureux au monde où ça chouine dans tous les coins.

je vois que ça s'améliore!!! bref, ce pauvre pays est réduit à rien grâce à une clique d'imbéciles patentés et corrompus. vive Chavez, vive Maduro et vive Mélenchon! je sais, je suis affreuse, mais lire toujours ces mêmes résultats catastrophiques partout où dans le monde, l'esprit dit de gauche est arrivé au pouvoir m'ulcère et pas qu'un peu! que voit-on? une déshérence et un naufrage! un culte de la personnalité, voilà le nouveau dieu en peu de mot, la corruption à grande échelle, des dépenses inconsidérées et sans impacts réels sur l'ensemble des populations, le clientélisme à la romaine touchant toutes les composantes des sociétés civiles, des armées oubliant leur fonction première: défendre le territoire et sa population, une justice aux ordres, une police corrompue et quasi criminelle, des richesses pillées pour quelques nantis appartenant à une "pseudo élite" proche du pouvoir, des familles rapaces... bref, un féodalisme qui ne se cache même plus!  

Et n'oublie que la personne de Merluchon est sacrée.

Ce qui est pénible avec les régimes libéraux, c'est que la richesse est inégalement répartie.

Bon, là c'est différent quand même, c'est la pauvreté qui est inégalement répartie.

Il y a 1 heure, Condorcet a dit :

Ce qui est pénible avec les régimes libéraux, c'est que la richesse est inégalement répartie.

Bon, là c'est différent quand même, c'est la pauvreté qui est inégalement répartie.

40 millions de pauvres aux États-Unis (source le Figaro)

Le cerveau de @contrexemple en action : Sachant qu'il y a 40 millions de pauvres aux Etats-Unis, alors il n'y a rien à redire au sujet de la situation du peuple vénézuélien.  

il y a 4 minutes, contrexemple a dit :

40 millions de pauvres aux États-Unis (source le Figaro)

En France, ils sont tous pauvres, d'après les chouineuses.

il y a 8 minutes, Condorcet a dit :

Le cerveau de @contrexemple en action : Sachant qu'il y a 40 millions de pauvres aux Etats-Unis, alors il n'y a rien à redire au sujet de la situation du peuple vénézuélien.  

Il y a 2 heures, Condorcet a dit :

Ce qui est pénible avec les régimes libéraux, c'est que la richesse est inégalement répartie.

Bon, là c'est différent quand même, c'est la pauvreté qui est inégalement répartie.

il y a 13 minutes, contrexemple a dit :

40 millions de pauvres aux États-Unis (source le Figaro)

Un commentaire pour les mal-comprenants :  les Etats-Unis pays libérale a, également, sa pauvreté inégalement répartie (sur ce point, ce n'est pas diffèrent du Venezuela).

Il y a 4 heures, contrexemple a dit :

Un commentaire pour les mal-comprenants...

Quand on est assez bouché pour ne pas imprimer la vanne ou disons plutôt le second degré qui emploie la richesse versus la pauvreté pour commenter des inégalités, comment dire, plutôt que de donner des leçons de comprenette tu ferais mieux de t'interroger sur la répartition inégale de la connerie.  

il y a 1 minute, Condorcet a dit :

tu ferais mieux de t'interroger sur la répartition inégale de la connerie.  

C'est sûr, mais dans ton cas, ce n'est pas de ta faute, je vois que tu es âgé...

Il y a 2 heures, contrexemple a dit :

C'est sûr, mais dans ton cas, ce n'est pas de ta faute, je vois que tu es âgé...

Encore un comique qui se base sur l'âge annoncé pour en concevoir argument.

Mais dis moi, asperger ? autiste léger ? rhétoricien de bistro ? Gretanomorphe ? pour te branler à ce point au premier degré ? 

il y a 14 minutes, Condorcet a dit :

Encore un comique qui se base sur l'âge annoncé pour en concevoir argument.

C'était une remarque conne, à un commentaire con. Ne te sens pas obligé de me répondre, une autre connerie...

Merci.

Bah, alors que l'on déplore la situation du peuple vénézuélien, que l'on évoque comme souvent la malédiction du pétrole, puis qu'on se moque de Mélenchon qui trouve ça très bien, y a pas moyen.

Tôt ou tard une gauchisasse vient nous rappeler qu'il y a des pauvres aux Etats-Unis, que l'auteur de la contradiction semble âgé (Ok boomer ? => Ok ptite merde), ou encore en épluchant une blague dont on n'a pas compris que c'en était une on y trouve des faiblesses factuelles.

C'est bien pour ça que la France semble mal barrée. Passé un certain taux de racaille, d'assistés et de ptits cons (sans parler des vieux cons), ça va partir en vrille. 

il y a 21 minutes, contrexemple a dit :

Ne te sens pas obligé de me répondre, encore, une autre connerie...

Merci.