Une vidéo d’un lycéen tabassé par des CRS déclenche une enquête

Il y a eu, pour résumer, le constat qu'un policier était sous le coup de violences directes ou non, et a perdu son professionnalisme en frappant un manifestant maîtrisé. Merci de ne pas travestir les faits qui ont en plus remporté un large consensus, y compris chez les syndicats policiers, habituellement et naturellement plutôt corporatistes.

Je ne vois pas ce qu'il y a à redire de ces faits, ni l'intérêt de mettre de l'huile sur le feu avec des bobards...

Je dirais plutôt pour résumer :

Un jeune de 15 ans s'est pris un coup dans le nez par un CRS qui l'a fait volontairement suite à la provocation du jeune.

Ce CRS s'est fait massacré sur le forum car il a touché un petit jeune qui a au final juste mal au nez...

Maintenant que l'on parle dans l'actualité de plusieurs flics et CRS blessés donc un qui a été gravement blessé et qui est aujourd'hui entre la vie et la mort, et pas juste un bobo au nez, il n'y a plus aucune réaction sur le forum.

Donc oui je considère en lisant une grande partie de vous que ceci est totalement normal, que c'est tout à fait normal qu'un CRS va bientôt mourir, car aucune réaction.

Ce que je remarque c'est que l'on fait une histoire énorme parce qu'un petit voyou de 15 ans qui n'avait rien à faire à une manif s'est pris un bobo dans le nez et que là un CRS est entre la vie et la mort et aucune réaction, je ne pense pas que l'on soit sur la même planète.

Ce résultat : Le fait que des policiers et CRS sont aujourd'hui blessés sont les résultats de toute la médiatisation de ce petit jeune qui a un pris un coup dans le nez. Les policiers et CRS ont du recevoir des ordres de ne pas utiliser les coups, résultats ce sont eux qui aujourd'hui en paient les conséquences.

Tout à fait d'accord.

Si tu relis mes commentaires, tu remarqueras que j'ai toujours soutenu plus les policiers que la racaille qu'elle soit estudiantine ou casseur.

On devrait donner l'ordre aux CRS d'effectuer des tirs tendus de lacrymo et foncer dans le tas sans retenue. Au bout de deux jours tout est plié. Seulement il faudrait un peu de courage politique et c'est une denrée rare.

Avant l'arrivée des flash ball, les policiers et les gendarmes, n'avaient que les grenades à fusils lacrymogènes, lorsque les manifestants venaient au contact, un bon tir tendu, quelques côtes fêlées, ils ne revenaient plus.

Mais aujourd'hui c'est surtout, vous ne bougez pas, sinon sanctions.

Laissez les casseurs et ces abrutis d'étudiants croirent qu'ils auront ceux qu'ils veulent.

Je ne comprends pas qu'on n'utilise pas les canons à eau. Ca ne blesse pas et les casseurs les ont en horreur.

Un coup de crosse de fusil dans la tronche, et le type repartait en crachant ses dents, c'était le bon temps de Mai 68, on prenait pas de gants à cette époque là, et personne venait pleurer par derrière, maintenant les flics ont les pieds et mains liés avec les connards qui filment tout azimuts, et qui mettent ça sur internet; pour se faire mousser.

Pas étonnant que les casseurs profitent du système, nouvelles générations , nouveaux dégâts

Tout à fait d'accord.

Si tu relis mes commentaires, tu remarqueras que j'ai toujours soutenu plus les policiers que la racaille qu'elle soit estudiantine ou casseur.

Oui tu fais partie des quelques exceptions qui ont défendu les policiers, on est peu à penser comme toi. :blush:

La mallette du futur policier :

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Loi Travail : qui sont les casseurs ?

Des "groupes de casseurs" "très organisés" se sont livrés à des "actes de violence inqualifiables", selon le préfet de police de Paris.

©JOEL SAGET / AFP

Orange avec AFP, publié le Vendredi 29 Avril 2016 à 05h11

Armés de barres de fer, organisés, dissimulés par des cagoules ou des masques, ils sont une "poignée de casseurs" à se fondre dans les manifestations pour chercher la confrontation avec les forces de l'ordre. Qui sont-ils et comment agissent-ils ?

"Les individus interpellés jeudi ont entre 15 et 30 ans", explique à l'AFP une source policière parisienne. "Il y a un peu de tout, des zadistes, des précaires, des squatteurs, des libertaires, ce sont des anarcho-autonomes", poursuit l'un de ses collègues, soulignant que "quelques jeunes issus de banlieue viennent s'agréger".

Ce jeudi 28 avril, durant la nouvelle journée de mobilisation contre la loi Travail, des casseurs ont une nouvelle fois affronté les forces de l'ordre : 214 personnes ont été interpellées et 78 policiers blessés, dont certains grièvement, selon un nouveau bilan dévoilé vendredi par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.

Olivier Cahn, chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip), observe "deux types de groupes : les groupes autonomes habillés en noir, les 'Black Blocs', organisés, qui apparaissent tout à coup à l'avant du cortège pour en découdre avec les policiers. (...) Et des groupe de casseurs, constitués de gamins qui descendent de la périphérie de Paris ou Lyon et profitent de la manif pour casser". Les groupes autonomes ont le "visage masqué, des lunettes de ski, des foulards, du produit pour les yeux : ils s'équipent pour évoluer sereinement au milieu des gaz lacrymogènes", raconte Patrice Ribeiro, du syndicat Synergie Officiers. "Certains viennent de pays voisins", affirme une source policière.

"ILS SE PROFESSIONNALISENT"

"Certains se déplacent même en colonne comme les policiers", dit-il. "Ils ont l'habitude, se connaissent, ont leurs codes. Lorsqu'il y en a un qui part, il n'est jamais seul", ajoute une source policière. "Ils se professionnalisent", selon Fabien Van Hemerlick du syndicat Alliance, "ils peuvent cacher le matériel au préalable sur le parcours de la manifestation et se changer dans les toilettes publiques ou autres". "Ils sont de plus en plus organisés, méthodiques. (...) Ils ont une technique qui se met au point pour enlever les pavés, pour récupérer du goudron, le stocker dans des sacs, dans des poubelles et ensuite attaquer au moment qu'ils choisissent les forces de l'ordre", expliquait jeudi soir le préfet de police de Paris, Michel Cadot.

#manifestation Dégradations et jets de projectiles, 2 policiers blessés dont 1 en urgence absolue. 5 interpellations pic.twitter.com/lmSM8NJ3IK

— Préfecture de police (@prefpolice) 28 avril 2016

"Cela traduit une difficulté croissante des organisateurs à maîtriser ces comportements", avait-il ajouté. Je fais solennellement appel à leur capacité à être plus exigeants et plus rigoureux dans le service d'ordre qu'ils ont la responsabilité de mettre en place". Selon lui, il faut "tirer les leçons de la persistance de ces violences".

Heurts entre casseurs et policiers : des projectiles de "plus en plus dangereux" https://t.co/d97GrMA9eH#LoiTravailpic.twitter.com/bWmGYwD8Kb

— William Molinié (@WilliamMolinie) 29 avril 2016

"FRILOSITÉ DES POLITIQUES"

"Ce sont des techniques qui ont été élaborées dans les années 80 en Allemagne et qui réapparaissent. Ils veulent en découdre avec les policiers pour montrer que l'Etat ne tient pas la rue et susciter des images de la violence de la part de l'Etat devant les caméras", explique Olivier Cahn. Impossible pour les forces de l'ordre de "fouiller tout le monde dans une manifestation" qui a réuni dans la capitale près de 15.000 manifestants (60.000 selon la CGT), selon Patrice Ribeiro, qui pointe aussi "la responsabilité des organisateurs".

Le syndicat Alliance met en cause une "frilosité des politiques", qui ont peur "qu'on parle d'un État policier" si on interpelle les casseurs avant qu'ils ne passent à l'acte. Même si, rappelle Alternative Police CFDT, il existe une loi permettant de contrôler et d'interpeller le cas échéant toute personne dissimulant volontairement son visage. "Ce n'est pas si facile que ça", tempère une source policière. "Lorsqu'ils prélèvent les pavés, ils le font dans la masse de la manifestation, entre eux, et pour interpeller efficacement il faut des faits concrets, des vidéos".

Je condamne avec force les violences d'une MINORITÉ d'irresponsables.Ils devront rendre des comptes devant la justice. Soutien aux policiers

— Manuel Valls (@manuelvalls) 28 avril 2016

Le gouvernement a haussé le ton après les violences qui ont émaillé les dernières manifestations contre la loi travail, Manuel Valls mettant en cause la responsabilité des organisateurs. "J'en appelle à la responsabilité de chacun. Quand on organise une manifestation, elle doit être encadrée, organisée et maîtrisée, et à l'évidence aujourd'hui, cette organisation et cette maîtrise n'existent pas", a accusé le Premier ministre depuis la Nouvelle-Calédonie où il est en visite. La nuit précédente, devant La Pitié-Salpêtrière, où est hospitalisé un policier gravement touché à la tête, Bernard Cazeneuve avait lui clairement visé la CGT. "Ceux qui ont diffusé sur la police des affiches et des propos qui contribuaient à tendre (les relations avec les manifestants) n'ont pas témoigné d'un grand esprit de responsabilité", a-t-il dénoncé, en référence à une affiche du syndicat revendiquant que "la police doit protéger les citoyens et non les frapper".

Si le gouvernement durcit le ton, la droite et l'extrême droite réclament davantage. Le député Les Républicains Eric Ciotti a demandé vendredi "très clairement l'interdiction des manifestations, l'interdiction de Nuit debout", accusant le gouvernement de faire "preuve d'une mansuétude coupable". "Les policiers et gendarmes sont sur le pont depuis un an pour faire face à la menace terroriste et ne sont pas là pour se faire attaquer et caillasser par une bande d'hurluberlus d'extrême gauche", a lancé sur BFMTV Frédéric Péchenard, vice-président LR du Conseil régional IDF.

Louis Aliot, l'un des vice-présidents du Front national, a lui aussi dénoncé sur LCI "une mansuétude complice" du gouvernement, réclamant la dissolution des "groupes d'extrême gauche". Mais, s'il a fermement condamné les violences, le gouvernement entend bien défendre la liberté de manifester et a dénoncé des propos de l'opposition "qui ne sont pas responsables". "L'autorité de l'État, ce n'est pas un État expéditif qui arrête et qui juge sans que les procédures n'aient été respectées et que les preuves n'aient été apportées", a rappelé Bernard Cazeneuve. "Nous devons toujours agir, si l'on est républicain, dans le respect rigoureux des règles de droit. Donc j'appelle chacun qui a une parole publique, dans un contexte où notre pays est soumis à une grave menace terroriste, dans un contexte où notre pays connaît des tensions, à avoir une parole responsable", a-t-il ajouté.

Sur sa gauche, le gouvernement est accusé par Danielle Simonnet, du Parti de gauche, d'avoir "fait le choix d'utiliser la police pour une politique d'intimidation et de répression". Le PG a néanmoins regretté les affrontements. Olivier Dartigolles (PCF) a appelé à "faire la différence" entre "casseurs" et manifestants. Olivier Besancenot (NPA) a lui dénoncé une "stratégie gouvernementale": "le gouvernement a compris qu'il allait y avoir du monde dans la rue, donc ce qui l'intéressait c'est que ça se termine mal".

DES CONSIGNES DE RETENUE ?

"Aujourd'hui, les policiers ont une consigne de retenue, surtout quand c'est une manifestation avec des jeunes. Le politique craint une nouvelle affaire Malik Oussekine (étudiant mort sous les coups de policiers pendant une manifestation en 1986, ndlr)", selon Patrice Ribeiro, pour qui "les casseurs le savent et s'enhardissent, ils sont maintenant en tête de cortège". A l'inverse, pour Olivier Cahn, "ce qui est nouveau c'est la manière dont l'État gère ces manifestations avec des nouvelles formes de maintien de l'ordre plus viriles. Ce qui provoque plus de confrontation".

Un jeune homme gravement blessé à l'œil par un projectile jeudi à Rennes, en marge de la manifestation contre la loi travail, a définitivement perdu la vision de l'œil gauche. "J'ai ouvert une enquête, confiée à l'IGPN, pour déterminer les circonstances exactes de ses blessures", a annoncé ce vendredi le procureur de la République d'Ille-et-Vilaine Nicolas Jacquet. "Après une charge policière très violente près du Parlement, il était en train de refluer de l'autre côté de la Vilaine, et c'est à ce moment-là qu'il a été touché par un tir de lanceur de balles dans l'œil. Nous avons été appelés à ses côtés et nous avons tout de suite vu que sa blessure était très grave. Et ce matin, il est borgne", a déclaré à l'AFP Hugo Poidevin, étudiant membre du comité de mobilisation de Rennes 2 et de l'équipe médicale étudiante mise en place pour les manifestations. La préfecture a reconnu l'usage par les forces de l'ordre, pendant la manifestation, de lanceurs de balles de défense 40 (LBD40), des lanceurs de balles plus récents et puissants que les anciens "Flashball", une autre marque déposée.

http://actu.orange.fr/france/loi-travail-qui-sont-les-casseurs-magic-CNT000000nSjR6.html

Un jeune homme gravement blessé à l'œil par un projectile jeudi à Rennes, en marge de la manifestation contre la loi travail, a définitivement perdu la vision de l'œil gauche. "J'ai ouvert une enquête, confiée à l'IGPN, pour déterminer les circonstances exactes de ses blessures", a annoncé ce vendredi le procureur de la République d'Ille-et-Vilaine Nicolas Jacquet. "Après une charge policière très violente près du Parlement, il était en train de refluer de l'autre côté de la Vilaine, et c'est à ce moment-là qu'il a été touché par un tir de lanceur de balles dans l'œil. Nous avons été appelés à ses côtés et nous avons tout de suite vu que sa blessure était très grave. Et ce matin, il est borgne", a déclaré à l'AFP Hugo Poidevin, étudiant membre du comité de mobilisation de Rennes 2 et de l'équipe médicale étudiante mise en place pour les manifestations. La préfecture a reconnu l'usage par les forces de l'ordre, pendant la manifestation, de lanceurs de balles de défense 40 (LBD40), des lanceurs de balles plus récents et puissants que les anciens "Flashball", une autre marque déposée.

On a peut-être trouvé le futur successeur de Jean-Marie Lepen.

...Exemples de projectiles reçus par les F.O. , un peu partout en France...

Les gens qui balancent ces trucs ne manifestent pas.

Ils sont là pour faire mal.

On n'en est plus aux oeufs et farine, ce que le gamin de Bergson dit avoir jeté. Pour info, balancer des oeufs, c'est tout aussi interdit que d'envoyer des boulons et autres joyeusetés. Point.

Le collègue de Bergson a fait une connerie, c'est indéniable. On peut avoir envie de le soutenir, en tant qu'homme. Mais en tant que policier , je ne peux pas cautionner son geste.

Il a déliré! point barre.

Manifester et contester est un droit inaliénable.

Mon travail ne consiste en rien à empêcher les manifestations, la contestation.

Mais, quand on vient avec des objets de cette nature, ce n'est pas pour contester ...

Tant que les manifestations tourneront à l'émeute, il y aura des blessés. Il y aura peut-être même plus grave.

C'est désolant, car si ça continue, les gens ne pourront même plus manifester . Les manifs seront toutes interdites, par crainte des émeutes qui s'en suivent, systématiquement de nos jours.

Et quand ça part en vrille, Je suis généralement désigné Tireur LBD 40 mm.

Si un type cagoulé s'approche de la ligne, de mes collègues, avec un truc comme ça en main, je vous jure que je n'hésiterais pas une seconde. Tant pis pour lui. Ca ne m'empêchera pas de dormir, et je n'aurai aucun remord. Il s'en tirera avec un bel hématome, ou une ou deux côtes cassées.

Si le type perd, un oeil, il pourra toujours appeler les objets trouvés.

Mais aucun de mes collègues ne brûlera vif.

Je ne doute pas de votre professionnalisme un instant, mais malheureusement, certains de vos collègues n'ont visiblement pas tout à fait intégrés que les gestes de ce genre ne sont pas permis...

http://www.francetvinfo.fr/societe/nuit-debout/video-des-crs-frappent-des-manifestants-menottes-lors-de-l-evacuation-de-nuit-debout_1429703.html

Un jeune de 15 ans s'est pris un coup dans le nez par un CRS qui l'a fait volontairement suite à la provocation du jeune.

En quoi consistait exactement la provocation du jeune ?

Bah ce jeune devait déjà avoir un coup dans l'nez tous les weekend, il va pas nous chier une pendule pask'un CRS le lui aura mis en semaine quand même! 'tain mais rien dans l'pantalon les djûnz de nos jours, que des pleureuses ouais!

La répression policière continue.

13 djeunes ont été mis en garde à vue parce qu'ils avaient dégradé leur lycée en solidarité envers leurs aînés.

Mais que fait la présidente de la FCPE qui poussait auparavant à l'émeute, chose qu'elle a fort bien réussi d'ailleurs ?

Le procès s'est ouvert à 14h50 avec un peu de retard :

Le policier de 26 ans est appelé à la barre. Poursuivi pour violences volontaires par PDAP, il risque 3 ans et 45 000 € d'amende.

La présidente du tribunal lit les PV des forces de l'ordre : le lycéen aurait jeté sur les policiers un paquet de farine enflammé puis se serait débattu au moment de son interpellation, faisant tomber le gardien de la paix jugé aujourd'hui, blessé au genou.

Le live ici : http://www.francetvi...rs_1914159.html

Il bouge encore ?

Le fonctionnaire de police s'exprime : "nous étions très peu pour encadrer de manière correcte la manifestation en cours.

J'ai repéré cet individu qui jetait des oeufs dans notre direction. On essayait de les esquiver comme on pouvait.

Une mère de famille avec sa poussette a d'ailleurs reçu des oeufs. C'était un contexte de stress. Il fallait gérer. Les lycéens nous faisaient clairement comprendre qu'on n'était pas les bienvenus. "Cassez-vous !", ils disaient."

"il n'y avait pas que des oeufs. Il y avait des bouteilles, des pavés. Des collègues n'avaient pas de casque."

La présidente au lycéen : est-ce qu'il y a eu des insultes envers les policiers ? "Non". Des paquets de farine ? "Oui, un". Le policier m'a attrapé. Il m'a mis un coup de poing (au visage), et je suis tombé en arrière.

Interrogé par les journalistes avant le début du procès le lycéen se dit encore "traumatisé".Le jeune homme n’attend "pas grand-chose" de ce procès, seulement de "comprendre pourquoi il [le policer] a fait ça. Après, je passerai à autre chose". Son père Guy a du mal à reconnaître son fils. "Il a changé complètement, il a le regard figé parfois. Quand on lui demande, il nous dit que ça va. Mais nous, on voit que ça ne va pas. On a peur qu’il se passe quelque chose après."

La vidéo est visionnée.

Le policier : "A la base, je cherchais à le mettre au sol pour l'interpeller"

"j'ai senti ses doigts au niveau de la jugulaire de mon casque, je me suis senti en danger."

"en aucun cas, je voulais porter un coup au visage. Ce que je visais, c'était le plexus, ça aurait été proportionné."

Le policier évoque des "gouttes de sang" sous le crâne du lycéen. "C'était plutôt une flaque" le reprend sèchement la présidente.

Le papa aurait dû s'interroger AVANT de laisser partir son fils à la manif...

La vidéo est visionnée.

Le policier : "A la base, je cherchais à le mettre au sol pour l'interpeller"

"j'ai senti ses doigts au niveau de la jugulaire de mon casque, je me suis senti en danger."

"en aucun cas, je voulais porter un coup au visage. Ce que je visais, c'était le plexus, ça aurait été proportionné."

Le policier évoque des "gouttes de sang" sous le crâne du lycéen. "C'était plutôt une flaque" le reprend sèchement la présidente.

j ' adore....