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Frelser

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 931 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Etre évadé de l'asile aurait ce mérite d'avoir cheminé du dedans au dehors donc de savoir définir d'où on vient, où on est, comment on en est sorti.

Qui peut répondre à ça ? ça fait des milliers d'années que les religieux, philosophes et scientifiques découvrent qu'on est dans la caverne.

Si nous étions tous dans l'asile sauf un, qui serait le fou ?

D'ailleurs, j'ai bien étudié cette question et la vraie différence logique entre un fou et moi, c'est que je ne suis pas fou.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Pour revenir à mon approche, si un jour d'autres personnes que Zenalpha venaient à prendre la patience de lire mon papier, certains peuvent se demander pourquoi j'ai resenti le besoin de faire appel à des quantum bidimensionels.

Cela n'est pas une fantaisie évidemment... En fait, en changeant la perspective de penser à des petites sphères pleines, j'ai eu l'idée d'essayer de repenser la physique en sorte que l'intrication puisse avoir un support conceptuel.

Quand on choisi de penser le plus petit élément physique qui puisse interagir avec les autres éléments par simple inertie, de petits segments de droites infinitésimaux se révélaient bien efficaces. Un simple mouvement donné les propulserait jusqu'à ce qu'elles croisent un obstacle... De même, leurs interactions permettait d'obtenir des jeux de corrélations par un simple effet de contact.

D'autre parts, quoi que cela puisse resembler à une certaine forme de tricherie, on évitait une singulatité primordiale...

Voilà pourquoi, et comment j'ai opté pour une approche de quantums infinitésimaux bidimensionnels comme élément fondamental canonique de toute la physique. Cela permettait d'une façon très intuitive d'obtenir une énergie du vide sous Planck, des distorsions spatio-temporelles, des "interactions à distance" (en fait un rapport de comportements synchronisés transportés dans des sous plans d'un hyperespace à topologie fractale).

J'ai redécouvert l'idée de géométrie fractale non-commutative et d'effet thermodynamique sans devoir faire appel à des notions hautement sophistiquées ! Alors que je ne connaissais nullement ces approches qui ne sont que si peu diffusés.

Les énigmes de la physique contemporaine comme la dualité onde-corpuscule, l'intrication, l'effet tunnel, ..., mais aussi l'énigme de l'énergie insondable du vide quantique, des ondes vides de Maxwell, l'énergie sombre, la masse manquante de l'univers, ..., l'effet casimir, la microgravité, la structure des atomes, des planètes, galaxies, ..., l'énigme du grand père insoluble en RG, et encore tant de points insolubles ou contre-intuitifs apparaissent limpides et se résoudre spontanément.

Cordialement.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

P.S. : Le degré de liberté de mouvement prend tous son sens, quand on pense que le vide quantique est empli d'une infinité de quantum bidimensionnels infinitésimaux. Selon le degré de liberté de mouvement, la topologie de l'hyper-espace adopte une courbure spontanée proportionnelle à l'effet thermodynamique qui dilate l'espace occupé par les quantum. Ce qui justifie les mouvements ondulatoires des particules, selon la permissivité ponctuelle du vide ou la liberté de mouvement. Et explique les effets relativistes de distorsions spatio-temporelles quand nous approchons la vitesse de la lumière, qui est en fait en rapport avec le niveau de liberté de mouvement selon les n-sphères ou évoluent les quantum.

Le futur existe déjà, et est lié de cause à effet avec le présent... Mais le futur peut être réécrit si on retourne dans le passé. De même, il existe potentiellement une infinité d'univers parrallèles, mais ils sont imbriquées dans un bulbe fractal suivant une topologie fractale...

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  • 4 semaines après...
Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 856 messages
40ans‚ nyctalope,
Posté(e)

Bonsoir Frelser,

J'ai discuté récemment sur ce sujet avec un grand physicien théoricien (je ne peux pas donner son nom pour des raisons de confidentialité) lors de la visite de son laboratoire. Il était très étonné que tu sois allé si loin, d'autant plus que plusieurs experts sont justement en train d'aller dans ce sens et commencent à en parler dans des colloques et meetings. Il faut absolument que tu publies tes recherches bientôt - c'est ce qu'il m'a dit ainsi que ce que j'ai tout de suite réalisé - dans un journal scientifique, sinon il sera trop tard et tes intuitions et tes découvertes seront l'exclusivité de quelqu'un d'autre. Dans l'histoire des sciences, des intuitions similaires se produisent souvent dans deux endroits différents du monde à peu près en même temps; ce que l'histoire a montré, c'est que l'on ne retient généralement qu'un seul de ces noms...

Voilà, je voulais te transmettre cette nouvelle pour te motiver à courir vite dans la dernière ligne droite.

Salutations,

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Membre, Posté(e)
algonquin Membre 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour,

Fresler, soutenu par d'autres, nous expose ses vues originales où interviennent la mécanique quantique et la Relativité générale.

C'est évidemment son droit.

Mais alors, il doit se faire un grand plaisir à nous prouver son expertise en la matière en n'hésitant pas à répondre à ces quelques questions prouvant ses connaissances dans ce domaine de la physique, connaissances techniques autres que celles acquises dans de simples ouvrages de vulgarisation et qui ne donnent qu'un aperçu bien incomplet de ces disciplines.

Voici donc mes questions :

I)- Relativité restreinte et générale :

1)- Que peut-on dire d'un intervalle tel que ds²<0 ?

2 - Quel est le nom de ce symbole et que représente-t-il : Γkij

II)- Mécanique quantique.

1)- Soit S un système quantique et e1 et e2 deux de ses états. Comment lisez vous l'expression :

< e2|e1>

(Ceci est enseigné dès le début de la mécanique quantique)

2)- Quelle est cette équation : (∂ωω+ m²)Ψ = 0

3)- Qu'est-ce que ceci : 1/(2πh)3/2exp(i(P.r/h)Φ(p,t)d3p

Si Fresler connaît ces réponses, il aura prouvé son expertise en Relativité et en mécanique quantique et je serai le premier à m'en réjouir et à échanger avec lui. Il serait vraiment dommage qu'il se dérobât.

Bien à vous.

Modifié par algonquin
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Bonsoir Frelser,

J'ai discuté récemment sur ce sujet avec un grand physicien théoricien (je ne peux pas donner son nom pour des raisons de confidentialité) lors de la visite de son laboratoire. Il était très étonné que tu sois allé si loin, d'autant plus que plusieurs experts sont justement en train d'aller dans ce sens et commencent à en parler dans des colloques et meetings. Il faut absolument que tu publies tes recherches bientôt - c'est ce qu'il m'a dit ainsi que ce que j'ai tout de suite réalisé - dans un journal scientifique, sinon il sera trop tard et tes intuitions et tes découvertes seront l'exclusivité de quelqu'un d'autre. Dans l'histoire des sciences, des intuitions similaires se produisent souvent dans deux endroits différents du monde à peu près en même temps; ce que l'histoire a montré, c'est que l'on ne retient généralement qu'un seul de ces noms...

Voilà, je voulais te transmettre cette nouvelle pour te motiver à courir vite dans la dernière ligne droite.

Salutations,

Je m'en suis rendu compte après mon partage de mon modèle sur mon blog, et sur ce forum. J'ai contacté plusieurs théoriciens qui ne m'ont toujours pas répondu. Merci pour ton encouragement, mais en fait, le problème est que je ne suis pas théoricien mais free-lance. Ce qui fait que mon approche de la question ne se conforme pas à une présentation en bonne et due forme susceptible à pouvoir être publié dans une revue de notoriété et à comité de lecture.

En réalité, je pense avoir touché le doigt sur plusieurs faisceaux d'indices qui font défaut dans les publications dont tu fais mention (et que sincèrement j'ignorais avant de partager mon modèle sur internet). Comme une variable permettant d'obtenir d'une façon fort pertinente la constante de structure fine et une valeur de la constante de gavitation sur base d'un décalage entre les unités de Planck et les limites de la RG.

Mon modèle marie la thermodynamique, la mécanique quantique, la relativité générale et une approche permettant d'éviter le paradoxe de la singularité primordiale. Je ne peux évidemment pas confirmer ou infirmer de moi-même si mon approche est vraiment pertinente ou si il me manque des éléments d'évaluation (comme ce n'est pas mon domaine de compétence), mais j'ai l'intime convition que si un modèle d'unification théorique sera un jour atteint, il ne sera pas éloigné de mon modèle. On retrouve un multivers uniforme obéissant à la loi des fractales, où espace discret et espace continu fusionnent, et où notre univers n'est qu'un des univers indénombrables issu du big bang.

Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé. Cordialement.

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Membre, Posté(e)
algonquin Membre 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je m'en suis rendu compte après mon partage de mon modèle sur mon blog, et sur ce forum. J'ai contacté plusieurs théoriciens qui ne m'ont toujours pas répondu. Merci pour ton encouragement, mais en fait, le problème est que je ne suis pas théoricien mais free-lance. Ce qui fait que mon approche de la question ne se conforme pas à une présentation en bonne et due forme susceptible à pouvoir être publié dans une revue de notoriété et à comité de lecture.

En réalité, je pense avoir touché le doigt sur plusieurs faisceaux d'indices qui font défaut dans les publications dont tu fais mention (et que sincèrement j'ignorais avant de partager mon modèle sur internet). Comme une variable permettant d'obtenir d'une façon fort pertinente la constante de structure fine et une valeur de la constante de gavitation sur base d'un décalage entre les unités de Planck et les limites de la RG.

Mon modèle marie la thermodynamique, la mécanique quantique, la relativité générale et une approche permettant d'éviter le paradoxe de la singularité primordiale. Je ne peux évidemment pas confirmer ou infirmer de moi-même si mon approche est vraiment pertinente ou si il me manque des éléments d'évaluation (comme ce n'est pas mon domaine de compétence), mais j'ai l'intime convition que si un modèle d'unification théorique sera un jour atteint, il ne sera pas éloigné de mon modèle. On retrouve un multivers uniforme obéissant à la loi des fractales, où espace discret et espace continu fusionnent, et où notre univers n'est qu'un des univers indénombrables issu du big bang.

Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé. Cordialement.

Cette fois, il n'y a plus le moindre doute !

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Plus aucun ! C'est éblouissant de lumière.

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Membre, Posté(e)
algonquin Membre 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oui, surtout avec ça :

"Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé. Cordialement."

Pas mal, non ?

Ah ! ces "quantum bidimensionnels" ! J'en redemande ! Et la topologie spatio-tempotelle ! et qui se trouve superposée et imbriquée dans un hyperespace !

Je crois qu'il n'y a qu'une alternative dont je préférerais l'option du plaisantin.

Modifié par algonquin
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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Pierre Dac, maître incontesté en la matière, aurait trouvé cela remarquable, et c’est surtout le fait que l’humour soit involontaire qui rend la chose si drôle.

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Membre, Posté(e)
algonquin Membre 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ah ce Pierre Dac !

Et sa définition :

"Par deux points distincts on peut toujours faire passer une droite à condition que ces deux points soient bien l'un en face de l'autre !"

Mais lui, c'était volontaire !

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

De quelque façon que l’on aborde le problème de la mésentente entre deux individus, on s’aperçoit que la raison fondamentale en revient presque toujours au mauvais choix des mots que l’un ou l’autre à pu utiliser pour expliquer ou justifier son point de vue.

C’est sans doute ce simple constat qui a convaincu les gens du monde savant, philosophes, physiciens, médecins à convenir d’un langage commun pouvant servir de vecteur de communication fiable et dépourvu d’ambiguïté. C’est ainsi qu’est né le langage professionnel et ses variantes adaptées à chacune des manifestations de l’activité humaine en y incluant les arts et les techniques.

Bien entendu, tout ne se passe pas dans l’harmonie la plus parfaite et quand une idée nouvelle nait, porteuse d’éventuels développements, il n’est pas rare de voir apparaître un nouveau concept qu’il faut bien nommer, ou un néologisme qu’il faut bien définir. Et c’est général à ce moment, dans l’histoire d’une science, que se déroule la foire d’empoigne. Chacun propose son mot, sa définition, certains s’appuient sur l’étymologie, d’autres sur le bon sens, sur la mythologie voire même sur le surnom de personnages de bandes dessinées… C’est ainsi, et puis finalement de toutes ces propositions, un mot surgit, survit et devient celui qui sera finalement reconnu et (bien) compris par l’ensemble de la communauté. Le calme revient et les adeptes de la science en question peuvent alors continuer à discuter en parfaite entente. J’utilise ici, l’expression, parfaite entente, dans le sens de parfaite compréhension.

Si l’on a la gentillesse de bien vouloir excuser mon ignorance tout en acceptant l’idée générale qui transparait dans ce qui précède, alors on conviendra que rien dans ce long post ne respecte la condition permettant une compréhension du sujet traité. On peut pardonner l’absence de démonstrations ou celle d’idées d’expériences réalisables, accepter la possibilité qu’une idée géniale naisse dans un esprit à priori non préparé à la faire éclore, mais la moindre des choses que l’on soit en droit d’attendre de la part de son auteur, c’est une définition claire et précise des termes qu’il utilise pour étayer sa construction ?

Au risque de me répéter, je maintiens qu’il est interdit d’utiliser un mot tiré d’un dictionnaire scientifique dans un sens différent de celui que ses créateurs lui ont donné. C’est pourtant ce que fait l’auteur de ce post et que l’on constate depuis les premières lignes. Cela s’apparente à du vol ou à du détournement, et cela justifie à mon sens parfaitement les réactions offensées de certains lecteurs.

Alors, à vos dictionnaires…

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Membre, Posté(e)
algonquin Membre 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

De quelque façon que l’on aborde le problème de la mésentente entre deux individus, on s’aperçoit que la raison fondamentale en revient presque toujours au mauvais choix des mots que l’un ou l’autre à pu utiliser pour expliquer ou justifier son point de vue.

C’est sans doute ce simple constat qui a convaincu les gens du monde savant, philosophes, physiciens, médecins à convenir d’un langage commun pouvant servir de vecteur de communication fiable et dépourvu d’ambiguïté. C’est ainsi qu’est né le langage professionnel et ses variantes adaptées à chacune des manifestations de l’activité humaine en y incluant les arts et les techniques.

Bien entendu, tout ne se passe pas dans l’harmonie la plus parfaite et quand une idée nouvelle nait, porteuse d’éventuels développements, il n’est pas rare de voir apparaître un nouveau concept qu’il faut bien nommer, ou un néologisme qu’il faut bien définir. Et c’est général à ce moment, dans l’histoire d’une science, que se déroule la foire d’empoigne. Chacun propose son mot, sa définition, certains s’appuient sur l’étymologie, d’autres sur le bon sens, sur la mythologie voire même sur le surnom de personnages de bandes dessinées… C’est ainsi, et puis finalement de toutes ces propositions, un mot surgit, survit et devient celui qui sera finalement reconnu et (bien) compris par l’ensemble de la communauté. Le calme revient et les adeptes de la science en question peuvent alors continuer à discuter en parfaite entente. J’utilise ici, l’expression, parfaite entente, dans le sens de parfaite compréhension.

Si l’on a la gentillesse de bien vouloir excuser mon ignorance tout en acceptant l’idée générale qui transparait dans ce qui précède, alors on conviendra que rien dans ce long post ne respecte la condition permettant une compréhension du sujet traité. On peut pardonner l’absence de démonstrations ou celle d’idées d’expériences réalisables, accepter la possibilité qu’une idée géniale naisse dans un esprit à priori non préparé à la faire éclore, mais la moindre des choses que l’on soit en droit d’attendre de la part de son auteur, c’est une définition claire et précise des termes qu’il utilise pour étayer sa construction ?

Au risque de me répéter, je maintiens qu’il est interdit d’utiliser un mot tiré d’un dictionnaire scientifique dans un sens différent de celui que ses créateurs lui ont donné. C’est pourtant ce que fait l’auteur de ce post et que l’on constate depuis les premières lignes. Cela s’apparente à du vol ou à du détournement, et cela justifie à mon sens parfaitement les réactions offensées de certains lecteurs.

Alors, à vos dictionnaires…

Bonjour,

je partage entièrement votre point de vue et en profite pour demander à l'auteur de ces mots et expressions apparaissant en rouge de bien vouloir les définir avec précision et clarté :

"Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé."

Petite précision en passant : Un quantum, des quanta !!!

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Bonjour,

je partage entièrement votre point de vue et en profite pour demander à l'auteur de ces mots et expressions apparaissant en rouge de bien vouloir les définir avec précision et clarté :

"Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé."

Petite précision en passant : Un quantum, des quanta !!!

1) Quantum bidimensionnel : par là, je reprends l'idée de quanta en lui attribuant simplement une forme innovante clé de mon modèle. Les quantum deviennent des objets à deux dimensions de longueur infinitésimale.

* Cela a un atout pluriel, comme d'éviter la singularité primordiale en remontant au big bang ou de permettre une transition d'un espace continu à un espace discret.

* Les "traits" que sont les quantum se retrouvent ainsi en interaction de proche en proche, leur espace de mouvement est limité par les quantum environnants en sorte que la "distance" qui sépare les quantum définit la structure et la topologie de l'espace.

2) La densité d'intrication : j'ai préféré ce terme à celui de densité lagrangienne (https://fr.wikipedia..._associ.C3.A9es). Il s'agit de l'analyse de la synchronisation des quantum qui forment le maillage de l'hyperespace.

3) Type de topologie : c'est une recherche de formulation de la structure de l'hyperespace émergent depuis l'organisation des quantum bidimensionnels.

* Les quantum se synchronisent et obéissent à la loi des fractales, et à une loi normale.

* En se touchant de proche en proche, les quantum qui sont devenu des traits se communiquent des mouvements et se synchronisent par paquets de quantum.

* On aboutit ainsi à un multivers, qui est un hyperespace construit par les quantum, et qui selon les echelles de grandeur obéit à des brisures de symétries infinies.

* L'Univers obéit à un processus évolutif, chaque niveau de synchronisation permet la mise en place d'un type d'espace particulier.

* La robustesse des lois de la physique devient évidente, de par le fait que leur origine se fonde à une échelle infinitésimale.

* Les champs de force deviennent une illusion, il n'y a plus d'action magique à distance.

* etc.

J'espère que c'est plus clair ainsi. cordialement.

Modifié par Frelser
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Invité philkeun
Invités, Posté(e)
Invité philkeun
Invité philkeun Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

je partage entièrement votre point de vue et en profite pour demander à l'auteur de ces mots et expressions apparaissant en rouge de bien vouloir les définir avec précision et clarté :

"Avec les quantum bidimensionnels ayant une liberté de mouvement croissante et obéissant à des densité d'intrications on parvient à générer absolument tout type de topologie spatio-temporelle et tout se trouve imbriqué dans un seul hyperespace de façon superposé."

Petite précision en passant : Un quantum, des quanta !!!

Salut,

L'explication de tout ceci, faite par les pairs de ce physicien révolutionnaire, et l'endroit adéquat pour y publier son oeuvre :

http://www.e-scio.net/noire/liste.html

Modifié par philkeun
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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Mais, dites moi : un quantum, si je ne m'abuse, ce n'est qu'un concept qui apparait lors d'une mesure, pas vrai ? Si entre deux mesures aussi précises et fines que l'on souhaite, effectuées en un intervalle de temps aussi court que l'on souhaite, on obtient toujours deux mesures différentes, alors on pourra dire que le système étudié est de nature continue. La physique moderne nous a montré que le continu n'est pas, et semble bien ne pas pouvoir être. Ne serait-ce qu'en raison d'une limite à la possibilité de division de la matière. D'où l'apparition de ce concept de quantum dans le résultat d'une mesure. Jusque là tout le monde devrait être d'accord.

Mais vous, vous nous dites : un quantum est un "objet" à deux dimensions... de longueur infinitésimale (?) Bon, mon esprit réfractaire me crie que deux dimensions, c'est déjà une de trop pour ce que vous appelez "bâtonnet", objets à UNE dimension, je veux bien, mais alors si vous tenez à vos DEUX dimensions, ce ne sont plus de "batônnet" qu'il s'agit, mais plutôt de (minis) planches de surf. Des petits plans, si vous préférez, sans épaisseur. Autrement dit, vous zappez la notion de corde pour aborder directement celle du tissu.

Mais pour résumer, commencez donc par revoir votre définition partout où elle est citée et remplacez "quantum" - qui en rien ne peut désigner un être doté de propriétés physique - par Ma Particule Elémentaire ou quelque autre nom de votre choix.

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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
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Ha, et puis tant que j'y suis, pourquoi ne pas vous servir de ce simplissime atôme d' hydrogène, un proton et un électron, pour étayer vos affirmations. Bien entendu, c'est de l'histoire ancienne, aussi simple qu'il fut, l'atome d'hydrogène n'est plus aujourd'hui ce qu'il a été pendant la première dizaine d'année du 20 ème siècle. Mais la comparaison pourrait donner de la consistance à votre théorie.

Modifié par azad2B
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Mais, dites moi : un quantum, si je ne m'abuse, ce n'est qu'un concept qui apparait lors d'une mesure, pas vrai ? Si entre deux mesures aussi précises et fines que l'on souhaite, effectuées en un intervalle de temps aussi court que l'on souhaite, on obtient toujours deux mesures différentes, alors on pourra dire que le système étudié est de nature continue. La physique moderne nous a montré que le continu n'est pas, et semble bien ne pas pouvoir être. Ne serait-ce qu'en raison d'une limite à la possibilité de division de la matière. D'où l'apparition de ce concept de quantum dans le résultat d'une mesure. Jusque là tout le monde devrait être d'accord.

Mais vous, vous nous dites : un quantum est un "objet" à deux dimensions... de longueur infinitésimale (?) Bon, mon esprit réfractaire me crie que deux dimensions, c'est déjà une de trop pour ce que vous appelez "bâtonnet", objets à UNE dimension, je veux bien, mais alors si vous tenez à vos DEUX dimensions, ce ne sont plus de "batônnet" qu'il s'agit, mais plutôt de (minis) planches de surf. Des petits plans, si vous préférez, sans épaisseur. Autrement dit, vous zappez la notion de corde pour aborder directement celle du tissu.

Mais pour résumer, commencez donc par revoir votre définition partout où elle est citée et remplacez "quantum" - qui en rien ne peut désigner un être doté de propriétés physique - par Ma Particule Elémentaire ou quelque autre nom de votre choix.

Pour les dimensions, c'est vrai que c'est complètement idiot. Autrement, le fait d'attribuer un corps aux quantum est primordial, car ce sont ces traits ou segments infinitésimaux qui déterminent la transition entre impulsion, potentiel et conduisent à toutes les propriétés tant de l'espace que de la matière. Merci pour ta participation azad2B. Amitié. Modifié par Frelser
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Invité philkeun
Invités, Posté(e)
Invité philkeun
Invité philkeun Invités 0 message
Posté(e)

Pas un quantum, quantum est le pluriel de quanta. Pour les dimensions, c'est vrai que c'est complètement idiot. Autrement, le fait d'attribuer un corps aux quantum est primordial, car ce sont ces traits ou segments infinitésimaux qui déterminent la transition entre impulsion, potentiel et conduisent à toutes les propriétés tant de l'espace que de la matière. Merci pour ta participation azad2B. Amitié.

QUANTA est le pluriel de QUANTUM, pas l'inverse...c'est la page 1 du manuel...

Modifié par philkeun
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