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Docu Infrarouge "Homo ou hétéro, un choix ?" : en France, parler de génétique reste tabou


Savonarol

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

Effectivement. D'ailleurs, j'ai de sérieux doutes sur la probabilité qu'un quelconque gène soit responsable de ça, tant les variations d'un contexte culturel et historique sont importantes et contradictoires. Ça ne collerait pas : pourquoi l'homosexualité dans une société X était dominant et en même temps considéré comme un cas minoritaire et répréhensible dans une société Y à la même période sur une même zone géographique ? Le cas de la Grèce Antique me paraît intéressant à ce sujet.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Le problème, c'est que justement, la considération morale de l'homosexualité repose difficilement sur l'approche scientifique. La multitude des éléments disponibles grâce à une pluralité de disciplines montre qu'en fait, l'homosexualité fut tantôt norme dominante ou équivalente à l'hétérosexualité, comme elle fut l'objet de sérieuses répressions, etc. Tout comme sa cause génétique éventuelle ne signifie aucunement qu'elle est pathologique, tout comme les différences cérébrales n'apportent pas de réponses très utiles à cela.

Oui je suis d'accord avec ça, c'est ce que je dis d'ailleurs. Du coup, reste quoi pour juger de ce qu'est l'homosexualité par rapport à la norme, sinon la norme elle-même ? Ce sont des sujets politiques, mais la politique ne devrait pas empêcher d'en parler : or c'est bien ce qu'elle fait (en taxant toute approche critique de l'homosexualité d'homophobe notamment)

Attention : la psychiatrie évolue vers un abandon des positions ethnocentriques qui lui collent à la peau, notamment grâce à l'apport de l'anthropologie et de la sociologie sur les notions de normes. Il y a encore beaucoup de chemin à faire certes, mais tout de même...

Ce qu'on peut noter surtout, c'est que la psychiatrie renonce suite à des pressions de lobbie d'appeler "pathologie" certains comportements du simple fait que les personnes visées prendraient mal le fait d'être qualifiée de malade. Ce qui n'est pas une approche très scientifique de la chose, tu en conviendras.

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Membre, Ker m'oco, Posté(e)
Sexophone Membre 2 935 messages
Ker m'oco,
Posté(e)

Je n'ai pas vu l'émission mais je me permet de rejoindre le débat.

Je doute qu'on naisse homosexuel. Je crois plutôt que c'est les rencontres qu'on fait et les relations qu'on noue, qui déterminent qui on aime. La société et le milieu dans lequel on vit, peuvent être des facteurs déterminants : va-t-on oser vivre pleinement son amour pour une personne du même sexe, si on a grandi dans un milieu qui le désapprouve ?

Je partirai même du principe que nous sommes tous bisexuel : un hétéro peut très bien avoir une relation homo avec une seule personne dans sa vie et ne jamais plus flasher sur quelqu'un du même sexe que lui.

Je suis hétéro mais qui sait, peu-être qu'un jour je ferais une belle rencontre avec un homme et que j'aurais envie d'aller plus loin avec cette personne ? Je ne sais pas. C'est en avançant dans la vie en la laissant nous porter qu'on apprend à vraiment se connaître.

C'est mon point de vue. :lol:

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

Oui je suis d'accord avec ça, c'est ce que je dis d'ailleurs. Du coup, reste quoi pour juger de ce qu'est l'homosexualité par rapport à la norme, sinon la norme elle-même ? Ce sont des sujets politiques, mais la politique ne devrait pas empêcher d'en parler : or c'est bien ce qu'elle fait (en taxant toute approche critique de l'homosexualité d'homophobe notamment)

Ce qu'on peut noter surtout, c'est que la psychiatrie renonce suite à des pressions de lobbie d'appeler "pathologie" certains comportements du simple fait que les personnes visées prendraient mal le fait d'être qualifiée de malade. Ce qui n'est pas une approche très scientifique de la chose, tu en conviendras.

La politique ne l'a pas empêcher d'en parler. Il me semble que des milliers de gens ont bien étalé dans la rue et les médias leur opinion commune sur la question. Pourtant, ils n'ont pas tous fini au gnouf, loin de là. Du reste, oui : les normes de ce genre ne relèvent essentiellement du politique.

Ensuite, non. La psychatrie jouit surtout des avancées apportées par les études transversales sur les populations, notamment étrangères, pour finalement admettre que le modèle psychiatrique occidental souffre d'un lourd handicap : ne pas prendre en compte les données historiques et culturelles dans l'analyse des sujets. Chose qui change. L'homosexualité n'échappe pas à la question. L'apport pluridisciplinaire est important sur cette question.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

La politique ne l'a pas empêcher d'en parler. Il me semble que des milliers de gens ont bien étalé dans la rue et les médias leur opinion commune sur la question. Pourtant, ils n'ont pas tous fini au gnouf, loin de là. Du reste, oui : les normes de ce genre ne relèvent essentiellement du politique.

L'opinion publique a décrété l'homosexualité comme progressiste et de fait ceux qui s'opposaient à l'homosexualisation de la société d'homophobes, de réactionnaires, de nazis etc ; qui tient les médias n'a pas besoin de mesure de coercition physique.

Ensuite, non. La psychatrie jouit surtout des avancées apportées par les études transversales sur les populations, notamment étrangères, pour finalement admettre que le modèle psychiatrique occidental souffre d'un lourd handicap : ne pas prendre en compte les données historiques et culturelles dans l'analyse des sujets. Chose qui change. L'homosexualité n'échappe pas à la question. L'apport pluridisciplinaire est important sur cette question.

En quoi la prise en compte des données historiques ou culturelles empêche une société de parler de pathologie lorsque cela y répond pourtant ?

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Faux, le sexe de l'enfant est déterminé lors de l'insertion du spermatozoïde dans l'ovule (meïose, brassage génétique), soit immédiatement.

Pour le reste Soral est un crétin.

bonjour

tu à raison , le sexe de l'enfant est déterminé par les chromosomes .le noyau de l'ovule est toujours X et le noyau du spermatozoide peut avoir les deux forme X ou Y .

l'on ne sait pourquoi l'un ou l'autre est ( choisi ) ?

bonne soirée

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Membre, 59ans Posté(e)
essayeur Membre 3 422 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Si une conformation particulière du cerveau était validée, elle serait à nouveau au centre du combat des homos. Ils diraient : c'était une inclinaison naturelle mais vous nous avez traité de monstres et désiré nous éliminer.

Tout mouvement politique récupère les données de façon à passer le message qui l'intéresse. Donc effectivement, vrai ou faux ça ne changerait rien.

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonsoir

dans la grèce antique , vers 378 avant JC ,le bataillon sacré de Thèbes était fait de couples homosexuel pour la cohésion du groupe .c'était un corps d'élite que seul Alexandre le grand réussit à vaincre .

dans ce corps d'élites , chaque soldats se battait pour sa vie mais aussi pour celle de son compagnon .

la vérité historique de cela n'est pas trop sure .

bonne soirée

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)

bonjour

tu à raison , le sexe de l'enfant est déterminé par les chromosomes .le noyau de l'ovule est toujours X et le noyau du spermatozoide peut avoir les deux forme X ou Y .

l'on ne sait pourquoi l'un ou l'autre est ( choisi ) ?

bonne soirée

Bonsoir,

Hasard mais aussi "stratégies".

Voici un lien qui me semble être assez clair :

http://m.rue89.nouvelobs.com/#/note/229960

Bonne soirée également

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Membre+, débatteur invétéré, 39ans Posté(e)
femzi Membre+ 5 626 messages
39ans‚ débatteur invétéré,
Posté(e)

Moi jaimerais tout dabord qu'on me rapelle la definition de lhomosexualite?

En tant que mec suis homo

-parce que jaime embrasser des mecs?

-parce que je suis tellement fusionnel avec mon meilleur pote?

-parce jai des erections en regardant le cul dun mec?

Elle est ou la limite?

Et dailleurs, si je vous bande les yeux et qu'un mec vous fais une fellation qui vous excite, cela fait til de vous un homo refoulé?

Hein? Non? Peut etre? Pourquoi?

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

L'opinion publique a décrété l'homosexualité comme progressiste et de fait ceux qui s'opposaient à l'homosexualisation de la société d'homophobes, de réactionnaires, de nazis etc ; qui tient les médias n'a pas besoin de mesure de coercition physique.

En quoi la prise en compte des données historiques ou culturelles empêche une société de parler de pathologie lorsque cela y répond pourtant ?

Arrêtez de jouer les pleureuses. Les attaques ad hominem sont aussi vieilles que la politique contemporaine. Cela fait partir du jeu. C'est pas classe ni très honorable, j'en conviens, mais c'est ni nouveau, ni le monopole d'un camp. Et l'hégémonie médiatique est loin d'être aussi importante, surtout à l'heure d'Internet.

Ensuite, les données historiques et culturelles montrent que l'homosexualité a été considérée aussi bien en Europe qu'en Asie dans diverses cultures comme fréquente et nullement symptomatique d'une quelconque perversion ou maladie. Des peuples celtes à l'Extrême Orient, on recense des traces de pratiques sexuelles en tout genre plus ou moins acceptées, homosexualité incluse. Cela allait même jusqu'à l'éphébophilie durant la Grèce Antique. L'idée de perversion "contre-nature" est une approche essentiellement apportée par les religions monothéistes qui ont progressivement appris à imposer leurs visions de la sexualité.

De fait, considérant comme pratique commune, parfois dominante, l'homosexualité dans d'autres et/ou anciennes sociétés oblige à revoir la nature de cette orientation sexuelle qui ne relève plus de questions médicales ou psychiatriques, mais purement sociales et psychologiques (qui est différent du psychiatrique pour info. Au cas ou...), variables au fil du temps. Impossible alors de considérer objectivement que c'est une pathologie, même avec le renfort de la neurobiologique qui n'offre pas vraiment de réponse concluante.

Si quiconque considère que c'est une pathologie, cela n'engage que lui et la science ne l'aidera pas dans ce domaine.

Mais je tiens à ajouter ce point : ce sujet sent franchement le réchauffé. Encore un sur la question deux ans après le mariage étendu aux homosexuels. Comme si... La pilule ne passait pas chez certains opposants au projet de loi, obnubilés par cette réforme qui semble tout bousculer chez eux. Et peut-être serait-il temps de lâcher le morceau...

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Arrêtez de jouer les pleureuses. Les attaques ad hominem sont aussi vieilles que la politique contemporaine. Cela fait partir du jeu. C'est pas classe ni très honorable, j'en conviens, mais c'est ni nouveau, ni le monopole d'un camp. Et l'hégémonie médiatique est loin d'être aussi importante, surtout à l'heure d'Internet.

Non non, on a pas eu affaire à des types qui savaient de quoi ils parlaient mais qui décidaient de gagner du temps en décochant l'anathème : on a eu affaire à une bande de connards instrumentalisant un peuple d'abrutis sur sa corde sentimentaliste. Que l'enculade fasse partie du jeu ne la rend pas noble pour autant, pas plus que l'exécution d'otage au cours d'une guerre la rend "cool" du moment que la cause est juste.

Enfin c'est du moins mon point de vue mais je sais qu'il y a toute une catégorie d'enculés qui pensent que la fin justifie les moyens. Mais quelle fin ? La leur.

Ensuite, les données historiques et culturelles montrent que l'homosexualité a été considérée aussi bien en Europe qu'en Asie dans diverses cultures comme fréquente et nullement symptomatique d'une quelconque perversion ou maladie. Des peuples celtes à l'Extrême Orient, on recense des traces de pratiques sexuelles en tout genre plus ou moins acceptées, homosexualité incluse. Cela allait même jusqu'à l'éphébophilie durant la Grèce Antique. L'idée de perversion "contre-nature" est une approche essentiellement apportée par les religions monothéistes qui ont progressivement appris à imposer leurs visions de la sexualité.

Forcément puisqu'on a commencé à s'intéresser à la pathologie mentale à la fin du XIXeme siècle.

De fait, considérant comme pratique commune, parfois dominante, l'homosexualité dans d'autres et/ou anciennes sociétés oblige à revoir la nature de cette orientation sexuelle qui ne relève plus de questions médicales ou psychiatriques, mais purement sociales et psychologiques (qui est différent du psychiatrique pour info. Au cas ou...), variables au fil du temps. Impossible alors de considérer objectivement que c'est une pathologie, même avec le renfort de la neurobiologique qui n'offre pas vraiment de réponse concluante.

C'est un point de vue, pas une réalité, point de vue d'ailleurs pas mal infirmé par ce qu'on peut voir dans le documentaire que j'ai posté.

Si quiconque considère que c'est une pathologie, cela n'engage que lui et la science ne l'aidera pas dans ce domaine.

Question de contexte et d'époque. Comme dit plus haut, tout change si vite, comment savoir comment sera considéré l'homosexualité dans 10 ans ?

Mais je tiens à ajouter ce point : ce sujet sent franchement le réchauffé. Encore un sur la question deux ans après le mariage étendu aux homosexuels. Comme si... La pilule ne passait pas chez certains opposants au projet de loi, obnubilés par cette réforme qui semble tout bousculer chez eux. Et peut-être serait-il temps de lâcher le morceau...

Le docu a été diffusé hier à la TV. J'ai trouvé marrant qu'il développe à peu près tout ce que les adeptes du mariage gay ont nié pendant cette campagne idéologique et mensongère. Combat perdu ou non, c'est toujours bon pour le moral et pour l'ego de se voir confirmer qu'on avait la bonne intuition quand en face il s'agissait d'une bande de perroquets (qui ne voient aucun problème à entendre une chose puis son contraire pourvu qu'ils "gagnent à la fin"), c'est dire la valeur morale de ce genre de pantin.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

................. Encore un sur la question deux ans après le mariage étendu aux homosexuels. Comme si... La pilule ne passait pas chez certains opposants au projet de loi, obnubilés par cette réforme qui semble tout bousculer chez eux. Et peut-être serait-il temps de lâcher le morceau...

plus.gif

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Le monsieur du docu dit le contraire. (et Alain Soral aussi :hehe: )

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

C'est un point de vue, pas une réalité, point de vue d'ailleurs pas mal infirmé par ce qu'on peut voir dans le documentaire que j'ai posté.

Question de contexte et d'époque. Comme dit plus haut, tout change si vite, comment savoir comment sera considéré l'homosexualité dans 10 ans ?

Le docu a été diffusé hier à la TV. J'ai trouvé marrant qu'il développe à peu près tout ce que les adeptes du mariage gay ont nié pendant cette campagne idéologique et mensongère. Combat perdu ou non, c'est toujours bon pour le moral et pour l'ego de se voir confirmer qu'on avait la bonne intuition quand en face il s'agissait d'une bande de perroquets (qui ne voient aucun problème à entendre une chose puis son contraire pourvu qu'ils "gagnent à la fin"), c'est dire la valeur morale de ce genre de pantin.

Oh non, c'est pas un point de vue, c'est une réalité justement : si la théorie génétique et donc héréditaire de l'homosexualité était vraie, est-ce un gène récessif ou dominant ? Car si c'est un récessif, alors par processus de sélection, le gène serait au final inexistant et presque aucun homosexuel n'existerait. Hors, un nombre d'occurrence de 5% dans une société, c'est beaucoup plus qu'il n'y paraît. Si c'était dominant, alors la majorité des êtres humains serait homosexuels et la croissance de la population ne serait pas exponentielle.

Et comment expliquer si c'est génétique que les textes antiques font état d'une attirance physique et sexuelle avec un sexe semblable était fréquente et admise à des degrés divers dans d'anciennes sociétés européennes avant la christianisation ? Doit-on en conclure que les chrétiens avait le gène hétérosexuel et les peuples païens le gène homosexuel alors ? Absurde !

Ce n'est pas sérieux de considérer l'homosexualité sous l'angle génétique, pour la simple raison que cette "réponse" induit bien plus de questions qu'elle n'en résout, avec une haute dose d'incohérence.

Dans le même temps, étudier différents cerveaux en mettant en avant une différence entre homo/hétéro ne souligne qu'un point : l'existence de cerveaux différents en fonction d'un critère supplémentaire. On sait que le cerveau n'est pas le même selon qu'on soit un homme ou une femme, homo/hétéro, qu'on vote à gauche ou à droite, etc. Ne prouvant qu'une chose : la plasticité du cerveau, étroitement liée aux conditions environnementales des sujets étudiés.

Cette manie de considérer tout ou presque sous le seul angle génétique pour expliquer l'attitude d'un individu est absurde.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Le monsieur du docu dit le contraire. (et Alain Soral aussi :hehe: )

Mais Alain Soral n'a jamais défendu la thèse innéiste ! bien au contraire. Il considère l'homosexualité comme une déviance, une pathologie mentale, et il s'appuie sur une théorie freudienne pour convaincre son public : pour Soral, l'homosexualité est due à une "dysfonction oedipienne", généralement induite par la présence d'une "mère abusive" (théorie qui n'a jamais été prouvée, mais ça, bien évidemment Soral s'en moque). Donc, rien à voir avec ce docu qui évoque plutôt l'influence hormonale et/ou génétique sur l'homosexualité masculine.

Cela étant, il faut préciser que la thèse innéiste de l'homosexualité n'implique en RIEN qu'il s'agit d'une pathologie. "Inné" ne signifie pas "pathologique". Ce sont deux questions qui n'ont rien à voir l'une avec l'autre et qu'il serait bien malhonnête de chercher à confondre.

-------

Ce n'est pas sérieux de considérer l'homosexualité sous l'angle génétique, pour la simple raison que cette "réponse" induit bien plus de questions qu'elle n'en résout, avec une haute dose d'incohérence.

Je ne suis pas d'accord là dessus non plus. Il n'y a pas d'incohérence à considérer l'homosexualité sous l'angle génétique si l'on tient compte d'un autre phénomène, celui que les facteurs culturels, environnementaux et biologiques s'influencent les uns les autres. C'est ce qu'on appelle l'épigénétique.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

-------

Je ne suis pas d'accord là dessus non plus. Il n'y a pas d'incohérence à considérer l'homosexualité sous l'angle génétique si l'on tient compte d'un autre phénomène, celui que les facteurs culturels, environnementaux et biologiques s'influencent les uns les autres. C'est ce qu'on appelle l'épigénétique.

plus.gif

D'ou ma remarque sur les trisomiques. ( En ayant cotoyé quelques uns...Dont une très sympathique kleptomane...Stylo, agrafeuses, stéthos, dossiers......laugh.gif)

C'est très réducteur de faire une approche uniquement génétique des comportements, et parfois/souvent complètement erroné.

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Membre, Posté(e)
gigi1 Membre 168 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Apparemment c'est tendance d'être gay...

Genre si t'as pas un gay quelque part, bouh t'es la pire des

ordures.

J'ai entendu une rumeur sur des histoires de gays

dans la série "the walking dead" avec l'espèce de

d'homme des bois avec un arbalète qui serait gay...

A un moment j'ai cru que les scénaristes allaient nous sortir des

"tarlouzombies" !

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Membre, Posté(e)
Demsky Membre 11 424 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Moi jaimerais tout dabord qu'on me rapelle la definition de lhomosexualite?

-parce que jaime embrasser des mecs?

-parce que je suis tellement fusionnel avec mon meilleur pote?

-parce jai des erections en regardant le cul dun mec?

Elle est ou la limite?

Et dailleurs, si je vous bande les yeux et qu'un mec vous fais une fellation qui vous excite, cela fait til de vous un homo refoulé?

Hein? Non? Peut etre? Pourquoi?

+ 1 = post le + intelligent...

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Invité The Black Cat
Invités, Posté(e)
Invité The Black Cat
Invité The Black Cat Invités 0 message
Posté(e)

Je ne suis pas d'accord là dessus non plus. Il n'y a pas d'incohérence à considérer l'homosexualité sous l'angle génétique si l'on tient compte d'un autre phénomène, celui que les facteurs culturels, environnementaux et biologiques s'influencent les uns les autres. C'est ce qu'on appelle l'épigénétique.

Je suis d'accord (je connais l'épigénétique). Mais ce que je refuse, c'est comme Alain : à attribuer une place trop importante au facteur génétique en méprisants les facteurs environnementaux. Il y a une tendance trop lourde à affirmer que nous sommes façonné par le génétique de façon simpliste, que ce soit la sexualité, nos aptitudes, etc.

C'est ça qui m'inquiète plus qu'autre chose. J'admet la faute néanmoins, j'aurais dû dire mettre "uniquement" dans ce paragraphe.

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