Pourquoi croire en Dieu ?

Je pense que vous risquez, comme Scénon, d'attendre longtemps.

En effet, je dois reconnaître honnêtement que c'est ce que vous pensez.

Bon... on va mettre les choses au clair, si la place devient sérieuse le moindrement...

1-) On ne s'impatiente pas...

2-) On s'attend ( ) à Tout.

3-) On est le plus précis possible, les questions ambigües attirent les réponses ambigües.

Alors voilà, vous posez une question et je réponds... c'est la meilleure méthode puisqu'en vérité, je pars en vrille sitôt que ça dépasse 3 phrases... y'a trop de dimensions qui s'entre-mêlent. :blush:

Donc... pour faire un topo... On va dire que je suis Prométhée :cool: et que j'ai le feu sacré à vous foutre au cul... Vous devrez donc y parvenir en cheminant, question par question, sur le sinueux chemin du savoir...

Avis aux plaisantins... n'abusez pas.

...je ne saurais plus où donner de la tête.........

À tout seigneur tout honneur... À vous de faire vos preuves... z'avez une question?

Ça existe pas l'humanité... Dieu n'en a rien à cirer. En ce qui vous concerne en tant qu'humain, ben Il n'attend rien du tout de vous...

Affirmation gratuite?

Z'avez une question?

J'en ai une: celle que je vous ai posée un peu plus haut.

Croire en Dieu ou pas est une affaire personnelle, et on n'a pas à emmerder les autres à ce sujet.

Une chose est certaine c'est que les religions, elles, sont des créations humaines. Un prétexte comme un autre pour faire la guerre et opprimer les peuples.

Topic rafraichit. Merci de vous concentrer sur le sujet et de ne pas débattre sur les participants.

Merci de vous concentrer sur le sujet et de ne pas débattre sur les participants.

Dans votre zèle louable, vous avez effacé une réponse qui n'avait rien de bien méchant.

En résumé, ADM m'y promet de revenir à ma question formulée à la page précédente, et il m'y invite, «en attendant» et entre autres, à «regrouper mes effets», bien que je n'aie pas encore compris où il veut en venir...

Croire en Dieu ou pas est une affaire personnelle, et on n'a pas à emmerder les autres à ce sujet.

Force est... ou forcé?... d'admettre, que le déroulement et l'évènement vous donnerait entièrement raison sur ce coup... je ne peux donc que me permettre de vous féliciter sans modération pour la clarté et la profondeur de votre réflexion.

Je me dis que ce devrais être ma nouvelle profession de foi... ne pas emmerder les autres avec ça. Comme ce serait ''sage''...

Force est... ou forcé?... d'admettre, que le déroulement et l'évènement vous donnerait entièrement raison sur ce coup... je ne peux donc que me permettre de vous féliciter sans modération pour la clarté et la profondeur de votre réflexion.

Je me dis que ce devrais être ma nouvelle profession de foi... ne pas emmerder les autres avec ça. Comme ce serait ''sage''...

Je pense, présume, hypothèse, que l'on va discuter encore longtemps de ce Dieu inexistant. :smile2:

Finalement..il semble que non !!! ......lol........

Ne pas emmerder les autres avec ça... La-lala-la-lère...

Croire en Dieu ou pas est une affaire personnelle, et on n'a pas à emmerder les autres à ce sujet.

Une chose est certaine c'est que les religions, elles, sont des créations humaines. Un prétexte comme un autre pour faire la guerre et opprimer les peuples.

Pas un prétexte mais une arme qui fonctionne depuis des siècles et qui fonctionne encore aujourd'hui !

La religion est une arme formidable pour dominer les peuples et soulever ceux-ci contre d'autres et tout au nom du suprême, à savoir dieu !

L'idéologie religieuse (avec le fascisme et le communisme), c'est l'arme parfaite, avec elle on fait avaler n'importe quoi aux gens et ils marchent !

Pourquoi croire en Dieu?

Parce-que le père-Noël n'existe pas pardi!

Dans une société traditionnelle, tous les aspects de la vie sont étroitement imbriqués. La religion assure l'unité d'une existence totalement intégrée, et dont le sens n'est pas problématique. La différenciation des institutions est au contraire la caractéristique essentielle du monde moderne.

La conséquence de ce mouvement de rationalisation et de différenciation des institutions est la suivante : la religion se trouve progressivement refoulée et n'apparaît plus que comme une dimension particulière de la vie sociale, avec ses propres organes, séparés et spécialisés.

Mais on ne peut prendre position sur de telles question sans s’interroger également sur la légitimité d'une culture et d'un ensemble de valeurs, dont la portée universelle est souvent contestée. Mais la laïcité ne se résume pas à cette évolution institutionnelle. C'est également une morale et un idéal, celui de la liberté absolu des consciences. La laïcité républicaine est d'abord, selon Jules Ferry, une difficile ascèse individuelle, fondée sur le premier des devoirs républicain : s'instruire. L'humanisme, le rationalisme et le respect de la libre pensée sont les composantes essentielles de cette philosophie que certains, aujourd'hui, jugent désuète.

Le fanatique est celui dont la conviction est telle qu'elle le rend incapable de juger par lui-même, ni d'envisager, voire tolérer, tout autre opinion que la sienne. Cela en fait souvent un combattant... Or, du point de vue religieux, Dieu n'est pas un qu'un principe d'explication du monde, c'est une personne miséricordieuse, objet d'amour. Toutes ces interprétations du phénomène religieux ont en commun d'être réductrices : elles font de celui-ci un symptôme d'autre chose : oppression sociale, domination du négatif ou souvenir traumatique. Chacune de ces réductions est du reste, en théorie, exclusive des autres. Car toute analyse réductrice de la religion a tendance, quelle que soit la pertinence de ses aperçus, à négliger la diversité et la complexité du phénomène religieux, et à sous-estimer la valeur spirituelle de l'expérience religieuse.

C'est à partir de l'idée de parfait qui est en nous que Descartes veut prouver l'existence de Dieu : cette idée est une idée innée de notre entendement, claire et distincte, qu'il ne peut pourtant avoir conçue par ses propres forces, puisqu'il est lui-même imparfait. Un être parfait est donc la cause de l'idée de parfait en notre esprit. Dieu est la seconde certitude, dérivée de celle du sujet pensant.

Mais le monde aussi pourrait conduire à Dieu, et Descartes a toujours essayé de concilier les intérêts de la science et ceux de la religion : la nature-machine n'implique-t-elle pas un ingénieur divin ? Parce que le monde est un pur mécanisme, il ne saurait exister par lui-même, il est suspendu à la création divine.

Il faudrait donc faire naître toute religiosité du sentiment qu'à l'homme de sa finitude et de sa dépendance à l'égard d'une puissance qui le dépasse. L'attitude religieuse par excellence est alors la foi. L'acte de foi a donc rapport à des vérités jugées essentielles, mais mystérieuses, situées au-delà de ce que la raison peut comprendre et qui sont l'objet de révélation. L'homme s'aliène en Dieu parce qu'en lui, il se réalise en un autre imaginaire.

Croire en Dieu, à priori ça donne une grande force (pour faire chier le monde).

ABERNART, t'aurais pas fait philo des fois ?

Croire en Dieu, à priori ça donne une grande force (pour faire chier le monde).

Z'avez raison à 100%... merci de ne pas venir emmerder les autres avec ça... La-lala-la-lère...

ABERNART, t'aurais pas fait philo des fois ?

Un petit peu, une année simplement. Je préfère la musique et le cinéma, à la prochaine ! :)