Deux suicides de patron par jour

Beaucoup de producteurs des agriculteurs sont acculés a la faillite, ce qui ne fait pas d'eux des grands capitalistesm mais des pauvres déséspérés.

Ben la faute à qui ?

Aux charges ou au système libéral qui ne profite qu'à une poignée ?

Moi j'achète mes légumes dans une AMAP, on paye directement au producteur, sans intermédiaire.

Et notre producteur, il est content. Nous aussi.

C'est vrai qu'un agriculteur, quand on lui prend sa ferme (dettes) on lui prend tout,

On lui prend son travail, son lieu de vie.

C'est comme si vous viviez dans votre lieu de travail, et que vous etiez totalement dépendant de votre travail, ce qui est moins vrai ne ville, parce qu'on peut se refaire en cherchant du travail,

La c'est la faillite totale.

l'agriculteur a vécu toute sa vie en pensant vivre de sa ferme, et la il perd son travail, son lieu de vie, son argent, ce qu'il a herité de ces ancetre, on lui prend sa vie en quelque sorte.

C'est vrai que les agriculteurs sont modernes, mais toute leur faculté d'adaptation s'écroule devant la suprématie des multinationnales. il coule

Et c'est dur de tout abandonné, de voir tous ces efforts anéantis par un bull doser

Salops de patrons !! Salop de boulangers, épiciers, bouchers, carreleurs, chauffagistes, paysans. Tous des salops de patrons qui profitent de leurs salariés, même quand ils ne sont patrons que d'eux même...

« The legal treatment accorded to actual criminals is much superior to that accorded to businessmen. The criminal’s rights are protected by objective laws, objective procedures, objective rules of evidence. A criminal is presumed to be innocent until he is proved guilty. Only businessmen—the producers, the providers, the supporters, the Atlases who carry our whole economy on their shoulders—are regarded as guilty by nature and are required to prove their innocence, without any definable criteria of innocence or proof, and are left at the mercy of the whim, the favor, or the malice of any publicity-seeking politician, any scheming statist, any envious mediocrity who might chance to work his way into a bureaucratic job and who feels a yen to do some trust-busting.

Every ugly, brutal aspect of injustice toward racial or religious minorities is being practiced toward businessmen… Every movement that seeks to enslave a country, every dictatorship or potential dictatorship, needs some minority group as a scapegoat which it can blame for the nation’s troubles and use as a justification of its own demands for dictatorial powers. In Soviet Russia, the scapegoat was the bourgeoisie; in Nazi Germany, it was the Jewish people; in America, it is the businessmen. »

« Le traitement légal accordé aux actuels criminels est beaucoup supérieur à ceux accordés aux hommes d’affaires. Les droits des criminels sont protégés par des lois objectives, des procédures objectives, des règles d’évidences objectives. Un criminel est présumé innocent jusqu’à preuve de sa culpabilité. Seuls les hommes d’affaires — les producteurs, les pourvoyeurs, les supporteurs, les Atlas transportant notre entière économie sur leurs épaules — sont dépeints comme coupable par nature et sont requis de prouver leur innocence, sans aucun critère défini d’innocence ou de preuve, et sont à la merci des caprices, des faveurs, ou la malice de politiciens en mal de publicité, de magouille statistique, d’envieuse médiocrité qui pourrait par chance fonctionner à sa manière dans un travail bureaucratique sentant l’envie forte de démanteler des cartels.

Tout laid, tout aspect brutal d’injustice envers une minorité raciale ou religieuse est pratiqué envers les hommes d’affaires… Chaque mouvement qui tend à mettre en esclavage un pays, chaque dictature ou dictature potentielle, a besoin de boucs émissaires sur qui rejeter le blâme pour les problèmes des nations et les utilisent comme justification dans leurs propres demandes de pouvoirs dictatoriaux. En Russie soviétique, le bouc émissaire était la bourgeoisie, en Allemagne nazie ce fut les Juifs, en Amérique ce sont les hommes d’affaires. »

Source : Ayn Rand, Capitalism: The Unknown Ideal. (extraits)

Con testeur, traduction libre.

Je m'en fou chui pas patron...

Salops de patrons !! Salop de boulangers, épiciers, bouchers, carreleurs, chauffagistes, paysans. Tous des salops de patrons qui profitent de leurs salariés, même quand ils ne sont patrons que d'eux même...

« The legal treatment accorded to actual criminals is much superior to that accorded to businessmen. The criminal’s rights are protected by objective laws, objective procedures, objective rules of evidence. A criminal is presumed to be innocent until he is proved guilty. Only businessmen—the producers, the providers, the supporters, the Atlases who carry our whole economy on their shoulders—are regarded as guilty by nature and are required to prove their innocence, without any definable criteria of innocence or proof, and are left at the mercy of the whim, the favor, or the malice of any publicity-seeking politician, any scheming statist, any envious mediocrity who might chance to work his way into a bureaucratic job and who feels a yen to do some trust-busting.

Every ugly, brutal aspect of injustice toward racial or religious minorities is being practiced toward businessmen… Every movement that seeks to enslave a country, every dictatorship or potential dictatorship, needs some minority group as a scapegoat which it can blame for the nation’s troubles and use as a justification of its own demands for dictatorial powers. In Soviet Russia, the scapegoat was the bourgeoisie; in Nazi Germany, it was the Jewish people; in America, it is the businessmen. »

« Le traitement légal accordé aux actuels criminels est beaucoup supérieur à ceux accordés aux hommes d’affaires. Les droits des criminels sont protégés par des lois objectives, des procédures objectives, des règles d’évidences objectives. Un criminel est présumé innocent jusqu’à preuve de sa culpabilité. Seuls les hommes d’affaires — les producteurs, les pourvoyeurs, les supporteurs, les Atlas transportant notre entière économie sur leurs épaules — sont dépeints comme coupable par nature et sont requis de prouver leur innocence, sans aucun critère défini d’innocence ou de preuve, et sont à la merci des caprices, des faveurs, ou la malice de politiciens en mal de publicité, de magouille statistique, d’envieuse médiocrité qui pourrait par chance fonctionner à sa manière dans un travail bureaucratique sentant l’envie forte de démanteler des cartels.

Tout laid, tout aspect brutal d’injustice envers une minorité raciale ou religieuse est pratiqué envers les hommes d’affaires… Chaque mouvement qui tend à mettre en esclavage un pays, chaque dictature ou dictature potentielle, a besoin de boucs émissaires sur qui rejeter le blâme pour les problèmes des nations et les utilisent comme justification dans leurs propres demandes de pouvoirs dictatoriaux. En Russie soviétique, le bouc émissaire était la bourgeoisie, en Allemagne nazie ce fut les Juifs, en Amérique ce sont les hommes d’affaires. »

Source : Ayn Rand, Capitalism: The Unknown Ideal. (extraits)

Con testeur, traduction libre.

J'aime bien ce texte, mais par contre je ne suis pas d'accord pour l'homme d'affaires, l'homme d'affaires est un spéculateurs, pas les agriculteurs, les boulangers, et les petits entrepreneurs, et les entreprises normales,

que je classe dans entrepreneurs.

Mais les hommes d'affaires non. alors il est possible que dans le texte on les appelle des hommes d'affaires. c'est vrai que d'avoir une entreprise on vous classe comme homme d'affaires, mais bon. j'ai du mal, avec les grosse boittes.

Bon peut-etre que c'est juste une question de vocabulaire, et qu'après tout les hommes d'affaires, ne sont pas que des speculateurs.

MAis il y en a. MAis bon, c'est une question de vocabulaire.

Je vais verser une larme.

Au fait tu as trouvé un nouveau patron? :D

Dans bien des entreprises, et pas seulement des grosses, de subtiles montages permettent de mettre le patron à l'abri autant que possible.

Les murs et le terrain sont propriété d'une SCI, les actions de la boutique sont gérées par une structure créée rien que pour ça, la maison et les biens divers sont au nom de la femme ou des enfants ...

Maintenant pour connaitre personnellement des petits patrons, en effet ce n'est pas une situation toujours simple.

Si un patron du CAC40 n'est pas ému par le licenciement de 5000 de ses salariés, un artisan vit parfois très mal le fait de devoir se séparer d'un salarié.

Maintenant je suis pas sûr que son salarié le vive beaucoup mieux.

Au final, le suicide, que ce soit celui d'un patron ou d'un salarié, reste un acte de désespoir source de souffrances indicibles pour les proches ...

C'est moi le boss. Je fais du conseil avant de partir à la Réunion chercher du taf.

Ha ba oui, comme par hasard les assedic ont trouvé une couille et refusent de payer, et moi, je suis à - 600 €. Je peux vous en parler du stress.

Dans bien des entreprises, et pas seulement des grosses, de subtiles montages permettent de mettre le patron à l'abri autant que possible.

Les murs et le terrain sont propriété d'une SCI, les actions de la boutique sont gérées par une structure créée rien que pour ça, la maison et les biens divers sont au nom de la femme ou des enfants ...

Maintenant pour connaitre personnellement des petits patrons, en effet ce n'est pas une situation toujours simple.

Si un patron du CAC40 n'est pas ému par le licenciement de 5000 de ses salariés, un artisan vit parfois très mal le fait de devoir se séparer d'un salarié.

Maintenant je suis pas sûr que son salarié le vive beaucoup mieux.

Au final, le suicide, que ce soit celui d'un patron ou d'un salarié, reste un acte de désespoir source de souffrances indicibles pour les proches ...

On est d'accord, mais de là à affirmer,comme l'article, que c'est la faute des charges qui pèsent sur nos épaules...

Dans bien des entreprises, et pas seulement des grosses, de subtiles montages permettent de mettre le patron à l'abri autant que possible.

Les murs et le terrain sont propriété d'une SCI, les actions de la boutique sont gérées par une structure créée rien que pour ça, la maison et les biens divers sont au nom de la femme ou des enfants ...

Maintenant pour connaitre personnellement des petits patrons, en effet ce n'est pas une situation toujours simple.

Si un patron du CAC40 n'est pas ému par le licenciement de 5000 de ses salariés, un artisan vit parfois très mal le fait de devoir se séparer d'un salarié.

Maintenant je suis pas sûr que son salarié le vive beaucoup mieux.

Au final, le suicide, que ce soit celui d'un patron ou d'un salarié, reste un acte de désespoir source de souffrances indicibles pour les proches ...

Alors la, la source indicible de souffrances pour les proches, si tous les suicidés allaient a leur enterrement, je crois que ça leur passerait carément l'envie de se suicider, de les voir tellement ravis enchantés.

On ne croit pas en l'individu et en sa capacité à entraîner les autres dans son succès. Au contraire, c'est toute la jalousie qui s'exprime, on ne supporte pas le succès de l'autre, et on préconise la redistribution au nom de la solidarité, avec tous les beaux sentiments qui vont avec pour mieux dissimuler cette jalousie.

Et c'est l'Etat socialisé qui se charge d'organiser la redistribution aveugle, qui ne prend pas en compte le mérite et la responsabilité, mais qui se donne bonne conscience puisque c'est au nom de belles valeurs. Tant pis si ça coule le pays.

Source : Réponse du pseudo Dijaybee suite à l’article : L’économiste Charles Gave lance un SOS. Le Point, 14 juillet 2014.

Con testeur.

Je vais verser une larme.

Belle mentalité!

Belle mentalité!

Ne l'accable pas, il cherche justement un patron, donc c'est normal que le pauvre soit ému quand il entend que certains se suicident. :D

la discussion est partie sur le titre accrocheur et censé faire pleurer dans les chaumières lofts :"deux patrons se suicident tous les jours " ...

d'après l'INSEE les patrons se suicident plutôt moins que les ouvriers et employés ....

Donc il s'agit encore de désinformation

personne ne met en doute le stress des patrons ou leurs difficultés ,mais on peut se demander quelle est la finalité de l'article c/c en référence ....

perso à choisir ,je préfère un statut de patron à celui d'ouvrier ou employé ....

Je ne vois pas où est la jalousie ....

c'est d'ailleurs la réponse formatée du riche ,ou du patron dès qu'on met en avant un de ses avantage :"dictée par la jalousie" ...

c'est lassant ...On attribue à tort le suicide à la vie professionnelle alors qu'il est principalement provoqué par des causes relationnelles

trois ados meurent tous les jours suite à un suicide ,pourtant aucun d'entre eux n'est dans la vie active ....l'adolescence c'est une période qui ne dure que quelques années ,alors que les adultes le sont pendant des dizaine d'années ...

la discussion est partie sur le titre accrocheur et censé faire pleurer dans les chaumières :"deux patrons se suicident tous les jours " ...

d'après l'INSEE les patrons se suicident plutôt moins que les ouvriers et employés ....

Donc il s'agit encore de désinformation

aucune désinformation, montrer que 2 patrons se suicide en France chaque jours n'occulte en rien les autres, c'est pas un concours

personne ne met en doute le stress des patrons ou leurs difficultés ,mais on peut se demander quelle est la finalité de l'article c/c en référence ....

montrer que les patrons sont aussi touché par le suicide

Belle mentalité!

Ha ba quand je tombe sur un article de ce genre, à charge, écrit par un pauvre type pour vendre des stages anti stress, je ne vais pas me gêner.

Les patrons stressent, mais ne l’avouent pas

Seules deux études chiffrées existent à propos de la souffrance au travail des patrons de PME. Celle de l’observatoire Amarok, menée en septembre et octobre 2011 et « réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la diversité des dirigeants de PME de 3 à 250 salariés ». L’autre est une étude TNS-Sofres réalisée du 6 au 19 avril 2010 pour le Conseil supérieur de l’Ordre des experts-comptables, « auprès d’un échantillon national de 800 dirigeants de TPE et PME ».

Les chiffres sont éloquents. Les patrons se sentiraient nettement mieux que leurs salariés. Moins déprimés (5 % contre 20 %), moins stressés (32 % contre 48 %), et même moins isolés (6 % contre 22 %). Pour les pathologies recensées (maux de tête, douleurs de dos, troubles du sommeil…), ils se déclarent également moins touchés.

Malgré cela, les inquiétudes sont bien présentes. Les chiffres divergent dans l’étude TNS-Sofres, où les patrons sont 63 % à déclarer qu’il leur arrive de se sentir stressés dans le cadre de leur travail. Une situation de stress aggravée par la crise pour les deux tiers d’entre eux. Les conséquences : des phénomènes d’angoisse, ressentis par 58 % d’entre eux, mais également des problèmes de santé (56 %) ou d’insomnies (50 %). Les principales inquiétudes à la racine de ces perturbations sont l’évolution du carnet de commande, pour 64 % des dirigeants de PME, la gestion du personnel, ou la situation de leur trésorerie. La charge de travail serait également source de stress, pour 50 % des petits patrons. La confiance dans l’avenir n’est pas au rendez-vous, puisque entre un quart des dirigeants de PME et un tiers de ceux de TPE déclarent avoir redouté la disparition de leur entreprise.

Vous savez; ma femme et une bonne copine ont tenu une petite mercerie/vêtements pendant quatre ans. La Banque se manifestait dés que le découvert devenait important. C'est moi qui gérait l'affaire. On a fermé la société non rentable sans casse. Fournisseurs, organismes sociaux et banquier payés. Mais tout le monde ne peut pas être un génie comme Moi !

aucune désinformation, montrer que 2 patrons se suicide en France chaque jours n'occulte en rien les autres, c'est pas un concours

montrer que les patrons sont aussi touché par le suicide

on est bien d'accord, donc il n'y a pas de quoi en faire une information à sensation ....En revanche qu'un ouvrier ait en moyenne une espérance de vie inférieure de 7 ans à celle de son patron ,ça s'en est une ....

Il faudra qu'ils se suicident beaucoup plus pour rétablir un semblant d'équilibre ....

Je vais verser une larme.

Tiens moi j'allais me resservir des pâtes à la carbonara.

"Deux suicides de patron par jour"

La vache, on doit avoir une belle réserve pour tenir la cadence !!!!

Les risques psychosociaux sont sous-estimés et pour les patrons, les auto-entrepreneurs et les professions liberales, c'est carrément tabou.

Ce n'est pas parce qu'ils sont minoritaires qu'il faut fermer les yeux. Un suicide, c'est quand même terrible !

Oui mais 2 par jour !?

En revanche qu'un ouvrier ait en moyenne une espérance de vie inférieure de 7 ans à celle de son patron ,ça s'en est une

Source ?

Con testeur.