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Le rôle de l'autorité dans l'éducation


Savonarol

L'autorité dans la société  

21 membres ont voté

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Membre, ptitevalseuse, 54ans Posté(e)
ptitepao Membre 12 807 messages
54ans‚ ptitevalseuse,
Posté(e)

Je remets ici la réponse que j'avais faite sur un topic désormais fermé !

Quant aux valeurs, il me semble que, pour vivre en société (ce qui est l'un des buts de l'éducation), des valeurs communes sont nécessaires. Le respect en fait partie. La peur, non, à moins de vivre dans une dictature.

Pour compléter, le respect reste la première condition à l'exercice de l'autorité, comme montré dans ma citation, il ne peut être obtenu par la force ou la peur.

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Membre, Posté(e)
Liberte2012 Membre 323 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
complices du système qui oblige à l'instruction jusqu'à 16 ans
Les cours sont obligatoires même après 16 ans, pour ceux qui veulent étudier les maths, ils doivent se taper tout un tas de corvées des autres matières.

16 ans ça fait long pour des corvées journalières et même pendant les petites vaccances, et ça fait plus de 16 ans pour ceux qui veulent faire des études. Jusqu'à 23 ans sans compter de redoublement.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Le principal aspect de l'autorité, c'est sa légitimité.

Et la légitimité, ce n'est pas que l'enfant doive respecter et obéïr à son prof.

La légitimité, c'est qu'il trouve normal de le faire : la nuance est importante, c'est là que tout se joue.

Certains ont toujours tendance à considérer les rapports sociaux sous un point de vue conflictuel : il faut toujours passer par la force ou l'opposition pour faire admettre ses vues - aussi légitimes soit-elles. Cela fait sans aucun doute parti de nos instincts.

Mais il ne faut pas non plus oublier que l'homme est également un animal social : il a inconsciemment besoin de reconnaissance de ses pairs. Le problème c'est la forme que peut prendre cette reconnaissance à atteindre dans l'esprit d'un enfant (ou plus largement d'un citoyen), et envers quel système elle se fait : et au final l'adhésion à la société et à ses valeurs, ou la défiance envers celle-ci.

Et le rapport de force mène davantage vers la réalisation dans la défiance. Lorsque travailler la légitimité (en oeuvrant pour une société exemplaire, juste) mène davantage à l'adhésion.

Je suis d'accord, mais une société qui transforme les parents en "meilleurs copains", ça horizontalise les rapports hiérarchiques pour finir par les faire s'éteindre. J'ai pas toutes les solutions, mais je sais qu'à un moment, il faudra se faire violence et en passer par une reprise en main des choses qui sera fatalement sentie comme "une regression" .

L'autorité sera récupérée par les autoritaires, presque naturellement, parce que on a besoin d'autorité pour contrebalancer cette espèce d'anarchie adolescente dans laquelle on baigne.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Je remets ici la réponse que j'avais faite sur un topic désormais fermé !

Pour compléter, le respect reste la première condition à l'exercice de l'autorité, comme montré dans ma citation, il ne peut être obtenu par la force ou la peur.

Comment il peut être obtenu alors ?

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

Bien évidemment : la solution ce n'est pas de mettre les parents au même niveau que les enfants, comme des "meilleurs copains".

Pas du tout même, ça n'aide pas plus la légitimité.

Qu'il faille de la fermeté, c'est établi : mais il faut qu'elle fasse sens pour ne pas être contre-productive. Pour reprendre le terme de Théia, il faut que cette fermeté soit bienveillante, pour apparaître comme légitime.

Mais dès lors on touche à un champ bien plus large que le seul cadre éducatif, mais qui est indispensable à la légitimité des parents, du corps enseignant, etc ... : la légitimité de la société, qui passe par le bien fondé de ses règles et valeurs, par son caractère juste, etc ...

En d'autres termes, l'éducation est bien souvent le fruit de l'état de notre société, et dans le même temps l'outil pour améliorer cet état.

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Membre, ptitevalseuse, 54ans Posté(e)
ptitepao Membre 12 807 messages
54ans‚ ptitevalseuse,
Posté(e)

Comment il peut être obtenu alors ?

En donnant l'exemple, pour commencer. C'est-à-dire en respectant l'autre comme on souhaite qu'il nous respecte. La réciprocité est bien souvent automatique.

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Membre, Posté(e)
Liberte2012 Membre 323 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Qu'il faille de la fermeté, c'est établi
De la fermeté pour forcer les barbares à se comporter comme des civilisés ? Pour les empécher de manquer de respect à autrui ?

Les jeunes civilisés n'ont pas besoin d'éducation, ils se comportent déjà en civilisés.

Ce serait mieux de chercher l'origine de la barbarie, peut-être génétique, et de lutter contre ça, plutôt que de tout miser sur l'éducation, qui ne civilisera pas les barbares mais fera juste en sorte qu'ils se comportent en civilisé, ils risquent quand même de passer à l'acte un jour ou l'autre. Et vue toute la barbarie qu'il y a dans notre société, il faut bien constater que l'éductation ne fonctionne pas pour faire en sorte que les barbares respectent autrui.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Il est clair que certains parviennent à obtenir une autorité naturelle qui s'obtient dans un simple rapport de respect de l'un vers l'autre et par une reconnaissance de la valeur et de la légitimité de cette autorité.

Et ce point est particulièrement vrai pour la dernière génération, contrairement aux anciens pour qui le respect allait naturellement de pair avec la fonction, l'âge, la situation, cette génération plus jeune n'est plus dans le respect d'une forme d'autorité qui serait de droit ou institutionnelle.

Elle a cette attente de l'interlocuteur en face qu'il soit digne de respect avec des attentes légitimes parfois et aussi avec des attentes disproportionnées selon leur propre représentation de l'autorité et de leur image.

En tout état de cause, l'autorité ne va plus de droit, elle se mérite...

On est passé d'une génération 'du devoir' après guerre a une génération 'de l'avoir' (la mienne) a une génération 'carpe diem' pour arriver à une génération hyper émotionnelle et de 'surfers qui zappent'.

Toutes les organisations qui ont eu affaire à la gestion de la diversité, à l'émancipation de la femme, s'adaptent aujourd'hui à la cohabitation de générations aux repères et aux valeurs différentes avec comme obligation d'adapter les dispositifs manégériaux et la représentation de l'autorité à cette donne.

Seule l'école est lourdée en se faisant bouffer par une génération qui a renversé le pouvoir.

Bravo les jeunes mais tant pis pour vous....

Ces grandes tendances évidemment à moduler ont refaçonné le rapport à l'autorité.

Pour ma part, je trouve logique que l'autorité se mérite et que le dirigeant et l'encadrement se rende légitime.

Dans le même temps, cette obligation d'avoir des encadrants aussi pointus et aussi fins pour gérer les différentes catégories qu'on leur demande de gérer n'est plus à la portée du premier venu.

Et au final, ça pourrait bien être celui en quête d'une autorité légitime qui pourrait en pâtir.

Sauf qu'il surfe donc en gros il s'en branle un peu.

Signé - Zenalpha le vrai vieux con.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Il est clair que certains parviennent à obtenir une autorité naturelle qui s'obtient dans un simple rapport de respect de l'un vers l'autre et par une reconnaissance de la valeur et de la légitimité de cette autorité.

Et ce point est particulièrement vrai pour la dernière génération, contrairement aux anciens pour qui le respect allait naturellement de pair avec la fonction, l'âge, la situation, cette génération plus jeune n'est plus dans le respect d'une forme d'autorité qui serait de droit ou institutionnelle.

Elle a cette attente de l'interlocuteur en face qu'il soit digne de respect avec des attentes légitimes parfois et aussi avec des attentes disproportionnées selon leur propre représentation de l'autorité et de leur image.

En tout état de cause, l'autorité ne va plus de droit, elle se mérite...

On est passé d'une génération 'du devoir' après guerre a une génération 'de l'avoir' (la mienne) a une génération 'carpe diem' pour arriver à une génération hyper émotionnelle et de 'surfers qui zappent'.

Toutes les organisations qui ont eu affaire à la gestion de la diversité, à l'émancipation de la femme, s'adaptent aujourd'hui à la cohabitation de générations aux repères et aux valeurs différentes avec comme obligation d'adapter les dispositifs manégériaux et la représentation de l'autorité à cette donne.

C'est possible je n'avais jamais vu la situation de cette façon. Mais si nous parlons surtout ici de l'école, je ne vois pas sur quoi fonder l'autorité autrement que sur la fonction de l'instituteur ou sur le savoir? Comment peux-tu considérer que l'autorité se mérite si tu supposes que les attentes envers l'autorité sont parfois disproportionnées et que tu considères que mal répondre à ces attentes rend la rébellion légitime ou souhaitable?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est possible je n'avais jamais vu la situation de cette façon. Mais si nous parlons surtout ici de l'école, je ne vois pas sur quoi fonder l'autorité autrement que sur la fonction de l'instituteur ou sur le savoir? Comment peux-tu considérer que l'autorité se mérite si tu supposes que les attentes envers l'autorité sont parfois disproportionnées et que tu considères que mal répondre à ces attentes rend la rébellion légitime ou souhaitable?

Non, ce que j'écris c'est que la jeune génération a cette attente d'une autorité qui se mérite et n'a pas un respect naturel pour une autorité qu'elle trouverait illégitime.

Il y a un côté vertueux dans cette attente car celui qui détient l'autorité n'est plus sur un trône.

Il doit réellement jouer un rôle de repère, de leadersheap, de cadre.

Donc disposer de toutes les qualités d'un encadrant qui n'ont rien mais rien à voir avec le savoir, l'expertise, la connaissance mais qui sont des caractéristiques innées qui se travaillent certes mais en la matière on ne fera jamais d'une chèvre un éléphant.

Face à ce type d'autorité, je ne dis pas que la rébellion est légitime ni souhaitable.

Il est dans la nature des choses qu'il y ait dans le fonctionnement d'une organisation et quelle que soit cette organisation une autorité.

Certes, elle doit être coordonnée, efficace, légitime.

Mais rien de pire que de n'en avoir aucune.

Face à une autorité défaillante, il y a bien des situations où les choses s'auto régulent naturellement.

Le manager saute, le collaborateur prend la place du patron, le mauvais patron finit par être démasqué.

Mais la rébellion n'est ni légitime ni souhaitable.

A savoir que si l'encadrant est mauvais, soit on est suffisamment bon pour prendre sa place soit on se taille et on prend ses propres responsabilités.

Il y a eu un temps où les élèves se levaient lorsque n'importe quel professeur entrait dans la classe.

Où le principal était une autorité quasi divine.

Où l'instituteur était le cadre du village avec le curé et l'instituteur.

C'était en 1812...

AUjourd'hui, l'école a bien d'autres chats à fouetter que les sciences de l'éducation pour ramener un rapport à l'autorité comme socle prérequis de la formation.

Et aujourd'hui, on a des encadrants et des professeurs malheureusement globalement dépassés.

Il y en a des excellents.

Mais le système est grippé.

Terminado, fin de partie, la france coule dans les évaluations et ça n'est pas termlné...

Pendant ce temps, on se demande si l'enfant va pas éternuer si on fait des cours en fonction d'un rythme scolaire inadapté et on nous parle sciences de l'éducation.

Sciences de l'éducation...

Quant tu vois les agités dans une salle de classe, c'est peut être la dernière chose dont les enseignants ont besoin...

Je me souviens de mon passage comme prof pendant un temps court.

J'étais rentré dans la salle de classe d'une prof d'anglais.

Les avions volaient, les élèves criaient j'avais vamais vu ça.

Qu'est ce que tu veux que la pauvre soit douée en anglais ou en sciences de l'éducation...

Dans le même temps la même classe avec un ancien conducteur d'engin de chantier ne bronchait pas en classe d'éducation manuelle et technique.

Le gars ne criait pas.

Il était là avec son autorité naturelle et une petite joue de pincée quand un élève éternuait plus haut que la normale.

Je pense que la rébellion des élèves c'est une belle connerie dans tous les cas c'est eux qui se font baiser in fine en étant diplomé de la plus belle école de gros nuls qu'on ait pu se doter.

La rébellion, c'est plutot chez les profs qu'il faut la trouver...

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Invité Fichée
Invités, Posté(e)
Invité Fichée
Invité Fichée Invités 0 message
Posté(e)

Statistiques

Taux de réussite au baccalauréat selon la filière (%)21,22,23,24

(France métropolitaine + DOM, Public + Privé)

1970 1980 1985 1990 1995 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013

Baccalauréat général 69,0 65,9 67,8 75,4 75,1 79,4 80,3 83,7 82,5 84,1 86,6 87,7 87,9 88,9 87.3 88,3 89,6 92

Baccalauréat techno. 57,7 59,2 65,4 68,4 75,5 78,1 76,8 76,7 76,9 76,2 77,3 79,3 80,3 79,8 81.6 82,3 83,2 86,4

Baccalauréat pro 74,3 72,7 77,5 76,6 75,9 76,9 74,7 77,3 78,5 77,0 87,3 86.5 84,0 78,4 78,5

Tous baccalauréats 67,2 63,9 67,2 73,1 74,9 78,6 78,6 80,1 79,7 79,9 82,1 83,4 83,5 86,2 85.6 85,7 84,5 86,8

Proportion de bacheliers dans une génération selon le type de baccalauréat25,24

(France métropolitaine, Public + Privé)

1970 1980 1985 1990 1995stat 1 2000stat 2 2005 2006 2007 2008stat 3 2009 2010 2011 2012

Baccalauréat général 16,7 18,6 19,8 27,9 37,2 32,9 33,7 34,8 34,7 34,6 35,9 34,3 35,8 37,1

Baccalauréat technologique 3,4 7,3 9,6 12,8 17,6 18,5 17,3 17,2 16,8 16,6 16,2 16,3 16,1 15,7

Baccalauréat professionnel 2,8 7,9 11,4 11,5 12,3 12,8 12,6 14,7 14,4 19,1 23,9

Ensemble 20,1 25,9 29,4 43,5 62,7 62,8 62,5 64,3 64,2 63,8 66,8 65,0 71,0 76,7

↑ 1995 et années antérieures : ancienne série, avec les données démographiques calées sur le recensement de 1990 pour les années 1990 et 1995.

↑ 2000 à 2007 : nouvelle série, avec les données démographiques calées sur le recensement de 1999.

↑ 2008 et 2009 : Indicateur calculé à partir des estimations démographiques de l'INSEE basées sur le recensement de 1999.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Baccalauréat_en_France

Conclusion: On peut donc observer une augmentation constante dans l'ensemble du taux de réussite

au bac

de 1970 à 2012 de 20,1% à 76,7%

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est bien le problème.

Nous sommes passés de 20% de bons élèves à 77% de chèvres.

Bon, je pousse un peu.

A peine...

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Membre+, I. C. Wiener, 33ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
33ans‚ I. C. Wiener,
Posté(e)

Conclusion: On peut donc observer une augmentation constante dans l'ensemble du taux de réussite

au bac

de 1970 à 2012 de 20,1% à 76,7%

De 67,2% à 86,8%. C'est la proportion de bacheliers dans une génération qui est passée de 20,1% à 76,7%. Mais quel est le rapport avec le sujet ?

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Invité Fichée
Invités, Posté(e)
Invité Fichée
Invité Fichée Invités 0 message
Posté(e)

C'est bien le problème.

Nous sommes passés de 20% de bons élèves à 77% de chèvres.

Bon, je pousse un peu.

A peine...

Oui, vous poussez beaucoup trop.

Car:

1/ On ne donne pas le bac comme un cadeau de Noël ou d'anniversaire.

2/ Les exigences envers les élèves, question connaissances, ont beaucoup augmenté , je le sais très bien, depuis 1970 jusqu'aux années 2010 et au-delà.

On ne leur demande absolument pas d’annoner stupidement.

De 67,2% à 86,8%. C'est la proportion de bacheliers dans une génération qui est passée de 20,1% à 76,7%. Mais quel est le rapport avec le sujet ?

:dort:

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Oui, vous poussez beaucoup trop.

Car:

1/ On ne donne pas le bac comme un cadeau de Noël ou d'anniversaire.

2/ Les exigences envers les élèves, question connaissances, ont beaucoup augmenté , je le sais très bien, depuis 1970 jusqu'aux années 2010 et au-delà.

On ne leur demande absolument pas d’annoner stupidement.

Excuse moi si je t'ai manqué de respect et toutes mes félicitations si tu l'as obtenu et d'ailleurs même si tu ne l'as pas obtenu ça n'est pas gage de réussite...

Non, mon propos ne signifie pas qu'il est donné à tout le monde.

Il n'est donné qu'à 80% d'une classe d'âge donc presque à tout le monde.

Merci pour la précision.

Mais peu importe.

Ce qui me chagrine, c'est plutôt le faible % de jeunes qui disposent d'une formation et aussi d'un temps de formation qui soit adapté.

Et j'entends par là que lorsque je vois des armées mexicaines de Bac +5 être à la ramasse sur le marché d'emploi avec des spécialités à faire pâlir une grenouille par temps de brouillard, que de temps de perdu...

Le problème ça n'est pas le bac...

Le problème est d'avoir une formation de qualité.

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Membre+, I. C. Wiener, 33ans Posté(e)
konvicted Membre+ 26 925 messages
33ans‚ I. C. Wiener,
Posté(e)

:dort:

Aucun, on est donc d'accord.

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Membre, Esprit de contradiction, 48ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
48ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

En donnant l'exemple, pour commencer. C'est-à-dire en respectant l'autre comme on souhaite qu'il nous respecte. La réciprocité est bien souvent automatique.

Oui ça marche vachement bien, t'as vu.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Oui, vous poussez beaucoup trop.

Car:

1/ On ne donne pas le bac comme un cadeau de Noël ou d'anniversaire.

2/ Les exigences envers les élèves, question connaissances, ont beaucoup augmenté , je le sais très bien, depuis 1970 jusqu'aux années 2010 et au-delà.

On ne leur demande absolument pas d’annoner stupidement.

:dort:

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Membre, ptitevalseuse, 54ans Posté(e)
ptitepao Membre 12 807 messages
54ans‚ ptitevalseuse,
Posté(e)

Oui ça marche vachement bien, t'as vu.

J'ai vu, oui.

Avec moi ça fonctionne très bien, merci... et toi, tu as essayé ?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Tiens, c'est marrant, ils écrivent mension au lieu de mention.

Bon suis le premier à faire des fautes mais c'est rigolo.

Je suis ravi qu'ils aient une "mension".

Avec un coup de bol pas croyable, ils pourront me payer une belle pension mention très honorable.

Allez hop hop hop au boulot les djeuns.

On cotise on cotise hop hop hop.

Miam miam.

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