Interstellar

Faudrait qu'il y ait plus de sexte pour devenir un film de culte.

Bon... j'irai voir.

Moi j'ai bien aimé.

Meme si un truc m'avait un peu échappé durant le film, vers la fin.

Notamment, à quoi servait le fait qu'il arrive à communiquer avec sa fille.

J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du film, les décalages temporels particulièrement.

Par contre il y a un (gros) détail qui ne tient pas la route, mais je ne le dévoilerai pas ici.

Mais ça m'a un tout petit peu gaché le plaisir.

A voir ! Par contre pas du tout le genre de "film spatial pour enfants"... ambiance pesante.

bah si, quel détail ne tient pas la route?

Moi y a quand même un truc que j'ai trouvé peu crédible. La planète est au bord de la famine, les maladies et les tempêtes de sable détruisent les récoltes, et la dernière céréale qu'on cultive c'est le maïs. Or il s'agit d'une plante particulièrement gourmande en eau, et je pense que si la situation sur terre était si mauvaise que ça, c'est sûrement pas sur le maïs qu'on se rabattrait. Ca me paraît typique d'un point de vue "américano-centré" : en effet, on sait que les Américains adorent le maïs. Mais bon, c'est un détail.

De ce que j'ai comprit, c'est que le maïs est juste le dernier a avoir survécus à l’épidémie.

Un film que j'ai trouvé réussi et qui vaut le coup d'être vu sans être un chef d'oeuvre.

A voir avec l'idée de prendre du plaisir sur "une poésie spatiale" avec un fonds de fable humaine davantage qu'avec l'idée d'avoir une cohérence scientifique; de trouver de la crédibilité sur la survenance des événements ou encore de trouver une thèse crédible sur la représentation du cosmos ou des missions spatiales.

Car de ce point de vue, on a des énormités scientifiques et un manque de crédibilité sur certaines scènes comme sur certaines prises en compte de phénomènes tels que la gravité, les trous noirs, l'impact de la gravité ou de la vitesse sur le temps et même cette vision d'une terre agonisante telle que décrite dans ses représentations est discutable...

La 5ème dimension évoquée, le sens de l'amour n'est pas clair sur les thématiques abordées.

Un scénario sympathique sans être transcendant, une excellente interprétation générale des acteurs dans leur relation, un rapport entre personnages bien perçu.

L'image est superbe même si on a pas l'imprégnation spatiale de Gravity tout en parvenant à donner une imagerie cosmique qui rend davantage compte de l'infinitude, une espèce d'ambition de sens comme 2001 l'odyssée de l'espace sans atteindre la même profondeur, quelques similitudes avec Solaris avec la patte de Nolan.

Le son de Zimmer est super cohérent avec l'image et rend bien une forme de mélancolie.

Le deuil, la mort, la résurrection, la symbolique de la bibliothèque etc etc est intéressant.et donne une architecture au film sympa dans la thématique.

Quelques détails sont évoqués à différents endroits et ressortent comme des éléments scénaristiques intéressants plus tard

Bref, un bon divertissement.

Je ne suis pas déçu même si mes attentes ne sont pas pleinement atteintes.

Une intellectualisation du récit mais un peu léger quand même par rapport au message qu'on en ressort.

Salut,

Après avoir lu les critiques sur le Net, je me suis laissé tenter par le film Interstellar. Je suis un peu fan de science-fiction, j’avoue que l’intrigue m’a tenu en haleine jusqu’aux derniers instants. Avec une bonne dose d’émotions, le long métrage ne m’a pas laissé indifférent. Bref, je le conseille !

Réussir à rendre un film qui traite de sujets physiques au stade hypothétique crédible est appréciable. Un gros effort de numérisation des phénomènes relatifs aux trous noirs-ver-blanc... Maintenant fallait faire un film, donc les trucs qui semblent pas possible je les mets sur le compte de la science fiction. C'est pas ici que j'en parlerai mais on a une certaine liberté d:interprétation de la fin qui fait qu'elle peut être crédible...

Réussir à rendre un film qui traite de sujets physiques au stade hypothétique crédible est appréciable. Un gros effort de numérisation des phénomènes relatifs aux trous noirs-ver-blanc... Maintenant fallait faire un film, donc les trucs qui semblent pas possible je les mets sur le compte de la science fiction. C'est pas ici que j'en parlerai mais on a une certaine liberté d:interprétation de la fin qui fait qu'elle peut être crédible...

Réussir à rendre un film qui traite de sujets physiques au stade hypothétique crédible est appréciable. Un gros effort de numérisation des phénomènes relatifs aux trous noirs-ver-blanc... Maintenant fallait faire un film, donc les trucs qui semblent pas possible je les mets sur le compte de la science fiction. C'est pas ici que j'en parlerai mais on a une certaine liberté d:interprétation de la fin qui fait qu'elle peut être crédible...

Réussir à rendre un film qui traite de sujets physiques au stade hypothétique crédible est appréciable. Un gros effort de numérisation des phénomènes relatifs aux trous noirs-ver-blanc... Maintenant fallait faire un film, donc les trucs qui semblent pas possible je les mets sur le compte de la science fiction. C'est pas ici que j'en parlerai mais on a une certaine liberté d:interprétation de la fin qui fait qu'elle peut être crédible...

wow, trop fort :)

Moi y a quand même un truc que j'ai trouvé peu crédible. La planète est au bord de la famine, les maladies et les tempêtes de sable détruisent les récoltes, et la dernière céréale qu'on cultive c'est le maïs. Or il s'agit d'une plante particulièrement gourmande en eau, et je pense que si la situation sur terre était si mauvaise que ça, c'est sûrement pas sur le maïs qu'on se rabattrait. Ca me paraît typique d'un point de vue "américano-centré" : en effet, on sait que les Américains adorent le maïs. Mais bon, c'est un détail.

L'autre détail spectaculairement peu crédible, c'est que même ultra-polluée et avec des écosystèmes ravagés, la Terre sera toujours infiniment plus hospitalière que n'importe quelle planète dans l'espace. Il sera toujours plus simple de la nettoyer que de tout vouloir recommencer à zéro dans un coin de la galaxie où le climat et les équilibres biologiques globaux seront forcément radicalement différents.

Et ça... cette hypothèse absurde qui sert de prétexte à toute l'histoire du film, c'est dur à passer quand même.

Ou alors, il aurait fallu mieux la détailler.

L'autre détail spectaculairement peu crédible, c'est que même ultra-polluée et avec des écosystèmes ravagés, la Terre sera toujours infiniment plus hospitalière que n'importe quelle planète dans l'espace. Il sera toujours plus simple de la nettoyer que de tout vouloir recommencer à zéro dans un coin de la galaxie où le climat et les équilibres biologiques globaux seront forcément radicalement différents.

Et ça... cette hypothèse absurde qui sert de prétexte à toute l'histoire du film, c'est dur à passer quand même.

Ou alors, il aurait fallu mieux la détailler.

C'est un prétexte banal et pas forcément évident, mais détailler le pourquoi du comment de ce côté-là aurait amené à un film de 5 heures, au moins. Ce n'était pas là le but du film qui partait du postulat que la Terre n'était plus assez accueillante et qu'à côté, d'autres planètes pouvaient l'être davantage à l'heure actuelle.

C'était sympa, un peu long, surtout quand on se doute déjà de ce qu'il va se passer, Harry Potter avait déjà fait le truc :D (et d'autres avant aussi, certainement ^^)

Je l'ai trouvé un peu plus difficile à suivre qu'Inception malgré tout, surtout avec les notions de gravité qui m'échappaient un peu.

Ce qui m'a gêné se situe au niveau de l'écoulement du temps.

Que le temps soit relatif à la gravité, pourquoi pas... c'est une notion dans l'air du temps ().

Donc voir le temps s'écouler différemment pour les protagonistes car soumis à des gravités très différentes, je trouve ça intéressant surtout pour le scénario.

Par contre, le retour temporel final, là niet, je ne peux pas.

Qu'un trou de ver permette d'échapper à la gravité et donc de voyager "plus vite": ok. Par contre qu'il permettent de retourner dans le passé... et particulièrement avec la notion de prédestination qui en découle (et est donc un des postulats de fonctionnement de l'histoire)... mais bon, ça colle bien avec les croyances de base du pays producteur...

Excellent film tout de même

L'autre détail spectaculairement peu crédible, c'est que même ultra-polluée et avec des écosystèmes ravagés, la Terre sera toujours infiniment plus hospitalière que n'importe quelle planète dans l'espace. Il sera toujours plus simple de la nettoyer que de tout vouloir recommencer à zéro dans un coin de la galaxie où le climat et les équilibres biologiques globaux seront forcément radicalement différents.

Et ça... cette hypothèse absurde qui sert de prétexte à toute l'histoire du film, c'est dur à passer quand même.

Ou alors, il aurait fallu mieux la détailler.

On ne sait pas exactement ce qui s'est passé avant, et qui a rendu la planète tellement inhospitalière. D'après ce qu'on comprend, il s'agit d'une ou plusieurs guerres. En plus la technologie a mauvaise presse, le métier le plus important étant désormais celui d'agriculteur. Non seulement la terre est polluée, mais on semble revenu à une mentalité pré-industrielle.

Ce qui m'a gêné se situe au niveau de l'écoulement du temps.

Que le temps soit relatif à la gravité, pourquoi pas... c'est une notion dans l'air du temps ().

Donc voir le temps s'écouler différemment pour les protagonistes car soumis à des gravités très différentes, je trouve ça intéressant surtout pour le scénario.

Par contre, le retour temporel final, là niet, je ne peux pas.

Qu'un trou de ver permette d'échapper à la gravité et donc de voyager "plus vite": ok. Par contre qu'il permettent de retourner dans le passé... et particulièrement avec la notion de prédestination qui en découle (et est donc un des postulats de fonctionnement de l'histoire)... mais bon, ça colle bien avec les croyances de base du pays producteur...

Excellent film tout de même

Le temps correspond à la 4ème dimension, la gravité à la 5ème dans le film. Ces dimensions ont les mêmes propriétés physiques que les trois que nous connaissons, donc si on en a les possibilités, on peut les manipuler de la même manière. Comme ils le disent dans le film, le lieu où Cooper accède à la chambre de sa fille a été conçu en 3D pour mieux l’appréhender. Chaque pièce correspond à un instant précis de ce qu'il s'est passé. Potentiellement cela est vrai pour tout espace. On peut donc voyager dans le temps comme on voyagerait dans l'espace. C'est enfaite ce qu'il se produit dans le film, quand Cooper navigue dans l'espace, il parcourt différents instants. Ainsi cela permet au spectateur de mieux comprendre la chose.

Maintenant, la fin du film est à double tranchant. Soit on prend la fin comme on nous la présente et on se dit ok Cooper communique avec sa fille et sauve l'humanité, il retombe près de Jupiter puis sur un vaisseau terrestre. Soit on imagine que Cooper meurt dans le trou noir (vu le gradient de la gravité ça me parait physiquement normal) et tout ce qu'il se passe après est le fruit de son imagination. Le professeur Mann en avait parlé, sur ce qu'on voyait avant de mourir. Puis la mission Lazare, qui revient d'entre les morts... Bref je sais pas trop, mais globalement le film reste très proche de la "réalité" pour un SF qui aborde de tels sujets. Personnellement je préfère croire à la première version.

Le plus choquant pour moi est qu'un trou de ver de cette taille proche de Jupiter ne perturbe pas plus que ça le système solaire (objet massique très, très gros). Maintenant, on peut imaginer que le trou de ver a été mis en place par les générations futures de façon a facilité le sauvetage de l'humanité. Comme cette génération future vie dans 5 dimensions, ils contrôlent la gravité et pourraient rendre un trou de ver traversable en modifiant sa gravité.

J'ai bien aime ce film, ainsi que le poème souvent cité: Do not go gentle into that good night by Dylan Thomas

qui avait écrit lui-même pour son père mourant.