Violence physique Vs Violence Morale...

Mais ces femmes cherchent à s'en sortir mais ce n'est pas non plus facile surtout quand un homme te fragilise par ses agressions, tu en parles comme s'il suffisait de se dire, je m'en vais et il n'y aura plus de problèmes malheureusement ça ne se résout pas juste comme ça.

C'est difficile pour moi de lire ce genre ce chose, mais je m'arrête là.

Oui, seulement pour les sortir de cet état de fragilité il faut aussi les aider à ne pas retomber dans ce genre de shéma...

Je n'ose plus utiliser le mot qui semble fâcher.

Si une femme retombe dans ce genre de schéma, c'est qu'elle a trop été fragilisé par l'agression et qu'elle ne s'en est pas sortie et que là, il faut encore l'aider à prendre confiance en elle...

Et c'est bien pour cela qu'il est important quand une femme se sort de ces agressions, qu'il faut qu'elle arrive à ne plus se considérer comme la victime de cet homme, car là oui elle risque fortement de retomber dans le même genre de schéma.

Non, c'est qu'elle s'est mal construite et qu'elle n'a effectivement pas confiance en elle.

C'est bien pour cela qu'il ne faut pas se "complaire" dans cet état de victime, je suis d'accord.

j'ai connu ces deux formes de violence dans l'enfance. Les violences physiques sont cicatrisées. Les violences morales ne cicatrisent jamais complètement, elles hantent toute la vie, surtout le soir si on n'arrive pas à dormir.

Qu'est ce qui est confus? je demande, pour ne pas commettre d'impair.

Quelqu'un qui se plaint de sa condition sans rien y changer finit par se rendre responsable de ce qui lui arrive, non?

aux joies de vos bonheurs me semble t il quand je vous lis...avez vous seulement penser une seule seconde que la personne qui se plaint de sa condition est peut être dans l'incapacité de s'en sortir seule?

vous n'avez aucune idée de ce qu'est l'acharnement psychologique qu''une personne subi par un tiers (famille par exemple) ni les ravages psy que cela peut causer sur la personne qui subi! ça lui enlève toute énergie toute volonté ...

c'est pour cela pour recadrer avec le sujet de pep psy, je pense que la violence psychique psychologique est plus grâve que physique car comme nombre de personnes l'ont dit ici elle n'est pas visible, aucune trace physique ne permet de la déceler, et c'est cela qu'il faut combattre à savoir dénoncer: quand on voit une personne qui ne sourit jamais qui en prend pas soin d'elle (je ne cite que des exemples) ou qui ne sort pas ou peu ou qui refuse le contact avec les autres, il faut l'aider en lui apportant des solutions ou en la mettant en contact avec des professionnels ...si chacun de nous le faisait dans le cadre de ses amis connaissances ou famille, ça irait déjà mieux.

et non cette personne là qui souffre n'est en rien responsable de ce qui lui arrive, et c'est à cause des raisonnements comme le vôtre que ces personnes là continuent à vivre "leur enfer"...

Si une femme retombe dans ce genre de schéma, c'est qu'elle a trop été fragilisé par l'agression et qu'elle ne s'en est pas sortie et que là, il faut encore l'aider à prendre confiance en elle...

Et c'est bien pour cela qu'il est important quand une femme se sort de ces agressions, qu'il faut qu'elle arrive à ne plus se considérer comme la victime de cet homme, car là oui elle risque fortement de retomber dans le même genre de schéma.

C'est ce que je veux dire depuis le début. Ne plus être victime mais actrice (ou acteur) !

Non, c'est qu'elle s'est mal construite et qu'elle n'a effectivement pas confiance en elle.

C'est bien pour cela qu'il ne faut pas se "complaire" dans cet état de victime, je suis d'accord.

Et comment tu veux bien te construire quand tu as été maltraitée ?

Oui une fois que la personne est sortie du danger, il est important qu'elle arrive à ne plus se considérer comme victime de cet homme mais il faut du temps et elle a besoin d'être suivi pour l'aider à passer ce cap difficile.

aux joies de vos bonheurs me semble t il quand je vous lis...avez vous seulement penser une seule seconde que la personne qui se plaint de sa condition est peut être dans l'incapacité de s'en sortir seule?

vous n'avez aucune idée de ce qu'est l'acharnement psychologique qu''une personne subi par un tiers (famille par exemple) ni les ravages psy que cela peut causer sur la personne qui subi! ça lui enlève toute énergie toute volonté ...

c'est pour cela pour recadrer avec le sujet de pep psy, je pense que la violence psychique psychologique est plus grâve que physique car comme nombre de personnes l'ont dit ici elle n'est pas visible, aucune trace physique ne permet de la déceler, et c'est cela qu'il faut combattre à savoir dénoncer: quand on voit une personne qui ne sourit jamais qui en prend pas soin d'elle (je ne cite que des exemples) ou qui ne sort pas ou peu ou qui refuse le contact avec les autres, il faut l'aider en lui apportant des solutions ou en la mettant en contact avec des professionnels ...si chacun de nous le faisait dans le cadre de ses amis connaissances ou famille, ça irait déjà mieux.

et non cette personne là qui souffre n'est en rien responsable de ce qui lui arrive, et c'est à cause des raisonnements comme le vôtre que ces personnes là continuent à vivre "leur enfer"...

J'abandonne...

C'est ce que je veux dire depuis le début. Ne plus être victime mais actrice (ou acteur) !

Oui mais c'est après qu'elle soit sorti de cette relation qu'elle peut y arriver, tu donnais l'exemple d'une de tes connaissances qui se laisse humiliée, elle reçoit des coups ou tu parles de violence verbale ?

Que ce soit une situation ou l'autre, elle doit le vivre très mal pour ne pas y réagir et à force que l'on te dise des paroles blessantes, la personne pense qu'elle est nulle et qu'elle mérite ce qu'il lui arrive.

La difficulté vient du fait que la première chose à leur apprendre et à leur faire admettre et valider, c'est qu'elles sont des victimes. Or... ensuite il faut leur dire l'inverse. Considérant leur schéma pour la plupart très dysfonctionnels depuis de nombreuses années, je vous laisse imaginer le stress...

January,

+1

Tout à fait, bien résumé.

Je crois que la suggestion de January est judicieuse... "Erreur"

Je pense que la première des choses, c'est d'ôter à la personne agressée toute notion de culpabilité de sa part. Une personne peut se sentir coupable vis-à-vis d'elle même en se considérant comme lâche, et se sentir coupable vis-à-vis de son entourage bienveillant qui cherche vainement à l'aider. Il faut que la personne se rende compte qu'il n'y a de sa part ni erreur, ni responsabilité, qu'elle se considère comme victime à part entière, pour paradoxalement réaliser que c'est de ce sentiment de culpabilité que venait la fatalité de sa condition. Ensuite, comme l'a écrit Winona, elle peut échapper à cette fatalité...

Je ne te parle pas de responsabilité de prendre les coups, mais bien de celle de faire la démarche de se faire aider.

D'admettre qu'il y a un problème, si tu préfères, de façon à ce qu'elle réagisse.

le problème ce n'est pas la victime

le problème c'est l'agresseur c'est lui qui devrait se faire aider

maintenant la vie serait rose bonbon si toutes les victimes pouvaient être aidées et sauvées des agresseurs juste parce que elles feraient la démarche vers? qui déjà? un professionnel? et ce professionnel pourrait les sortir des griffes de l'agresseur, , ?

ah ton joli monde...Winona,

La difficulté vient du fait que la première chose à leur apprendre et à leur faire admettre et valider, c'est qu'elles sont des victimes. Or... ensuite il faut leur dire l'inverse. Considérant leur schéma pour la plupart très dysfonctionnels depuis de nombreuses années, je vous laisse imaginer le stress...

Tu m'as devancé...

Oui mais c'est après qu'elle soit sorti de cette relation qu'elle peut y arriver, tu donnais l'exemple d'une de tes connaissances qui se laisse humiliée, elle reçoit des coups ou tu parles de violence verbale ?

Que ce soit une situation ou l'autre, elle doit le vivre très mal pour ne pas y réagir et à force que l'on te dise des paroles blessantes, la personne pense qu'elle est nulle et qu'elle mérite ce qu'il lui arrive.

Non pas de coups. Et elle ne pense pas qu'elle est nulle, c'est ça que je trouve déstabilisant.

Elle dit juste que ça ne sert à rien de rétorquer, qu'elle n'aime pas le conflit et elle fait profil bas ! Doit y avoir une ou des raisons bien sûr, mais l'entendre se plaindre à longueur de temps et à tout le monde, mais sans bouger le petit doigt....

le problème ce n'est pas la victime

le problème c'est l'agresseur c'est lui qui devrait se faire aider

maintenant la vie serait rose bonbon si toutes les victimes pouvaient être aidées et sauvées des agresseurs juste parce que elles feraient la démarche vers? qui déjà? un professionnel? et ce professionnel pourrait les sortir des griffes de l'agresseur, , ?

ah ton joli monde...Winona,

Tu ne connais rien de mon monde, je ne parle que de ce que je connais.

la première chose est de les reconnaitre comme des victimes (on= la société)

et arrêter de leur dire ou faire comprendre que si elles en sont là dans leur comportement (dysfonctionnel) c'est que c'est de leur faute

concernée je peux vous affirmer que dans ma tête les choses sont claires mais la non reconnaissance du mal subi est ce qui empêche les victimes d'avancer...de se reconstruire, de passer outre

vous comprenez le distingo, .?

La difficulté vient du fait que la première chose à leur apprendre et à leur faire admettre et valider, c'est qu'elles sont des victimes. Or... ensuite il faut leur dire l'inverse. Considérant leur schéma pour la plupart très dysfonctionnels depuis de nombreuses années, je vous laisse imaginer le stress...

Tu ne connais rien de mon monde, je ne parle que de ce que je connais.

c'est bien ce que je disais...quand on ne connait pas la maltraitance psychique on ne peut pas parler au nom des maltraitées.

la première chose est de les reconnaitre comme des victimes (on= la société)

et arrêter de leur dire ou faire comprendre que si elles en sont là dans leur comportement (dysfonctionnel) c'est que c'est de leur faute

concernée je peux vous affirmer que dans ma tête les choses sont claires mais la non reconnaissance du mal subi est ce qui empêche les victimes d'avancer...de se reconstruire, de passer outre

vous comprenez le distingo, .?

Personne n'a dit ça...

Devancée. Bah oui, personne n'a dit ça.

Non pas de coups. Et elle ne pense pas qu'elle est nulle, c'est ça que je trouve déstabilisant.

Elle dit juste que ça ne sert à rien de rétorquer, qu'elle n'aime pas le conflit et elle fait profil bas ! Doit y avoir une ou des raisons bien sûr, mais l'entendre se plaindre à longueur de temps et à tout le monde, mais sans bouger le petit doigt....

Ce genre de personnes existent aussi malheureusement, quand elle se plaint, tu devrais lui demander pourquoi elle reste. Peut être qu'elle a souffert dans son enfance et qu'elle ne sait pas faire la différence entre ce qui est bien ou mal et ce qui doit être accepté ou pas. Pour ma part, une personne qui se plaint sans arrêt, je vais la conseiller ou l'aider au début mais après j'abandonne si aucune réaction de sa part.