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Cinq intox sur la théorie du genre

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Invité lobotomie_

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Faudra déjà que tu expliques ce que tu veux dire par ce mot et par "politiquement correct".

À moins que chez toi un mot politiquement correct soit un mot sans sous-entendus, et en ce cas-là, il n'en existe aucun dans la langue française (hormis les mots à fonctions)

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

Tenez vous vouliez des exemples de promoteurs de la théorie du genre:

Voilà un autre de ces cerveaux malades: l'expérience tragique du gourou de la théorie du genre

Le plus intéressant, c'est la conclusion :

Ce fait divers est étranger à la délicate, et bien réelle, question des personnes nées avec une identité sexuelle incertaine, dont le ressenti psychique ou physique demeure flou. Et, si cette histoire fut un drame, c'est bien parce qu'un enfant fut forcé à vivre selon une identité qui ne lui convenait pas et qu'à lui comme à son frère fut imposé un mensonge ravageur. Il importe de préciser que cette expérience ne saurait entacher les études de genre, qui d'ailleurs s'éloigneront de ces errements du champ médical pour se nourrir du combat féministe puis des travaux de l'anthropologie, interrogeant l'influence de la culture sur la nature, jusqu'à devenir un sujet transversal mêlant littérature, philosophie, sociologie...

On ne le répétera jamais assez, mais ce qui est en jeu c'est détruire des stéréotypes qui placent tel ou tel sexe en infériorité à l'autre, et non transformer les hommes en femmes (ça a l'air horrible d'être une femme :D ) ou bien encore fondre les deux sexes en un. :zen:

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Membre, Brise-noix devant l'éternel, 30ans Posté(e)
Ninouschkaya Membre 3 047 messages
30ans‚ Brise-noix devant l'éternel,
Posté(e)

Le plus intéressant, c'est la conclusion :

On ne le répétera jamais assez, mais ce qui est en jeu c'est détruire des stéréotypes qui placent tel ou tel sexe en infériorité à l'autre, et non transformer les hommes en femmes (ça a l'air horrible d'être une femme :D ) ou bien encore fondre les deux sexes en un. :zen:

Voilà, on dirait que pour certains, le fait que des femmes puissent faire des métiers "d'hommes" sans être inquiétées, et les hommes faire des activités "attribuées aux femmes" ça va nous mené à une société de testicules découpés et de femmes qui font claquer les fouets. Personne n'émasculera personne, et si y en a qui aiment leurs poils et leurs slip kangourou, personne les forcera à mettre les robes de leurs soeurs, c'est aussi con que ça.

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Membre, Posté(e)
MartinHenry Membre 2 649 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tenez vous vouliez des exemples de promoteurs de la théorie du genre:

Voilà un autre de ces cerveaux malades: l'expérience tragique du gourou de la théorie du genre

Ben oui, c'est bien une preuve que la théorie du genre n'existe pas vraiment (au sens d'un courant communément répandu fusse t'il minoritaire concernant une controverse scientifique). Tu sors le cas d'un cinglé qui nous fait gentiment de l'expérimentation humaine, profitant de la faiblesse de parents désemparés.

Au fait, sais tu s'il a fait de la tôle ? As tu fait d'autres recherches sur ce cas ?

Modifié par MartinHenry
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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 39 802 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

Je reconnais sans problème que ma patience a ses limites et que ma pédagogie aussi.

Condescendance et paternalisme...

Ces deux là, je sais parfaitement et sans ambiguïté aucune ce qu'ils veulent dire.

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Membre, Posté(e)
MartinHenry Membre 2 649 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je reconnais sans problème que ma patience a ses limites et que ma pédagogie aussi.

Venant de quelqu'un qui ne dispose pas des rudiments en biologie pour comprendre que les aspects de la sexualité qui ne s'arrêtent pas à la reproduction font partie intégrante du comportement de l'espèce et ne sont donc pas forcément déviants, ça se pose là.

Quelle pédagogie quand on ne sait rien ? :bad:

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 174 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

Bonjour,

J'ai déjà répondu à cette interrogation ( et à plein d'autres un peu dans le même genre ) trois pages plus tôt.

Et bien, pas vraiment, non.

Tu t'es juste targué de "qualifier l'homosexualité de déviance, sans pour autant - en gros - porter de jugement à son encontre".

Mais l'usage même du terme déviance est orienté, car l'usage que l'on fait généralement du terme concerne davantage des comportement sexuels extrêmes, choquants, ou relevant d'une pathologie psychiatrique.

Si l'on relis ton post original sur ce sujet, on voit que tu compares l'homosexualité au comportement d'un homme qui n'aurait de cesse de pratiquer le cunilingus, la sodomie, la fellation ... sans jamais avoir envie d'aller vers la pénétration.

Or ce sont deux comportements bien différents : car la pénétration entre un homme et une femme est tout ce qu'il y a de plus banal dans une relation, selon les normes de la société (car la déviance est avant tout un comportement qui va à contre courant des normes), et qu'effectivement, un homme qui refuse précisément cette pratique, alors qu'elle est possible, présente sans doute une déviance vis à vis de sa compagne. Et, je n'ai pas de statistiques dans ce domaine, mais on peut imaginer que le nombre d'individus dans ce cas ne doit pas non plus être gigantesque.

Et puis, d'ailleurs, je réitères l'argument de la contraception : un homme (et donc une femme) qui consent à la pénétration, mais en étant assuré par un moyen contraceptif que cela interdit l'aspect reproducteur, n'est strictement pas animé par "une pulsion de vie". Une femme qui prend la pilule non plus. Si durant toute sa vie une femme n'aspire pas à la maternité, elle présenterait donc - dans ce qui découle de ton argumentation - une déviance.

Tout ceci découle de ton jugement de base selon lequel la "fonction première" de la sexualité serait la reproduction, ou, en d'autres termes, qu'il y aurait une dichotomie dans la sexualité :

- un aspect "naturel", celui de la reproduction

- un aspect "artificiel" (créé par l'homme ?), celui du plaisir

Or, ce découpage n'a pas de sens, car c'est nier que le plaisir, la pulsion sexuelle, font eux aussi parti de la nature, et qu'ils n'ont en rien d'artificiels.

Ce qui l'est, artificiel, c'est ce découpage.

Le plaisir sexuel est - du moins chez l'être humain - une composante parfaitement naturelle (comme le plaisir en général), qui a des interactions certaines sur le comportement vital de l'individu. Par ailleurs, comme cela a déjà été dit, l'homosexualité existe chez les animaux, donc "naturellement".

En passant, nombre de "véritables" "déviances sexuelles" - selon nos normes - se retrouvent dans le règne animal.

Car l'on en arrive au final au dernier aspect qui me semble erroné de ton argumentation, la démarche de lier la déviance à une justification naturelle : il s'agit de vouloir appliquer à la nature des règles de mœurs qui sont avant tout humaines et culturelles, ce qui n'a aucune sens d'un point de vue naturel.

Car la déviance ne se juge au final que par rapport à des normes culturelles, des normes de sociétés, qui sont par essence des constructions en premier lieu artificielles. Et donc, en ce qui concerne l'homosexualité, il s'agit tout de même d'un phénomène suffisamment répandu au travers des cultures, des époques et des lieux, pour en faire une réalité naturelle chez l'être humain, et donc l'intégrer à nos normes de société.

Donc, l'homosexualité était peut-être jugée comme une déviance il y a quelques décennies, mais elle n'a, de nos jours, rien d'anormale, justement parce que nos sociétés sont allées au delà de leurs normes artificielles pour appréhender cette réalité naturelle. Aussi, je ne vois vraiment pas en quoi l'on pourrait taxer l'homosexualité de déviance, alors qu'il s'agit pour nombre d'individus de l'accomplissement banal de leurs pulsions naturelles.

Modifié par Pheldwyn
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Membre, Esprit de contradiction, 47ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
47ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Faudra déjà que tu expliques ce que tu veux dire par ce mot et par "politiquement correct".

À moins que chez toi un mot politiquement correct soit un mot sans sous-entendus, et en ce cas-là, il n'en existe aucun dans la langue française (hormis les mots à fonctions)

Je peux difficilement être plus clair que ce que j'ai déjà dit, mais si je te lis bien, alors pour toi le sens des mots passe au second plan, derrière l'intention potentielle de celui qui les utilise, et donc derrière finalement TA manière de voir le monde, TES préjugés, TES craintes, au dépend de la réalité de ce que tu lis.

Un monde d'intention n'est finalement rien d'autre qu'un monde de paranoïa, et la paranoïa n'offre pas une base de discussion saine.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Je crois que vous n'avez pas compris.

1- vous n'avez rien dit, juste essayé de tricher avec le mot déviance.

2- ce n'est pas un problème de "ma manière" mais le fait qu'un mot a un sens. Vous voulez changer le sens d'un mot ? Ça ne marche pas comme ça.

Le sens d'un mot est au premier plan. Vous vous exigez qu'on imagine un nouveau sens en faisant fi de celui qui existe. Déviance est un mot péjoratif. Vous pouvez triturer la réalité autant que vous voulez, c'est le cas.

Maintenant, faites une périphrase pour expliquer ce que vous voulez dire par déviance, et je vous trouverai le mot qui convient.

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Membre, Esprit de contradiction, 47ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
47ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Et bien, pas vraiment, non.

Tu t'es juste targué de "qualifier l'homosexualité de déviance, sans pour autant - en gros - porter de jugement à son encontre".

Mais la définition même que tu donnes au terme déviance est orienté, car l'usage que l'on fait généralement du terme concerne davantage des comportement sexuels extrêmes, choquants, ou relevants d'une pathologie psychiatrique.

La définition, ça n'est pas moi qui la donne, moi je l'utilise. En plus, je développe, comme tu le comprends bien dans la suite de ton post vu que tu y réponds.(j'y viens )

Si l'on relis ton post original sur ce sujet, on voit que tu compares l'homosexualité au comportement d'un homme qui n'aurait de cesse de pratiquer le cunilingus, la sodomie, la fellation ... sans jamais avoir envie d'aller vers la pénétration.

Or ce sont deux comportements bien différents : car la pénétration entre un homme et une femme est tout ce qu'il y a de plus banal dans une relation, selon les normes de la société (car la déviance est avant tout un comportement qui va à contre courant des normes), et qu'effectivement, un homme qui refuse précisément cette pratique, alors qu'elle est possible, présente sans doute une déviance vis à vis de sa compagne. Et, je n'ai pas de statistiques dans ce domaine, mais on peut imaginer que le nombre d'individus dans ce cas ne doit pas non plus être gigantesque.

Envie? Non, l'envie de pénétration vaginale entre deux hommes, ça n'existe pas. Ma métaphore avec les pratiques sexuelles que j'appelle " de loisir " sert à démontrer la finalité d'une sexualité par rapport à l'autre : l'homosexualité n'a comme finalité rien d'autre que le plaisir sexuel là où l'hétérosexualité a comme finalité la reproduction, donc la vie.

Je suis convaincu que le désir d'enfant vient de l'amour hétérosexuel dans 98% des cas, et donc du paradigme hétérosexuel de représentation du monde.

Le rapport - aujourd'hui - de l'homosexuel à l'enfant est de facto un rapport commercial ( recours à un service extérieur pour créer la vie ) , et donc un comportement de consommateur vis à vis de quelque chose d'éminemment gratuit à la base : l'enfantement.

Ainsi, dans le schéma homosexuel, l'enfant devient un objet de consommation, comme une maison, une voiture.... Ce qui ne veut pas dire qu'il ne l'aimera pas, mais que l'amour qu'il aura pour lui ne se basera pas sur les mêmes bases de gratuité et de transcendance ( mon enfant est ma chair ) que celui d'un couple hétéro qui fait un enfant.

Je pense que l'amour parental a une dimension sacrée : interrogez une mère, elle comprendra ce que ça veut dire et où est la différence entre l'amour d'une mère pour son fils et l'amour d'une personne pour quelque chose qu'il s'est "procuré".

De A à Z dans ces histoires, tout est affaire d'argent, de business, et bien naif est celui que ça n'est qu'une affaire de "droit" ou "d'amour".

Et puis, d'ailleurs, je réitères l'argument de la contraception : un homme (et donc une femme) qui consent à la pénétration, mais en étant assuré par un moyen contraceptif que cela interdit l'aspect reproducteur, n'est strictement pas animé par "une pulsion de vie". Une femme qui prend la pilule non plus. Si durant toute sa vie une femme n'aspire pas à la maternité, elle présenterait donc - dans ce qui découle de ton argumentation - une déviance.

Et que reste t-il d'une relation stérile ? Une fois que la passion s'en est allée ? Donc que reste t-il d'une relation qui ne débouche JAMAIS à une autre vie ? A un autre modèle?

Pas grand chose. Le couple stérile le sait, et c'est pour ça qu'il a d'ailleurs recours à l'adoption, parce que sa continuité ne se fait pas dans le fond d'une capote vide.

Tout ceci découle de ton jugement de base selon lequel la "fonction première" de la sexualité serait la reproduction, ou, en d'autres termes, qu'il y aurait une dichotomie dans la sexualité :

- un aspect "naturel", celui de la reproduction

- un aspect "artificiel" (créé par l'homme ?), celui du plaisir

Or, ce découpage n'a pas de sens, car c'est nier que le plaisir, la pulsion sexuelle, font eux aussi parti de la nature, et qu'ils n'ont en rien d'artificiels.

Ce qui l'est, artificiel, c'est ce découpage.

Je comprend ce que tu veux dire, mais tu as mal compris ce que je pense : j'aime le sexe, tout le monde aime le sexe, le sexe n'est pas un plaisir artificiel, c'est un plaisir humain, je ne lui nie pas son humanité : je dis que le plaisir seul ne créé pas la vie, le plaisir seul ne mène pas au second paradigme qui te fait passer de "petit ami" à "papa" (ou maman), le paradigme homosexuel, c'est jouir et mourir là où le paradigme hétérosexuel est jouir ET continuer à vivre dans et par la chair de son enfant.

Le plaisir sexuel est - du moins chez l'être humain - une composante parfaitement naturelle (comme le plaisir en général), qui a des interactions certaines sur le comportement vital de l'individu. Par ailleurs, comme cela a déjà été dit, l'homosexualité existe chez les animaux, donc "naturellement".

D'ailleurs, nombres de "déviances sexuelles" selon nos normes se retrouvent dans le règne animal.

Il n y a aucune structure morale chez l'animal, l'animal ne cherche pas à transcender son existence, il voit un os, il le mange, un réverbère, il pisse. Il est animé par ses pulsions, l'homme tente d'en faire quelque chose d'humain, c'est ce qui fait son humanité.

Car l'on en arrive au final au dernier aspect qui me semble erroné de ton argumentation, la démarche de lier la déviance à une justification naturelle : il s'agit de vouloir appliquer à la nature des règles de mœurs qui sont avant tout humaines et culturelles, ce qui n'a aucune sens d'un point de vue naturel.

Car la déviance ne se juge au final que par rapport à des normes culturelles, des normes de sociétés, qui sont par essence des constructions en premier lieu artificielles. Et donc, en ce qui concerne l'homosexualité, il s'agit tout de même d'un phénomène suffisamment répandu au travers des cultures, des époques et des lieux, pour en faire une réalité naturelle chez l'être humain, et donc l'intégrer à nos normes de société.

Ah mais non, pas à la nature (mon exemple du chien) : à l'humanité.

Les normes naturelles ne sont pas (pas uniquement) les normes humaines. Le rapport à la vie est typiquement humain, un animal ne philosophe pas sur la nécessité de procréer, il copule, met bas, et cherche à manger. La norme humaine est le mélange de ce qu'on est (notre nature) et du chemin que prend notre vie.

On peut choisir de dévier, mais alors on ne peut pas nier que l'on dévie. Et quelque soient les cultures qui ont adoubé l'homosexualité, aucune ne l'a faite au nom du paradigme de la vie, car tout le monde a toujours compris ce qu'il impliquait de statuer la déviance au même rang que la norme au point d'en effacer le sens.

Donc, l'homosexualité était peut-être jugée comme une déviance il y a quelques décennies, mais elle n'a, de nos jours, rien d'anormale, justement parce que nos sociétés sont allées au delà de leurs normes artificielles pour appréhender cette réalité naturelle. Aussi, je ne vois vraiment pas en quoi l'on pourrait taxer l'homosexualité de déviance, alors qu'il s'agit pour nombre d'individus de l'accomplissement banal de leurs pulsions naturelles.

Pour toutes les raisons que je viens d'expliquer ;)

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

On ne le répétera jamais assez, mais ce qui est en jeu c'est détruire des stéréotypes qui placent tel ou tel sexe en infériorité à l'autre, et non transformer les hommes en femmes (ça a l'air horrible d'être une femme :D ) ou bien encore fondre les deux sexes en un. :zen:

plus.gif. C'est pire que de forger une épée viking. 3000 coups de marteaux et une semaine de polissage ( je regarde trop la télé moi...wink1.gif)

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Membre, Esprit de contradiction, 47ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
47ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Venant de quelqu'un qui ne dispose pas des rudiments en biologie pour comprendre que les aspects de la sexualité qui ne s'arrêtent pas à la reproduction font partie intégrante du comportement de l'espèce et ne sont donc pas forcément déviants, ça se pose là.

Quelle pédagogie quand on ne sait rien ? :bad:

A quel moment je parle de biologie ? A quel moment j'invoque un genre de transcendance biologique? Sérieux, faites au moins semblant de lire ce que j'écris.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)
là où le paradigme hétérosexuel est jouir ET continuer à vivre dans et par la chair de son enfant.

OH PUTAIN

j'espère que t'auras jamais de gosse.

C'est typiquement ce genre de pensées qui créé les gosses les plus désaxés. Quelle horreur d'être considéré comme la continuité de la vie de ses parents, comme un outil pour eux de gérer leur peur de la mort en somme.

Mon dieu.

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Membre, Esprit de contradiction, 47ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
47ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Je crois que vous n'avez pas compris.

1- vous n'avez rien dit, juste essayé de tricher avec le mot déviance.

2- ce n'est pas un problème de "ma manière" mais le fait qu'un mot a un sens. Vous voulez changer le sens d'un mot ? Ça ne marche pas comme ça.

Le sens d'un mot est au premier plan. Vous vous exigez qu'on imagine un nouveau sens en faisant fi de celui qui existe. Déviance est un mot péjoratif. Vous pouvez triturer la réalité autant que vous voulez, c'est le cas.

Maintenant, faites une périphrase pour expliquer ce que vous voulez dire par déviance, et je vous trouverai le mot qui convient.

Non, vous faites du psychologisme, déviance a un sens et c'est celui que j'emploie, je suis pile dans les clous, et vous êtes dans le fantasme.

Le péjoratif de "déviance", ce sont des gens comme vous qui le scotchait au terme pour mieux décider de le combattre quand ça vous arrange.

Je réitère : quel synonyme politiquement correct et appréciatif à votre sensibilité puis-je utiliser à la place de déviance pour dire déviance? J'attends.

OH PUTAIN

j'espère que t'auras jamais de gosse.

C'est typiquement ce genre de pensées qui créé les gosses les plus désaxés. Quelle horreur d'être considéré comme la continuité de la vie de ses parents, comme un outil pour eux de gérer leur peur de la mort en somme.

Mon dieu.

Psychologisme, hystérie et sarcasme. Vous n'êtes décidément pas un interlocuteur crédible.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

De la déviance en Sociologie: (Wiki)

La sociologie ne porte pas un jugement de valeur sur la déviance ; il n'y a pas de « bonne » ou « mauvaise » déviance. Par exemple, puisque la déviance est définie en sociologie comme étant une déviation à une ou des normes socialement admises, elle ne se retrouve pas qualifiée systématiquement de maladie.

Pour les tenants de la sociologie de la déviance, comme Albert Ogien, la notion de déviance est relative car elle diffère selon les sociétés étudiées et les époques. La déviance étant considérée comme une attitude ou des comportements non conformes aux normes et valeurs véhiculées par une société, si ces valeurs ou normes évoluent, alors la perception de la déviance évolue aussi.

Ce qui se passe en ce moment, pas de quoi en faire un flan.

Voilà, on dirait que pour certains, le fait que des femmes puissent faire des métiers "d'hommes" sans être inquiétées, et les hommes faire des activités "attribuées aux femmes" ça va nous mené à une société de testicules découpés et de femmes qui font claquer les fouets. Personne n'émasculera personne, et si y en a qui aiment leurs poils et leurs slip kangourou, personne les forcera à mettre les robes de leurs soeurs, c'est aussi con que ça.

Entièrement d'accord.

Modifié par Alain75
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Je réitère : quel synonyme politiquement correct et appréciatif à votre sensibilité puis-je utiliser à la place de déviance pour dire déviance? J'attends.

Ah mais si vous voulez dire déviance (qui est péjoratif) faut dire déviance.

Mais faut assumer le fait que vous considérez l'homosexualité comme une déviance en ce cas.

Et assumer votre homophobie.

Pour le reste, désolé, mais je ne fais que citer ce que vous écrivez. Sincèrement, je prie pour que vous n'ayez pas d'enfants, je les plains. J'ai déjà vu les "gosses faits pour être la continuité des parents", c'est un sacré carnage.

Si vous souhaitez dire que l'homosexualité n'est pas l'orientation sexuelle la plus importante, vous pouvez utiliser le terme minoritaire, qui a toujours été relativement neutre.

Modifié par casdenor
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Membre, Posté(e)
MartinHenry Membre 2 649 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

A quel moment je parle de biologie ? A quel moment j'invoque un genre de transcendance biologique? Sérieux, faites au moins semblant de lire ce que j'écris.

...sauf que l'homosexualité ( au même titre que la sodomie et la masturbation ) dévie de la fonction première de la sexualité qui est la création de la vie pour en faire une activité basée sur le plaisir et rien d'autre.

Hum... dévie de la fonction première de la sexualité qui est la création de la vie...

Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans tes propres mots.:hum:

J'ai déjà répondu à cette interrogation ( et à plein d'autres un peu dans le même genre ) trois pages plus tôt.

Hum, non pas du tout.

J'ai eut beau relire trois fois après tes remarques condescendantes relative à ta patience, ta pédagogie, et le fait que l'on ne comprend pas bien ta pensée, je ne vois pas.

...les aspects de la sexualité qui ne s'arrêtent pas à la reproduction font partie intégrante du comportement de l'espèce et ne sont donc pas forcément déviants...

Qu'est ce que tu ne comprends pas dans quelque chose d'aussi élémentaire ? :hum:

Modifié par MartinHenry
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Membre, Esprit de contradiction, 47ans Posté(e)
Savonarol Membre 10 346 messages
47ans‚ Esprit de contradiction,
Posté(e)

Ah mais si vous voulez dire déviance (qui est péjoratif) faut dire déviance.

Mais faut assumer le fait que vous considérez l'homosexualité comme une déviance en ce cas.

Et assumer votre homophobie.

Pour le reste, désolé, mais je ne fais que citer ce que vous écrivez. Sincèrement, je prie pour que vous n'ayez pas d'enfants, je les plains. J'ai déjà vu les "gosses faits pour être la continuité des parents", c'est un sacré carnage.

Si vous souhaitez dire que l'homosexualité n'est pas l'orientation sexuelle la plus importante, vous pouvez utiliser le terme minoritaire, qui a toujours été relativement neutre.

Voilà, vous n'avez rien dit. J'arrête ces "échanges" avec vous ici et j'espère que vous reprendrez vos esprits plus tard.

Ecrire la bave aux lèvres, c'est pas constructif.

Hum... dévie de la fonction première de la sexualité qui est la création de la vie...

Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans tes propres mots.:hum:

Heu, vous savez qu'il y a tout un contexte à ce que vous citez ? Y a ma réponse à Phendwyn juste en haut, lisez là.

J'ai eut beau relire trois fois après tes remarques condescendantes relative à ta patience, ta pédagogie, et le fait que l'on ne comprend pas bien ta pensée, je ne vois pas.

Oui ça j'ai bien compris.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Heu, vous savez qu'il y a tout un contexte à ce que vous citez ? Y a ma réponse à Phendwyn juste en haut, lisez là.

Le mec qui exige qu'on ne s'intéresse pas au sous-entendu d'un mot mais qui dans le même temps demande qu'on contextualise ses propos.

priceless.

Voilà, vous n'avez rien dit. J'arrête ces "échanges" avec vous ici et j'espère que vous reprendrez vos esprits plus tard.

Ecrire la bave aux lèvres, c'est pas constructif.

Voilà, vous n'avez rien à dire. Arrêtez d'essayer de cacher vos insultes et assumez-les ou arrêtez-les tout simplement.

Faut arrêter à un moment de se foutre de la gueule du monde.

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