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"Cocotte", "ma puce"... le sexisme à la vie dure au travail

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titenath

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

Quand même c'est formidable, c'est a qui aboiera le plus fort la

Pourquoi doit on sans cesse revenir sur des idées reçues qu'on essaye de nous faire dire, c'est hallucinant.

Il n'y a PAS de métiers réservés a l'un ou l'autre sexe, seulement des métiers ou les hommes auront EN MOYENNE plus de facilité car l'être humain mâle est EN MOYENNE plus fort physiquement qu'une femme de même age et de même corpulence, ce n'est absolument PAS une norme universelle standardisée obligatoire.

Alors SVP, arrêtez de hurler a la discrimination et au sexisme dès qu'on ose dire que les hommes et les femmes sont différents, diffarent ça n'a jamais voulu dire inégaux, le féminisme comme toute chose devient un vrai poison quand il tourne a l'excès, oui il y a encore des inégalités dans le monde du travail, oui le machisme existe encore, mais vous croyez quoi ? qu'on peut combattre ça en se montrant aussi stupide que ce qu'on combat ?

Maintenant pour ce qui est des petits noms, comme je l'ai dit précédemment ce n'est pas forcément une manifestation de sexisme, a chacun et chacune de poser ses limites de façon courtoise mais nette

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 657 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

j'ai été l'une des premiers matelots féminins affecté dans une base essentiellement masculine, j'ai eu le droit à des attention tu marches sur la ficelle, les femmes n'ont rien a faire à l"armée, et encore mieux quand je suis montée en grade en moins d'un an et demi alors qu'un homme devait attendre trois ans, afin de ne pas choqué je ne dirais pas ce que j'ai répondu mais le résultat c'est qu'après cela les gars n'ont plus osé tenir de tels propos en ma présence et que les mecs m'ont accepté en tant que soldat si je puis dire..Oui travailler avec des mecs n'est pas évident tous les jours mais pourquoi ce serait à eux de changer , pourquoi ce ne serait pas à nous adapter..Les femmes veulent être traité comme les hommes mais continue à se comporter en petite chose fragile quand cela les arrange. Mais bon je pense que c'est une question de caractère et personne .

Oui il y des préjugés quand une femme fait un boulot soit disant d'homme mais que dire de l'inverse ; homme sage femme, homme nourrice, homme père au foyer etc etc,

Nous adapter ?? C'est ce que nous faisons depuis, attends que je réfléchisse... TOUJOURS !!!

Et sans déc, comparer minaudage et disparité de salaire, remarques sexistes, mépris (ton témoignage en est l'accablante preuve) et j'en passe, c'est faire une analogie indécente !

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
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Dans l'entreprise, les hommes sont chez eux, ils n'ont donc "pas de corps", comme l'écrit Virginie Despentes. Les femmes, elles doivent donner des gages, sans que l'on sache très bien de quoi d'ailleurs.

Elles doivent n'être ni trop, ni trop peu attirantes : dans le premier cas, elles risquent de ne pas être jugées crédible professionnellement, et si elles se font harceler sexuellement, elles l'auront bien chercher, dans le second, elles s'exposent aux réflexions désobligeantes pour avoir manqué à leur rôle de récréation visuelle et stimulant libidinal.

Mona Chollet

http://www.editions-...&id_article=149

Franchement Dalek, je ne vois pas en quoi j'aurais été excessive dans mes exemples(selon toi) ! Je trouve que (pour une fois sur ce "genre de sujet") je m'exprime calmement et avec discernement.

(sauf pour mon "récit " de l' altercation avec un flic qui était hors sujet)

Modifié par eklipse
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Membre, Posté(e)
homerehr Membre 1 014 messages
Baby Forumeur‚
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Même si c'est difficile, il est necessaire et inévitable pour les femmes victimes d'harcelement sexuel d'en référer à des autorités supérieures. Cependant peu distinguent le sexuel du sexiste, c'est pourquoi des campagnes d'information dans les entreprises doivent se multiplier...

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

l'éducation est toujours plus utile que la répression aveugle, faire des loi qui tabassent sans réfléchir, c'est encourager les tensions dans les entreprises

Ou alors il faudrait instaurer une ségrégation, interdiction de travailler avec des hommes et réciproquement, avouez que ce serait ridicule

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 657 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

l'éducation est toujours plus utile que la répression aveugle, faire des loi qui tabassent sans réfléchir, c'est encourager les tensions dans les entreprises

Ou alors il faudrait instaurer une ségrégation, interdiction de travailler avec des hommes et réciproquement, avouez que ce serait ridicule

C'est du bon sens

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

En plus Dalek tu sembles penser que cette Loi sur l'harcèlement sexuel n'est appliquée que pour des hommes harceleurs or c'est Faux, une femme peut elle aussi être condamnée pour harcèlement sexuel, j'avais donné un exemple il y a longtemps sur ce Forum, donc c'est une Loi qui protège des hommes et femmes qui subissent un harcèlement sexuel, c'est à dire qu'ils, elles peuvent défendre leur droit à protéger leur intégrité morale et physique dans l'entreprise.

« Je n’avais pas une minute de répit ». Fabiano Citroni. Le matin on line, 28 août 2006

[Dans le domaine des violences, nous publions peu de témoignages individuels, et nous privilégions les études générales, qui donnent une idée d’ensemble des problèmes. Nous le faisons ici car le harcèlement sexuel féminin contre les hommes est l’une des violences (avec la violence conjugale féminine, ou le viol féminin) que l’opinion se représente concrètement le moins, et dont elle met en doute la possibilité. Le témoignage qui suit (qui n’a pas été recueilli par nous) devrait l’aider à changer d’avis.]

« Je n’avais pas une minute de répit »

HARCÈLEMENT SEXUEL. Viré pour avoir repoussé les avances de sa patronne, il gagne en justice. Michel* a été harcelé sexuellement pendant près de six mois par sa cheffe. Il n’a jamais cédé et a fini par être licencié. Il raconte son calvaire.

Fabiano Citroni. 28 août 2006

Michel*, 49 ans, marié, père de deux enfants, a appris la nouvelle hier en ouvrant le journal : près de trois ans après l’avoir licencié, son ancien employeur a été condamné pour licenciement abusif. Quant à son ancienne patronne, elle a été reconnue coupable de harcèlement sexuel.

Michel*, vous avez découvert la décision de la Chambre d’appel de la juridiction des Prud’hommes en lisant la Tribune de Genève. Votre première réaction ?

- J’ai ramassé la claque. Je me trouvais dans la salle d’attente de mon psychanalyste. J’ai pleuré pendant trente minutes dans son cabinet. Je ne sais pas si c’était de joie ou de tristesse. Trois ans après les faits, cette histoire m’atteint encore.

- Reprenons. Pendant vingt ans, vous avez travaillé dans une grande entreprise de courrier rapide. En mars 2003, vous êtes approché par une société concurrente, que vous rejoignez en juillet. Que se passe-t-il alors ?

- Je devais occuper le poste de responsable pour la Suisse. La patronne, environ 40 ans, comptait se marier et réduire son temps de travail. Mais sa relation s’est terminée et elle a décidé de garder le job. Je ne pouvais rien faire car elle était la numéro un de la société. Assez rapidement, elle m’a parlé de ses problèmes de couple et de sa vie sexuelle. Je voyais qu’elle était mal dans sa peau et lui ai prêté mon aide à sa demande.

- Quand a-t-elle commencé à vous harceler ?

- Le 13 août 2003, lors d’un apéritif. Nous étions au travail pour fêter le départ d’un employé. Elle m’envoie un SMS : « J’ai à te parler ». Puis elle quitte la pièce. Je la suis, elle me plaque contre le mur. Elle dit : « Embrasse-moi ! », puis elle m’empoigne et me griffe à travers ma chemise. Je lui montre mon alliance. Elle répond : « Aucune importance ! ». Ce jour-là, le monde s’est écroulé pour moi.

- La suite ?

- Elle m’envoyait des SMS jour et nuit. Elle me demandait par exemple si je l’aimais. Plusieurs fois, elle m’a sauté dessus.

- Sur le lieu de travail ?

- Partout. Au sous-sol, dans la voiture lorsque nous allions rendre visite à des clients, au restaurant. Je n’avais pas une minute de répit.

- Comment s’est terminée l’histoire ?

- Fin octobre, un soir, nous étions seuls au bureau. Elle le ferme à clefs et se montre très insistante. Je la repousse sans équivoque. Depuis ce jour, elle ne m’a plus adressé la parole. Fin novembre, j’ai été licencié.

- Qui était au courant de l’histoire ?

- A l’interne, je n’en parlais pas car il est interdit de critiquer un supérieur. J’ai demandé conseil à deux connaissances travaillant dans les ressources humaines et je me suis confié à un ami.

- Après six mois dans cette entreprise, comment avez-vous vécu le licenciement ?

- J’ai fait une dépression grave. Avec ma femme et mes enfants, nous avons vécu un calvaire.

- Comment votre épouse a-t-elle géré la situation ?

- Je ne lui avais rien dit sur le moment car je pensais régler le problème en discutant avec ma patronne. Quand j’ai été licencié, je lui ai tout raconté, mais j’ai perdu sa confiance.

- Aujourd’hui, elle vous croit ?

- Je pense que oui. Nous sommes mariés depuis onze ans, mais je ne sais pas si nous pourrons nous débarrasser du poids de cette souffrance.

- Vous venez de retrouver du travail et vous avez obtenu gain de cause devant la justice. C’est un nouveau départ...

- Je renais à la vie. Mais ce n’est pas une victoire. C’est un pansement sur une plaie ouverte. Quand je revois mon passé, j’ai honte. Pendant deux ans, j’ai été un père et un mari indigne. Je traînais dans la maison comme un zombie. Les souffrances sont terribles. Je ne sais pas du tout ce qui va se passer demain.

* prénom d’emprunt

Le Matin on line

http://www.la-cause-...p.php?article62

Modifié par eklipse
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Invité Benbow69
Invités, Posté(e)
Invité Benbow69
Invité Benbow69 Invités 0 message
Posté(e)

Qui t'a parlé de droit? Bien sûr que chacun est libre, ce n'est simplement pas indiqué pour une future maman, par exemple.

A moins d'avoir un physique de déménageur, certains métiers conviennent bien mieux aux uns qu'aux autres. Beaba de tout RH;)

Aucun DRH digne de ce nom n'affectera une majorité de femmes dans les services de logistique qui impliquent, entre autres, le portage de poids. Et les quelques exceptions qui pourront être citées en sens contraire n'en feront jamais une règle. Non la plupart des femmes, l'immense majorité d'entre nous même, n'ont pas une carrure de déménageurs ni n'ont pour modèle ultime Josiane Balasko dans Gazon Maudit.

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Invité Benbow69
Invités, Posté(e)
Invité Benbow69
Invité Benbow69 Invités 0 message
Posté(e)

Même si c'est difficile, il est necessaire et inévitable pour les femmes victimes d'harcelement sexuel d'en référer à des autorités supérieures. Cependant peu distinguent le sexuel du sexiste, c'est pourquoi des campagnes d'information dans les entreprises doivent se multiplier...

Une plainte en harcèlement sexuel doit viser des faits réellement constitutifs de ce délit et non se rapporter à une interprétation maximaliste et biaisée face à la moindre boutade. Ce n'est pas en hystérisant à outrance les rapports professionnels qu'on fait avancer la cause des femmes. En fait, celles qui hurlent au sexisme au moindre propos léger ou humoristique renforce l'opinion de certains employeurs qui répugnent justement à engager des femmes car ils les soupçonnent d'être ingérables, colériques et trop émotives : en un mot, inaptes au monde professionnel réel. Merci de ne pas leur donner du grain à moudre en répondant avec empressement à ce souci de caricature.

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Membre, Posté(e)
homerehr Membre 1 014 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Une plainte en harcèlement sexuel doit viser des faits réellement constitutifs de ce délit et non se rapporter à une interprétation maximaliste et biaisée face à la moindre boutade. Ce n'est pas en hystérisant à outrance les rapports professionnels qu'on fait avancer la cause des femmes. En fait, celles qui hurlent au sexisme au moindre propos léger ou humoristique renforce l'opinion de certains employeurs qui répugnent justement à engager des femmes car ils les soupçonnent d'être ingérables, colériques et trop émotives : en un mot, inaptes au monde professionnel réel. Merci de ne pas leur donner du grain à moudre en répondant avec empressement à ce souci de caricature.

Ah mais je ne dis pas le contraire. Ca me rappel un exemple: aux USA les hommes n'osent plus monter dans un ascenseur en même temps qu'une femme, de peur de se voir accuser d'attouchements, car qui pourra prouver qu'il ne s'est rien passé ?

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Invité Benbow69
Invités, Posté(e)
Invité Benbow69
Invité Benbow69 Invités 0 message
Posté(e)

Ou alors il faudrait instaurer une ségrégation, interdiction de travailler avec des hommes et réciproquement, avouez que ce serait ridicule

Heureusement, la plupart des femmes aiment travailler dans des milieux mixtes, en évitant les écueils à la fois de la victimisation pleurnicharde (bouh bouh, de vilains sexistes sont pas gentils, ils m'ont donné un diminutif comme ils en donnent à leurs collègues masculins) et de l'imitation pathologique de l'autre sexe (attendez les mecs, je vais porter les caisses pour vous en vous montrant mes biceps).

L'immense majorité entretient des rapports normaux, apaisés et même chaleureux qui peuvent même incluer un jeu réciproque de séduction... comme dans tout groupe humain non robotisé ou hystérisé en somme.

Ah mais je ne dis pas le contraire. Ca me rappel un exemple: aux USA les hommes n'osent plus monter dans un ascenseur en même temps qu'une femme, de peur de se voir accuser d'attouchements, car qui pourra prouver qu'il ne s'est rien passé ?

Une structure qui s'amuse à créer des rapports aussi tendus est une structure soit qui décide d'exclure complètement du recrutement, à terme, l'un des deux sexes (pour justement revenir à une ambiance non folle), soit qui connaît une chute drastique de la productivité, par incapacité à mettre en œuvre les collaborations de bon sens qui s'imposent. Si le chef des finances a peur de recevoir dans son bureau la responsable du budget, eh ben les finances de la structure risquent de connaître des jours difficiles.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
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Une plainte en harcèlement sexuel doit viser des faits réellement constitutifs de ce délit et non se rapporter à une interprétation maximaliste et biaisée face à la moindre boutade. Ce n'est pas en hystérisant à outrance les rapports professionnels qu'on fait avancer la cause des femmes. En fait, celles qui hurlent au sexisme au moindre propos léger ou humoristique renforce l'opinion de certains employeurs qui répugnent justement à engager des femmes car ils les soupçonnent d'être ingérables, colériques et trop émotives : en un mot, inaptes au monde professionnel réel. Merci de ne pas leur donner du grain à moudre en répondant avec empressement à ce souci de caricature.

Qui a dit le contraire ? mais prétendre que seul l'éducation résoudra tout, c'est se leurrer, une Loi permet quand même de défendre ses droits, et de condamner les transgressions, harceleur/harceleuse

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Invité Benbow69
Invités, Posté(e)
Invité Benbow69
Invité Benbow69 Invités 0 message
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Les problème c'est que les femmes, à force de s'adapter aux hommes, elles deviennent con. :cool:

S'adapter est prendre en compte les réalités. Ce n'est pas un synonyme de singer.

Qui a dit le contraire ? mais prétendre que seul l'éducation résoudra tout, c'est se leurrer, une Loi permet quand même de défendre ses droits, et de condamner les transgressions, harceleur/harceleuse

A condition de ne pas vider la loi de sa substance en l'utilisant abusivement. Et si l'on vient m'expliquer que la loi sur le harcèlement sexuel s'applique à l'encontre d'un employé masculin qui salue une collègue d'un "coucou schtroumpfette" car c'est le petit comique du service et qu'il dit à peu près la même chose aux autres, je soupçonne celle qui brandit ce texte d'être dans le délire complet. Et aucun parquet ne fera autre chose que classer sans suite sa plainte.

L'accusation de harcèlement n'est pas à proférer à l'emporte pièce. C'est une accusation très grave qui se doit d'être étayée par des faits concrets, probants et répétés. Raisonner autrement est délégitimer ce texte.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Personne ne parle d'hystériser les rapports hommes/femmes, tu as peut être la chance d'être dans une entreprise où tout se passe bien, mais ta manière condescendance de prétendre que de nombreuse femmes se plaignent de sexisme ou d'harcèlement sexuel, pour une ou deux boutades humoristiques mal digérées, c'est fallacieux, de nombreuse femmes subissent de réelles agressions sexistes et harcèlement sexuel, et en souffrent, vouloir nier cette réalité, c'est permettre aux agresseurs, de continuer en toute quiètude.

A condition de ne pas vider la loi de sa substance en l'utilisant abusivement. Et si l'on vient m'expliquer que la loi sur le harcèlement sexuel s'applique à l'encontre d'un employé masculin qui salue une collègue d'un "coucou schtroumpfette" car c'est le petit comique du service et qu'il dit à peu près la même chose aux autres, je soupçonne celle qui brandit ce texte d'être dans le délire complet. Et aucun parquet ne fera autre chose que classer sans suite sa plainte.

L'accusation de harcèlement n'est pas à proférer à l'emporte pièce. C'est une accusation très grave qui se doit d'être étayée par des faits concrets, probants et répétés. Raisonner autrement est délégitimer ce texte.

Mais je suis bien d'accord avec toi, je n'ai jamais prétendu le contraire.

Accuser quelqu'un de tenir des propos sexistes, ce n'est pas la même chose que d'entamer une procédure pour harcèlement sexuel, je fais bien la différence.

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Invité Benbow69
Invités, Posté(e)
Invité Benbow69
Invité Benbow69 Invités 0 message
Posté(e)

de nombreuse femmes subissent de réelles agressions sexistes et harcèlement sexuel, et en souffrent, vouloir nier cette réalité, c'est permettre aux agresseurs, de continuer en toute quiètude.

As-tu les statistiques de ta quantité multiple ? Ce dont je suis sûre, en revanche, est qu'évoquer le terme de harcèlement pour des situations badines est particulièrement contre-productif et dangereux, visant à établir un présupposé de délire paranoïaque pour celles qui, au contraire, connaissent des situations réelles. Et heureusement ces dernières ne sont pas la majorité des salariées. Seuls les cas véritables doivent être combattus. La fausse victimisation est à combattre. Et hurler au sexisme en présence d'humour (même peu fin) est hystériser les rapports professionnels.

C'est bien simple, quelqu'un qui s'amuse à se victimiser pour la moindre broutille est marqué au fer rouge professionnellement et, en cas de récidives trop répétées, complètement placardisé. Aucune structure ne peut supporter longtemps les affabulateurs et les paranoïaques qui instaurent un climat délétère.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

As-tu les statistiques de ta quantité multiple ? Ce dont je suis sûre, en revanche, est qu'évoquer le terme de harcèlement pour des situations badines est particulièrement contre-productif et dangereux, visant à établir un présupposé de délire paranoïaque pour celles qui, au contraire, connaissent des situations réelles. Et heureusement ces dernières ne sont pas la majorité des salariées. Seuls les cas véritables doivent être combattus. La fausse victimisation est à combattre. Et hurler au sexisme en présence d'humour (même peu fin) est hystériser les rapports professionnels.

C'est bien simple, quelqu'un qui s'amuse à se victimiser pour la moindre broutille est marqué au fer rouge professionnellement et, en cas de récidives trop répétées, complètement placardisé. Aucune structure ne peut supporter longtemps les affabulateurs et les paranoïaques qui instaurent un climat délétère.

Non là tu cherches à discréditer des femmes qui souffrent réellement et de nombreuse associations qui les défendent, j'ai pas les chiffres là, mais AFVT fait un travail sérieux et les nombreuses affaires traitées sont de réels cas d'harcèlement sexuel, avec du factuel.

http://www.avft.org/

Après qu'il y aurait des personnes qui abuseraient selon toi, de cette Loi pour des broutilles, je n'en ai pas entendu parler, pour l'instant, mais c'est clair si tel était le cas, cela serait contre productif, je suis d'accord avec toi sur ce point.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Et encore une fois ton jugement condescendant, méprisant, par rapport aux femmes, qui font des travaux ou sport, où avoir une certaine force physique est nécessaire, me déplait .

Croire que c'est pour imiter les hommes qu'elles font cela, pour "rivaliser", c'est de l'ignorance, c'est pas parce que tu n'arrives pas à comprendre des femmes différentes de toi, avec des centres d'intérêts, passions, différentes des tiennes, qu'il faut les mépriser.

Cela ne te grandit point.

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

J'ai vécu longtemps à la campagne, j'avais juste une soeur, on vivait de manière assez autarcique dans ma famille, j'avais des jeux dit "masculin", où la force physique était nécessaire, je me créais mes propres défis, et non pour me mesurer aux garçons, vu que je n'avais pas de frère et on invitait peu de monde à la maison.

C'est ma nature et réalité, et je suis de sexe féminin.

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
Posté(e)

S'adapter est prendre en compte les réalités. Ce n'est pas un synonyme de singer.

Pour le coup, je voudrais défendre MartinHenry. Peut-être que je suis plus habituée à son humour à force de le surveiller. :dev:

Je crois qu'il n'a pas employé "s'adapter" du tout dans ce sens, mais qu'il a repris sciemment ce terme à un membre qui a posté son temoignage un peu plus haut pour ironiser sur ce dernier sans être accusé d'insulter la dame. :o° :D

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