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Qu'est-ce que le privilège masculin ?


Yardas

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Lorsqu'on naît en France en 2013, on est, dans l'immense majorité des cas assigné garçon ou fille et l'on va ensuite vous socialiser en fonction de cette assignation de genre. De cette socialisation, découle ce qu'on appelle le privilège masculin, qui, vous allez le constater, dépasse bien évidemment celui qui en bénéficie.De façon universelle, les familles préfèrent avoir un garçon qu'une fille. On aura plus tendance à avorter d'un fœtus féminin, voire à tuer la nouvelle née dans certains pays. On tend également à pratiquer davantage d'échographies pour vérifier qu'on va bien accoucher d'un garçon et, dans de nombreuses familles, on dit vouloir continuer à faire des enfants jusquà ce qu'on ait un garçon. Avoir un garçon est toujours valorisé et mis en avant quelle que soit la société.

Dès les premières heures de la vie

Dès la naissance, à partir du moment où le genre est assigné, les parents projettent des attentes différentes sur le nouveau-né et commencent à le décrire de façon différente. Ainsi, alors que rien objectivement ne le justifie, la fille est décrite comme plus petite, plus douce, plus fine et moins attentive que le petit garçon. Elle est aussi vue comme moins coordonnée, plus calme et plus faible. De ces fausses constatations découlent évidemment des comportements différents et ce, à peine 24 h après la naissance. Le garçon bénéficie également d'attentions particulières ; ainsila durée de l'allaitement est en moyenne de 30 minutes pour les garçons et de 10 minutes pour les filles. Le plus grand besoin de nourriture dont auraient besoin les garçons ne justifie évidemment absolument pas par les 20 minutes de différence.Cowan et Hoffman montrent que les parents attendent de leur fils qu'il soit indépendant, ambitieux et travailleur alors qu'on attendra d'une fille qu'elle soit gentille et attirante. Les valeurs attendues pour un garçon sont évidemment valorisées dans notre société et correspondent davantage à l'idée qu'on se fait de la réussite par exemple. Si l'on attend d'une fille qu'elle soit par exemple attirante, cela signifie également qu'on dévalorisera les autres attitudes qu'elle pourrait avoir si ces attitudes sont jugées comme ne correspondant pas à son genre. Ainsi l'agressivité, pourtant vantée par nombre d'études comme la qualité pour être un bon leader, attitude hautement valorisée dans nos sociétés, sera fortement réprimée chez les filles.Une étude deCondry et Condryétudie le comportement d'adultes face à la vidéo d'un jeune enfant, tour à tour habillé de manière féminine et masculine et mis face à un diable à ressort. Les réactions des adultes sont notées selon qu'ils croient avoir affaire à une fille ou à un garçon. Lorsqu'il s'agit d'un garçon, les adultes ont tendance à voir davantage de colère dans son attitude et à la valoriser. Lorsqu'il voient une fille, ils pensent voir davantage de peur. D'autres études, prenant comme participants des adultes ou des enfants montrent qu'on a toujours tendance à voir davantage la peur chez les filles (ou ce qu'on suppose être des filles) et de l'assurance chez les garçons. Le comportement et les attitudes des filles sont vues de façon plus négative que celui des garçons. Bien évidemment, l'attitude étudiée se répercute sur la façon dont on perçoit les enfants autour de nous ; à force de dire et répéter que les garçons sont forts et que les filles sont faibles, ils finissent par adhérer à ces stéréotypes et à les reproduire.Dans les crèches, les filles sont moins sollicitées et encouragées que les garçons ; les professionnels interrogent davantage les garçons en leur autorisant davantage d'interactions entre eux. En revanche ils interrompent les filles. dés cette période, on porte une attention soutenue à l'apparence de la fille dont les vêtements ne lui permettent pas toujours de se mouvoir librement ou sans se salir, ce qui a visiblement davantage d'importance que chez un garçon. les jouets de garçons sont davantage liés à l'extérieur, permettent plus de manipulation et sont présents en plus grand nombre à la crèche. Ils encouragent la réussite et la créativité alors que ceux des filles sont davantage tournés vers le "faire semblant".

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 317 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Et bla bla bla... Discours sans intérêt. La théorie des genres est une belle fumisterie.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Ça commence bien. Rien que par ce message tu montres :

1) Que tu es d'une mauvaise foi incroyable au vu du grand nombre de sources de cet articles.

2) Que tu ne comprends rien aux sciences sociales. Rien qu'en utilisant le terme "théorie des genres" tu perds toute pertinence sur le sujet.

Bon vent.

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 317 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Je suis pire que de mauvaise foi, sur ce type de sujet je suis ouvertement réactionnaire. :D On pourrait aussi écrire un article intitulé "le privilège féminin", qui serait tout aussi fantasmatique que le tien. Je suis plutôt féministe, mais les hommes ne sont pas des femmes, et inversement, et ce n'est pas la société qui décide de ce que sera leur rôle dans la vie. Après tu peux dire "il est scandaleux que les femmes ne puissent pas pisser debout", mais ce faisant tu ne rends pas service aux femmes, tu prouves juste l'étendue de ton ignorance.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Ah, et tu en es fier ?

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
Posté(e)

Je suis pire que de mauvaise foi, sur ce type de sujet je suis ouvertement réactionnaire. :D On pourrait aussi écrire un article intitulé "le privilège féminin", qui serait tout aussi fantasmatique que le tien. Je suis plutôt féministe, mais les hommes ne sont pas des femmes, et inversement, et ce n'est pas la société qui décide de ce que sera leur rôle dans la vie. Après tu peux dire "il est scandaleux que les femmes ne puissent pas pisser debout", mais ce faisant tu ne rends pas service aux femmes, tu prouves juste l'étendue de ton ignorance.

plus.gif

ça me fait penser à ce fêlé de politicien suédois qui voulait obliger les hommes à uriner assis ....

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Si vous voulez nier les chiffres et réalité c'est votre problème. C'est dingue d'être aussi à côté de la plaque.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Une personne qui nie que socialement on porte plus d'attention à la manière dont s'habille une fille qu'à celle dont s'habille un garçon est une personne qui a de la merde dans les yeux.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Et encore, ça c'est pas le pire. Les faits sont là et des gens se cachent les oreilles et les yeux. Des expériences sont citées, on peut le voir tous les jours. Alors à un moment faut arrêter d'être de mauvaise foi (hein les deux zigotos plus haut ?).

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Membre, 53ans Posté(e)
hep-hep Membre 346 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Il faut respecter la nature de l 'enfant dans son ensemble : je propose et l 'enfant choisit.

Ils ont besoin de s'identifier , de se copier, c'est normal : ma fille préfère le rose alors que sa chambre était bleue :smile2:

Fiston joue sans problème avec les jeux de sa sœur et inversement.

L 'esprit féminin reste différent de l esprit masculin, et la différence est naturelle.

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
Posté(e)

Ce que j'ai remarqué par contre c'est ce manque de réciprocité :

Une femme qui porte un blue jean, des baskets un peu vulgaires, cheveux courts, casquette noire .... on lui dira peut-être qu'elle fait garçon manqué mais sans plus. Ça ne détonnera pas trop dans la rue.

Par contre, un mec avec des talons aiguilles et une robe .... euh perso je suis un mec et je n'ai pas envie de sortir comme ça dans la rue laugh.gif

Bref, il y a une trop forte masculinisation de la mode vestimentaire je pense.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Par contre, un mec avec des talons aiguilles et une robe .... euh perso je suis un mec et je n'ai pas envie de sortir comme ça dans la rue laugh.gif

Ben oui. Personne n'a dit que les stéréotypes de genre ne touchaient que les femmes. Par contre, elles, elles morflent plus.

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
Posté(e)

L 'esprit féminin reste différent de l esprit masculin, et la différence est naturelle.

Attention là c'est nauséabond .... (LOL)

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Membre, Dazzling blue², 53ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
53ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

Une personne qui nie que socialement on porte plus d'attention à la manière dont s'habille une fille qu'à celle dont s'habille un garçon est une personne qui a de la merde dans les yeux.

Tout à fait, d'ailleurs pendant mes études d'art graphiques, j'avais un look "Grunge" parfois ( cheveux en liberté, look non sexy, pas maquillée), et bien je m'étais fait insulté par un mec, on se foutait souvent de ma gueule, alors que de nombreux gars avait aussi ce look, mais pour eux c'était "normal".

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

L 'esprit féminin reste différent de l esprit masculin, et la différence est naturelle.

Les différences cognitives à la naissance sont très très faibles, et se développent par la socialisation. Seulement 10% de nos connexions neuronales sont faites à la naissance.

http://livre.fnac.com/a6110900/Lise-Eliot-Cerveau-bleu-cerveau-rose-les-neurones-ont-ils-un-sexe

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Membre, Dazzling blue², 53ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
53ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

L 'esprit féminin reste différent de l esprit masculin, et la différence est naturelle.

Et moi enfant, je préférais le bleu, porter des pantalons, crapahuter dehors, faire des courses de vélo, pourtant je suis née de sexe féminin.

C'était mes choix, mes désirs, et non pour imiter les garçons.

Chaque être est singulier et c'est à respecter.

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
Posté(e)

La fibre féminine

Par Pascale Navarro, 9 novembre 2012

N’en déplaise aux tenants de la théorie du genre, notre sexe nous détermine, affirme Nancy Huston dans Reflets dans un œil d’homme, un livre tout feu tout flamme où se croisent Nelly Arcan, Camille Claudel et Marilyn Monroe. Conversation avec une féministe singulière.

Nancy Huston écrit des romans depuis plus de 20 ans. Parallèlement, elle poursuit une œuvre de réflexion dans ses essais. Dès le Journal de la création, publié en 1990, elle aborde le féminisme sous un angle très personnel. Par exemple, cette mère de deux enfants a beaucoup réfléchi sur la maternité et dénoncé le peu de considération de l’élite intellectuelle, même féministe, pour ce thème. « On dirait que ça n’existe pas », lance l’auteure que nous avons rencontrée lors de son passage à Montréal, en octobre (voir encadré « Nancy Huston et Parole de femme »).

La liberté de l’écrivain, Nancy Huston s’en est servie pour étayer son nouvel essai Reflets dans un œil d’homme. C’est en rédigeant son roman Infrarouge, publié il y a deux ans, qu’elle a senti que sa réflexion pourrait se déployer dans un essai. « J’écrivais du point de vue d’une femme photographe, et j’ai réalisé que je ne connaissais aucune femme artiste qui avait pris le corps masculin comme objet exclusif de son travail. » Seules les femmes, donc, deviennent des objets dans notre culture. « Puis, poursuit-elle, j’ai découvert les livres de Nelly Arcan [NDLR : auteure, entre autres, du controversé roman Putain]. Elle m’a rappelé des choses évidentes, connues et niées par la théorie du genre (gender studies), qui domine en France. À savoir qu’être une femme a des conséquences que l’on ne peut pas ignorer. »

Les filles sont vulnérables

Huston dénonce le radicalisme de la position « constructiviste », qui affirme que le genre féminin est construit et que la biologie aurait peu (ou rien) à y voir. « Tout d’un coup, j’ai compris que les théoriciens du genre avaient évincé la science. Il y a une sorte de refus, en France notamment, de tenir compte de la théorie darwinienne [NDLR : ou théorie de l’évolution, qui repose sur la sélection naturelle des espèces]. On nie des réalités flagrantes qu’on a sous les yeux. » Cette réalité, explique-t-elle dans son livre, c’est que les femmes sont vulnérables; agir comme si elles étaient des hommes se retourne contre elles. Comme elle l’écrit, quelle mère va conseiller à sa fille de marcher dans la rue à moitié nue à 3 h du matin? Les conséquences sur les femmes sont parfois dramatiques, croit l’auteure. « Tout cela m’a paru soudain intolérable, vu la souffrance des prostituées et des porn stars, jeunes femmes vendues comme de la chair fraîche. J’en ai gros sur le cœur. »

Huston adopte dans ce livre non pas la posture de la chercheuse, mais celle de l’écrivaine. Son point de vue est donc singulier. Il ne s’appuie pas sur des textes d’analyse pointus sur le genre (pourtant légion dans les universités du monde entier), mais sur une liste bien garnie d’essais, de récits et de textes de fiction. Elle s’inspire d’ailleurs d’œuvres de créatrices et de sa propre expérience pour illustrer le fait qu’être une femme nous détermine, et que la théorie n’y changera rien. « N’en déplaise aux tenants du queer [NDLR : théorie selon laquelle le genre se construit], le fait de naître garçon ou fille continue d’être perçu et vécu, partout dans le monde, comme significatif », écrit-elle.

À travers les textes d’Anaïs Nin et de Nelly Arcan, les témoignages des actrices Marilyn Monroe et Jean Seberg, Huston raconte comment la négation d’elles-mêmes a brisé ces femmes. À force de tenter de correspondre au rôle de belle fille et de faire-valoir, l’individu qui se cache sous le masque du féminin ne s’exprime pas et, ultimement, étouffe. À propos de Jean Seberg, compagne de l’écrivain Romain Gary, elle écrit : « Romain Gary tirera de leurs conflits et de leurs heurts une bonne douzaine de romans : elle, restera là, les bras ballants, de plus en plus fragile et fatiguée. »

Le déni de soi

L’auteure aligne des phrases saisissantes sur le sacrifice de Camille Claudel, qui accouche de l’enfant de Rodin sans que celui-ci s’en soucie. « Il n’a ni saigné, ni pleuré, ni subi le moindre opprobre pour avoir participé à la conception d’un enfant illégitime; il a continué pendant ce temps à penser et à créer. » Avoir un enfant, faire une fausse couche, subir un avortement, ce sont des choses qui bouleversent la vie des femmes. « En dépit de tous les gains du féminisme et des magnifiques progrès que nous avons faits, observe Huston, 90 % des femmes continuent à devenir mères. Faire comme si ça ne faisait aucune différence dans leur vie, c’est sexiste. » Parce que les filles en pâtissent, déplore cette mère d’une jeune femme de 30 ans. « Elles se sentent coupables de trouver la maternité très importante dans leur vie, alors que le discours officiel leur dit : “Mais non, ce n’est rien, une pichenette, allez, délègue, les femmes ont toujours délégué, tu peux faire pareil, et de toute façon, l’instinct maternel, c’est de la bullshit!” Elles se sentent coupables de ne pas arriver à faire des enfants comme on met une lettre à la poste, comme les hommes. »

2Nancy-Huston.jpg

« En dépit de tous les gains du féminisme et des magnifiques progrès que nous avons faits, observe Huston, 90 % des femmes continuent à devenir mères. Faire comme si ça ne faisait aucune différence dans leur vie, c’est sexiste. »

- Nancy Huston

Les femmes exigent beaucoup d’elles-mêmes, et « chacune de nous porte en soi dorénavant, en permanence, une paire d’yeux inquisiteurs au jugement impitoyable », écrit Nancy Huston. Ce qui frappe dans son essai, c’est que plutôt que de dénoncer un système qui les domine et leur fait subir des injustices, trop de femmes (comme les Seberg et Monroe, qu’elle cite) subissent humiliations, dénégation, isolement. Ce qu’illustre le cas de Nelly Arcan, dont l’œuvre s’est en grande partie construite sur le thème de l’autodestruction.

Nancy Huston dénonce aussi le fait que, encore en 2012, et peut-être plus que jamais, les femmes s’évertuent à correspondre au modèle de beauté féminine, quel qu’il soit. « Et je n’ai pas le sentiment que la pression sur les femmes a diminué, dit-elle. Je ne vois pas le chiffre d’affaires de L’Oréal baisser, pas plus que la popularité des magazines féminins traditionnels. » Sur ce point, personne ne la contredira… : :

http://www.gazettedesfemmes.ca/6417/la-fibre-feminine/

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Invité Pi_
Invités, Posté(e)
Invité Pi_
Invité Pi_ Invités 0 message
Posté(e)

Tout à fait, d'ailleurs pendant mes études d'art graphiques, j'avais un look "Grunge" parfois ( cheveux en liberté, look non sexy, pas maquillée), et bien je m'étais fait insulté par un mec, on se foutait souvent de ma gueule, alors que de nombreux gars avait aussi ce look, mais pour eux c'était "normal".

Les moqueries envers les gens qui se fringuent un peu n'importe comment ça n'a pas vraiment de sexe.

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Membre, Thermodynamiquement instable, Posté(e)
Yardas Membre 7 068 messages
Thermodynamiquement instable,
Posté(e)

Les moqueries envers les gens qui se fringuent un peu n'importe comment ça n'a pas vraiment de sexe.

T'as tout compris...

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