Essonne: Un train déraille à Brétigny-sur-Orge .

quoi ces salauds de téci ont dépouillés en bandes organisée les morts, blessés, secouristes ???

ah ces racailles !!!

heu ...... et si c'était encore un fake par rapport à un acte isolé monté en épingle ??? non les charognards c'est la gauche et les antifas avec l'affaire clement méric !! pas la droite ni l'extrême droite !!

voyons !!

à lire ces extraits :

Les premières infos et le début de la polémique

• http://www.leparisien.fr/essonne-91/un-train-deraille-a-bretigny-12-07-2013-2977769.php

19h38. Deux personnes ont été placées en garde à vue pour avoir dérobé des téléphones portables appartenant à des membres du SAMU. Des véhicules de secours ont également été caillassés. Les policiers doivent faire face à une grosse tension pour maintenir le cordon de sécurité : énormément de curieux font pression pour entrer. 20h41. Pécresse dénonce les tensions. Réagissant aux information du «Parisien» faisant état de tensions sur place, l'ancienne ministre et députée UMP des Yvelines écrit, sur Twitter : «Purement inacceptable: #Brétigny : Le Parisien décrit une grosse tension sur place, secours caillassés.»

......(......)...........

communication de la Croix Rouge :

« La Croix-Rouge et le Samu qui sont intervenues vendredi en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne), affirment également qu'il n'y a eu ni violence, ni pillage. «Nos équipiers n'ont rencontré aucun problème avec des badauds. Il n'y a pas eu d'agressions, nous avons travaillé de façon tout à fait normale», a déclaré Jean-François Riffaud, le directeur de la communication de la Croix-Rouge qui était sur place vendredi. »

• http://www.metronews.fr/paris/deraillement-de-bretigny-sur-orge-il-n-y-a-pas-eu-de-caillassages-contre-la-police/mmgm!2xH54trrASfWc/

Métronew parle de sources policières qui démentent :

« Ces rumeurs d'agression et de vols sur les victimes ont été formellement démenties par la Croix-Rouge et des sources policières. »

• http://www.liberatio..._medium=twitter

Libération reprends ces informations et précise même :

« Le chef de service du Samu de Paris, le professeur Pierre Carli, a par ailleurs indiqué samedi à la presse qu’il n’avait pas eu connaissance d’éventuels caillassage ou pillage, dont ses équipes auraient été victimes, soulignant simplement que le site de l’accident était étendu. »

• http://www.francetvi...ees_369062.html
  Dès lors des médias comme FranceTVinfo commencent à mettre en parallèle les deux versions et à s’interroger sur la véracité des premières infos.

• http://www.slate.fr/...-pillage-ou-pas

Le site « Slate » commence à s’interroger également et pose les jalons de cette polémique.

Il n’est pas jusqu’au site « Fdesouche » qui finalement dans un addendum relaie les sérieux doutes de cette histoire :

lire l'excellent article qui démontent encore les rumeurs :

http://www.debunkers...e__les_dro.html

Je me demande comment ils peuvent savoir d'où le problème a pu venir.

Ce n'est pas une fois qu'il y a eu les dégâts qu'on peut le voir, c'est avant l'accident.

Tout simplement parce que l'origine est "distante" des dégâts" : donc si effectivement l'éclisse est détachée au niveau de l'aiguillage, c'est bien qu'elle a été arrachée, était mal fixée, etc ....

D'après les dernières constatations, il suffisait d'avoir une clé plate, de desserrer 4 boulons pour provoquer la catastrophe. Un acte criminel n'est donc pas à exclure. Je crains le pire !!!

A priori, je pense qu'il faut un peu plus qu'une clé plate ... de toute façon, on peut toujours "relativement facilement" provoquer une catastrophe si l'on va par là.

Je parle de ces affaires http://www.franceint...in-de-l-essonne , voir http://www.lefigaro....-detrousses.php

C'est vrai, mais comme c'est dans le même coin que les autres récents dépouillages, on peut se poser la question, sans affirmer quoi que ce soit.

Justement, ce n'est pas dans le même coin.

Brétigny, c'est la ligne C du RER. Grigny, c'est sur la ligne D du RER. L'autre affaire parle d'agressions à Monnerville ou Angerville, au sud d'Etampes.

Et des cas d'agression ou de vol à le tire, tu en as malheureusement à plein d'autres endroits de l'Ile-de-France, et pas que là évidemment.

Mais continuez à nier, continuez, on vous aura bien prévenus.

J'adore ce type qui s'est ramassé mais insiste quand même.

Excusez moi mais Brétigny sur orge c'est pas Grigny et la grande borne.... On en est loin, très loin même ....

Tout ce coin de l'Essonne est plutôt calme ça vous fait plus penser à une petite bourgade dans la verdure

Et honnêtement la fréquentation du RER C n'est pas la même que le RER D. Aujourd'hui j'ai rattraper le D car Brétigny-sur-Orge pas possible et bien j'étais nettement moins à l'aise .....

Alors l’Essonne c'est comme partout y'a des endroits à éviter et des endroits bien sympathiques et verdoyants...

Quand aux petits jeunes soit disant racaille de Brétigny, je les vois tous les soir en rentrant, ils sont une dizaine, ecoutent de la musique et fume un pétard tranquille. Ils n'agressent personne, n'insultent personne

Alors laissons maintenant les enqueteurs faire leur travail, et nous expliquer en temps et en heure ce qu'il s'est réellement passer.

Et moi j'ai plutôt une pensée pour toutes ces personnes qui devront faire face a des traumatismes indelébiles, et en particulier le conducteur, qui n'y est pour rien mais qui vivra toute sa vie avec ce qu'il s'est passé hier ...

Faut-il avoir du respect pour cette obstination asine ou de la pitié pour cette trajectoire de lemming ?

Pourquoi , quelqu'un ici empêche les enquêteurs de faire leur boulot ? première nouvelle.

Gné ?

1373750239[/url]' post='8322206']

Mais continuez à nier, continuez, on vous aura bien prévenus.

Toi qui a balancé le premier une fausse information(je ne dis pas que c'est ta faute), tu pourrais éviter de surenchérir dans le fake, non ?

Ca me paraitrait AUSSI une bonne idée....

.......'fait rien qu'a progresser dans l'incrédibilité.......

Mais continuez à nier, continuez, on vous aura bien prévenus.

""MISES A JOUR SUCCESSIVES:

13:07/2013 à 22h40

L'affaire se dégonfle complètement ce soir et les journalistes arrivent plus ou moins aux mêmes conclusions que nous!<br data-reactid=".r[14mcl].[1][4][1]{comment601828533172213_6668716}.[0].

Un ami était dans ce train et a vu des choses horribles, des gens mourrir, des gens coincés sous les wagons, des gens projetés, du sang partout !

Il en pleure toutes les nuits, n'arrive plus a fermer l'oeil, il va suivre un psychologue afin d'essayer de " vivre " avec tous ces souvenirs terribles.

Quelqu'un sur ce forum était-il dans ce train ?? A t-il vu ce qu'il a vu, si oui, comment vous sentez vous aujourd'hui et comment vivez vous avec ce traumatisme?

D'où viennent les extraits radio.?

De la connasse du syndicat Alliance qui n'était pas sur place.

toute mes condoléances pour la familles des victime !

Gné ?

Mais je répondais à quelqu'un d'autre Dino grrrrrrrrrr et les autres qui n'ont rien compris non plus et te mettent des + 1 n'importe quoi !

Brétigny: quatre interpellations après le vol du portable d'un secouriste

Quatre hommes, dont des mineurs, ont été interpellés ce dimanche 14 juillet à Brétigny-sur-Orge avant d'être placés en garde à vue au commissariat d'Arpajon (Essonne) pour avoir dérobé le téléphone portable d'un secouriste après le déraillement du train Paris-Limoges. .

Dans cette affaire, un adolescent de 16 ans de Brétigny-sur-Orge avait déjà été interpellé vendredi soir près des lieux de l'accident.

Il se trouvait toujours en garde à vue dimanche. Quinze minutes après l'accident survenu à 17h14, des jeunes qui se trouvaient dans la gare se sont dirigés vers les quais. Un différend aurait éclaté entre un secouriste et plusieurs de ces personnes. Selon les enquêteurs, les jeunes n'auraient pas obtenu qu'une femme qui les accompagnait soit observée par le médecin. Dans la bousculade, ils se seraient emparés du téléphone qui était tombé par terre. Suite à cette bousculade, deux plaintes ont été déposées : par le médecin qui s'est fait dérober son téléphone et par un policier pour outrages.

De son côté, le syndicat de police Alliance avait porté des accusations beaucoup plus graves sur Europe 1. Selon l'un de ses représentants, les policiers se seraient rendus compte qu'un groupe de jeunes au lieu de porter secours aux victimes avaient l'intention de «dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres».

La sûreté départementale de l'Essonne a été chargée de déterminer s'il y a eu pillage ou volonté de pillage mais pour l'heure cette affirmation n'a été accréditée par aucun témoignage direct. Si le gouvernement a reconnu des actes isolés, les sources policières et à la mairie citées par l'AFP ont confirmé que la situation à cet endroit avait alors été brièvement tendue mais que les forces de l'ordre avaient rapidement éteint la montée de fièvre.

En outre, un autre incident a éclaté en marge du déraillement. Là, des projectiles ont été lancés sur un camion de pompiers. Selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP, un groupe de jeunes n'auraient pas tolérés d'être éloigné des lieux de la catastrophe en raison de la mise en place d'un large périmètre de sécurité. Les pompiers de l'Essonne, sollicités dimanche n'ont pas souhaité se prononcer.

LeParisien.fr

Pour ma part, j'ai retenu les interventions des premières pages, dont celle de carnifex dont je partage les craintes de récupération par les hérauts de la privatisation, qui au lieu de régler les différents problèmes de la SNCF ne feront au contraire de cet accident qu'un macabre prélude ...

« Ainsi, au matin du 5 octobre 1999, dans une collision entre deux trains, à Paddington, dans la banlieue de Londres, environ trente voyageurs sont tués et plusieurs centaines blessés. Aussitôt bruissent en France sur toutes les ondes, toute la journée, les mêmes commentaires : depuis la privatisation des chemins de fer britanniques, les nouvelles compagnies propriétaires ou concessionnaires, mues par la seille recherche du profit, ont économisé sur les dépenses consacrées à la sécurité, notamment dans les infrastructures et la signalisation.

Conclusion qui va de soi : les victimes de l’accident ont été assassinées par le libéralisme. Si c’est vrai, alors les cent vingt-deux personnes tuées dans l’accident ferroviaire de Harrow en 1952 furent assassinées par le socialisme, puisque les British Railways étaient alors nationalisés.

En France, en pleine gare de Lyon, le 27 juin 1988, un train percute un convoi arrêté : cinquante-six tués et trente-deux blessés, victimes évidentes, par conséquent, de la nationalisation des chemins de fer français en 1937, donc assassinées par le Front populaire. Le 16 juin 1972, la voûte du tunnel de Vierzy, dans l’Aisne, s’effondre sur deux trains : cent huit morts. Là non plus, l’entretien des structures ne paraît pas avoir été d’une perfection éblouissante, tout étatisée que fût la compagnie qui en était chargée.

Après quelques heures d’enquête à Paddington, il s’avéra que le conducteur de l’un des trains avait négligé deux feux jaunes qui lui enjoignaient de ralentir et grillé un feu rouge qui lui enjoignait de s’arrêter. L’erreur humaine, semble-t-il, et non l’appât du gain, expliquait le drame.

Que nenni ! rétorquèrent aussitôt les antilibéraux, car le train fautif n’était pas équipé d’un système de freinage automatique se déclenchant dès qu’un conducteur passe par inadvertance un signal rouge. Sans doute, mais dans l’accident de la gare de Lyon, ce système, s’il existait, ne semble pas avoir beaucoup servi non plus pour pallier l’erreur du conducteur français.

Pas davantage le 2 avril 1990 en gare d’Austerlitz à Paris, lorsqu’un train défonça un butoir, traversa le quai et s’engouffra dans la buvette. S’agissant d’infrastructures, la vétusté des passages à niveau français, mal signalés et pourvus de barrières fragiles ne s’abaissant qu’à la dernière seconde, cause chaque année entre cinquante et cent morts, et plus souvent autour de quatre-vingts, d’ailleurs, que de cinquante. L’infaillibilité du « service public à la française », en l’occurrence, ne saute pas absolument aux yeux. Ce sont là des faits et des comparaisons qui, naturellement, ne vinrent même pas à l’esprit des antilibéraux.

Ajoutons à ces quelques rappels que les chemins de fer britanniques, même du temps où ils appartenaient à l’État, étaient réputés dans toute l’Europe pour leur médiocre fonctionnement.

Enfin, leur privatisation ne s’est achevée qu’en 1997 ! Comment la déficience des infrastructures et du matériel roulant se serait-elle produite de façon aussi soudaine et rapide en moins de deux ans ? En réalité, British Railways a légué aux compagnies privées un réseau et des machines profondément dégradés, qui mettaient en péril la sécurité depuis plusieurs décennies. La mise en accusation du libéralisme dans cette tragédie relève plus de l’idée fixe que du raisonnement…

Il faut pousser l’obsession antilibérale jusqu’à l’aveuglement complet pour prétendre ou sous-entendre qu’il n’y aurait jamais eu d’accident que dans les transports privés. Les trente morts dus à la collision entre deux trains de la Compagnie nationale norvégienne, le 4 janvier 2000, furent-ils victimes du libéralisme ? »

La grande parade. Essais sur la survie de l’utopie socialiste, Jean-François Revel, Plon (2000)

Con testeur.

Que nenni ! rétorquèrent aussitôt les antilibéraux, car le train fautif n’était pas équipé d’un système de freinage automatique se déclenchant dès qu’un conducteur passe par inadvertance un signal rouge. Sans doute, mais dans l’accident de la gare de Lyon, ce système, s’il existait, ne semble pas avoir beaucoup servi non plus pour pallier l’erreur du conducteur français.

Et si au lieu de dire des conneries, tu te renseignais un minimum sur cette catastrophe, histoire de comprendre pourquoi le système de freinage automatique ne pouvait pas sauver le train français ?

Ajoutons à ces quelques rappels que les chemins de fer britanniques, même du temps où ils appartenaient à l’État, étaient réputés dans toute l’Europe pour leur médiocre fonctionnement.

Enfin, leur privatisation ne s’est achevée qu’en 1997 ! Comment la déficience des infrastructures et du matériel roulant se serait-elle produite de façon aussi soudaine et rapide en moins de deux ans ?

Toujours est-il que l'entretien du réseau ferré britannique est repassé depuis sous contrôle de l'état, et est financé à hauteur de 50% par les contribuables. Ca s'explique, non pas par l'accident de Paddington, mais par celui de Hatfield, qui a montré que la course au gain avait conduit à un sous investissement.

Depuis , les dépenses d'entretien et de renouvellement au Royaume-Uni sont 4 fois supérieures à celle de la France.

Bonjour,

je viens de passer 2 jours loin de toute source d'information (mis à part les nuages, sources et gibiers qui nous tiennent au courant des évolutions de la météo).

Je n'ai pas pris la peine de lire tous vos posts puisque dès la 3° pages le débat (initialement basé sur la sécurité des transports ferroviaires) dévie allègrement sur l'insécurité (dûe au pillage).

Bref, un accident de ce genre était prévisible à cet endroit là, au vu de l'état des infrastructures.

Oui la SNCF et RFF seront tenus pour responsables (puisqu'actuellement ils détiennent encore le monopole des transports ferroviaires en France).

Que tous ceux qui hurlent au scandale et demandent la privatisation se renseignent un peu mieux sur ce qui s'est fait en Grande Bretagne, après on causera en nombre de morts et-ou d'accidentés du rail. :)

Non la privatisation n'est pas la solution, oui l'embauche de personnel est la solution.

Savez vous qu'on peut faire dérailler un train avec une pièce d'un euro? :)

(moi oui, je sais faire, mais j'ai un devoir de réserve, alors je ne dis rien)

Sinon, un aiguillage, à l'heure actuelle, est sous "boucle de sécurité", c'est à dire qu'il y a des contrôles électroniques (qui peuvent être défaillants), des contrôles visuels (de la part des agents, qui restent humains et donc peuvent faire une erreur) et des contrôles physiques (par exemple les aiguillages manuels, non mobiles sans intervention humaine)...

Là c'est un concours de circonstances dramatiques, une faute très probable des décideurs exploitants la ligne. Quand on vous rétorque "non mais vas y, fais tirer, faut que ça dégage le PN", alors qu'on se trouve hors sécurité, ben tout simplement on se trouve dans une situation ingérable. (ç'a été mon cas alors que j'étais en gare.... et je mettais ainsi en danger la vie des usagers de la route, susceptibles de franchir un passage à niveau) Mais c'est sur ordre de la hiérarchie, il faut donc choisir.... C'est jamais simple.

Bref, il y avait bien longtemps qu'un tel drame humain n'avait eu lieu sur les rails, et cela doit nous faire réfléchir sur la qualité de notre service public, non sur une probable privatisation.

Mes condoléances aux familles des victimes, et aussi mon soutien aux agents et intervenants sur les lieux du drame.

Que les "pilleurs" ne reçoivent, eux, que mon mépris.