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Les pédocriminels deviennent pères pour avoir « des droits » sur les enfants.


PASDEPARANOIA

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
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Les pédocriminels deviennent pères pour avoir « des droits » sur les enfants.

Depuis toujours, les pédocriminels ont utilisé le cadre de la famille pour agir à leur guise.

« La pédocriminalité est une forme de criminalité « locale », les infractions qui en relèvent étant essentiellement commises au domicile ou dans la famille de la victime. »

(Interpol : Pédocriminalité)

Pour les pédocriminels, devenir père est le meilleur moyen d’agir à leur guise et en toute impunité avec les enfants.

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Dès l’instant où ils sont pères, les pédocriminels bénéficient du droit familial et de « droits » sur les enfants.

Les pédocriminels recherchent des génitrices

Pour obtenir des enfants dans un contexte familial, les pédocriminels doivent trouver des génitrices.

Pour cela, ils recherchent:

- soit des femmes enregistrées sur des réseaux pédophiles fournissant des génitrices (sites et agences de rencontre pédophiles),

- soit des femmes avec lesquelles ils prétendent vouloir avoir des enfants pour fonder une famille.

D’autres fois, les pédocriminels choisissent des femmes ayant déjà des enfants (famille recomposée) en leur faisant croire qu’ils s’intéressent sincèrement à elles. Mais en réalité, ce sont les enfants qui les intéressent. Ils n’ont alors pas de « droits » sur ces enfants, mais dans le huis clos familial ils peuvent en abuser sexuellement à leur guise.

La pédophilie intra-familiale n’est donc pas uniquement la conséquence de hasards et de pulsions incestuelles incontrôlées.

Il s’agit fréquemment d’une stratégie préméditée, parfaitement organisée et très répandue.

En effet, contrairement aux croyances, la pédocriminalité intra-familiale n’est absolument pas exceptionnelle, mais très courante puisque 20 % des enfants sont abusés sexuellement, principalement par un homme de leur famille, souvent des pères.

Voir l’article : 20% des enfants devraient faire l’objet d'un signalement d’abus sexuel.

Le SAP préserve le terrain de chasse des pédocriminels

Très actif dans le monde entier, au plus haut niveau de l’état, le lobby pédocriminel veille soigneusement à préserver son terrain de chasse favori : la famille.

Ainsi, lorsque les mères ont commencé à avoir le courage de signaler les abus sexuels paternels, le lobby pédocriminel a créé une redoutable théorie psychologique pro-pédophile nommée Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

Cette théorie pro-pédophile du SAP a été créée par un pro-pédophile notoire, Richard Gardner.

Le SAP a pour objectif principal de rendre suspecte toute mère dénonçant des abus sexuels paternels et de lui enlever les enfants pour les donner aux pères pédocriminels.

Voir l’article : Les mères tombent dans un véritable piège quand elles dénoncent des abus sexuels sur leurs enfants

Depuis quelques années, le SAP a envahi toute la protection de l’enfance, détruisant une multitude d’enfants donnés en pâture à des pédocriminels.

Avec le SAP, il n’y a plus de protection de l’enfance.

Les enfants sont en grand danger.

C’est de la non-assistance à enfants en danger.

A cause du SAP, l’état contraint les mères à donner leurs enfants à des pères pédocriminels. Souvent, elles n’ont même plus le droit de voir leurs enfants.

Voir cet article : Les enlèvements d’enfants par l’état : dignes des pires dictatures

Et si elles n’acceptent pas de donner leurs enfants au père pédocriminel, elles finissent en prison.

Pourtant, le SAP a depuis toujours été rejeté par la science. Comment se fait-il qu’il se soit imposé dans la protection de l’enfance ?

Voir l’article : La communauté scientifique internationale s'oppose au Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) : instances et professionnels

La réponse est simple, ce sont des groupes de pression qui ont imposé le SAP dans toute la protection de l’enfance.

Voir cet article qui décrit quelques manœuvres de ces groupes de pression : Pétition masculiniste pour faire reconnaître le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) par l’ONU

Les pressions massives autour du SAP montrent clairement l’existence d’un lobby, ce qui est totalement anormal pour un concept psychologique et dénote d’enjeux importants qui n’ont strictement rien à voir avec le bien-être des enfants.

L’existence d’un lobby est d’autant plus préoccupante que la théorie du SAP permet à des pères pédocriminels d’obtenir des enfants.

N’est-ce pas préoccupant que des groupes de pression imposent un concept pro-pédophile dans la protection de l’enfance et la magistrature ?

Voir l’article : Les juges protègent des pédocriminels en niant que la pédocriminalité se passe essentiellement dans les familles.

Pour Richard Gardner, un père pédophile est un bon père

Pour Richard Gardner, le créateur du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), il n’y a pas de raison de couper un enfant de son père pour une simple question de pédophilie.

Selon lui, un père pédophile a aussi des bons côtés. Les agressions sexuelles ne seraient que de mauvais moments à passer.

« La pédophilie a été considérée comme la norme par la grande majorité des individus de l’histoire du monde. (…) On doit dire à l’enfant qu’il n’existe pas de parent parfait. L’exploitation sexuelle doit être mise sur la liste des points négatifs et les points positifs doivent être appréciés tout autant. » (L'idéologie de Richard Gardner, créateur du syndrome d'aliénation parentale (SAP))

Pour Richard Gardner, une fellation à son père, une sodomie par son père, etc. de temps en temps, n’est donc absolument pas un problème pour un enfant.

D’ailleurs, Gardner défendait ouvertement les pédophiles et la pédophile.

« On doit l’aider [le père incestueux] à reconnaître que, même aujourd’hui, [la pédophilie] est une pratique largement répandue et acceptée, littéralement, par des milliards de gens. Il doit considérer que, dans notre société occidentale en particulier, nous avons une attitude très punitive et moralisante envers de telles tendances. En fait, il a simplement été quelque peu malchanceux d'être né en ce lieu et en cette époque pour ce qui est des attitudes sociales à l’égard de la pédophilie." » (La vérité sur Richard Gardner, le Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) et les fausses allégations.- voir le paragraphe : Florilège de citations de Richard Gardner)

A sa mort, Richard Gardner a été surnommé « un authentique monstre ». Son suicide abominable démontre la violence de ce pro-pédophile.

Voir l’article (avec rapport d’autopsie de Richard Gardner) : La « junk science » du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

Le Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP)

Un bon père pense avant tout au bien-être de ses enfants. Il ne voudra jamais que ses enfants soient arraché à leur mère et à leur lieu de vie, ni que leur mère aille en prison.

Lorsqu’un père n’hésite pas à faire violence à ses enfants pour les obtenir, il ne se soucie pas de leur bien-être.

Voir ces articles à propos des conséquences dramatique de l'utilisation de la théorie du Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) :

- La loi du père et son Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

- Masculinisme et pédocriminalité.

A leur insu, des mères porteuses pour des pédocriminels

A cause du SAP,

les mères servent à leur insu de mères porteuses pour des pédocriminels,

avec l’obligation supplémentaire de payer une pension pendant 18 ans à l’agresseur de leurs enfants.

En 2005, le Professeur Maurice Berger dénonçait déjà la stratégie des hommes violents qui consiste à prendre systématiquement la garde de leurs enfants, avec parfois l’interdiction pour la mère de revoir ses enfants.

Voir l’article : En 2005, le professeur Maurice Berger dénonçait le processus de dé-maternalisation des femmes

Extrait de l’article : « Et la femme est utilisée comme une mère porteuse, mais elle ne le sait pas ; elle, elle veut un enfant avec cet homme-là, et elle ne réalisera à quoi elle a été utilisée qu’au moment de la naissance ou peu après. »

La pédocriminalité intra-familiale se déroule toujours dans un contexte de violence familiale. L’abus sexuel est même une composante de la violence familiale.

Alors à toutes les femmes, attention lorsque vous choisissez un père pour vos enfants !

Vous avez 20 % de risques (c’est énorme) de tomber sur un pédocriminel qui vous enlèvera vos enfants pour en abuser sexuellement en toute liberté.

Voir l’article : 20% des enfants devraient faire l’objet d'un signalement d’abus sexuel

Il est quasiment impossible de détecter un homme violent potentiellement pédocriminel. Ces hommes sont toujours charmants et se présentent comme de merveilleux futurs pères.

Sachant que tout un système soutient massivement ces pères pédocriminels et détruit les mères qui osent protéger leurs enfants, les femmes d’aujourd’hui n’ont que deux solutions :

- la fuite à l’étranger avec leurs enfants si elles sont déjà tombées sur un pédocriminels,

- la grève des utérus, tant que l’état ne les protègera continuera de donner les enfants aux pédocriminels.

Voici un article qui décrit notamment la difficulté à détecter les hommes violents (potentiels pédocriminels) : Le Syndrome d’« Aliénation Patriarcale » (SAP)

Deux affaires pour prendre conscience du cauchemar

Pour prendre conscience de l’ampleur des drames que vivent les mères et les enfants confrontés à des pères pédocriminels, cet article se poursuit avec deux affaires caractéristiques.

Dans les deux affaires, dès l’instant où les mères ont signalés les abus sexuels paternels, tout a basculé dans un cauchemar absolu pour elles et leurs enfants. C’est précisément la marque de l’utilisation du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

Dans la première affaire, après avoir signalé les abus sexuels paternels, une mère s’est vu retirer ses deux jumeaux qui ont été donnés en garde à leur père pédocriminel présumé.

Dans la seconde affaire, après avoir signalé les abus sexuels paternels, une mère a été contrainte de fuir à l’étranger pour protéger sa fille d’un père pédocriminel.

Cette seconde affaire est un témoignage que je vous recommande de lire intégralement. Ce texte décrit parfaitement à quel point ces hommes sont charmants à l’extérieur et d’une violence inouïe dans le huis clos.

Une mère perd ses jumeaux donnés en garde à leur prédateur présumé

Jacques Thomet est journaliste d'investigation (ex rédacteur en chef à l'AFP) spécialiste de la pédocriminalité. Voici son site : Le site de Jacques Thomet

Depuis plusieurs années, Jacques Thomet travaille sur la démystification de l’affaire Outreau. Il vient de publier en mars 2013 un ouvrage intitulé « Retour à Outreau. Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle ».

Lien sur le livre : Retour à Outreau. Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle

Jacques Thomet est aussi engagé dans la lutte contre la pédocriminalité intra-familiale. Il se charge notamment de répertorier des affaires dans lesquelles les enfants n’ont pas été protégés malgré des signalements d’agressions sexuelles.

Sandrine Chastan

« Un cas parmi une multitude d'autres cas d'une mère qui a perdu ses enfants parce qu'elle a dénoncé des abus sexuels paternels. Nous ne vivons plus en démocratie. Ce régime de terreur est digne des pires dictatures ! Agissons et diffusons ! » (Jacques Thomet, Facebook, 15 mars 2013)

Avec ces mots, Jacques Thomet nous transmet un texte résumant cette affaire : La tragédie de Sandrine Chastan, privée depuis 9 mois de voir ses jumeaux violés, pour avoir dénoncé leur prédateur présumé: empêchons l’irréparable !

L’histoire de Sandrine Chastan est caractéristique de l’horreur absolue que vivent la plupart des enfants et des mères confrontés à des pères pédocriminels.

Pour permettre au plus grand nombre de prendre conscience de cette réalité épouvantable, je retransmets ci-dessous l’intégralité du texte de Jacques Thomet :

« La tragédie de Sandrine Chastan, privée depuis 9 mois de voir ses jumeaux violés, pour avoir dénoncé leur prédateur présumé: empêchons l’irréparable !

Au pays dit des droits de l’homme, ces impératifs sont tombés cul par-dessus tête pour Sandrine et ses jumeaux : non seulement ces enfants violés ont été remis à leur présumé prédateur sexuel, mais leur mère est interdite de rencontre avec eux depuis juin 2012 ! Nous sommes ici en France.

Dans la longue liste, dont je dispose, des mères victimes d’une tragédie similaire, le cas de Sandrine effraie d’autant plus que les règles de l’ONU et de l’Union européenne n’y ont pas été respectées.

Sandrine Chastan a accepté que son nom soit ici publié, et pas seulement son prénom, tant les impérities des institutions en charge l’ont détruite, sans parler de ses enfants. Si j’en prends la responsabilité, c’est que je redoute un épilogue dramatique face au silence complice de tous les responsables de cette tragédie.

Pour avoir osé dénoncer le prédateur présumé, elle a perdu ses enfants, son travail, vit dans la misère, et va devoir vendre sa maison pour payer des indemnités à …X, celui qu’elle avait dénoncé.

Je résume son dossier : en 2000, sa fille A (née d’une première union) évoque un viol commis par X. Elle ne la croit pas. En 2007, ses jumeaux C et D accusent X d’un acte similaire. Sandrine découvre alors sa cécité et dénonce X. Face à l’absence de poursuites contre X, alors qu’elle a été menacée de mort par le prédateur et sa famille, et victime de violences devant témoins, elle quitte son domicile avec ses jumeaux en 2009 pour une autre destination en France, sans se cacher. Un an plus tard, elle est arrêtée, détenue comme un vulgaire malfrat, et passe deux mois en prison.

Elle ne reverra plus ses enfants, alors confiés par la justice à un foyer puis finalement à X, que dans des centres agréés par la DASS locale, sous le vigilant contrôle d’inspectrices sociales qui empêchent tout dialogue privé entre mère et enfants.

En juin 2012, X vit toujours avec B et C sous sa garde, mais, à partir de cette date, Sandrine ne voit plus ses jumeaux. Les organismes officiels de défense de l’enfance se renvoient la balle pour rejeter ses demandes de visite. Ses plaintes devant les tribunaux pour non-représentation d’enfants restent sans suite.

Le 15 mars 2013, elle n’a toujours pas obtenu la moindre permission pour voir ses jumeaux, ne serait-ce que pendant une demi-heure devant des employés de l’Etat. A l’inverse, la justice lui tombe dessus sans retard pour lui imposer le paiement d’indemnités à X.

Neuf mois pour une fausse-couche judiciaire !

Si vous avez lu mon livre sur Retour à Outreau, vous aurez noté les prescriptions de l’ONU, relayées par la commission européenne des droits de l’homme, dans le rapport de Juan Miguel Petit sur les défaillances de la France en la matière : aucun enfant ne peut être retiré à sa mère tant que l’enquête judiciaire n’est pas achevée, ce qui est le cas pour Sandrine. La plainte de sa fille A contre le X est en cours.

Empêchons l’irréparable dans cet effroyable drame ! Nul n’ignore sur quelle issue peut déboucher une telle horreur pour une femme à qui l’on a arraché le fruit de ses entrailles quand on est la victime, et non le bourreau.

J’ai la copie de toutes les preuves (médicales, judiciaires, etc) sur la sincérité des témoignages de Sandrine Chastan, depuis près de deux ans.

Cette mise en garde est destinée à prendre date, noir sur blanc, si rien n’est fait pour remédier à cet engrenage destructif. »

Contrainte à la clandestinité pour protéger sa fille

En 2002, le rapporteur de l'ONU M. Juan Miguel Petit s'inquiétait déjà du Syndrome d'Aliénation Parentale (SAP) qui empêchait toute dénonciation d’abus sexuel et obligeait les mères à fuir à l’étranger.

Voir l’article d’Hélène Palma et Léo Thiers-Vidal : Violences intra-familiales sur enfants : le rapporteur de l’ONU en France

En 2003, l’excellent site Sisyphe publie un article concernant précisément une femme et sa fille Tess qui ont dû quitter la France pour vivre cachées dans un autre pays européen parce que la justice de leur pays n’avait pas défendu l’enfant contre un père incestueux.

Voici cet article : Contrainte à la clandestinité pour protéger sa fille

Extraits de l’introduction de l’article :

« Les mères ont mauvaise presse. Il n’y a pas si longtemps, on leur reprochait de ne pas protéger leurs enfants contre des pères incestueux ou on les soupçonnait de complicité. Maintenant, si elles écoutent les plaintes de leurs enfants et agissent pour les protéger, on les accuse de mentir ou de manipuler dans un but de vengeance contre un conjoint ou un ex-conjoint. »

« Il arrive même que la situation soit renversée et que des mères - et non les abuseurs - se retrouvent devant le tribunal pour avoir voulu protéger son enfant et que ce dernier soit confié au père agresseur. La parole de la mère et celle de l’enfant sont systématiquement mises en doute sous prétexte que certains parents utilisent l’inceste comme une arme pour régler leurs problèmes de couple. »

Tess

L’histoire de Tess et sa mère est caractéristique de l’horreur absolue que vivent la plupart des mères et des enfants confrontés à des pères pédocriminels.

Tout commence comme un conte de fée. Le futur père semble très amoureux de sa femme. Puis 3 mois avant la naissance, tout bascule dans un scénario digne d’un film d’épouvante.

Pour permettre au plus grand nombre de prendre conscience de cette réalité terrifiante, je retransmets ci-dessous l’intégralité de ce témoignage :

« En février dernier, pour protéger Tess, je me suis réfugiée à l’étranger avec elle, aidée par les membres d’une association suisse. Je n’avais pas d’autre choix pour respecter la promesse que je lui avais faite "Plus jamais ton père ne te fera de mal". Tess a aujourd’hui 6 ans. J’en avais 28 lorsque j’ai rencontré son père, en 1990. Il préparait son diplôme d’avocat tandis que je travaillais comme responsable dans une imprimerie. Notre histoire a commencé par des escapades amoureuses et des bouquets de fleurs. Très vite, il m’a présentée à ses parents et à ses soeurs. Loin des miens, je retrouvai l’ambiance sécurisante d’une vraie famille. F. était charmant, c’était le bonheur.

En mars 92, j’étais enceinte. De façon mystérieuse, à partir du sixième mois de ma grossesse, F. instaura une distance entre nous. Le 27 octobre, Tess naissait. F. ne m’avait pas accompagnée à la maternité. Quand il finit par nous rendre visite, il était gêné, froid. J’avais l’impression de me trouver en face d’un étranger. Mes proches me rassurèrent : les pères ont parfois de drôles de réactions... Le temps arrangerait les choses. Je suis rentrée à la maison, prête à déplacer des montagnes pour défendre notre bonheur à trois. Peine perdue : ni mon optimisme ni les attentions n’ont eu raison de son indifférence. Ce n’est qu’en présence de tiers qu’il devenait un compagnon et un père attentif et aimant.

Une nuit Tess, qui avait alors 2 mois, s’est mise à pleurer. Je revois F. se lever brutalement et secouer notre bébé en hurlant : "Tu ne vas pas me faire chier toute ma vie !" J’étais sidérée. Comme une automate, je lui ai retiré Tess des mains. Je cherchais à la calmer, je pris la peine de lui expliquer des choses élémentaires, qu’il était normal qu’un bébé pleure la nuit... F. s’est rendormi, tandis que je restais les yeux grands ouverts, incapable de trouver le sommeil. Le lendemain, il semblait avoir tout oublié. Pour ma part, je ne pouvais pas faire comme s’il ne s’était rien passé. Je voulais absolument qu’il me dise ce qu’il ressentait. Je lui proposai que nous consultions ensemble un psychologue. Il refusa tout et me signifia que le débat était clos.

Quelques semaines plus tard, Tess est tombée malade. En présence du généraliste, F. s’est montré inquiet, mais dès son départ, il m’a hurlé que s’était "l’occasion ou jamais de la laisser crever !". Je n’en croyais pas mes oreilles. Ses accès de haine me paralysaient. Mais comme on me le disait, il vivait mal sa paternité, il avait besoin de moi, c’était mon rôle de l’aider. Il me fallait être forte.

Noyée au milieu de toutes ces recommandations, espérant retrouver l’homme que j’avais connu, ma vigilance s’est assoupie. Quelques jours plus tard, le réveil fut brutal. Le temps de préparer le biberon, j’avais confié Tess à son père. J’avais à peine tourné le dos que je le retrouvai sur le balcon, tenant Tess au-dessus du vide. Soudain, tout est devenu clair, évident : il ne traversait pas une crise passagère de paternité... Je commençais à avoir très peur.

A la suite de cette épisode, nous avons eu de violentes disputes. F. éructait en parlant de notre fille, hurlait qu’il n’allait pas "se trimbaler cette chieuse toute sa vie". Il était temps de se séparer... C’est avec soulagement qu’il me vit faire mes valises. Avec ma petite Tess, je pris l’avion pour Bordeaux, où résident mes parents. Ils nous attendaient à l’aéroport. C’était le 6 septembre 1993.

Tess et moi avons alors commencé une nouvelle vie. Très vite, j’ai retrouvé du travail et par là, mon indépendance. F. ne nous donnait aucune nouvelle. Je l’imaginais libéré et nous sentais enfin à l’abri. Jusqu’à ce jour de décembre où il a débarqué à l’improviste. Il avait intenté une action en justice pour obtenir un droit d’hébergement. Mais pour moi, c’était impensable. J’avais la certitude que nous avions évité le drame de si peu qu’il n’était pas question d’exposer ma petite fille à de nouveaux dangers.

Au juge j’ai raconté les violences physiques et verbales que F. avait infligées à notre enfant. Et sa demande n’a pas abouti. Pendant trois ans, malgré les multiples procédures, aucun juge, au vu des violences évoquées, n’accepta de lui confier Tess. Il voyait sa fille une fois par mois en ma présence, chez moi. La situation paraissait idéale : le lien paternel n’était pas rompu et Tess se trouvait en sécurité.

Du moins l’ai-je cru, jusqu’à ce jour où je surpris F., assis devant la télévision en train de caresser Tess entre les jambes. Je le menaçai d’appeler la police. Il quitta la maison aussitôt avec cet air arrogant que je lui connaissais bien. En état de choc, je suis allée tout de suite au commissariat. L’inspecteur de police m’a comprise et m’a conseillé de "porter plainte pour attouchements sexuels sur mineur de moins de 15 ans, sans violence". Submergée par l’émotion, je n’ai pu dire l’impensable. Je n’ai pas été capable de prononcer le mot "sexe" ; au lieu de cela j’ai parlé de "l’aine", de "l’entrejambe", mais je n’arrivais pas à parler du "sexe" de mon bébé. Les mots précis manquaient à la déposition. L’affaire fut classée. Il nous fallu continuer à supporter les visites de F.

Avec une détermination et un savoir-faire professionnels, il entreprit d’émouvoir le juge en argumentant que je faisais obstacle à sa relation avec Tess ; il n’avait pas d’intimité avec elle, sa fille lui manquait... Chose incroyable, il obtint gain de cause. Son droit de visite s’exercerait désormais dans un "point-rencontre", un centre où, le premier samedi de chaque mois, il verrait Tess en présence d’éducateurs. J’étais persuadée que l’institution remplirait son rôle protecteur.

Ponctuel, avenant, flatteur, jouant le père modèle, on lui accorda, dès la première entrevue, l’autorisation de quitter le centre avec Tess, le temps d’une "promenade" de 15 h à 18. De sa petite échappée avec Tess, F. revint à l’heure prévue, affichant un visage rassurant, parfaitement maître de lui-même, remerciant les éducateurs, avant de me lancer, une fois seuls : "Un accident est si vite arrivé. La petite qui passe sous les roues d’un camion, et toi, je te verrai devenir folle d’apprendre sa mort !". Puis un jour, en 1996, l’institutrice de ma fille m’a convoquée. Au cours d’un jeu collectif, Tess lui avait confiée, en montrant sa culotte : "Mon papa, il me touche là. C’est pas bien". Entendue par la police, son institutrice signa et confirma sa déclaration. Plus tard, F. me menaça devant Tess avec un pistolet et déclara : "Tu ne peux rien contre moi, la justice me protège. Tu es morte". Lorsqu’il fit feu, il s’avéra que c’était un pistolet à eau. Je portai plainte pour menace de mort et signalai les faits au procureur. L’affaire fut classée faute de preuves. F. avait réussi à inverser les rôles : il était un martyr et j’étais une procédurière névrosée. Je m’enlisais dans un cauchemar. Difficile de décrire le sentiment d’abandon et l’écoeurement face à ce constat d’impuissance.

En 1997, fort de cet avantage, il renouvela sa demande de droit d’hébergement sur sa fille. Faisant fi de mes plaintes et des violences reconnues, le juge lui attribua un droit de visite conventionnel : un week-end par mois et la moitié des vacances scolaires. Accablée, je fis appel. On me rétorqua alors qu’en matière d’inceste, neuf dossier sur dix n’étaient qu’affabulation et règlements de compte entre les parents. Débordés, les magistrats ne peuvent consacrer aux affaires tout le temps et l’attention nécessaires pour que la vérité éclate.

Tess ne mentait pas. Mais comment l’auraient-ils su ? Jamais elle n’avait été véritablement entendue. Sur les conseils de mon avocat, j’écrivis à différents ministères. Tous renvoyèrent le dossier au procureur, qui considéra à nouveau qu’il n’y avait aucun danger pour l’enfant et que son père pouvait la prendre au mois d’août. À bout de ressources, sans plus d’armes pour m’opposer au droit d’hébergement, j’expliquai à ma petite fille qu’elle devait partir. La veille de son départ, elle alla se cacher dans la valise, se débattit, cria qu’elle ne voulait pas y aller. Mais Tess est partie, je me sentis mourir de désespoir.

A son retour, c’est une enfant meurtrie qui s’est avancée vers moi. Amaigrie, les yeux cernés, le regard plein d’effroi. Elle hurlait la nuit, se réveillait terrorisée. "Mon père m’a touché la zézette, j’ai peur... Je ne peux plus respirer", répétait-elle, en s’arrachant la peau. Tout se brisait en moi.

Nous avions besoin d’aide, de toute urgence. Je pris rendez-vous chez un psychologue pour enfants. Là-bas, Tess se mit à rouler par terre, à lécher les pieds de la table, à ramper sur le sol. "Mon père m’a touchée partout, et puis là, dit-elle, en écartant les jambes". Tess poursuivit : "Il m’a dit que si je le disais, ma maman ne m’aimerait plus, qu’il la mettrait en prison et qu’il me tuerait". Elle se cacha derrière un siège. Le psychologue lui tendit des crayons. Elle dessina un sexe en érection, puis au repos. Elle bavait, on aurait dit un petit animal. C’était insoutenable. La psychologue la réconforta : "Tess, tu es une petite fille très courageuse. Tu n’es pas responsable de ce qu’à fait ton père". Le psychologue fit un signalement à la justice. Malgré celui-ci, je fus sommée de présenter l’enfant à son père. Tess me suppliât de lui dire qu’elle "était morte". Je croisais F. au point-rencontre. Il me glissa en saisissant sa fille : "Cela doit être horrible pour toi de ne pas savoir à quel moment je la touche". Tess hurlait de terreur...

Quand elle revint, elle était complètement déboussolée. Je l’emmenai consulter un pédopsychiatre. Il fut constaté que son père avait réitéré ses attouchements, cette fois en présence d’un tiers. "Ils me disaient : "c’est bien"... Il m’a mis un petit zizi dans la bouche puis un gros. Je ne pouvais pas respirer. Il a mis son doigt dans mon derrière, je voulais pas...", répétait-elle, en sanglotant. Le pédopsychiatre fit un nouveau signalement de mineur en danger au procureur. Des gendarmes entendirent de nouveau Tess pendant plus de deux heures, hors de ma présence. Convaincus qu’elle disait bien la vérité, un procès-verbal fut transmis au juge qui indiquait que des "indices graves et concordant étaient réunis de manière à poursuivre le père pour agressions sur mineure de moins de quinze ans par ascendant".

A ce jour, ma plainte pénale pour atteintes sexuelles est en voie de classement malgré les nombreux certificats médicaux et la déposition de Tess faite à la gendarmerie. Je suis sous le coup de quatre condamnations civiles pour avoir demandé la suspension du droit de visite et d’hébergement du père.

Sans l’aide de Terres des Hommes, une association suisse qui, entre autres actions, a entrepris de lutter contre la pédophilie, je vivrais aujourd’hui séparée de ma fille. Ses juristes, engagés corps et âmes dans la défense des droits de l’enfant, ont repris le dossier pièce par pièce. Son calvaire a été reconnu par des experts pédopsychiatres. Grâce à eux, Tess retrouve une certaine confiance dans la vie.

Elle sait désormais que les hommes ne sont pas tous des agresseurs comme son père. Nous vivons de solidarité, hébergées, soutenues moralement et protégées dans notre anonymat. Aujourd’hui, l’objectif de l’équipe qui m’entoure, c’est que la justice française entende enfin Tess et reconnaisse la culpabilité de son père. »

http://guillaumeleroy.blogspot.ch/2013/03/les-pedocriminels-deviennent-peres-pour.html

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
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Richard Gardner soutient que la pédophilie serait un moyen de faire apparaître les pulsions sexuelles chez l'enfant de manière précoce, ce qui serait une pratique positive dans le cadre de la survie de l'espèce humaine.

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Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 465 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Ce fléau n'est pas nouveau, en 1977, une pétition pro-pédophile, signée par des personnalités célèbres telles Jack Lang, Bernard Kouchner, Sartre, Aragon, etc..

Article

(extrait)

Le Monde publiait, le 26 janvier 1977, une célèbre lettre ouverte aux Parlementaires, relayée, évidemment, par Libération, pour défendre dans « l’affaire de Versailles », 3 hommes qui étaient accusés de pédophilie, pour avoir couché avec des mineurs et pris des photos de leurs intimités. Les intellectuels progressistes parisiens s’étaient émus de cette entrave à la jouissance et à la consommation du corps. Comment une société peut-elle être heureuse si l’on fixe des limites morales au plaisir sexuel ?Le texte ignoble précisait ainsi que les enfants étaient « consentants », avant d’aller encore plus loin dans le progrès sociétal : « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ? » et « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Ça a le mérite d’être clair !

Voici donc la liste des 60 signataires de cette pétition, qui font quasiment tous partie des fervents défenseurs du mariage pour tous et qui continuent à militer, sans honte, pour la marchandisation du corps. On y retrouve évidement toutes les idoles de nos bons vieux bobos soixante-huitards et quelques socialistes devenus ministres entre-temps. Une liste à garder en mémoire :

  • Alain Cuny
  • André Glucksmann
  • Anne Querrien
  • Bernard Dort
  • Dr Bernard Kouchner
  • Dr Bernard Muldworf
  • Bertrand Boulin
  • Catherine Millet
  • Catherine Valabrègue
  • Christian Hennion
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  • Dr Robert Gellman
  • Roland Barthes
  • Simone de Beauvoir
  • Victoria Therame
  • Vincent Montail

Ou quand l'intelligentsia devient folle...

Déclaration de Jack Lang, le 31 janvier 1991 au magasine Gay Pied :

« La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. »
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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Source ?

Je parle du post initial bien sur.

Allez les censeurs haut les coeurs !

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 64ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 401 messages
64ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

C'est evident. Ou un pedophile trouve-t-il le plus facilement des enfants. Dans sa propre famille. Une amie juge m'a dit que la majorite des cas d'abus sexuels sur enfants etait du faits de membres de leur famille. C'est connu ( en tout cas chez les juges........et elle en voit passer des cas.)

Mais ce n'est pas une generalite, on pourrait en dire autant de toute personne charge de mineurs ( enseignants, moniteurs de colo, etc etc ....) Il y a statistiquement chez eux plus de cas de pedophiles. Logique.

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Entre "trouvet des victimes dans sa famille" et "créer une famille pour trouver des victimes" il y a un gouffre que les complotistes franchissent allégrement.

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Immanouel avait posté un article sur le passé pédophile militant des associations LGBT, faut que je le retrouve.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Entre "trouvet des victimes dans sa famille" et "créer une famille pour trouver des victimes" il y a un gouffre que les complotistes franchissent allégrement.

Non, le prédateur s'adapte.

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Pour les obsédés du post-68 , il suffit de voir l'histoire de l'idéologie pro-pédophile pour constater qu'elle a été exclue des combats idéologiques libertaires, ou du moins reléguée à la minorité odieuse qu'elle représente. La société est bien revenue de l'illusion du "jouir sans entrave", prétexte libéral dissimulant des motivations égoïstes sans limites; et donc niant la réalité. Les droits de l'enfance se sont renforcés. Les qualifications d'agressions sexuelles aussi. Il reste encore du travail mais, tout ça ne passerait plus aujourd'hui, même chez les "progressistes", heureusement.

S'il y a des gens qui prônent le mariage homo par principe libertaire, ils sont toujours dans le faux. Les vrais arguments sont autres. Et il n'est pas dit que les pédophiles soient libertaires.

De toute façon, la grande majorité du peuple est anti-pédophile, peu importe la position sur ce débat.

Merci de ne pas trop embrayer sur un HS.

=====

Les pédocriminels recherchent des génitrices

Pour obtenir des enfants dans un contexte familial, les pédocriminels doivent trouver des génitrices.

Pour cela, ils recherchent:

- soit des femmes enregistrées sur des réseaux pédophiles fournissant des génitrices (sites et agences de rencontre pédophiles),

- soit des femmes avec lesquelles ils prétendent vouloir avoir des enfants pour fonder une famille.

D’autres fois, les pédocriminels choisissent des femmes ayant déjà des enfants (famille recomposée) en leur faisant croire qu’ils s’intéressent sincèrement à elles. Mais en réalité, ce sont les enfants qui les intéressent. Ils n’ont alors pas de « droits » sur ces enfants, mais dans le huis clos familial ils peuvent en abuser sexuellement à leur guise.

La pédophilie intra-familiale n’est donc pas uniquement la conséquence de hasards et de pulsions incestuelles incontrôlées.

Il s’agit fréquemment d’une stratégie préméditée, parfaitement organisée et très répandue.

En effet, contrairement aux croyances, la pédocriminalité intra-familiale n’est absolument pas exceptionnelle, mais très courante puisque 20 % des enfants sont abusés sexuellement, principalement par un homme de leur famille, souvent des pères.

Voir l’article : 20% des enfants devraient faire l’objet d'un signalement d’abus sexuel.

Quand elle n'est pas intra-familiale, elle est le fait de proches ou d'adultes ayant ascendance sur l'enfant. Les cas de pédophiles extérieurs sont plus rares qu'on ne le pense. D'où la nécessité d'être vigilants.

Le SAP préserve le terrain de chasse des pédocriminels

Très actif dans le monde entier, au plus haut niveau de l’état, le lobby pédocriminel veille soigneusement à préserver son terrain de chasse favori : la famille.

Ainsi, lorsque les mères ont commencé à avoir le courage de signaler les abus sexuels paternels, le lobby pédocriminel a créé une redoutable théorie psychologique pro-pédophile nommée Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP).

Cette théorie pro-pédophile du SAP a été créée par un pro-pédophile notoire, Richard Gardner.

Le SAP a pour objectif principal de rendre suspecte toute mère dénonçant des abus sexuels paternels et de lui enlever les enfants pour les donner aux pères pédocriminels.

C'est ce que dénoncent des juges familiaux. Contrairement à ce qui est dit, le syndrome d'aliénation parentale est connu. Les enfants sont instrumentalisés par les parents. C'est le cas dans des dilemmes banals (droit de garde alternée) comme dans les cas plus graves (violences, pédophilie,...). Il ne faut pas croire que toutes les décisions sont le fait de féministes bornées donnant systématiquement raison à la mère par simple idéologie. C'est plutôt un certain laxisme, un évitement du conflit qui amène toutes les parties à un consensus hypocrite, pouvant laisser des enfants en danger.

Pour Richard Gardner, un père pédophile est un bon père

Pour Richard Gardner, le créateur du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), il n’y a pas de raison de couper un enfant de son père pour une simple question de pédophilie.

Selon lui, un père pédophile a aussi des bons côtés. Les agressions sexuelles ne seraient que de mauvais moments à passer.

Le pédophile est attentionné pour s'acheter le silence de l'enfant, par culpabilité aussi. Ça ne l'empêche surement pas d'aimer son enfant mais il sait très bien qu'il enfreint les règles d'une relation saine, ou qu'il fait souffrir son enfant. Les manipulateurs pédophiles sont aussi d'excellent maîtres chanteurs, sachant faire pression sur l'enfant dans un mélange de séduction et de menace. Ce qui pourra faire dire à l'enfant que tout va bien, que papa est gentil.

Cet argumentaire est abject : il nie le statut de l'enfant au seul profit du plaisir égoïste du pédophile. Il nie l'impact que de telles relations ont dans le développement psychique et social de l'enfant. Elles sont où les victimes épanouies de la pédophilie ?

A leur insu, des mères porteuses pour des pédocriminels

A cause du SAP,

les mères servent à leur insu de mères porteuses pour des pédocriminels,

avec l’obligation supplémentaire de payer une pension pendant 18 ans à l’agresseur de leurs enfants.

Une femme ne peut pas imaginer que le père de ses enfants est en fait un pédophile latent. Mais il ne faut pas hésiter à dénoncer. Problème moderne : l'accusation pédophile est aussi une arme utilisé à mauvais escient, pour se venger de quelqu'un. Il faudrait que les fausses dénonciation soient sévèrement punies, vu le mal qu'elles peuvent faire.

Car c'est toujours délicat de prouver son innocence, de la même façon qu'il est parfois difficile de prouver la culpabilité d'un pédophile qui a mis des années à assurer le secret de sa relation et son emprise sur la victime ou les témoins.

Richard Gardner soutient que la pédophilie serait un moyen de faire apparaître les pulsions sexuelles chez l'enfant de manière précoce, ce qui serait une pratique positive dans le cadre de la survie de l'espèce humaine.

Comme si on était en déficit de natalité et que notre espèce avait besoin de ça. :mouai: Y'en a qui n'ont peur d'aucune malhonnêteté intellectuelle.

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Membre, Posté(e)
slanny Membre 5 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Immanouel avait posté un article sur le passé pédophile militant des associations LGBT, faut que je le retrouve.

Ils ne feront jamais aussi bien que l’église dans se domaine :smile2:

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 284 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Il convient de distinguer un père incestueux d'un autre pédophile. Le père lui abuse de ses enfants justement parce que ce sont ses enfants, dans la très grande majorité des cas.

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Ils ne feront jamais aussi bien que l’église dans se domaine :smile2:

L'Eglise n'a jamais prôné la pédophilie, arrête un peu

Pédophilie : du crime au tabou

rubens.jpgRubens, Le Rapt de Ganymède.

J’ai passé mon dimanche à chercher des mouchoirs. Pas de vulgaires kleenex, mais des mouchoirs en soie. Quand on est maire de Paris, on n’essuie pas ses larmes dans n’importe quoi et c’est à Bertrand Delanoë que je voulais envoyer un petit paquet enrubanné, afin que, le moment venu, il ait de quoi sécher ses pleurs. Car, le moment viendra, comme il vient pour tout homme, où il plaira à Dieu de rappeler à lui le cardinal Bertone et, ce moment-là, Bertrand Delanoë aura beaucoup de chagrin. Peut-être sera-t-il même inconsolable.

Certes, il y a deux semaines encore, le maire de Paris trouvait “choquants” les propos de ce cardinal qui associait dans une même phrase homosexualité et pédophilie : “De telles prises de position, écrivait le premier magistrat parisien dans le plus indigné des communiqués, sont d’autant plus dangereuses qu’elles stigmatisent délibérément une identité et portent ainsi atteinte au respect de la diversité et de la liberté individuelle.”

Or, depuis – il faut dire qu’une semaine entière a passé, l’éternité quoi ! –, Bertrand Delanoë a changé, puisqu’il salue, dans le plus ému des communiqués, la mémoire de Jean Le Bitoux, grande figure des combats homosexuels français et fondateur de Gai pied, disparu le 21 avril.

Quel rapport entre Jean Le Bitoux et Tarcisio Bertone ? Aucun, évidemment. Enfin, si. Les deux établissent, à leur manière, un lien entre homosexualité et pédophilie. Le premier, secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le fait le 12 avril dernier au détour d’une conférence de presse donnée au Chili. Il ose affirmer qu’on lui a rapporté que certains spécialistes lient homosexualité et pédophilie : levée générale de boucliers. Quant au second, Jean Le Bitoux, ses manières sont un peu plus rudes. Il y a quelques années, il affirmait qu’homosexualité et pédophilie avaient partie liée, sans s’attirer autre chose à sa mort que la “gratitude” du maire de Paris pour son “courage militant”. Allez y comprendre quelque chose.

Dans un court entretien donné au magazine gay Illico en mars 2001, Jean Le Bitoux revenait sur l’histoire du mouvement militant homosexuel : “En France, l’homosexualité vient d’une culture pédophile avec André Gide. En 1968, il existait même un comité d’action pédérastique révolutionnaire. Dans le discours du GLH à partir de 1975, il y a tout un héritage du FHAR notamment sur la question pédophile. À l’époque, il s’agissait de libérer son corps, libérer ses fantasmes. Il ne faut pas oublier qu’à cette époque-là la majorité est à 21 ans, ce qui est bien tard. Dans les années 1970, tout est à libérer y compris l’enfant qui est corseté comme la femme, comme l’homosexuel. Aujourd’hui, on ne parle plus du tout du même enfant. L’enfant des années 1970 était l’esclave d’une vieille civilisation, l’enfant d’aujourd’hui est extrêmement sacralisé.” Il poursuivait : “Tony Duvert tenait une rubrique dans Gai Pied où il affirmait : la question pédophile existe et certains gays sont pédophobes et ils considèrent que l’émancipation des homosexuels se fera sur le dos des pédophiles. On a inventé un homosexuel qui laisse de côté la question pédophile.”

Contrairement à beaucoup de sa génération (dont Bertrand Delanoë), Jean Le Bitoux n’avait pas la mémoire qui flanche. Il se souvenait même très bien des positions de Guy Hocquenghem, de René Schérer ou encore de Michel Foucault.

Dans les années 1970, tous plaident pour une reconnaissance des sexualités que l’on n’appelle pas encore “minoritaires”, mais “périphériques”. Et loin de se contenter d’être des militants LBGT (lesbien, bisexuel, gay, trans), ils sont des militants LGBTP. Ils incluent le “P” de la pédophilie dans leurs revendications. Militants homosexuels et pédophiles deviennent compagnons de route et font front commun contre l’“ordre bourgeois” qui tient les “sexualités périphériques” pour des pathologies, des déviances, quand ce n’est pas pour des crimes.

C’est notamment le cas de Michel Foucault au tournant des années 1980 qui défend la pédophilie ou, plutôt, qui refuse qu’on l’enferme dans une monstrueuse figure psychiatrisée : l’auteur de L’Histoire de la sexualité dénonce ce qu’il pressent advenir – et qui adviendra pour connaître son paroxysme à Outreau – : la sacralisation de l’enfant innocent et la condamnation a priori de l’adulte. L’un et l’autre victime et criminel par nature : bourreau, fais ton office ! Cependant, que faire du désir sexuel de l’enfant ? Car pour Foucault, Hocquenghem ou Schérer, l’enfant n’est pas que pure candeur : il est aussi un être sexuellement désirant. Et désirable.

Dans ces années-là, la question de la sexualité de l’enfant n’est pas un tabou. L’intelligentsia française envoie, par exemple, en 1977 une pétition au Parlement réclamant la suppression de la majorité sexuelle et la dépénalisation des actes sexuels avec les moins de 15 ans. Dans les mêmes années, Libération publie des annonces de lecteurs cherchant des partenaires de 12 à 18 ans. Quant à Daniel Cohn-Bendit, il écrit avoir eu des jeux à caractère sexuel avec des enfants et s’en vante même sur le plateau d’Apostrophe, sans d’ailleurs que les gendarmes ne l’attendent à la sortie de l’émission pour lui passer les bracelets.

C’est que la pédophilie n’a pas la connotation nécessairement criminelle qu’elle a aujourd’hui. Le pédophile a encore, si l’on peut dire, des humanités : il s’idéalise en continuateur de l’antique pédéraste, en éraste qui ne serait fait que pour apprendre la vie à un éromène, en pédagogue qui aimerait les enfants. “Alcibiade, monte donc sur les genoux de Socrate, il va te faire réviser ta philo.”

Puis, le chemin des militants homosexuels et pédophiles se sépare. Cela se produit, selon Jean Le Bitoux, en 1982, avec l’affaire du Coral. Une dénonciation calomnieuse à propos de jeunes ados violés, des personnalités impliquées, un grand scandale médiatique : c’est une affaire d’Outreau avant l’heure – mais sans l’empressement de l’instruction à embastiller la terre entière.

Seulement, le “mal” est fait : les militants homosexuels ont obtenu, en août 1982, la dépénalisation de l’homosexualité et ils ont désormais autre chose à faire que de s’occuper de leurs anciens compagnons de route, d’autant plus qu’ils sont devenus, avec cette sale affaire du Coral, passablement encombrants. Et Jean Le Bitoux de conclure de façon cinglante : “Aujourd’hui, je pense que les pédophiles sont toujours les boucs émissaires des homosexuels. Le débat n’est plus du côté d’un espace de liberté que les pédophiles n’ont toujours pas, mais du côté de la jeunesse des homosexuels.”

Mince alors ! Tarcisio Bertone a dû lire Jean Le Bitoux, qui ose le plus odieux des amalgames et établit une relation entre pédophilie et homosexualité.

Qu’a-t-il dit, au fait, de si scandaleux, le cardinal ? “Nombre de psychologues, de psychiatres ont démontré qu’il n’y avait pas de relation entre célibat et pédophilie mais beaucoup d’autres ont démontré, et m’ont dit récemment, qu’il y avait une relation entre homosexualité et pédophilie.” Voilà ce qu’a déclaré Bertone, répondant à une question posée lors d’une conférence de presse au Chili.

À moins de confier à Robert Faurisson la réécriture de l’histoire du mouvement homosexuel en France depuis André Gide jusqu’aux années 1980 et de brûler à Paris-Plage l’œuvre de Michel Foucault, la vérité nous oblige à donner raison à Tarcisio Bertone : la relation entre homosexualité et pédophilie a été posée, depuis fort longtemps, par des intellectuels qui n’étaient ni des “fascistes” ni des “réactionnaires”, mais des militants et des théoriciens de l’homosexualité, les tenants d’une avant-garde luttant contre ce qu’ils appelaient la “vieille morale bourgeoise” et une société qui surveille et punit.

Seulement, le mot pédophilie ne peut plus être prononcé sans emporter avec lui tout sens critique. Il vaut condamnation immédiate à celui qui en est suspecté, comme à celui, d’ailleurs, qui oserait interroger et remettre en cause ses présupposés. Surtout ne pas se demander s’il n’existerait pas une légère différence entre un violeur d’enfants et un amateur de beautés adolescentes : non ! à défaut de la tête, on leur coupera indistinctement les couilles. Ne pas se demander non plus ce qu’est la pédophilie, mais enfermer le mot et son indétermination sous le masque monstrueux et infrangible du pédophile, nouvel ogre de la fable contemporaine. La pédophilie n’est plus seulement un crime. Elle est un tabou, la camera oscura d’une sexualité qui s’estime désormais affranchie de toute histoire.

http://www.causeur.fr/pedophilie-du-crime-au-tabou,6168#

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Membre, Posté(e)
Blatte Membre 3 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Causeur.fr :smile2:

Bon sinon, tu sais qu'en interdisant l'homosexualité, la société l'a plongée dans l'illégalité ? Forcément, ils ne pouvaient pas trop choisir leurs compagnons...

"Dans les années 1970, tous plaident pour une reconnaissance des sexualités que l’on n’appelle pas encore “minoritaires”, mais “périphériques”. Et loin de se contenter d’être des militants LBGT (lesbien, bisexuel, gay, trans), ils sont des militants LGBT

Eh oui, dans les années 70 (et encore à Cuba, semble-t-il).

Et aujourd'hui ?

L'Eglise n'a jamais prôné la pédophilie, arrête un peu

Par contre, elle s'est vaillamment mis des oeillères sur le sujet.

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Bon sinon, tu sais qu'en interdisant l'homosexualité, la société l'a plongée dans l'illégalité ? Forcément, ils ne pouvaient pas trop choisir leurs compagnons...

Les pauvres victimes. :(

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Membre, Posté(e)
Blatte Membre 3 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Exactement, elles ont été victimes des gens qui, comme toi, la trouvent "immorales".

Tu remarqueras que maintenant que les associations homos vivent au grand jour, elles rejettent la pédophilie, hum ?

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Membre, Collabo, 48ans Posté(e)
Djizus Membre 3 400 messages
48ans‚ Collabo,
Posté(e)

Je crois pas que c'est en traînant avec des mouvements pédophiles et en s'affichant avec qu'on obtient le respect des autres.

Libre à toi de le penser.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Il convient de distinguer un père incestueux d'un autre pédophile. Le père lui abuse de ses enfants justement parce que ce sont ses enfants, dans la très grande majorité des cas.

T'expliqueras la distinction aux victimes. Moi je vois pas de différence.

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Membre, Posté(e)
Blatte Membre 3 683 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

"En traînant avec des mouvements pédophiles", ou Djizus est son incapacité à voir au-delà du bout de son nez.

Quand tu es un mouvement interdit par la loi, tu traînes forcément avec des gens qui traînent dans l'illégalité.

Est-ce une tâche sur leur parcours ? Oui. Est-ce que nécessairement cela veut dire qu'ils prônent sincèrement la pédophilie ? J'en doute, contrairement à ce que tu essaies de faire passer.

Puis tu te places en juge (comme Causeur d'ailleurs) sans connaître l'époque, avec les conséquences de mai-68 et des quelques mouvements extrêmes qui ont profité de l'aubaine pour se faire une petite place au soleil.

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Membre, 118ans Posté(e)
nerelucia Membre 12 886 messages
Baby Forumeur‚ 118ans‚
Posté(e)

Il convient de distinguer un père incestueux d'un autre pédophile. Le père lui abuse de ses enfants justement parce que ce sont ses enfants, dans la très grande majorité des cas.

je ne vois pas la différence, on parle d'abus sur enfant dans les deux cas, les nuances dans l'horreur, je ne les conçois pas.

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