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Membre, 47ans Posté(e)
g_pu_rien Membre 5 344 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

Le royaume des francs se dit regnum francorum, et non rex francorum (qui signifie Roi des francs).

Sinon, rien à redire. C'est consternant de voir la négation de l'action de nos Rois.

Oui effectivement ; Regnum francorum.

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  • 3 semaines après...
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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
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forum

L'Education nationale contribue à la falsification historique


« Anachronisme, manichéisme, réductionnisme » ...



    Réponses de Jean Sévillia à un entretien sur les manipulations de l'histoire et les ravages de l'historiquement correct.


Toutes les époques sont-elles concernées par la falsification historique ?

Toutes les époques sont concernées, mais les raisons de ces maquillages varient selon les dominantes idéologiques. Pour faire court, l’histoire est instrumentalisée, en Occident, depuis les Lumières : encyclopédistes et philosophes tressent une légende noire de l’Église, dont ils combattent le pouvoir. Au XIXe siècle, le roman national, tel que l’enseigne l’école jusqu’aux années 1950, s’inscrit dans une veine républicaine qui glorifie la Révolution et caricature l’“Ancien Régime”. L’après-guerre est dominée, jusqu’à la fin des années 1960, par l’histoire marxiste, ce qui s’explique par l’hégémonie culturelle du Parti communiste. (...) Quoi qu’il en soit, le marxisme s’effondre dans les années 1980. Un autre paradigme lui est substitué – les droits de l’homme – , et c’est encore à l’aune de ce paradigme qu’on interprète le passé. C’est cela, l’“historiquement correct” : passer l’histoire au crible de l’idéologie du moment. Ce faisant, on commet un anachronisme préjudiciable à la connaissance historique.

Comment définiriez-vous l’idéologie dominante que vous évoquez ?

Elle relègue la nation dans les limbes de l’histoire, condamne les frontières, rejette tout enracinement géographique et spirituel. Elle fait l’apologie du nomadisme. Elle élève l’individu au rang de valeur sacrée et proclame son libre arbitre comme ultime référence. Est considéré comme juste celui qui respecte les droits de l’homme, comme injuste – donc immédiatement condamné – celui qui les viole. Alors que l’histoire est un domaine éminemment complexe, on cède à la facilité manichéenne (les bons et les méchants) et l’on procède à des réductions abusives en braquant le projecteur sur certains événements, au risque d’en laisser d’autres dans l’obscurité. Anachronisme, manichéisme, réductionnisme : ce sont les trois procédés de la falsification historique, qui sont beaucoup plus subtils que ce qui se faisait en Union soviétique…

Un exemple ?

La Première Guerre mondiale. On ne perçoit plus ce conflit qu’à travers la vie des combattants de base. Ce qu’ils ont vécu fut atroce, mais on insiste tant sur cet aspect qu’on oublie la dimension géopolitique de la guerre. Comme nous sommes attachés par-dessus tout à nos droits individuels, comme nous sommes dans un moment de concorde européenne, nous ne comprenons plus ce qui les animait, ni qu’ils aient largement consenti à ce sacrifice. Nous ne comprenons plus l’expression “faire son devoir”.

Plusieurs controverses ont éclaté sur des sujets de recherche historique, par exemple sur l’esclavage, après la parution d’un livre de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, les Traites négrières. Essai d’histoire globale (Gallimard). Est-ce aussi l’effet de l’historiquement correct ?

Absolument. En 2004, cet historien – dont l’ouvrage a reçu plusieurs prix – démontre que l’esclavage n’a pas été seulement le fait des Occidentaux. En 2005, il déclare, au détour d’un entretien à la presse, que « les traites négrières ne sont pas des génocides ». La condition des esclaves était certes atroce, mais l’intérêt des négriers n’était pas de les laisser mourir puisqu’ils tiraient profit de leur vente. Aussitôt, diverses associations lancent une procédure judiciaire et nourrissent une campagne si violente qu’elle provoque la réaction de nombreux historiens : un millier d’entre eux signeront un appel rappelant que l’histoire n’est ni une religion ni une morale, qu’elle ne doit pas s’écrire sous la dictée de la mémoire et qu’elle ne saurait être un objet juridique. C’est à cette occasion qu’est née l’association Liberté pour l’histoire, à l’époque présidée par René Rémond.

De nombreux historiens considèrent que le Parlement n’a pas à s’emparer de ces questions. Qu’en pensez-vous ?

Les lois mémorielles entretiennent une concurrence victimaire, indexée sur la tragédie que fut la Shoah. Elles ont aussi nourri des revendications d’ordre politique, de sorte qu’on peut craindre une instrumentalisation de l’histoire. Il est tout à fait légitime d’entretenir la mémoire des tragédies, de toutes les tragédies, mais la mémoire n’est pas toute l’histoire. (...)

Les programmes d’histoire n’échappent pas à la polémique. L’Éducation nationale est-elle à l’abri de la falsification historique ?

Je suis navré de le dire, mais l’Éducation nationale est au coeur de ce système. Les commissions des programmes sont constituées d’enseignants qui, pour beaucoup, sont inspirés par le “pédagogisme” ambiant, donc en accord avec l’idéologie dominante. Le retour à la chronologie est infime, l’histoire est toujours enseignée de façon thématique aux enfants. Qu’un agrégé d’histoire fasse du comparatisme entre les sociétés ou à travers les siècles est très intéressant, mais cela n’est guère adapté à des enfants qui n’ont ni les connaissances ni les repères chronologiques nécessaires. Le problème est d’autant plus important que le système scolaire français est très concentré.

Mais l’école de la République, celle d’Ernest Lavisse, diffusait elle aussi un message idéologique…

L’histoire républicaine était nationale. Parfois caricaturalement, mais cette approche avait au moins la vertu de donner aux enfants, qu’ils soient bretons ou provençaux, un patrimoine commun, presque un héritage spirituel. “Nos ancêtres les Gaulois”… Les choses étaient scientifiquement contestables, mais elles avaient un sens. L’histoire, telle qu’on l’enseigne aujourd’hui, sort de ce cadre national, car le credo politique actuel est de mettre à bas les nations. D’où le bannissement des grands hommes de notre histoire. (...)


L'article complet...


forum Source: Valeurs actuelles
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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Jean Sévilla, qui est journaliste et aucunement historien, exagère clairement. Son exemple sur la première guerre mondiale est, en particulier, totalement mensonger et pitoyable de malhonnêteté. En effet, en quatrième, les élèves travaillent, dès le second trimestre, sur la montée des nationalismes, les colonies et les rivalités des prétentions colonialistes, et terminent sur une étude de l'Europe en 1914 avec bien évidemment ses tensions. La suite logique est en début de troisième avec le déroulement de la première guerre mondiale, selon la division classique des trois phases. Le bilan de la guerre arrive ensuite : il y a donc 4 thèmes qui brossent le contexte européen et le déroulement de la guerre avant de parler bilan. On pourra vérifier dans les programmes. Halte à la désinformation.

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Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

Je ne sais pas si c'était dans le programme de l'époque mais je me souviens qu'on parlait des poilus dès la primaire, et sous l'angle très individuel de la vie des combattants, sans savoir grand chose alors de la géopolitique du conflit.

Jean Sévilla, qui est journaliste et aucunement historien

Le reproche élitiste qu'une certaine caste faisait également à Jacques Bainville. Je vous souhaite cependant d'écrire un jour des ouvrages historiques aussi brillants que ceux de Jean Sévilla et Jacques Bainville.

En effet, en quatrième, les élèves travaillent, dès le second trimestre, sur la montée des nationalismes, les colonies et les rivalités des prétentions colonialistes, et terminent sur une étude de l'Europe en 1914 avec bien évidemment ses tensions.

En quatrième

Les XVIIIe et XIXe siècles (du siècle des Lumières à la révolution industrielle) sont caractérisés par des ruptures décisives : les révolutions sont au centre du programme. La question des traites négrières et de l’esclavage est aussi largement abordée.

http://www.education...ucation_civique

Avez-vous un lien qui permettrait de consulter plus en détail les manuels d'histoire de quatrième et troisième ?

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Membre+, Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre, 41ans Posté(e)
Noisettes Membre+ 10 576 messages
41ans‚ Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre,
Posté(e)

Hussard, tu es gentil, mais en matière d'histoire, Magus et moi savons de quoi nous parlons, et je dis cela sans être prétentieuse.

Et au passage, Jacques Sévilla est loin d'être un historien.

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 33ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
33ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
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Je sais aussi de quoi je parle en Histoire. Et je suis d'accord avec Mr Sévilla.

Qui n'est pas historien, certes. Mais a énormément de connaissances sur ce domaine. Allez voir les bibliographies qu'on trouve à la fin de ses ouvrages. C'est pas des trucs pour bébés qu'on verra. Mais des ouvrages universitaires très sérieux.

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Membre+, Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre, 41ans Posté(e)
Noisettes Membre+ 10 576 messages
41ans‚ Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre,
Posté(e)

Désolée, mais j'ai une très grande méfiance envers les journalistes. J'ai peut-être tort, qui sais, mais pour moi l'Histoire est une chose trop sérieuse pour être confier à n'importe qui.

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Membre, Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge, 33ans Posté(e)
Delenda Carthago est Membre 4 165 messages
33ans‚ Seigneur, garde-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en charge,
Posté(e)

Je suis également très méfiant envers les journalistes. Mais je ne les range pas tous dans le même sac non plus.

Jean Sévilla, je le connais. Je l'ai déjà rencontré à des conférences. J'ai lu ses livres, aussi, ce qui aide à se forger une idée du bonhomme. Il n'est pas historien mais il sait de quoi il parle.

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Je ne sais pas si c'était dans le programme de l'époque mais je me souviens qu'on parlait des poilus dès la primaire, et sous l'angle très individuel de la vie des combattants, sans savoir grand chose alors de la géopolitique du conflit.

L'histoire en primaire, ses grands débats historiographiques et son goût pour la dispute épistémologique... Aujourd'hui, à travers le 11 novembre, les élèves entendent parler de la première guerre mondiale (qu'ils retiennent le nom est déjà bien) avec surtout un travail sur la définition de "commémoration".

Le reproche élitiste qu'une certaine caste faisait également à Jacques Bainville. Je vous souhaite cependant d'écrire un jour des ouvrages historiques aussi brillants que ceux de Jean Sévilla et Jacques Bainville.

"Malheureusement" mes sujets de recherches sont moins racoleurs et sans politisation. Jean Sévilla est le négatif d'un Albert Soboul : une relecture de l'histoire par l'idéologie, l'un conservateur, l'autre marxiste. Je vous souhaite d'avoir des lectures plus brillantes.

En quatrième

Les XVIIIe et XIXe siècles (du siècle des Lumières à la révolution industrielle) sont caractérisés par des ruptures décisives : les révolutions sont au centre du programme. La question des traites négrières et de l’esclavage est aussi largement abordée.

Par ce lien vers le programme d'histoire de quatrième, vous-même et l'assistance pourraient vérifier mes dires concernant la classe de 4e : je crois que le contenu du 5e thème est sans équivoque et sans appel concernant les assertions falacieuses de Jean Sévilla.

Avez-vous un lien qui permettrait de consulter plus en détail les manuels d'histoire de quatrième et troisième ?

Non, puisque les collections sont privées. Néanmoins les ouvrages, en parfaite adéquation avec les programmes, sont consultables en bibliothèque et IUFM.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Et quel but pourrait avoir la conversion de Clovis, sinon celui d'unifier politiquement et culturellement ? Son projet n'est il pas un embryon carolingien ?

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
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Vous pensez que Clovis avait une boule de cristal.

Vous commettez la pire erreur méthodologique : interpréter une cause à partir d'une interprétation des effets.

Modifié par Dinosaure marin
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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Vous pensez que Clovis avait une boule de cristal.

Evidemment, si vous considérez tout personnage visionnaire tel Constantin comme ayant une boule de cristal, alors...Thémistocle aussi tirait les cartes je suppose.

Vous commettez la pire erreur méthodologique : interpréter une cause à partir d'une interprétation des effets.

C'est effectivement une erreur méthodologique, mais ce n'est pas ce que je fais si je peux me permettre de développement, je ne suis qu'amateur, mais bon :

Les historiens considèrent de moins en moins le passage entre l'antiquité tardive et le moyen age comme une rupture, mais plus comme une évolution. Dans l'antiquité tardive, les empereurs paient et donnent des terres à des tribus Germanique qui militairement les défendent : au cours de cette transition ce qui se passe politiquement c'est que ces tribus revendiquent pour eux même la place d'empereur, qui devient de moins en moins "augustéen", et de plus en plus empreint de valeur culturelle barbare, à la "chef des tribus".

Le statut impérial s'auto détruit donc lentement et surement, faute d'une légitimité politique cohérente et parce que aucun des chefs n'a suffisamment de puissance, de richesse pour "régner" sur les autres et unifier le territoire politique (comme le fera bien plus tard Charlemagne,). Mais ça ne veut absolument pas dire que cette ambition disparait.

Si on admet cela, on ne peut que placer l'acte de Clovis dans le sillage de cette ambition, voulant se servir de l'oeuvre, la structure et la force politico/culturelle des l'église Catholique, seul héritage romain structuré politiquement et travaillant pour l'unité, comme vecteur d'unification politico/culturelle : Il cherche une nouvelle forme de légitimité politique garant d'un statut "impérial", intention qu'on peut tout à fait placer comme la première brique de l'édifice qui deviendra Carolingien.

Modifié par Constantinople
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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

Ce que je trouve bien fendard, c'est les historiens du PMU qui ramènent leur science, aucun n'a la démarche d'un historien digne de ce nom.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Discussion sans intêret car complètement h.s.

Ce n'est pas moi qui plus haut parlait de la volonté ou non de mérovingiens d'unifier politiquement leur territoire : cela m’intéresse excusez moi, je rebondi dessus. Que vous trouviez cela inintéressant ceci dit n'est guère étonnant.

Ce que je trouve bien fendard, c'est les historiens du PMU qui ramènent leur science, aucun n'a la démarche d'un historien digne de ce nom.

Ecoutez, j'ai moi même admis que je n’étais pas historien, juste passionné : que je n'aie pas la démarche d'un historien en terme de sources n'est donc pas étonnant. Cela me donne néanmoins le droit d'avoir une opinion en fonction de ce que j'ai pu lire sur le sujet, non ?

maintenant si vous avez quelque chose à redire sur ce que j'ai dit, ne vous gênez surtout pas. Sinon vous pouvez vous dispenser de ce genre de remarque sur laquelle vous n'avez aucune autorité puisque vous même êtes (très) loin d'être un historien.

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Pour tout vous dire le sujet c'est un mensonge doublement grotesque :

  • Prétendre qu'on n'enseigne plus les rois de France
  • Prétendre que c'est parce qu'ils sont chrétiens

Je n'ai pas la moindre envie de me pignoler pour savoir si Clovis avait prévu l'appel du 18 juin.

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

c'est marrant, constantinople a l'air de croire que plus il écrit gros, plus ce qu'il dit sera vrai

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Je n'ai pas la moindre envie de me pignoler pour savoir si Clovis avait prévu l'appel du 18 juin.

alors ne répondez pas c'est aussi simple que cela.

c'est marrant, constantinople a l'air de croire que plus il écrit gros, plus ce qu'il dit sera vrai

Chacun son truc : vous vous avez l'air de croire depuis que vous postez que le vide sidéral qui peuple chacun de vos messages vaut une réponse argumentée (bel exemple de vos cru sur cette page). On a tous des mythes, comme ça.

Modifié par Constantinople
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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
Posté(e)

bah ce qui m'importe c'est de savoir pourquoi je dis ce que je dis, si tu ne comprend pas, c'est ton affaire, moi ça m'empêchera pas de dormir

FIN DU HS

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