Le chef Michel del Burgo agressé

Non mais comme dit Long Nao, le "C'est mon devoir aujourd'hui de raconter cette histoire car je sais que je ne suis pas le seul à subir ce genre d'agression.» (...) " ne repose sur rien, seulement des assertions sorties d'on ne sait où.

Je n'ai aucun problème avec les gens qui disent que le racisme anti-français, c'est pas bien. Sans blague, on savait pas. Mais à part cracher sa bile sur les origines des agresseurs, je vois pas ce qu'on peut en dire de plus.

Donc comme c'est un blanc qui en est victime c'est donc pas grave ?

Vous ne pensez pas un seul instant que votre réflexion est stupide ?

Si on dirait la même chose d'un noir vous crieriez au racisme... donc réfléchissez un peu avant de sortir de telle énormité...

@BELLA :

Donc vous faites une hiérarchie dans les discriminations ?

Donc vous pensez que c'est plus grave de ne pas être pris dans un boulot que de se faire agresser.

Tenez, je vais pousser exprès dans le sordide pour vous montrer la stupidité de vos propos : préfériez-vous être tuée ou violée ?

Donc comme c'est un blanc qui en est victime c'est donc pas grave ?

Vous ne pensez pas un seul instant que votre réflexion est stupide ?

Si on dirait la même chose d'un noir vous crieriez au racisme... donc réfléchissez un peu avant de sortir de telle énormité...

J'en ai un peu marre de répéter 10 fois la même chose, tu n'as qu'à lire ce qu'on a écrit en désactivant ton filtre "ces gens sont des cons" et tu verras que tu ne comprends pas ce qu'on dit.

Ce fait divers me fait analyser la chose suivante:

Là où commence la difficulté, c’est que le Front national utilise depuis toujours le thème du "racisme anti-blancs" pour établir une symétrie artificielle. Au lieu de dénoncer le racisme qui frappe les minorités en France, les frontistes veulent renvoyer dos à dos les uns et les autres de manière à minimiser le racisme qu’ils contribuent à encourager en agitant l’épouvantail d’un racisme en sens contraire. L’accusation de discrimination est ainsi retournée contre les antiracistes, qui défendraient les minorités d’origine étrangère en ignorant volontairement le sort fait aux "Français de souche".

C'est le cas, les associations pseudo-antiracistes ne défendent que les affaires de racisme qui touchent les minorités (cf le témoignage d'un ancien de SOS racisme par exemple).

Et si je te suis, pour le racisme anti-blanc il faudrait faire quoi ? Continuer à le nier comme on le fait actuellement ?

Chacun peut constater que les préjugés ethniques ou religieux en France touchent en priorité les citoyens d’origine maghrébine ou africaine. On ne connaît pas de cas où l’on aurait refusé un logement à une personne sous le prétexte avoué ou caché qu’elle serait "blanche", alors que les cas inverses sont très nombreux. Même chose pour les CV soumis aux entreprises lors des recherches d’emploi : entre Mohamed et Jean-Christophe, c’est le premier qui souffre de discrimination et non le second.

Aussi bien, on ne connaît pas de boîte de nuit qui écarterait sans le dire les clients "blancs" au profit des autres.

Le sophisme des deux racismes croisés est évidemment de mauvaise foi dans ces domaines cruciaux que sont le logement et l’emploi.

Le repli culturel et l'absence d'intégration (ta remarque sur les prénoms est assez parlante, les personnes d'origine maghrébine ou africaine ne donnent quasiment que des prénoms arabes ou africains à leurs enfants, j'y vois personnellement une marque de non intégration et de rejet de la société française, et je ne pense pas être le seul) nourrissent ces préjugés.

(ta remarque sur les prénoms est assez parlante, les personnes d'origine maghrébine ou africaine ne donnent quasiment que des prénoms arabes ou africains à leurs enfants, j'y vois personnellement une marque de non intégration et de rejet de la société française, et je ne pense pas être le seul)

Tu vas nous ramener ça à chaque sujet qui touche de près ou de loin aux maghrébins, dis-moi ?

Tu vas nous ramener ça à chaque sujet qui touche de près ou de loin aux maghrébins, dis-moi ?

A chaque fois que cette problématique reviendra sur le tapis au travers d'un sujet, oui.

A chaque fois que cette problématique reviendra sur le tapis au travers d'un sujet, oui.

T'en as pas assez qu'à chaque fois tu ne sais plus répondre à nos arguments et qu'on en arrive toujours au point mort ?

T'en as pas assez qu'à chaque fois tu ne sais plus répondre à nos arguments et qu'on en arrive toujours au point mort ?

Nos, tu parles au nom de qui ? Non seulement je ne m'adresse pas à toi à la base, mais en plus je ne vois pas de quoi tu parles. Si c'est juste de la provoc, abstiens-toi...

Étant donné qu'il ne cite aucune source dans l'article, en effet c'est mon droit de dire que ça ne repose sur rien. Ton sondage change la donne. Je n'ai pas été de mauvaise foi il me semble.

Pour mieux réaliser l'ampleur de ce racisme je vous recommande la lecture du sociologue Tarik Yildiz dans son essai Le racisme anti-blanc - Ne pas en parler : un déni de réalité.

Insultes, crachats, coups, les protagonistes de l'étude se disent victimes d'"une intolérance qui touche les blancs parce qu'ils sont - ou sont considérés - comme des 'Français de souche', en opposition aux Français issus de l'immigration", explique l'auteur.

"Pendant le ramadan, je me cachais pour manger quelque chose de peur que l'on me fasse une réflexion ou que je sois agressé d'une manière ou d'une autre", raconte Guillaume, collégien. Céline confie que, pendant ses années de collège, elle maquillait la vérité pour qu'on la laisse en paix: "Il m'est arrivé de mentir plusieurs fois en m'inventant des origines que je n'avais pas (...) Je sentais qu'on était mieux intégré au groupe si on n'était pas 100% français." "Chaque jour, la seule chose que j'espérais, c'était de rentrer sans avoir pris de coups ou sans me faire insulter", ajoute de son côté Bastien, lycéen. Anne, sa mère, est abasourdie. "Jamais je n'aurais pu imaginer qu'un tel racisme pouvait exister chez des enfants", déplore-t-elle.

http://www.lexpress....anc_970808.html

L'excellent Jean Sévilla a écrit sur l'affaire.

Un jour en France

(...)

Scène de la vie quotidienne, en France, au cinquième mois de la première année du règne de Monsieur Normal. « C’est mon devoir aujourd’hui de raconter cette histoire, explique le chef cuisinier de Carcassonne, car je sais que je ne suis pas le seul à subir ce genre d’agression ».

Au même moment, le pays retentissait des cris d’effroi des grandes consciences indignées à l’idée qu’un candidat à la présidence de l’UMP eût osé employer l’expression « racisme anti-Blanc ».

Certains jours, on voudrait avoir une machine à avancer dans le temps pour savoir – et regarder vu de Sirius – comment cela va finir.

Il n’y a pas d’exemple dans l’histoire qu’un problème socio-culturel majeur comme celui que nous connaissons actuellement avec le refus d’intégration à la France d’un nombre indéterminé de jeunes issus de l’immigration, dont beaucoup possèdent la nationalité française, se soit résolu tout seul, par miracle, sans l’intervention d’une politique énergique et volontariste, menée avec une poigne de fer.

Pour l’instant, nous n’avons qu’un gant de velours, et on peut se faire caillasser dans la rue, en France, parce qu’on est Français.

Le déni de réalité va-t-il durer longtemps ?

http://www.lexpress....anc_970808.html

J'ai adoré lire ceci:

Avertissement de modération: comme vous l'aurez noté, l'un des objectifs de Tarik Yildiz est de ne pas laisser aux extrêmes le sujet du racisme anti-blanc. Nous serons extrêmement attentifs à ce que ces mêmes extrêmes ne puissent exprimer des idées extrémistes dans les commentaires. LEXPRESS.fr

Pour un de nos médias, quelle défense incroyable de la liberté d'expression!

C'est contre ce genre de médias aberrants qu'un nouveau site d'information s'est crée sur internet, il me semble fort intéressant :

http://www.forumfr.com/sujet482083-boulevard-voltaire-contre-le-politiquement-correct.html?p,7622937,fromsearch,1#entry7622937