SOS Racisme se gave d'argent public

Ce n'est pas un complot ...

Mais juste une grosse manoeuvre politicarde vieille de 40 piges.

Mitterrand et ses potes ont créé l'antiracisme pour perpétuer le racisme. Ca a fonctionné, progressivement des tensions se sont développées dans notre pays.

Quel est l'intérêt de cela ?

Faire monter le Front National.

En 82, Mitterrand passe un coup de fil à Le Pen lui assurant que ce dernier aura sa couverture médiatique.

Donc, dans les années 80, au même moment où SOS Racisme se fait connaître, association montée par Mitterrand et ses potes aussi, le FN monte également.

SOS Racisme et le FN sont les deux enfants ennemis du Parti Socialiste.

Intérêt ?

Tuer la droite en déréglant l'échiquier politique par la montée de l'extrême-droite.

Donc FN et Sos-racisme sont liées ? D'où tient-tu c'est info ?

Le PS les a crées.

Ils ont des programmes exactement opposés, dans le but de foutre le bazar, et de maintenir le PS au pouvoir.

Sauf que ça n'a jamais marché, il y a eu le 21 Avril...

Le coup de fil Mitterrand/Le Pen a même été relaté sur France 2.

(( Mitterrand ca ne lui fait pas peur l'extrême-droite, il en a vu d'autres, le cagoulard !))

SOS Racisme, c'est Mitterrand aussi.

Mais aucun lien juridique entre FN et SOS Racisme.

Le PS les a crées.

Ils ont des programmes exactement opposés, dans le but de foutre le bazar, et de maintenir le PS au pouvoir.

Sauf que ça n'a jamais marché, il y a eu le 21 Avril...

Le coup de fil Mitterrand/Le Pen a même été relaté sur France 2.

(( Mitterrand ca ne lui fait pas peur l'extrême-droite, il en a vu d'autres, le cagoulard !))

SOS Racisme, c'est Mitterrand aussi.

Mais aucun lien juridique entre FN et SOS Racisme.

Tous ce que tu prouve pour l'instant c'est ta capacité à écrire des affabulations.

Faire croire qu'avant les années 80 il n'y avait pas de personnes assez racistes pour voter FN c'est assez fort quand même.

En tout cas si tu trouve une preuve de ce que tu dit fait moi signe, mais ça ne sert à rien de me répondre en écrivant d'autres affabulations tu gagnera du temps et moi aussi.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Mitterrand_et_l'extr%C3%AAme_droite#Fran.C3.A7ois_Mitterrand_et_le_Front_national

Croire que le vote FN est uniquement raciste est d'une bêtise abjecte.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Mitterrand_et_l'extr%C3%AAme_droite#Fran.C3.A7ois_Mitterrand_et_le_Front_national

Ton lien ne marche pas

Croire que le vote FN est uniquement raciste est d'une bêtise abjecte.

Pourtant tu pense que le racisme est le moteur du FN:

Mitterrand et ses potes ont créé l'antiracisme pour perpétuer le racisme. Ca a fonctionné, progressivement des tensions se sont développées dans notre pays.

Quel est l'intérêt de cela ?

Faire monter le Front National.

-Europe

-Mondialisation

-Anti-impérialisme.

Ce n'est pas négligeable.

Mais il est vrai que le combustible au départ a été SOS Racisme et compagnie, je le concède.

Ce que dit Wikipédia sur Mitterrand et le FN :

Navré si W. n'est pas assez élitiste pour vous...

François Mitterrand et le Front national[modifier]

Une manipulation du Front national ?[modifier]

Le journaliste Franz-Olivier Giesbert parle d'une stratégie délibérée de déstabilisation de la droite parlementaire (RPR, UDF)^[47]. Le président Mitterrand aurait ainsi reconnu dans des correspondances en 1982 l'iniquité de traitement à la radio-télévision de Jean-Marie Le Pen. Il aurait alors demandé au ministre de la Communication d'appeler l'attention des responsables des sociétés de chaînes sur le manquement dont Jean-Marie Le Pen aurait été la victime. En février 1984, Giesbert rapporte que l'Élysée fait pression sur les chaînes de télévision pour qu'elles ouvrent davantage leurs antennes au chef du FN, notamment à l'Heure de vérité, émission politique présentée par François-Henri de Virieu. Jean-Marie Le Pen reconnaît lui-même que c'est grâce à François Mitterrand que « l'omertà a été rompue »^[48].

Tout en reconnaissant que les préoccupations tactiques n'étaient pas absentes de la pensée présidentielle, l'historienne Anne-Marie Duranton-Crabol, dans son intervention au colloque « Changer la vie » considère qu'une telle stratégie peut être contestée par l'analyse épistémologique^[49]. Les réponses aux correspondances de 1982 et 1984 auraient été négatives et auraient éconduit Jean-Marie Le Pen, le renvoyant aux décisions de la Haute Autorité, selon les journalistes Pierre Favier et Michel Martin-Roland après leur enquête dans les archives présidentielles.

Mais selon Michel Charasse, le Front national faisait bien l’objet de conversations. En réponse à une première missive du président du FN, ce conseiller du président de la République avait bien prescrit au président que le Front national soit traité à égalité avec les autres formations politiques, d’où l’instruction en sa faveur donnée au ministre de la Communication, confirmée par le président de la République^[50].

L'établissement du scrutin proportionnel[modifier]

Le scrutin proportionnel était l'une des 110 propositions pour la France du candidat François Mitterrand lors des élections de 1981. La décision de changer le mode de scrutin ne fut prise qu'en mars 1985 au lendemain d'élections cantonales désastreuses pour la gauche^[51]. Il est adopté en conseil des ministres en avril 1985, provoquant la démission immédiate de Michel Rocard (alors ministre dans le gouvernement de Laurent Fabius). Selon Franz-Olivier Giesbert^[52], l'adoption de ce scrutin s'expliquait, non par du machiavélisme, mais par une acceptation du risque selon lequel le RPR et ses alliés étaient un danger plus grand pour la démocratie que l'arrivée du FN au Parlement. René Rémond faisait la même analyse quelques années plus tôt^[53]. Le changement de mode de scrutin permettait d'amoindrir la défaite attendue du Parti socialiste et de compromettre la possibilité pour l'opposition de conquérir la majorité absolue des sièges. Le nombre de députés était également modifié passant de 491 à 577.

Lors des élections législatives du 16 mars 1986, 35 députés du Front national furent élus alors que l'alliance RPR-UDF et divers droite n'obtenait que 3 députés de plus que la majorité absolue (291 pour 288)^[54]. Jean-Marie Le Pen considère que François Mitterrand, « vrai politique », aurait été un « benêt » de ne pas instaurer la proportionnelle^[48].

La proposition de droit de vote des immigrés aux élections locales[modifier]

C'est l'une des 110 propositions pour la France reprise en 1985 et également en 1988 dans la Lettre à tous les Français.

Selon Anne-Marie Duranton-Crabol, rien ne permet d’étayer la lecture selon laquelle cette évocation renouvelée du droit de vote des immigrés par François Mitterrand, en avril 1985, constituait une « manœuvre du Florentin, destinée à donner un coup de pouce à la droite nationale pour accélérer la zizanie dans l’opposition^[55] ».

Ce que dit Wikipédia sur Mitterrand et le FN :

Navré si W. n'est pas assez élitiste pour vous...

François Mitterrand et le Front national[modifier]

Une manipulation du Front national ?[modifier]

Le journaliste Franz-Olivier Giesbert parle d'une stratégie délibérée de déstabilisation de la droite parlementaire (RPR, UDF)^[47]. Le président Mitterrand aurait ainsi reconnu dans des correspondances en 1982 l'iniquité de traitement à la radio-télévision de Jean-Marie Le Pen. Il aurait alors demandé au ministre de la Communication d'appeler l'attention des responsables des sociétés de chaînes sur le manquement dont Jean-Marie Le Pen aurait été la victime. En février 1984, Giesbert rapporte que l'Élysée fait pression sur les chaînes de télévision pour qu'elles ouvrent davantage leurs antennes au chef du FN, notamment à l'Heure de vérité, émission politique présentée par François-Henri de Virieu. Jean-Marie Le Pen reconnaît lui-même que c'est grâce à François Mitterrand que « l'omertà a été rompue »^[48].

Tout en reconnaissant que les préoccupations tactiques n'étaient pas absentes de la pensée présidentielle, l'historienne Anne-Marie Duranton-Crabol, dans son intervention au colloque « Changer la vie » considère qu'une telle stratégie peut être contestée par l'analyse épistémologique^[49]. Les réponses aux correspondances de 1982 et 1984 auraient été négatives et auraient éconduit Jean-Marie Le Pen, le renvoyant aux décisions de la Haute Autorité, selon les journalistes Pierre Favier et Michel Martin-Roland après leur enquête dans les archives présidentielles.

Mais selon Michel Charasse, le Front national faisait bien l’objet de conversations. En réponse à une première missive du président du FN, ce conseiller du président de la République avait bien prescrit au président que le Front national soit traité à égalité avec les autres formations politiques, d’où l’instruction en sa faveur donnée au ministre de la Communication, confirmée par le président de la République^[50].

L'établissement du scrutin proportionnel[modifier]

Le scrutin proportionnel était l'une des 110 propositions pour la France du candidat François Mitterrand lors des élections de 1981. La décision de changer le mode de scrutin ne fut prise qu'en mars 1985 au lendemain d'élections cantonales désastreuses pour la gauche^[51]. Il est adopté en conseil des ministres en avril 1985, provoquant la démission immédiate de Michel Rocard (alors ministre dans le gouvernement de Laurent Fabius). Selon Franz-Olivier Giesbert^[52], l'adoption de ce scrutin s'expliquait, non par du machiavélisme, mais par une acceptation du risque selon lequel le RPR et ses alliés étaient un danger plus grand pour la démocratie que l'arrivée du FN au Parlement. René Rémond faisait la même analyse quelques années plus tôt^[53]. Le changement de mode de scrutin permettait d'amoindrir la défaite attendue du Parti socialiste et de compromettre la possibilité pour l'opposition de conquérir la majorité absolue des sièges. Le nombre de députés était également modifié passant de 491 à 577.

Lors des élections législatives du 16 mars 1986, 35 députés du Front national furent élus alors que l'alliance RPR-UDF et divers droite n'obtenait que 3 députés de plus que la majorité absolue (291 pour 288)^[54]. Jean-Marie Le Pen considère que François Mitterrand, « vrai politique », aurait été un « benêt » de ne pas instaurer la proportionnelle^[48].

La proposition de droit de vote des immigrés aux élections locales[modifier]

C'est l'une des 110 propositions pour la France reprise en 1985 et également en 1988 dans la Lettre à tous les Français.

Selon Anne-Marie Duranton-Crabol, rien ne permet d’étayer la lecture selon laquelle cette évocation renouvelée du droit de vote des immigrés par François Mitterrand, en avril 1985, constituait une « manœuvre du Florentin, destinée à donner un coup de pouce à la droite nationale pour accélérer la zizanie dans l’opposition^[55] ».

Tu peux m'expliqué quel est le rapport avec SOS-Racisme

C'est clair comme de l'eau de roche.

SOS Racisme sert à provoquer les Français, à les mettre dans tous leurs états pour qu'ils votent FN.

mais oui bien sûr! SOS racisme n'a pas pour vocation d'inciter à la haine raciale mais à faire en sorte de la combattre : vous essayez de nous faire croire qu'en luttant contre le racisme, ils permettent la prolifération du racisme, donc plus de SOS racisme, plus de racisme!

Je crois qu'encore une fois c'est dévoyer la vérité : ce n'est pas parce que vous ne soignez plus que la maladie disparaît! Si cette association a été créée c'est qu'il y a du racisme! Or vous présupposez par votre raisonnement que le racisme est a posteriori de la création de SOS racisme!

Ensuite le fait que SOS racisme ne lutterait pas contre le racisme anti-blanc (parce que ce n'est qu'une hypothèse) ne devrait pas occulter les actes xénophobes et racistes commis en France.

Donc pour moi, l'argent est bien utilisé!:cool:

C'est clair comme de l'eau de roche.

:mef2:

SOS Racisme sert à provoquer les Français, à les mettre dans tous leurs états pour qu'ils votent FN.

Tu peux me dire où dans le document que tu m'as soumis, se trouve une allusion à SOS-Racisme?

je ne crois pas que vous saisissiez ce qu'on souhaite : il serait sympathique que vous releviez dans le texte le passage traitant de SOS racisme! Et s'il vous plaît évitez les "SS racisme" d'un goût assez abjecte!

Quant à souhaiter que l'extrême droite et l'UMP soient ensemble au second tour est le rêve de la droite populiste que vous défendez.

Et s'il vous plaît évitez les "SS racisme" d'un goût assez abjecte!

Je me mets à votre niveau d'arrogance malsaine.

J'ai raison, je le sais.

Et le prochain 21 Avril (droite + extrême-droite) que nous aurons, je me demande quels gauchistes vont chier dans leurs brailles en premier.

Parce-que le peuple de la rue refuse qu'on lui dicte sa conduite, c'est normal.

SOS Racisme est bureaucratique, ils malmènent les gens qui ne disent pas ce qu'il faut dire, c'est une sorte de censure associative, avec la complicité d'une partie du Code Pénal.

Priver un homme de sa liberté de parole, moi je n'accepte pas.

Lorsqu'un communiste dit que les riches sont des co***rds, je le laisse parler.

Lorsqu'un gauchiste mondialiste dit que tous les hommes sur Terre sont frères, je le laisse parler.

Alors la SS Racisme je n'en veux pas.

Discours puéril et incohérent.

Tu aurais pu le dire dès le début que tu n'avais rien à dire (en même temps je le savais depuis le début). Franchement, il faut que tu apprenne à quoi sert un forum ça pourra t'aider à l'avenir.

Au moins je comprends mieux ta sympathie pour le front national à présent c'est déjà çà de gagné.

Et s'il vous plaît évitez les "SS racisme" d'un goût assez abjecte!

Je me mets à votre niveau d'arrogance malsaine.

évitez les attaques personnelles et revenez au débat c'est un minimum sur un forum généraliste!

SOS racisme use correctement des subventions et n'a aucune leçon à recevoir sur la lutte contre le racisme

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=6xwD_sRvh8w#at=804

L'HORREUR ....

il est intéressant de voir un type qui critique la lutte contre le racisme amis qui n'apporte aucune solution pour lutter contre le racisme! Donc critiquer sans proposer ne sert à rien!

L'Etat de droit ne doit pas s'occuper de lutter contre le racisme. C'est autoritaire.

Sauf que le racisme est illégal et donc il incombe bien à l'Etat de droit de faire respecter chacune des ses composantes.

Le racisme est une opinion, voire un sentiment.

Une "opinion illégale" c'est le propre des dictatures...

La prochaine étape ce sera quoi : il faudra éviter de dire à quelqu'un qu'il est con, même sur le ton de la plaisanterie ?

Vous nous menez droit vers la censure autoritaire.

Moi, je n'ai jamais voulu qu'il y ait des tensions raciales en France, et très franchement, il n'y en a que très peu. Dans ma ville, tout le monde se respecte à peu près quelque soit ses origines...

Mais à force de faire des procès et des procès, on entretient la haine.

C'est qui le facho ? Celui qui se pose quelques questions sur l'identité nationale ou celui qui envoie tout le monde au tribunal ?

le racisme n'est pas qu'une opinion, c'est aussi une idéologie qui conduit au rejet de l'autre et à la possible extermination de celui-ci en raison de son appartenance ethnique.

De ce fait et de manière tout à fait légale, le racisme est combattu par la loi. Vous seriez le premier à déposer plainte si je vous traitais de "sale blanc" et c'est d'ailleurs ce que vous reprochez à SOS racisme...

Vous ne pouvez pas tout comparer juste pour essayer d'avoir raison : dire de quelqu'un qu'il est con n'a rien à voir avec le fait de dire de quelqu'un qu'il est votre inférieur parce qu'il est Africain...comparaison ne vaut jamais raison

Donc si on résume, les propos racistes ne devraient pas être punis? Donc tout parti pourrait alors faire du racisme une idéologie programme! Et alors pourquoi ne pas demander l'extermination des Noirs Africains par exemple...de ce fait ce ne serait plus puni?