Figaro : " Des lycéens des banlieues majoritaires chez les casseurs"

Plus de voyous des citées que de lycéens chez les casseurs

Car c'est bien connu, c'est uniquement les cités et les banlieus qui foutent la merde en France ....

Vive l'objectivité journalistique (qui reflète bien cela dit, le point de vue de la droite !)

Plus de voyous des citées que de lycéens chez les casseurs

Car c'est bien connu, c'est uniquement les cités et les banlieus qui foutent la merde en France ....

Malheureusement , il faut voir la réalité en face !

C'est vraiment critiquer juste pour le plaisir.

Qu'est ce que t'as à dire sur les casseurs au juste ? Précise ta position si elle est à l'encontre que ce qui est avancé dans cet article.

Faut il dire qu'il y a au contraire plus de lycéens que de voyous ? etc...

Essaye d'avoir quelque chose à dire au lieu d'amener pour seul propos que c'est de l'info de droite.

Ok, il n'y a pas une majorité de lycéen, cela est indéniable. Mais je demande des sources pour affirmer que cela vient bien des banlieu et des cités ....

Seul le figaro est en clin à faire ce rapprochement (dangereux soit dit en passant), alors que les casseurs posent d'avantage de problèmes aux défenseurs de la grève, non ?

A moins que la droite y voit un intérêt à ciblé un publique, soit pour raflé un peu de votes, soit pour faire grandir les violences en amenant effectivement les cités à tout casser ....

Pour info, lors des manifs anti CPE, un bon nombre de casseurs venaient de Paris, et, une certains des beaux quartiers ....

D'ailleurs, l'article parle même d'un fils d'agent de police .... comme quoi faire des raccourcis est bien facile et dangereux !

Ok, il n'y a pas une majorité de lycéen, cela est indéniable. Mais je demande des sources pour affirmer que cela vient bien des banlieu et des cités ....

Les flics hier relataient le fait que les personnes interpellées lors des évènements ici ou là étaient déjà presque tous connus des services de polices. La source c'est peut être ça non ?

Si tu veux dénoncer une information, essaye au moins d'avoir une autre information venant étayer tes allégations.

Une fois encore, si c'est juste pour dire, c'est de l'info de droite, en lisant le Figaro, on s'en serait douté nous même...

Le but de cet article est de préciser que les casseurs sont en parti étrangers au mouvement de manifestation contre les retraites et ne viennent essentiellement que pour profiter de la foule pour créer du désordre.

Car les flics, il est vrai, n'ont pas la "même" vision (officielle) des choses que le gouvernement ou le Figaro ...

Quelle source !

Ensuite, dénoncer une information aussi orienté ne nécessite pas obligatoirement de se justifier avec un lien ou une autre source ...

Par ailleurs, dans une déclaration du maire de Lyon (que je ne trouves plus), il est bien dit qu'il ne faut pas tout confondre, et que ces casseurs ne sont ni représentatifs des lycéens, des manifs, ou des cités ....

Ensuite, dénoncer une information aussi orienté ne nécessite pas obligatoirement de se justifier avec un lien ou une autre source ...

Si si, histoire d'avoir plus que ta prétention comme crédibilité.

Du reste, tu ramènes bien que ce qui t'intéresse de l'article, en commençant pas en modifier le titre. Bel démonstration de malhonnêteté intellectuelle.

Voilà donc l'article comme il est écrit :

Des lycéens des banlieues majoritaires chez les casseurs

Des lycéens et collègiens issus de quartiers «sensibles» viennent se greffer aux cortèges pour harceler les CRS.

Voitures incendiées, camions de pompiers caillassés, mobiliers urbains et commerces mis à sac, affrontements avec les forces de l'ordre: plus de 1150 «casseurs» ont été interpellés depuis une semaine en marge des manifestations contre la réforme des retraites. «Dans l'écrasante majorité des cas, les vandales ne sont pas extérieurs au mouvement protestataire, explique un haut fonctionnaire. Il s'agit d'abord de lycéens eux-mêmes, voire de collégiens âgés de 12 ans à peine¿» Opportunistes et peu structurés, ces adolescents en capuches et survêtements forment des groupes sporadiques en fonction de cibles croisées en chemin. Les plus virulents s'équipent avec des armes de fortune trouvées sur leur chemin. «Un poteau arraché ou un Vélib volé ont servi à défoncer des vitrines de magasins ensuite pillés », raconte un policier de Seine-Saint-Denis. L'un des «casseurs» a même oublié le cahier de correspondance de son lycée dans une parfumerie mise à sac à Saint-Denis par quarante inconnus. égé de quinze ans et inconnu des services, il a été interpellé le lendemain à six heures à son domicile. Plus tôt, une autre bande s'en est prise à une boulangerie¿ pour rafler des bonbons.

La proximité de quartiers «sensibles» sur le parcours des défilés vient compliquer la tâche des services de sécurité, comme à Nanterre, où des voyous des cités s'agrègent au défilé pour harceler les CRS. é la direction départementale de la sécurité publique de l'Essonne, un commissaire de police fait ce constat: «Dans les manifestations, lycéens et collégiens issus des quartiers difficiles se transforment en casseurs. Ils mettent leur capuche et commencent à nous caillasser ou à incendier des poubelles, voire des voitures. Puis ils reviennent se fondre dans la masse des cortèges, certains échangeant leurs vêtements pour ne pas être reconnus sur les vidéos prises par nos services.»

Les «anarcho-autonomes» en queue de cortège

Dans les Yvelines, un agent, membre du service d'ordre, a eu la surprise de découvrir que son fils de 13 ans figurait parmi les trublions. «Notre collègue a dû le renvoyer illico à la maison», confie un officier de police. Selon lui, «c'est toute la difficulté de ce mouvement. Certains profs militants ont poussé les élèves dans la rue et les gamins les plus fragiles, parmi lesquels beaucoup de filles, font n'importe quoi.» Les policiers casqués, bottés, ne sont pas «for­matés», poursuit-il, pour «affronter des adolescents en mal d'émotions fortes».

é Paris, les services de renseignements suivent de très près les «anarcho-autonomes», qui s'invitent en queue de cortège. Au nombre de 200 et âgés d'une vingtaine d'années, soupçonnés pour certains d'être impliqués dans une récente vague de saccages de distributeurs automatiques de billets, ces radicaux s'en étaient pris samedi dernier à l'Opéra Bastille. Une trentaine ont déjà été interpellés. «N'ayant jamais travaillé, ces squatters se sentent peu concernés par la réforme des retraites, qui n'est qu'un prétexte pour briser du flic et s'en prendre à l'état capitaliste et impérialiste», déplore un policier.

Mardi après-midi, plusieurs comparaissaient devant la 23e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour violences en réunion et dégradations volontaires. Rêvant du grand soir, ils avaient incendié des poubelles et lancé des fumigènes en scandant: «é bas l'état, les flics et les patrons.»

Quoi qu'il en soit, un préfet très au fait des questions de sécurité le dit: «Alors que lundi les groupes les plus agités comprenaient plus de lycéens que de voyous des cités, mardi, ce sont surtout les casseurs bien connus des services de police qui se sont illustrés.» Ce que confirmerait la multiplication des vols à l'arraché ou à la portière autour des manifestations. Sur l'autoroute A1, notamment, des passagers de taxis ont été agressés.

Donc ton titre là "Plus de voyous des citées que de lycéens chez les casseurs" t'es gentil mais c'est toi qui le définit comme ça, ce n'est clairement pas ce que dit l'article et en aucune façon il n'indique que les casseurs sont seulement des voyous des cités.

C'est vraiment critiquer juste pour le plaisir.

Qu'est ce que t'as à dire sur les casseurs au juste ? Précise ta position si elle est à l'encontre que ce qui est avancé dans cet article.

Faut il dire qu'il y a au contraire plus de lycéens que de voyous ? etc...

Essaye d'avoir quelque chose à dire au lieu d'amener pour seul propos que c'est de l'info de droite.

D'ailleurs, ce n'est pas le Figaro( dont je confirme que c'est un journal de droite... :D ) qui affirme quoi que ce soit, il ne fait que rapporter les propos tenu dans son témoignage par un commissaire de Police de l'Essonne:

"Dans les manifestations, lycéens et collégiens issus des quartiers difficiles se transforment en casseurs. Ils mettent leur capuche et commencent à nous caillasser ou à incendier des poubelles, voire des voitures. Puis ils reviennent se fondre dans la masse des cortèges, certains échangeant leurs vêtements pour ne pas être reconnus sur les vidéos prises par nos services."

C'est un constat d'après des faits, que Le Figaro reprennent l'info telle quelle ne suffit pas pour dire que ce n'est pas objectif.

Cet article parle essentiellement des manifs qui dégénèrent sur Nanterre, pas de l'ensemble des manifs lycéennes en France( hormis le commentaire sur les chiffres d'interpellation...), par ailleurs deux phénomènes se produisent en parallèle, certains lycéens deviennent casseurs "par opportunité" et des casseurs "patentés" gangrainent le mouvement lycéen, mais rien ne s'oppose à ce que un lycéen opportuniste soit un casseur en devenir et qu'un casseur soit un lycéen ou un jeune en âge d'être lycéen, ce qui ne veut pas dire que tous les lycéens sont des casseurs et vice versa...

Avec plus de 1150 interpellations de casseurs, lorsque certains comparaitront devant les tribunaux, il sera temps de savoir qui ils sont et d'où ils viennent...

"Dans l'écrasante majorité des cas, les vandales ne sont pas extérieurs au mouvement protestataire, explique un haut fonctionnaire. Il s'agit d'abord de lycéens eux-mêmes..."

Parole de haut fonctionnaire de Police, gageons qu'il est mieux informé que nous sur la sociologie des casseurs...

Si les parents savaient ce que leurs enfants font (même si une partie d'entre eux sont majeurs...) et donc se souciaient réellement de ce qu'ils font dans la rue, peut-être qu'il y aurait moins d'incident, se pose donc la question de l'encadrement de telle manifestation( ce n'est pas parce que certains ont 18ans qu'ils sont compétent pour encadrer un cortège de plusieurs centaines de jeunes...), d'ailleurs j'ai vu aux infos ( I-télé il me semble...) que lorsque les parent et les profs sont dans le cortège il y a évidemment moins de "casse"...

Au passage, lorsque les banlieues brulaient ( magasins, voitures, poubelles et autres...) il n'y a pas si longtemps que ça, nul ne se posait la question de savoir si c'était un lycéen qui avait mis le feu ( ou caillassé les pompiers...), pourtant rien ne prouve que ce n'ai pas pu être le cas.

Il ne faut pas faire l'amalgame entre lycéen et casseur, mais on ne peut pas dire non plus qu'aucun lycén n'est un casseur, par contre si dans les interpellations de casseurs on constate que majoritairement on trouve des lycéens ( de banlieue ou non...) on a le droit de le dire si il s'agit d'un fait avéré.

Edit: je tape lentement donc je poste après cette 2nde intervention de Aaltar que je re-plussois....

La "vocation" de voyou ou de casseur n'est pas incompatible avec le fait d'être lycéen, et par ailleurs faire dire à cet article ce qu'il ne dit pas est encore moins objectif que de dire que l'article ne l'est pas...

je citerais mes sources ce soir, les sites ne passant pas au taff, mais, pour info, il n'y a aucune modification du titre ...

pour preuve, voici l'URL :

....lefigaro.fr/actualite-france/2010/10/19/01016-20101019ARTFIG00614-plus-de-voyous-des-cites-que-de-lyceens-chez-les-casseurs.php

Je te laisse copier/coller l'url dans ta barre d'adresse pour en vérifier l'authenticité ....

Et, pour info, ce titre apparaissait ce matin en "titre de page" (donc écrit dans les bases <head> de la page) à défaut d'apparaitre dans le corps de l'article

Car les flics, il est vrai, n'ont pas la "même" vision (officielle) des choses que le gouvernement ou le Figaro ...

Quelle source !

/..../

Par ailleurs, dans une déclaration du maire de Lyon (que je ne trouves plus), il est bien dit qu'il ne faut pas tout confondre, et que ces casseurs ne sont ni représentatifs des lycéens, des manifs, ou des cités ....

Qui est en face des casseurs ? Je veux dire directement au contact ?

Les flics ?

Ou bien le gouvernement, le Figaro et le maire de Lyon ?

Quelle est la source la plus directement au contact dans l'affaire ?

Quelle est la source la plus directement au contact dans l'affaire ?

Les casseurs

Qui est en face des casseurs ? Je veux dire directement au contact ?

Les flics ?

Ou bien le gouvernement, le Figaro et le maire de Lyon ?

Quelle est la source la plus directement au contact dans l'affaire ?

Les syndicats et les flics sont la rue... les points de vues n'en sont pas pour autant identiques !!!

Qui est en face des casseurs ? Je veux dire directement au contact ?

Les flics ?

Ou bien le gouvernement, le Figaro et le maire de Lyon ?

Quelle est la source la plus directement au contact dans l'affaire ?

La source la plus directement au contact dans l'affaire c'est la police. La police dit toujours la vérité. Donc poser la question comme tu le fais est d'une stupidité sans nom.

Ce genre de manifestations est toujours l'occasion pour certains de payer des petits jeunes pour casser leur voiture qu'ils n'arrivent pas à vendre.

Et ce n'est pas une fable cela!!

je citerais mes sources ce soir, les sites ne passant pas au taff, mais, pour info, il n'y a aucune modification du titre ...

pour preuve, voici l'URL :

....lefigaro.fr/actualite-france/2010/10/19/01016-20101019ARTFIG00614-plus-de-voyous-des-cites-que-de-lyceens-chez-les-casseurs.php

Je te laisse copier/coller l'url dans ta barre d'adresse pour en vérifier l'authenticité ....

Et, pour info, ce titre apparaissait ce matin en "titre de page" (donc écrit dans les bases <head> de la page) à défaut d'apparaitre dans le corps de l'article

Je confirme que c'est bien l'URL de l'article, mais de là à en conclure que c'est ce que contient l'article, c'est un peu éxagéré, les titres racoleurs y'en a dans toutes les presses( de gauche comme de droite...), que tu aies choisi ce titre d'url plutôt que le véritable titre de l'article, sans en détaillé le contenu est un peu too much...

Voilà le vrai titre (qui se suffisait presqu'à lui-même...), ainsi qu'une nouvelle fois l'article en question :

Des lycéens des banlieues majoritaires chez les casseurs

Mots clés : casseurs, lycéens, retraites, FRANCE

Par Christophe Cornevin, Jean-Marc Leclerc

20/10/2010 | Mise à jour : 11:22

Affrontement entre forces de l'ordre et jeunes manifestants, mardi à Nanterre. Crédits photo : THOMAS SAMSON/AFP

Des lycéens et collègiens issus de quartiers «sensibles» viennent se greffer aux cortèges pour harceler les CRS.

"Voitures incendiées, camions de pompiers caillassés, mobiliers urbains et commerces mis à sac, affrontements avec les forces de l'ordre: plus de 1150 «casseurs» ont été interpellés depuis une semaine en marge des manifestations contre la réforme des retraites. «Dans l'écrasante majorité des cas, les vandales ne sont pas extérieurs au mouvement protestataire, explique un haut fonctionnaire. Il s'agit d'abord de lycéens eux-mêmes, voire de collégiens âgés de 12 ans à peine¿» Opportunistes et peu structurés, ces adolescents en capuches et survêtements forment des groupes sporadiques en fonction de cibles croisées en chemin. Les plus virulents s'équipent avec des armes de fortune trouvées sur leur chemin. «Un poteau arraché ou un Vélib volé ont servi à défoncer des vitrines de magasins ensuite pillés », raconte un policier de Seine-Saint-Denis. L'un des «casseurs» a même oublié le cahier de correspondance de son lycée dans une parfumerie mise à sac à Saint-Denis par quarante inconnus. égé de quinze ans et inconnu des services, il a été interpellé le lendemain à six heures à son domicile. Plus tôt, une autre bande s'en est prise à une boulangerie¿ pour rafler des bonbons.

La proximité de quartiers «sensibles» sur le parcours des défilés vient compliquer la tâche des services de sécurité, comme à Nanterre, où des voyous des cités s'agrègent au défilé pour harceler les CRS. é la direction départementale de la sécurité publique de l'Essonne, un commissaire de police fait ce constat: «Dans les manifestations, lycéens et collégiens issus des quartiers difficiles se transforment en casseurs. Ils mettent leur capuche et commencent à nous caillasser ou à incendier des poubelles, voire des voitures. Puis ils reviennent se fondre dans la masse des cortèges, certains échangeant leurs vêtements pour ne pas être reconnus sur les vidéos prises par nos services.»

Les «anarcho-autonomes» en queue de cortège

Dans les Yvelines, un agent, membre du service d'ordre, a eu la surprise de découvrir que son fils de 13 ans figurait parmi les trublions. «Notre collègue a dû le renvoyer illico à la maison», confie un officier de police. Selon lui, «c'est toute la difficulté de ce mouvement. Certains profs militants ont poussé les élèves dans la rue et les gamins les plus fragiles, parmi lesquels beaucoup de filles, font n'importe quoi.» Les policiers casqués, bottés, ne sont pas «for­matés», poursuit-il, pour «affronter des adolescents en mal d'émotions fortes».

é Paris, les services de renseignements suivent de très près les «anarcho-autonomes», qui s'invitent en queue de cortège. Au nombre de 200 et âgés d'une vingtaine d'années, soupçonnés pour certains d'être impliqués dans une récente vague de saccages de distributeurs automatiques de billets, ces radicaux s'en étaient pris samedi dernier à l'Opéra Bastille. Une trentaine ont déjà été interpellés. «N'ayant jamais travaillé, ces squatters se sentent peu concernés par la réforme des retraites, qui n'est qu'un prétexte pour briser du flic et s'en prendre à l'état capitaliste et impérialiste», déplore un policier.

Mardi après-midi, plusieurs comparaissaient devant la 23e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour violences en réunion et dégradations volontaires. Rêvant du grand soir, ils avaient incendié des poubelles et lancé des fumigènes en scandant: «é bas l'état, les flics et les patrons.»

Quoi qu'il en soit, un préfet très au fait des questions de sécurité le dit: «Alors que lundi les groupes les plus agités comprenaient plus de lycéens que de voyous des cités, mardi, ce sont surtout les casseurs bien connus des services de police qui se sont illustrés.» Ce que confirmerait la multiplication des vols à l'arraché ou à la portière autour des manifestations. Sur l'autoroute A1, notamment, des passagers de taxis ont été agressés."

Nulle part dans l'article il n'est fait référence à ce qu'affirme le titre URL...

Ceci dit, l'affirmation plus de voyous/casseurs que de lycéens n'est pas entièrement fausse, sachant que comme je l'ai déjà dit, un lycéen opportuniste peut se transformer en voyou/casseur et un voyou/casseur peut très bien être un lycéen( ou en avoir l'âge...), ni angélisme façon bisounours, ni amalgame diabolisant,inutile de préciser que personne ne tient de compte précis sur la prportion statistique de casseur dans les manifs lycéennes, l'article donne une version fiable et vérifiable, celle des forces de l'ordre, lors des arrestations de casseurs, leur "CV" est facile à vérifier, si ce sont des voyous ils seront fichés, comme on dit "connu de la police", si ce sont des lycéens lambda ( y'aura qu'a vérifier leurs carnets de correspondance... ) les enquêtes en court le détermineront, cela pourra tout à fait être les deux, les résultats des premières comparutions immédiates nous en dirons plus....

(photo prise à Lyon)

Des responsables des forces de l'ordre m'ont dit : ¿on a des consignes pour ne rien faire ¿. Denis Broliquier, maire du 2e arr. de Lyon...!!!

La suite ici : http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale/jo...-de-mardi-video

Hélas, c'est pourtant la réalité.

Il y avait des lycéens parmis les casseurs, ils ne sont pas majoritaires mais il faut reconnaître qu'il y en a.

Les vrais casseurs (ça va devenir une profession bientôt) nous les reconnaissons très facilement, ils ont tous les mêmes accoutrements, capuches et foulards pour dissimuler leur visage (ça c'est le courage). Mais ils ne font pas illusion, rien qu'en regardant leurs mains, nous savons qui ils sont.

Les jeunes de banlieues n'ont pas le droit d'être considérés comme lycéens, c'est ça ?

a-t-on dis cela ??????

Les jeunes de banlieues n'ont pas le droit d'être considérés comme lycéens, c'est ça ?

Je ne sais pas si les temps ont beaucoup changer, mais a mon epoque, les racailles, pour les plus douees d'entre elles, etaient envoye en BEP. Dans mon lycee, il n'y avait pas de racailles.