Poésie

merci kinwena, merci maorisun c'est gentil oui c'est vrai quand on déprime ça sort du coeur

maladie, psy, et médoc

la trilogie ad oc

tes symptômes plus durs que le roc

qu'importe tu t'en moques

envie d'en finir car sous le choc

réagis, bats toi tu n'es pas une loque

prends la vie et pas la coke

hume, respire le vent ainsi tu les stockes

tu remontes la pente comme tu danses le rock

volontaire, amusé et te voilà parti sur le folk

oui tu changes comme tu t'en moques

les années passant tu les croques

une année remplie de plaisir comme un broc

l'essentiel maintenu et tenu en bloc

tout cela n'était pas du toc

souffrant tu fis néanmoins le fier comme un coq

Luc

Après tout, peut-on juger qu'un thème soit plus apte à devenir un poème qu'un autre ?

Terre natale

Quand le reverrais-je, ce pays merveilleux ?

Ces belles montagnes d'une forêt ombragées.

Rien que d'imaginer ce pays chaleureux,

Et je suis transporté dans sa douce vallée ;

Même si très humide, il fait bon y vivre.

Sur ces terres fertiles, les hommes prêtent serment ;

Mais avec désespoir ils se rendent ivres

Quand la femme au matin remet ses vêtements.

JE COMMENCE LUNDI

A partir de lundi, je vis de carottes et de bouillon

A partir de lundi, je dis adieu au mille-feuilles

Je vire au languide, à l'éthérée

Et les gens me demanderont si c'est bien moi cette femme

Je compte toute calorie, du yaourt

A la pastille de menthe, de la branche de céleri, à la rondelle de poivron

A partir de lundi

A partir de lundi, je joggerais tous les matins

Après mes flexions, mes pompes et mes abdos

Mes récompenses que je comptais en lasagnes

Je les trouverais le jour où je m'habillerais en 38

Je me détournerais des plaisirs infantiles, comme les carambars

Pour savourer le chant des oiseaux et le parfum d'une rose

A partir de lundi

A partir de lundi, je tiendrais tête aux confiseries

et tout, hors un oeuf dur, me paraîtra indigeste

Je verrais disparaître le gras de mes cuisses... et le flasque de mes bras

Mes joues se creuseront, mes côtes pointeront

Et l'os de mon pubis émergera pour la première fois

En hommage à ma totale abstinence

A partir de lundi

Mais mardi, une amie est venue prendre le thé, en apportant un cake maison

Et mercredi, j'ai du stopper le jogging... à cause de mon dos

Jeudi j'ai lu dans un journal que le jaune d'oeuf m'encrassait les artères, et me menait à l'infarctus

Vendredi on dînait chez les Toumoux... elle met de la crème partout... et fait la tête si on n'en reprend pas

Samedi soir, on amenait les enfants à la fête, j'ai demandé un Vittel mais il n'y avait que du coca

Dimanche mon estomac rampait sur ma ceinture

Et pleine haine pour moi-même... j'ai pleuré à pleines chips

Mais je refuserais de croquer ne serait ce qu'une seule frite...

A partir de lundi

Bon je pense que je vais aussi les publier, je l'ais est crée de onze heure du soir, jusqu'à deux du mat lol

Un ange déchu

Je suis un ange déchu

Et perdu

Je suis triste car une amitié c'est brisé

Et mon c¿ur c'est brisé

Je n'ais plus la joie de vivre

Ni de sourire

Je n'ais pas tellement compris ce qui sais passer

Mais ça c'est passer

Je ne sais pas comment je peux me faire pardonner

S'il accepte de me pardonner

Mais je ferais tous ce qui faut

Maintenant je suis toute brisé

Mes ailles son blésé

Je ne peux plus voler

J'entends des bruit, des cries, des voix et des pleures

Alors j'ai peur, je pleure

Tous mes mauvais souvenir de mon passé reviennes me hanté

Quand il était là, il les chassés

Alors je m'enferme, m'enchaînes dans ma prison avec une fenêtre pour voir la lune

Pour voir son beau visage dans le ciel

Car il a des yeux comme le ciel

Je cache ma tristesse au monde

C'est vrai que je ne suis pas parfaite

Mais dans la vie rien n'ais parfait

J'espère qu'il pourra me pardonner

Déçu par la vie

Y a des promesses que l'ont ne tiens pas

Des tristesses que l'ont ne résout pas

Et encore et toujours des disputes

Et toutes c'est amitié disparues

On croit a un toujours

Comme pour l'amour

Et jamais ont en croise un

Pas comme l'amitié

Marre de vouloir espérer

Marre de vouloir essayer

Envie d'un changement

Que tout devient un peu plus marrant

Ne plus envie d'être triste et de souffrir

Etre heureuse et de s'ouvrir

Mais tout ça et le changement ne viennent pas

Toujours la routine comme ça

Toujours ce battre pour ça

Et que ça change

Mais jamais ça ne marche

Perdue

Ma vie sans toi est un enfer quotidien

Je suis perdu quand tu es loin de moi

Comment pourrais je vivre ainsi

J'ai perdu toutes joies, toutes envies

J'ai perdu la joie de vivre

Et de sourire

Le temps me fait perdre espoir

Et je ressens alors ce besoin de te revoir

Il est vrai que je suis loin d'être parfaite

Toutes mes erreurs je les reconnait

Je ne pourrais jamais changer le passé

Mais je ferais tout pour être pardonner

Je comprend vraiment l'importance que tu as

Et vivre sans toi je ne le pourrais pas

Je vais maintenant attendre ton retour

J'ai tellement besoin de toi mon ami

J'espère que tu m'accordera cette chance

Car sans toi ma vie n'a plus aucun sens

Je sais que nous deux sa seras pour toujours

Et sache que je t'aimerai éternellement mon ami

Et même plus que mon ami

Sache que tu seras dans mon c¿ur éternellement

Mon chagrin

Quand j'étais triste

Tu essayé de me faire oublier mon chagrin

Tu séchés mes larmes et calmé mon âme

Avec tous ta douceur et ton charme

Mais ça ne marchais pas

Ce n'est pas comme ça que ça marcheras

Car c'est à toi que je l'ais dois

Tu me dis d'oublier qu'ont c'est aimé par amour et par amitié

Mais je ne peux pas l'oublier

Ni t'oublier

J'ai trop mal, je souffre

J'ai vraiment peur

Peu à peu mon âme meurt

Je savais un jour ou l'autre que tu allais me quittais

Je le savais

Mais au fond de mon c¿ur

Je ne souhaite que ton bonheur

Je vais te laisser t'en aller

Si tu ne sais plus m'aimer et rester

Si tu es heureux avec elle

Reprend t'es ailles

Envole-toi

Si c'est ce que tu veux toi

Moi je resterais là

J'essayerai de ne pas partir

Et je penserais à toi

Peut être qu'un jour tu revoudras de moi

Je t'attendrais

Et toujours je penserais à toi

Tu es mon meilleur ami et mon premier amour

Celui qui aurait duré toujours

Tu t'en va

J'essayerai de resté là

Là sans toi

En t'aimant toujours toi

Et rien que toi

Mais quand tu seras dans ses bras

N'oublie pas

Qu'avant c'étais moi

Et que moi je serrais toujours là pour toi

Et je serrais toujours à toi

Mon amour et mon amitié

Peur de faire des erreurs

Peur de faire naître des pleurs

Peur de gâché une amitié

Peur de la vérité

Je n'ai aucune raison et envie de te faire souffrir

Je n'ai aucune envie que l'on se déchire

Je ne comprends pas mes sentiments

J'aimerais tant pouvoir te les dire et les comprendre

J'aimerais tant que tu me disses et connaître tes sentiments

Je sais déjà que personnes ne peut le comprendre

Déjà moi je dois te l'avoué

Je ne sais pas quoi en pensé

Pourquoi rien n'est jamais si simple

J'ai peur de te faire souffrir

Tu es tellement si humble, généreux et gentil

Te faire du mal je m'en giflerais et je l'interdirais

Pardonne-moi de toutes ses souffrances que j'ai pu te faire

Et comme ont dirais au seigneur

Pardonne-moi mes pêché et mes erreurs

Collector.

J'adore tes poèmes.

Aller vais en mettre d'autre, préparé vos mouchoir lol.

Ma petite étoile

Un soir une petite étoile, c'est poser prés de moi

Dans cette nuit noire

Et me murmurer qu'elle voulait pleurer

Qu'elle ne voulait plus briller

Mais c'est moi qui est pleuré, car cette étoile c'est la mienne

Elle c'est éteinte

A tout jamais

Alors à tout jamais vous ne me reverrez sourire

Car je n'ais plus la joie de vivre

Et vous ne reverrez plus mon étoile brillé

Partir très loin

J'aimerais partir très loin

Pour oublier tous mes chagrins

J'aimerais ne plus pleurer

Ne plus avoir le c¿ur brisé

Vivre une belle réalité

Effacer toute cette douleur

Ne plus avoir mal au c¿ur

Le temps qui passe

Quand tout s'arrête, que le bonheur disparaît

Quand on sait que rien n'y ferait

Pas même les mots de ceux a qui l'on tient

Le c¿ur petit a petit s'éteint

La joie qui file et qui s'envole

Abattu par toutes ces paroles

Plus l'envie d'aimer quoi que ce soit

Je ne suis plus vraiment moi

Les souvenir qui font tant de mal

Les marques sur mon corps toutes pales

Les fantômes qui me hante jour et nuit

Il ne se sont pas enfui

Je suis un peu perdu, juste inconsolable

Tous ces souvenir a jamais incassables

Mon c¿ur qui se referme en laissant des plaies

De la haine, de la colère sans les soigner

Sous la pluie

Quand mon ami ma quittais

Et avant d'avoir le c¿ur brisait

J'ai rêvé que j'étais sous la pluie

Il était devant moi

Il me regardé

Et s'en est allé

Mais il n'a pas vu des larmes descendre sur mon visage

Le pire

Le pire quand une amitié ce brise

C'est que l'homme n'a pas versé de larmes

Pour cette femme

Mais qu'il a fait pleurer

Cette femme qui l'avait dans son c¿ur

Ma tristesse

Une journée s'écoule

Une larme coule

Sur mon visage

Sans voir ton image

Je ne sais pas pourquoi

Je voudrais le comprendre et le savoir

Ca c'est terminé comme ça

La vie l'a voulue ainsi, c'est comme ça

C'est bel et bien fini

Mais je ne peux pas croire que c'est fini

J'ai du mal à l'accepté

Malgré mes erreurs, je suis blessée

Au plus profond de mon c¿ur

Cette blessure me fais vraiment peur

Je pensais t'avoir oublié

Mais je ne peux pas d'oublié

Et je ne cesse de penser

A nos moments passer

A notre bonheur inachevé

A nous, mais c'est terminé

Et je souhaiterais tout recommencer

Jamais je t'oublierais

Jamais je n'oublierai

Ta voix merveilleuse

Ton visage d'ange

Jamais je n'oublierai ton c¿ur, ta pur beauté

Et l'amour, l'amitié que tu m'as apporté

Tu m'as donné le meilleur de ton âme

Te l'ai-je bien rendu ?

Voici une question qui n'aura jamais de réponse

Car aujourd'hui, tu es parti

Mais tu as laissé

Ton c¿ur dans le miens

Ta voix dans mes oreilles

Tes yeux dans mon regard

Ton âme dans mon corps

Grâce à toi, je vis sur une terre triste de ton départ

Pendant que tu vie heureux

Mais m'attends-tu ?

Je suis en train de pleurer. En fait, je suis particulièrement hypersensible et surtout au niveau des ressentis lors de la lecture ; dès lors que je me plonge dans des mots, chacun me fait un effet et se retrouve tout de suite visualisé dans mon esprit ¿ parfois presque avec la consistance du réel! Il suffirait, après un petit paragraphe, que tu me parles d'orangers pour que j'en sente l'odeur, de plage pour que j'entende les vagues, de potager pour que je sente la chaleur du soleil sur ma peau lorsque je cueille la betterave. Imagine donc un instant l'effet que me font tes mots, dans ces récits versifiés, si simples et si vrais... je ne sais pas si tu peux vraiment te l'imaginer. Sache juste que je suis en train de pleurer, et que c'est incontrôlable ; cela va maintenant un peu mieux au fur et à mesure que j'écris ceci, mais la sensation était extrême juste avant ce post.

Tu as le c¿ur brisé? Je l'ai ressenti.

Soyons amies.

Merci Criterium, ta phrase me touche énormément. Alors je vais te répondre à ma façon :

Réponse

Oui j'ai le c¿ur brisé

Car mon meilleur ami ma quitté

Je n'ai pas trop bien compris pourquoi

Et je veux savoir pourquoi

Mais il est plus là pour me l'expliquer

Je n'ais pas compris ce qui c'est passer

Je voudrais bien le savoir

Je veux tellement le revoir

Je veux tout faire pour me faire pardonner

J'espère qu'il pourra me pardonner

Sans lui ma vie na aucun sens

Je suis perdu sans lui

Et je veux bien de ton amitié.

j'avais le coeur en morceau ,

l'ame en miette .

je dechiquettais ma peau ,

arrachez mon squellette .

Mais ne trouvais rien moi,

Qui me fasse rester là .

Incapable de fuir ,

ne serait ce qu'en réve .

Je perdais mes souvenirs,

fesais taire mes désirs.

J'aurais voulu une tréve ,

quelquechose d'autentique.

et tous ce que j'ai trouvé

c'est de la sémentique.

partager les miens ,

avoir déjà ces miens .

les voeux ne sont pas fait

pour être exaucé .

maintenant que j'ai obtenu

tout ce que je voulais .

c'est l'espoir que j'ai perdu

en ayant trop demandé ...

Pas sur d'être lu mais bon..

Sur un air de piano.

L'ambiance de plomb se fait pesante.

à ces heures ou les gens rêves,

S'évadent, des vies, oppressantes.

D'une journée où le soleil achève,

Sa ritournelle omniprésente.

L'ambiance n'est pas partout la même,

Chez les âmes éveillées, accueillantes,

Profitant d'un répit, elles sèment...

Sur un air de piano

Font virevolter leurs peines,

Les transforment en joyau

Qui coule dans leurs veines.

Pour ainsi dire les mots,

Qui apaisent vos nuits

C'est un air de piano

étouffé, sans un bruit.

Bravo à vous.

Bon, je vais m'y coller. Loin d'être aussi clair et bon que vous. Mais bon.

Dès lors que la lumière se laisse percevoir,

Le petit matin prend l'allure d'un espoir.

Ce même espoir que tous les êtres diurnes

Regrettent ardemment à l'arrivée du soir.

L'aube devient ainsi le parfait métronome,

Celle qui se prête à la diction des dogmes.

Car qui irait contredire cette mère taciturne

Qui nous retire de nos rêves d'hommes?

Surement pas moi, pauvre esclave du jour.

Et puisque je serais probablement pour toujours

Incapable de vivre dans un monde nocturne,

Autant en profiter, quitte à devenir sourd.

Ben déjà y'a du rythme dans ton poème.. c'est ce que j'aime moi.. quand ça fait tic tac comme un métronome

Chouette poème..

Comment expliquer mon envie de décrire les flots

Alors que je m'horripile à l'idée d'entrer dans l'eau ?

Je pense que, comme tous les autres paysages,

On y trouve quelques chose d'unique, un des visages

De la nature méritant d'être regardé pour ce qu'il est.

Car, même si on peut l'utiliser, on peut surtout y écouter

Cette étonnante mélodie des vagues déferlant sur la plage,

Y perdre nos heures à l'apprécier. Qu'importe notre âge,

L'essentiel de notre vie ne se résume-t-elle pas à la découverte

De l'inconnu et de tout ce qui finalement s'y prête ?

Et puis, ne sommes-nous pas des machines, avides

de nouvelles émotions bien trop souvent perfides ?

Modifié le 9 octobre 2010 par Jedino

le chant perfide coulant de ta bouche,

me semblait bien trop louche

pour que je me rapproche de toi .

J'ai bien essayé de connaitre ,

ce que tu cachais de ton être .

Avec un mur devant moi ,

j'ai pas pu faire un pas .

comment faire devant cette obstacle ?

A part fuir le pure miracle ,

que représentait ton amour .

pourtant chaque nuit approchant ,

en ma tête pour toujours ,

c'est ta voix que j'entends ...

J'apprécie particulièrement les trois derniers vers

A travers la fenêtre

A travers la fenêtre close, je vois le monde

je vois les maisons grises, l'allée et puis les gens

les gens qui, toujours, cachent des angoisses immondes

qui les rongent, les brûlent, les tuent, et de temps en temps

elles les poussent à faire les pires horreurs

pourtant l'homme est corrompu plus que corrupteur

ainsi les grands mangent les petits pour être plus grands

séduits par un concept étrange nommé argent

à travers la fenêtre close, je vois une femme

à l'intérieur de son ventre il y a la vie

dans ses yeux il y a une incroyable flamme

peut être sur ma vitre n'est-ce pas encore la pluie?

peut être y a-t-il pour nous encore de l'espoir?

peut être notre avenir n'est-t-il pas si noir?

mais se bercer ainsi de puérils mensonges

ne serait que s'enfuir plus loin dans d'épais songes

à travers la fenêtre close, en bas, sur le trottoir

je vois, jouant de son instrument, un vielleux

demandant l'aumône ici du matin au soir

de sa vielle sort un son qui noue en moi un noeud

le pauvre vieil homme grelottant dans ses nippes

n'a pas mangé aujourd'hui, et ne mangera plus

car son chapeau reste vide, laissant sa tête nue

il partira seul, le ventre creux, dans ses fripes

j'ouvre la fenêtre et sens le vent sur mon visage

les malheurs du monde s'abattent soudain sur moi

et arrachent à ma poitrine un cri de rage

le soleil de ma vie décline, qu'est-ce que j'fais là?

à travers la fenêtre ouverte elle a sauté

est-ce que la vie vaut la peine d'être vécue?

elle ne le savait plus, alors c'est dans la rue

que sur le goudron noir et dur elle s'est brisée

il s'est envolé ce matin,

l'oiseau de mon destin .

Partis voir ailleur ,

si il n'y avait pas meilleurs.

Parce que pour lui,

je n'étais que gachis ,

perte de temps et blabla ...

C'est vrai que j'aurais pu ,

j'ai pas vraiment voulu .

Et maintenant voilà ,

c'est plus du premier choix .

Pour moi , y'a plus qu'un chemin,

c'est tristesse et chagrin .

Pour moi, y'a plus qu'une voix,

celle des desespérés,

qui ne savent plus réver ,

celle de la fin ...

le temps efface tout.

Mais mon coeur avec lequel tu joue ,

conserve ces blessures .

Et si je fais peau neuve ,

il n'empêche qu'à l'usure

se libére l'ame veuve,

qui hante mon corp.

En deuil de tout espoir

abandonné de la vie ,

sur moi un sombre sort

qui me plonge dans le noir,

semble t'il te ravie .