Comité anti foot et coupe du monde

On dit que les stades de football sont le reflet de la société...

Ce n'est pas mieux pour autant ......

Je partage totalement ton avis. Je suis de même sidéré qu'ils touchent des millions !

Ils touchent plus que des chirurgiens tu te rends compte ? Mais pourquoi ??? Un chirurgien risque sa carrière au moins à chaque opération...

Un joueur risque sa carrière à chaque match ??

Comment voulez vous que ça encourage les jeunes à faire des études longues après

Outre le fait que le brulot haineux ci dessus et revendiqué comme tel soit bourré d'amalgame, je pense qu'il est suffisamment révélateur de la permissivité voir de l' approbation globale qui semble régner dans la critique de ce sport, quel soit primaire ou non apparemment ce qui semble primer c' est de lâcher le plus de coups possible, sans soucier de la réussite de mouvement règlementaire.

Très heureuse que mon brûlot haineux t'ai plu.

Si tu veux on peut aussi parler du Heysel, de Hillsborough ou encore de Houphouet-Boigny. On peut aussi parler des "fights", bref toutes ces joyeusetés propres au foot.

Alors bon, amalgames hein ...

Très heureuse que mon brûlot haineux t'ai plu.

Si tu veux on peut aussi parler du Heysel, de Hillsborough ou encore de Houphouet-Boigny.

De tel drame ne sont à imputer au foot en lui même mais à sa popularité voir au comportement de certaines personnes, un autre sport qui aurait la chance de bénéficier d'une popularité égale et dans les mêmes condition d' observation aurait sans aucun doute pu connaitre des catastrophe semblable.

On peut aussi parler des "fights", bref toutes ces joyeusetés propres au foot.

Tu plaisante ?!! Ce n' est le foot qui génère de tels débordement mais bien la société dont il est le reflet, en l'occurrence des individus enclins à la violence, recherchant à donner un sens à l' insensé, penses tu sérieusement que ces derniers s' abstiendrait de se libérer d'une telle violence si se sport n' aurait vu le jour ?!!

Alors bon, amalgames hein ...

Amalgames oui, lorsque tu affirme haïr au même titre, le supporter heureux devant son poste, l'individu violent, le hooligan néo-nazi, et le footballeur, qui n'ont pas forcément plus de point commun qu'un sous prolo qui aime le jaune, et un rentier apprécie la même couleur. Mais apparemment l'amour du foot que peux éprouver une personne te suffit amplement à la haïr et à considérer tout autre personnes éprouvant la même passion comme inévitablement homogène, en fessant fi de ce que l'intéressé est et a accompli.

C'est ton point de vue. Le mien c'est que tous ces débordements minables ne se trouvent que dans le foot. Et la popularité n'a rien à y voir là dedans. Il y a des sports tout aussi populaires de par le monde comme le base-ball ou le basket en Amérique du Nord par exemple, et il n'y a pas ce genre de choses.

Et sinon, il est 14h05, je te recommande de te brancher sur TF1, comme par hasard il y a un reportage là dessus en ce moment même.

Tu plaisante ?!! Ce n' est le foot qui génère de tels débordement mais bien la société dont il est le reflet, en l'occurrence des individus enclins à la violence, recherchant à donner un sens à l' insensé, penses tu sérieusement que ces derniers s' abstiendrait de se libérer d'une telle violence si se sport n' aurait vu le jour ?!!

Ben voyons, et pourquoi n'y a t'il pas ces choses dans le rugby ? Les supporters de rugby sont moins enclins à la violence ?

moi je suis une femme, j aime bien le foot, je regarde quelques matchs , en plus y en a des pas mal ....des matchs

C'est ton point de vue. Le mien c'est que tous ces débordements minables ne se trouvent que dans le foot. Et la popularité n'a rien à y voir là dedans. Il y a des sports tout aussi populaires de par le monde comme le base-ball ou le basket en Amérique du Nord par exemple, et il n'y a pas ce genre de choses.

Non, beaucoup moins populaire à part aux état unis et au Japon pour le Baseball, Supporter Japonais et Américains tous deux hautement réputer pour leur hooliganisme...

Et sinon, il est 14h05, je te recommande de te brancher sur TF1, comme par hasard il y a un reportage là dessus en ce moment même.

Mais est tu folle ?!! Il est évident que je regarde le match Corée du sud Grèce avant de me préparer à la ratonnade prévu au kebab du coin puis poursuivre par un resto coréen, comme cela pas de jaloux.

Ben voyons, et pourquoi n'y a t'il pas ces choses dans le rugby ? Les supporters de rugby sont moins enclins à la violence ?

Oui, merci de me tendre la perche : le rugby est historiquement un sport plus élitiste que le foot qui quand à lui fut l' apanage des "working class".

je vous suis aussi!

edit:j'ai lu que la premiere page

Non, beaucoup moins populaire à part aux état unis et au Japon pour le Baseball, Supporter Japonais et Américains tous deux hautement réputer pour leur hooliganisme...

Faux et archi-faux. Il n'y a pas dans le foot-américain ou le base-ball les conneries qu'on peut voir autour du foot européen.

Mais est tu folle ?!! Il est évident que je regarde le match Corée du sud Grèce avant de me préparer à la ratonnade prévu au kebab du coin puis poursuivre par un resto coréen, comme cela pas de jaloux.

Mais c'est super drôle dis donc !

Au passage c'est très dommage que tu aies manqué ce reportage. Je n'ai malheureusement pas été surprise du tout en le regardant mais bon, j'y ai cru un instant.

Oui, merci de me tendre la perche : le rugby est historiquement un sport plus élitiste que le foot qui quand à lui fut l' apanage des "working class".

Le rugby est élitiste ... Enorme.

Au passage tu es donc limite en train de nous dire donc que le foot par opposition est plus l'apanage des "bas du front" ?

Faux et archi-faux. Il n'y a pas dans le foot-américain ou le base-ball les conneries qu'on peut voir autour du foot européen.

Arf, ben voila autre chose, c' était tellement gros que cela me semblait évident qu'il s agissait d' ironie, qui plus est lorsque j' y ai inclus un smiley siffloteur.

Le rugby est élitiste ... Enorme.

C' est de l'argumentation ?!! Sinon, je te renvoi à l' historique du rugby, à moins que tu préfère continuer à meubler en niveau profane mais bourré de certitudes.

Au passage tu es donc limite en train de nous dire donc que le foot par opposition est plus l'apanage des "bas du front" ?

Pourquoi par opposition ? Je suis en train de te faire part de l' historique de deux sports oserais tu les nier ?

Pourquoi par opposition ? Je suis en train de te faire part de l' historique de deux sports oserais tu les nier ?

Tu m'as fait part d'un historique ???

J'ai beau relire tes participations précédentes je ne vois rien de rien, aurai je manqué un lien qui ne s'affiche pas dans mon navigateur ?

Là je m'interroge.

Arf, ben voila autre chose, c' était tellement gros que cela me semblait évident qu'il s agissait d' ironie, qui plus est lorsque j' y ai inclus un smiley siffloteur.

Je dois avouer que j'ai un peu de mal avec cette phrase, surtout la partie mise en gras. Dois je donc comprendre que ton argument sur le hooliganisme autour du baseball ou du football américain était donc une blagounette et non un contre-argument ?

Tu m'as fait part d'un historique ???

J'ai beau relire tes participations précédentes je ne vois rien de rien, aurai je manqué un lien qui ne s'affiche pas dans mon navigateur ?

Là je m'interroge.

Arf, Parce que sans lien ce terme ne mérite pas d' être usité ?!! A ce demander pourquoi sa création précède celle d'internet.

Je dois avouer que j'ai un peu de mal avec cette phrase, surtout la partie mise en gras. Dois je donc comprendre que ton argument sur le hooliganisme autour du baseball ou du football américain était donc une blagounette et non un contre-argument ?

Tu compare, le baseball et le basket ball (qui depuis peu c' est changé en football américain), au football anglais en Europe en affirmant que ce dernier est plus enclin au débordement, je te fait remarquer que dans les fiefs de ces deux sport il y a en effet moins débordements constatable mais cela est aussi valable pour le football anglais aux mêmes lieux. Est ce donc le sport en lui même qui génère ces violences ou bien une société ou plutôt le rapport d'une société face à un sport populaire.

Bon c' est pas tout, mais il est plus plaisant pour moi de regarder mon deuxième match de la journée, que de m' auto-traduire.

Arf, Parce que sans lien ce terme ne mérite pas d' être usité ?!! A ce demander pourquoi sa création précède celle d'internet.

Ah mais il mériterait de l'être si tu t'étais fendu d'un paragraphe pour m'en faire l'historique dont tu me parles. Ou à défaut d'un lien vers cet historique que je vois toujours pas.

Parce que si c'est ça ton historique :

Oui, merci de me tendre la perche : le rugby est historiquement un sport plus élitiste que le foot qui quand à lui fut l' apanage des "working class".

pardonne moi mais il prête plus à rire qu'à s'informer hein ....

Le rugby est à tort considéré en France comme un avatar de la soule. Au Moyen ége et aux siècles modernes, ce jeu, principalement pratiqué en Bretagne et en Normandie, voyait l'affrontement de deux équipes villageoises autour d'une pelote d'étoffes ou d'un ballon appelé « soule » ou « choule » qu'il s'agissait de porter dans un lieu convenu ou au-delà d'une ligne nonobstant les adversaires. La filiation n'est pas directe. C'est par l'intermédiaire de l'Angleterre et à la faveur d'une forte anglophilie que le rugby s'est implanté solidement dans l'Hexagone entre 1880 et 1920. Comme l'ensemble des sports modernes, il tient aux profondes mutations que l'âge industriel a apportées dans les sociétés occidentales. L'Angleterre, pionnière dans cette évolution économique, a connu la première les modifications sociales et les modes de vie qui y sont liés.

Pour les rejetons mâles des élites anglaises, les public schools proposèrent une éducation novatrice où le sport avait sa place. Les pédagogues voyaient dans ces activités une excellente préparation mentale et physique aux obstacles que ne manqueraient pas de rencontrer ces jeunes gens. é l'école de Rugby, village du centre de l'Angleterre, se développa le jeu éponyme sous l'égide du directeur Thomas Arnold. En ces temps de darwinisme social, il s'agissait de s'affirmer (dès la période d'études) comme le meilleur, d'où le succès de pratiques caractérisées par la nécessité de dominer l'adversaire par un effort individuel. Les phases collectives, la tactique, le jeu de passes, ont en effet émergé plus tard. Après une phase d'écriture et de rationalisation des règles apparurent deux sports distincts, le football et le rugby, qui se diffusèrent dans les autres pays. En France le jeu de rugby se répandit à partir des deux dernières décennies du XIX^e siècle et concerna d'abord des élites souvent marquées par l'anglophilie, dans le cadre ¿ très restreint socialement ¿ des lycées.

Cette époque se caractérise également par l'émergence d'une nouvelle catégorie sociale, la « classe moyenne ». Dans la représentation qu'ils ont d'eux-mêmes, ses membres s'efforcent d'imiter les modes de vie des élites. Dès lors, on comprend mieux qu'un match de « football de salon » illustre la boîte de ce jeu destiné aux enfants des cols blancs. Le titre en atteste l'origine anglaise.

http://www.histoire-image.org/site/oeuvre/...ste_analyse=770

De l'autre côté de la Manche, le nombre de footballeurs, des clubs, des stades, des spectateurs, des compétitions régionales et nationales ne cesse de croître depuis 1900. Mais, les scores réalisés dans les confrontations des continentaux avec les Anglais révèlent un écart qui s'explique par une raison d'ordre social. Alors que le football continental est encore pratiqué par une infime minorité de la jeunesse ¿ des collégiens, des étudiants, quelques adultes appartenant à des professions libérales- la Football Association peut s'enorgueillir de contrôler plus d'un demi million de joueurs et de diriger un Championnat professionnel disputé par 92 clubs groupés dans deux divisions. Des clubs propriétaires de 66 stades d'une contenance moyenne de 30000 places occupées durant la saison 1905-1906 par un total de six millions de spectateurs. Cette puissance n'est concevable qu'en raison de la place tenue par le football dans la vie sociale de l'Angleterre. Certes, c'est dans les écoles réservées aux fils des familles bourgeoises, les public school que furent établies, par des professeurs et des élèves, les premières règles d'un jeu dont ils voulaient se réserver la pratique. L'épanouissement de l'industrie qui devait faire de la Grande ¿ Bretagne la première puissance économique du monde fournit les conditions objectives de l'expansion de cette base sociale du football. Les ouvriers ne constituaient pas seulement la classe sociale la plus nombreuse, le travail de la mine et de l'usine les avait familiarisés avec l'effort collectif qui les portait naturellement vers un jeu d'équipe, pratiqué en plein air et répondant au besoin d'utiliser les muscles des membres inférieurs peu sollicités dans leur métier.

Le sport du peuple:

La concentration de la nombreuse main-d'¿uvre des mines de charbon et de fer, des fonderies, des aciéries, des filatures, explique l'augmentation rapide du nombre des grandes villes (en 1904, 36 villes de plus de 100000 habitants), proches les unes des autres dans le Midlands et le Lancashire, reliées par un réseau très dense de chemins de fer. Ainsi se trouvaient réunies les conditions les plus favorables à l'essor du football dans le milieu ouvrier. Une mesure sociale prise dans les années 50, le repos du samedi après-midi caractérisant ce que l'on appela sur le continent la semaine anglaise, acheva la métamorphose du jeu de la middle class en sport populaire. L'écrivain James Walvin, auteur d'une histoire « sociale » du football britannique, intitulée « People's Game » (Sport du peuple), affirme que la première victoire d'une équipe du nord industriel, Blackburn Olympic sur les Old Etonians, une équipe du sud formée d'universitaires, en finale de la Cup 1883, a marqué un tournant historique car « les joueurs de Blackburn comptaient trois tisserands, un fileur, un assistant dentaire, un plombier, un ouvrier du textile, un métallo » (3).

Ce tournant, l'Allemagne a été la première nation du continent à la réaliser en raison de l'essor industriel d'une région comme la Ruhr, et de son développement urbain (41 villes de plus de 100 000 habitants) en 1905. La Deutscher Fussballbund, une Fédération « monosport » contribua à la création d'un championnat national en 1903 et le nombre de ses joueurs passa de 9000 à près de 200000 en 1914. En France, ce nombre progressa difficilement de 4000 à 25000 durant cette période caractérisée par la rivalité des dirigeants des deux fédérations omnisports. L'USFSA quitta la FIFA, coupable à ses yeux de ne pas condamner le professionnalisme instauré dans le football anglais. Le Comité français interfédéral, issu de la fédération des Patronages, parvint à remplacer l'organisme démissionnaire au sein de la Fédération internationale en attendant le jour où le football français se déciderait à créer une fédération nationale autonome.

http://www.miroirdufootball.com/article.php?a_id=52

Les soirs de match

c'est très "cool" d'aller au ciné ou au restaurant...

coller des millions de "footeux" devant leur écran

ça libère de la place ailleurs....

Surtout ne pas supprimer le foot!

Je déteste le foot! Pas tant le sport en soi, qui ne me plaît pas et me laisse indifférent, mais tout ce qu' il entraîne. Ici, en Italie, le football est une obsession malsaine et il ne s' agit d' un cliché. On n' entend que parler d' épisodes de racisme, de bagarres, d' affaires de corruption, d' argent blanchi et d' autres scandales financiers de la part de sociétés sportives; etc... Le journal télévisé consacre un place plus importante au foot qu' aux thèmes d' actualité et il y a je ne sais plus combien de débats télévisés liés à ce sport, qui ne font qu' alimenter des polémiques stériles. Après, on se surprend si le nombre d' "ultras" (hooligans italiens) augmente de façon exponentielle et si leurs actions se font de plus en plus violentes. Quand on attribue plus d' importance à un jeu qu' à la culture ou à l' actualité, voilà le résultat: on obtient de citoyens décérébrés qui s' assomment pour le résultat d' un match ou pour la couleur d' un maillot.

Si je pense que les championnats du monde vont, bientôt, commencer et qu' on n' entendra parler que de ça pendant au moins trois mois... Bref, je ne veux pas y penser! Une occasion de plus pour admirer le nationalisme à deux balles de certains personnages, qui considèrent un crîme contre la patrie ne pas suivre l' équipe nationale, mais pas le fait de ne pas payer régulièrement ses impôts...

Panem et circenses! Voilà ce dont le peuple a besoin, pensaient les latins.

D'accord avec tes arguments Sun-Tzu86, trop d'histoires d'argent, trop d'argent en fait devant la misere des gens qui n'ont meme pas de salaire .. trop de corruption.. et là on en a pour un mois ca vient de commecer.. c'est déja plein la TV et les programmes saturés de ce truc là... bon a la base c'est un bon sport quand meme les regles, le jeu tout ca c'est sympa..sans les dérives c'est OK! (pas trop et tout le temps quand meme quoi!)

ok,pour le comite ,mais faudrais d'abord recupere tout le pognon qui va avec,ça ferai une gagnotte pour le tresorier du comite

http://cahiersdufootball.net/article.php?id=3690

Pioché, un peu tard peut-être, dans le Télérama spécial Coupe du monde, cette jolie citation de Rogan Taylor, professeur à l'université de Liverpool: "Le football nous fera toujours souffrir parce que c'est une invention d'une extraordinaire perversité. La balle au pied : une idée délirante qui revient à demander l'impossible aux joueurs, à les condamner à l'imperfection permanente. é l'inverse du basket, où il est difficile de rater ses gestes, tout le monde sait qu'on n'arrive que très rarement à contrôler un ballon avec le pied. Du coup, la vie dans un stade est faite de douleur et de déception, on appréhende, on endure, on se résigne, on chante pour se donner du courage, on sent que rien ne se passera comme on veut. Et 99% du temps, c'est le cas. L'amour du football est une longue affliction traversée d'éclairs divins!"

Ce serait tout de même sympa de donner la parole à ceux qui n'ont rien à braire de 11 gogols millionnaires qui courent après une balles (et des 11 autres en face)