Merci de parler du pape, on n'en parle jamais assez :blush:

c'est un criminel contre l'humanité

c'est un criminel contre l'humanité

carrément :blush:

mais bien sur criminel contre l'humanité je suis contre l'euthanasie je suis aussi inhumain

parce que si être humain c'est n'avoir plus aucun respect pour la vie ba je suis pas humain

Tant qu'on à pas été confronté à l'un ou à l'autre je vois pas comment on peut parler de ça de toute façon. Et ce connard de pape ne sera manifestement jamais confronté à l'avortement et encore moins à l'euthanasie. Quand on voit comment ils ont épuisé son prédécesseur.

C'est peut être pour ça qu'il est contre. Veut pas se faire piquer. :blush:

mais bien sur criminel contre l'humanité je suis contre l'euthanasie je suis aussi inhumain

parce que si être humain c'est n'avoir plus aucun respect pour la vie ba je suis pas humain

tu m excuseras mais pratiquer l acharnement thérapeutique comme cela se fait parfois, tout ça pour laisser les gens à l état de légumes agoniser sur un lit d hôpital...je trouve pas ça particulièrement humain!

vouloir sauver sauver une vie a tout prix,en depit du bon sens et surtout si la personne consernée veut mourrir,ça ce n'est pas respecter la vie pour moi...

tu m excuseras mais pratiquer l acharnement thérapeutique comme cela se fait parfois, tout ça pour laisser les gens à l état de légumes agoniser sur un lit d hôpital...je trouve pas ça particulièrement humain!

+1. D'ailleurs, le pape est aussi contre l'acharnement thérapeutique...

'fin bon. C'est franchement pas un scoop, tout ça... :blush:

Bah tout le monde connait ce pape et ses idées qui n'évoluent pas. Il représente bien sa religion pour ça d'ailleurs.

Je considère l'avortement comme un droit fondamental de la femme et je suis fier qu'en France, ce droit soit respecté et ne sera jamais supprimé.

Pour l'euthanasie, je demanderai à ceux qui sont contre si vivre comme un légume signifie encore être en vie, de penser également aux familles, etc.

La mort

Bref je pense que je suis beaucoup plus respectueux de la vie en soutenant l'avortement et l'euthanasie.

Pour l'euthanasie, Gannher, que penses-tu du cas de cet homme qui, après avoir vécu 23 ans sans pouvoir communiquer, reste un "légume" techniquement parlant, mais peut enfin communiquer avec son entourage... et qui se dit heureux de vivre ?

Et puis, autoriser l'euthanasie, n'est-ce pas en autoriser aussi les dérives (euthanasie de personnes dépressives, de malades contre leur volonté..; assez curieusement, certains néerlandais préfèrent finir leurs jours dans des maisons e retraite allemandes...) ?

Pour ce qui est de l'avortement, je ne suis -pour une fois- pas tout à fait d'accord avec le pape* : en effet, une femme qui souhaite à tout prix avorter le fera, législation ou pas. Autant que ce soit encadré et qu'elle ne mette pas en plus sa vie en danger... Je souhaite ajouter qu'il me semble que le pape parle ici de l'IVG. En effet, lorsqu'il est question de choisir entre la vie de la mère et celle du bébé, l'Eglise ne se prononce pas. Enfin, elle dit qu'il faut sauver les deux, ce qui n'est parfois pas possible. :blush:

Et que du coup, si l'avortement est une conséquence d'un soin donné à la mère, s'il est thérapeutique (pas dans le sens "parce que le bébé est malade", mais "parce que la grossesse met la vie de la mère en danger/parce que les soins donnés à la mère vont entraîner une fausse couche"), il est "toléré" par l'Eglise.

(*il aurait parlé des législatiosn qui "encourageaient" ou "favorisaient" l'avortement, j'aurais été d'accord. Là, il s'agit "d'autoriser", je ne suis donc pas d'accord. Même si je pense qu'on doit tout faire par ailleurs (responsabilisation des gens) pour que le nombre d'avortements soit minime, sinon nul).

Pour l'euthanasie, Gannher, que penses-tu du cas de cet homme qui, après avoir vécu 23 ans sans pouvoir communiquer, reste un "légume" techniquement parlant, mais peut enfin communiquer avec son entourage... et qui se dit heureux de vivre ?

Mais cet homme n'avait pas annoncé sa volonté de mourrir. Il n'est pas du tout un légume, ses fonctions cérébrales sont bien actives et parfaitement au point. Dans ce cas là, il n'appartient qu'à lui de savoir s'il veut vivre ou mourrir.

Et puis, autoriser l'euthanasie, n'est-ce pas en autoriser aussi les dérives

Si c'est bien pour cela qu'il doit y avoir un avis de la famille, de plusieurs médecins (j'insiste bien sur plusieurs médecins), du patient si c'est possible et d'une commission indépendante gérée par l'Etat.

Pour l'avortement, je suis pour ce droit à 100%.

Mais cet homme n'avait pas annoncé sa volonté de mourrir. Il n'est pas du tout un légume, ses fonctions cérébrales sont bien actives et parfaitement au point. Dans ce cas là, il n'appartient qu'à lui de savoir s'il veut vivre ou mourrir.

C'est ce qu'on sait maintenant... mais pendant 23 ans les médecins ont cru qu'il était un légume. Alors que ce n'était pas le cas... A partir de ce moment là, comment peut-on décider d'ôter la vie à ceux qui sont étiquetés "légumes" ?

Si c'est bien pour cela qu'il doit y avoir un avis de la famille, de plusieurs médecins (j'insiste bien sur plusieurs médecins), du patient si c'est possible et d'une commission indépendante géré par l'Etat.

Et on en arrive à autoriser l'euthanasie d'une personne dépressive ? D'un handicapé mental ?

Aucune solution n'est parfaite, mais autant en ce qui concerne l'avortement, je considère que le mieux est qu'il soit légal, autant en ce qui concerne l'euthanasie, elle doit rester illégale... les effets pervers risquant d'être beaucoup plus importants que les éventuels bénéfices.

C'est ce qu'on sait maintenant... mais pendant 23 ans les médecins ont cru qu'il était un légume. Alors que ce n'était pas le cas... A partir de ce moment là, comment peut-on décider d'ôter la vie à ceux qui sont étiquetés "légumes" ?

Oui mais cette erreur était du à une technologie ancienne. Le scanner récent qui a été utilisé a bien montré qu'il n'était pas un légume. Donc je pense qu'il est désormais possible de savoir si on est vraiment un légume ou non.

Et on en arrive à autoriser l'euthanasie d'une personne dépressive ? D'un handicapé mental ?

Une dépression est une maladie reconnue. Même si la personne demande à être euthanasiée , il y a peu de chance que les médecins donnent un avis favorable, de même que la commission. De ce fait, la personne ne sera pas tuée.

Il en est de même pour un handicapée mental.

L'euthanasie reste quand même pour des cas exceptionnels pour lesquels la science et la médecine n'ont pas encore assez de connaissance et ne peuvent plus rien.

Audience générale : Benoît XVI lance une nouvelle offensive contre les législations injustes autorisant l'avortement et l'euthanasie. 16/12/2009 16.28.29 Lors de l'audience générale de ce mercredi, devant quelque 9 000 personnes, Benoît XVI a invité les dirigeants politiques à s'inspirer de la loi naturelle et à refuser les législations qui autorisent l'avortement et l'euthanasie.

Lors de l'audience générale de ce mercredi, devant quelque 9 000 personnes, Benoît XVI a invité les dirigeants politiques à s'inspirer de la loi naturelle et à refuser les législations qui autorisent l'avortement et l'euthanasie. Le Pape avait choisi de consacrer sa catéchèse à un théologien du XIIe siècle, Jean de Salisbury, de l'école philosophique et théologique de la cathédrale de Chartres, l'une des plus importantes du Moyen-ége. Né en Angleterre, Jean de Salisbury servit fidèlement les archevêques de Canterbury et accompagna Thomas Becket dans son exil en France, où élu évêque de Chartres, il demeura jusqu'à sa mort.

Au terme de l'audience générale, Benoît XVI a été officiellement fait citoyen d'honneur de la petite commune d'Introd, en Vallée d'Aoste, où il a eu l'occasion de passer les vacances d'été.

[ Lire la suite de l'Article.. ]

Source: Radio Vatican

On le sait, c'est pas nouveau, essaie de trouver un sujet un peu moins connu :blush:

Oui le topic boomerang qui revient régulièrement on ne sait même pas pourquoi, vu que la position de l'église par rapport à l'euthanasie et l'avortement ne changera pas...

Oui mais cette erreur était du à une technologie ancienne. Le scanner récent qui a été utilisé a bien montré qu'il n'était pas un légume. Donc je pense qu'il est désormais possible de savoir si on est vraiment un légume ou non.

Va savoir... est-ce que dans 20 ans on n'aura pas un scanner encore plus fin, qui nous permettra de voir que la personne que l'on considère comme un "légume" avec la technologie d'aujourd'hui, ne l'est en fait pas ?

Une dépression est une maladie reconnue. Même si la personne demande à être euthanasiée , il y a peu de chance que les médecins donnent un avis favorable, de même que la commission. De ce fait, la personne ne sera pas tuée.

Il en est de même pour un handicapée mental.

Sauf qu'en Belgique, on euthanasie déjà des dépressifs...

L'euthanasie reste quand même pour des cas exceptionnels pour lesquels la science et la médecine n'ont pas encore assez de connaissance et ne peuvent plus rien.

Pour l'instant, la science ne peut rien contre l'autisme... Euthanasie ?

Si l'on commence par ouvrir une brèche, on va au-devant de gros problèmes - et je me base, pour dire cela, sur ce qui se passe en Belgique et aux Pays-Bas. Je n'ai pas envie qu'on tombe aussi bas en France...

Va savoir... est-ce que dans 20 ans on n'aura pas un scanner encore plus fin, qui nous permettra de voir que la personne que l'on considère comme un "légume" avec la technologie d'aujourd'hui, ne l'est en fait pas ?

Bien sur dans 20 ans, on aura sans doute un scanner plus précis mais à l'heure actuelle, la technologie suffit amplement à déterminer si un cerveau est en activité ou non. L'électro-encéphalographie est suffisament avancé dans ce domaine.

Sauf qu'en Belgique, on euthanasie déjà des dépressifs...

Oui et cette euthanasie a été pratiquer après une réunion de plusieurs personnes. Ils n'ont pas fait les choses à la légère. Moi ça ne me choque pas du tout.

Bien sur, l'euthanasie n'aurait pas été appliqué sur des personnes souffrant de dépression légère ou moyenne. Mais dans l'article, c'était une dépression majeure irréductible.

Pour l'instant, la science ne peut rien contre l'autisme... Euthanasie ?

Non car un autiste ne souffre pas que se soit physiquement ou psychologiquement.

Chaque cas doit être traité séparément quand on parle d'euthanasie. On ne peut pas dire d'euthanasier tous les dépressifs car certains l'ont été. Il y a plusieurs variables à prendre en compte.

Bin écoute, encore une fois, nos points de vue ne sont pas conciliables. Je ne peux pas concevoir qu'on choisisse de tuer quelqu'un parce qu'on n'arrive plus à le soigner... :blush:

Tout comme je ne peux pas concevoir qu'on s'acharne à maintenir en vie quelqu'un, d'ailleurs. Je pense que l'un ne va pas sans l'autre...