La condition de l'homme dans le cadre des rencontres hétérosexuels

à l’instant, Flower00 a dit :

Un masculiniste a déclaré qu'il couchait avec sa petite amie sans son consentement. Il a été banni de la plateforme pour apologie du viol.

J'appelle ça un violeur.

il y a 12 minutes, Danoketian a dit :

Oups dsl en ce moment d'autres preoccupation professionnels mais dès que je peux m'y concentrer, je te repondrais.

No problemo

il y a 2 minutes, zenalpha a dit :

J'appelle ça un violeur.

Et on en trouve chez les mascus

il y a 47 minutes, Mite_Railleuse a dit :

No problemo

Merci c'est gentil.

Une vidéo qui peut être intéressante au sujet de la "souffrance masculine" (si elle n'a pas été déjà postée, je n'ai pas tout lu du sujet): 

Stop au hs.

il y a 8 minutes, January a dit :

Stop au hs.

Question : puis je ouvrir un topic "qu'est ce qu'un homme qu'est ce qu'une femme" en rubrique société ?

Je file d'ici illico presto et vous laisse "débattre"

Oui.

J'ai lu quelques trucs rapidos, rien compris. Il est devenu très complexe ce fil, ou alors je suis teubé. 

Je vais nettoyer. C'est pas très complexe, c'est n'importe quoi. 

Il y a 11 heures, sirielle a dit :

Une vidéo qui peut être intéressante au sujet de la "souffrance masculine" (si elle n'a pas été déjà postée, je n'ai pas tout lu du sujet): 

 

Reprenons ici.

Le 23/11/2025 à 09:14, LePenseur354 a dit :

J'aimerai qu'on discute de la souffrance masculine dans le contexte actuel des relations hommes-femmes ainsi de voir comment les femmes sont avantagées à la rencontre, ce qui pour cause qu'elles en souffrent pas majoritairement. Le but est d'avoir une discussion profonde sans jugement où l'on est posé et courtois pour en garder une réflexion en tête. Le but est de mettre aussi en évidence comment les femmes profitent de cette souffrance relationnel masculin qui est réelle au point de rythmer leur vie et la notre nous les hommes. Cette discussion n'est d'ailleurs pas fermée aux hommes. Des femmes peuvent participer. Seulement c'est de l'ouverture d'esprit qui est demandé ici . La finalité est d'expliciter les mécanismes sociaux culturels et de les mettre en lien.

Sinon reprenez de la question posée, après tout il me semble que personne ne lui a répondu 

il y a une heure, January a dit :

Je vais nettoyer. C'est pas très complexe, c'est n'importe quoi. 

Reprenons ici.

Tiens j'avais zappé ce message de Sirielle..je vais regarder ce documentaire dès que je peux. 
Merci!

il y a une heure, zenalpha a dit :

Sinon reprenez de la question posée, après tout il me semble que personne ne lui a répondu 

Elle a été effacée. 

Faut peut-être ouvrir un autre fil avec? Parce qu'elle n'était pas inintéressante. 

De ce que je perçois pour ma part, le stade de la drague du départ conduit parfois sans tellement de surprise à des déconvenues plus ou moins importantes. Les critères plus particulièrement recherchés chez les hommes ne sont pas tout à fait les mêmes que chez les femmes. Certains hommes peuvent être en difficulté par rapport à ces critères de virilité, d'aspect physique, ou de réussite sociale plus ou moins attendue également parfois... Mais l'essentiel en amour pour un homme n'est pas forcément d'avoir beaucoup de succès auprès des femmes, plutôt d'éventuellement trouver quelqu'un avec assez d'affinités. (Et être couramment sollicitée, envisagée, pour une femme peut aussi comporter d'importants inconvénients, ce n'est pas qu'un avantage, loin de là.) Or avec l'avancée de l'indépendance respective, les attentes ont évolué (voire sont parfois confuses) et la qualité relationnelle de couple est davantage exigée qu'auparavant, le célibat moins fui. Culturellement, les hommes sont quand-même parfois davantage poussés à prendre les devants pour faire des rencontres, et en même temps ils peuvent en être culpabilisés, la juste mesure n'est pas toujours facile à trouver, d'autant que les limites ne sont pas tout à fait les mêmes selon les femmes. Et puis l'image masculine actuelle peut s'avérer à notre époque un peu lourde à porter du fait qu'elle est couramment et nécessairement remise en question, critiquée (parfois de manière contradictoire voire caricaturale), même si tous ne sont pas forcément visés personnellement. L'expression des problématiques masculines est parfois mal reçue dans le contexte actuel. La lutte contre les violences sexistes et conjugales, dont sont plus particulièrement victimes les femmes, reste prioritaire. Cela peut reléguer au second plan socialement certaines difficultés relationnelles masculines perçues comme moins urgentes, mais pas forcément pour autant sans conséquence. Et le féminisme, quelque peu sacralisé socialement de par sa nécessité vitale, est parfois instrumentalisé à mauvais escient, les clichés du "masculin toxique" utilisés aussi hors contexte légitime, et pouvant impacter également des hommes au comportement correct, dont des hommes ou jeunes hommes particulièrement vulnérables, parfois en manque de reconnaissance. Il peut donc paraître utile que les hommes puissent aussi suffisamment exprimer leurs difficultés relationnelles spécifiques pour favoriser une compréhension mutuelle assez équilibrée, grâce à des associations dédiées par exemple, bien que ça n'en justifie pas les éventuelles dérives.