Violences obstétricales

Il y a 16 heures, Mite_Railleuse a dit :

Je viens de lire le témoignage de l’accouchement très difficile d’une jeune femme. Sans péridurale, avec épisiotomie sans consentement demandé, appui violent sur le ventre pour tenter de faire sortir le bébé et d’autres choses que je n’ai pas eu envie de lire. Enfin un truc bien gore.

Et je suis stupéfaite de la réaction de certaines femmes. D’une violence que je ne comprends pas...

Quels types de propos violents, par exemple? 

Parce que oui, la machinerie obstétricale peut être violente, plus par "routine" que par malveillance. 

Quand j'étais enceinte de ma 2e, en salle d'attente avec un ventre gros comme un ballon j'entends mon obstétricien crier à son collègue : "punaise je viens de faire une césa, même pas besoin de passer l'aspirateur là-dedans, plus du tout de liquide!" bah j'ai blêmi, j'ai trouvé ça violent. Sauf qu'il venait de sauver 2 vies, donc on peut pardonner les propos peu délicats.

A l'accouchement c'est la sage femme qui s'est occupée de moi (adorable mais sans toutes les compétences techniques) qui a dû appeler le même obstétricien car le coeur commençait à ralentir etc. il a débarqué avec ses gros sabots, pas délicat pour 2 ronds, il m'a fait mal mais encore une fois, je lui dis merci.

Dans l'ensemble je ne les ai jamais trouvés très délicats (homme ou femme) mais ils ne sont pas vraiment là pour ça, ce sont des médecins et ils voient le côté pratique environ 100x dans la journée. Pour plus de douceur il faut se fier à une sage femme, en croisant les doigts pour que tout se passe bien.

Pour finir il faudrait évidemment expliquer ce qu'on compte/doit faire mais le temps ne permet pas toujours de demander l'avis de la dame.

il y a 6 minutes, Out of Paprika a dit :

Quels types de propos violents, par exemple? 

Parce que oui, la machinerie obstétricale peut être violente, plus par "routine" que par malveillance. 

Quand j'étais enceinte de ma 2e, en salle d'attente avec un ventre gros comme un ballon j'entends mon obstétricien crier à son collègue : "punaise je viens de faire une césa, même pas besoin de passer l'aspirateur là-dedans, plus du tout de liquide!" bah j'ai blêmi, j'ai trouvé ça violent. Sauf qu'il venait de sauver 2 vies, donc on peut pardonner les propos peu délicats.

A l'accouchement c'est la sage femme qui s'est occupée de moi (adorable mais sans toutes les compétences techniques) qui a dû appeler le même obstétricien car le coeur commençait à ralentir etc. il a débarqué avec ses gros sabots, pas délicat pour 2 ronds, il m'a fait mal mais encore une fois, je lui dis merci.

Dans l'ensemble je ne les ai jamais trouvés très délicats (homme ou femme) mais ils ne sont pas vraiment là pour ça, ce sont des médecins et ils voient le côté pratique environ 100x dans la journée. Pour plus de douceur il faut se fier à une sage femme, en croisant les doigts pour que tout se passe bien.

Pour finir il faudrait évidemment expliquer ce qu'on compte/doit faire mais le temps ne permet pas toujours de demander l'avis de la dame.

Je faisais allusion aux propos des femmes  qui réagissaient sur les réseaux sociaux, au témoignage de cette jeune femme. 

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Je faisais allusion aux propos des femmes  qui réagissaient sur les réseaux sociaux, au témoignage de cette jeune femme. 

Oui j'avais compris, mais sais-tu pourquoi? Sachant que les réseaux sont souvent des défouloirs, c'est clair.

Sinon pour les histoires d'examen du col :

La grande majorité des cancers du col de l’utérus sont HPV-induits (>90%), et donc « sexuellement transmissibles ». Même si la médiane de l’âge du premier rapport reste stable chez les filles depuis une dizaine d’année, on observe cependant une modification des comportements sexuels avec un pourcentage de premiers rapports avant 15 ans ayant doublé lors de la dernière décennie (aujourd’hui estimé à plus de 14% des filles) [2]. Cela, associé à une prévalence maximale de l’HPV entre 22 et 23 ans, pourrait faire craindre à certains une augmentation de l’incidence du cancer du col avant 25 ans [3]. De plus, ces derniers, même si extrêmement rares, existent effectivement, mais ne concernent jamais plus de 4 cas pour 10000 femmes  et par an dans aucun pays du monde [4].
https://www.gyneco-online.com/gynecologie/debuter-le-depistage-du-cancer-du-col-avant-25-ans-pour-ou-contre

Quand on sait qu'un simple examen permet d'éviter le pire, c'est quand même très bête de s'en priver.

il y a 1 minute, Out of Paprika a dit :

Oui j'avais compris, mais sais-tu pourquoi? Sachant que les réseaux sont souvent des défouloirs, c'est clair.

Non je ne sais pas pourquoi et je ne comprends pas cette violence. Parce qu’il y a des cons(nes) partout ?

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

Non je ne sais pas pourquoi et je ne comprends pas cette violence. Parce qu’il y a des cons(nes) partout ?

Oui ça on sait, mais j'aurais voulu comprendre le "thème" des réponses violentes. Enfin si ça t'est resté.

il y a 1 minute, Out of Paprika a dit :

Oui ça on sait, mais j'aurais voulu comprendre le "thème" des réponses violentes. Enfin si ça t'est resté.

Si je retrouve, je mets.

C’était sur Facebook et je n’ai pas gardé le lien

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Si je retrouve, je mets.

C’était sur Facebook et je n’ai pas gardé le lien

Ok mais je vois bien le genre, merci.

La hargne vient souvent du fait qu'on est quand même plus souvent reconnaissant envers le corps médical que critique, parce qu'il est toujours plus simple de retenir le négatif, comme pour n'importe quel autre sujet. Ce qui ne justifie en rien d'être violente, je suis d'accord, il faut savoir doser (de mon côté j'essaie mais c'est pas toujours simple).

Il y a 5 heures, Sittelle a dit :

Les occasions suivantes j’ai demandé à ne plus être avec cette infirmière.

bonjour, 

vous savez, il y a des jours avec et des jours sans !

un jour, vous avez l'impression que vous pouvez faire n'importe quoi et le lendemain c'est le : je pique comme un pied aujourd'hui !

la prise de sang, ce n'est pas une science exacte et vous pouvez facilement ... faire un raté .

il ne faut par-contre jamais s'obstiner et si vous loupez une fois , puis une seconde , ne pas hésiter à passer la main ( cela arrive ) .

il existe des machines capables de faire des PS ( si, si , j'en ai vu en action ) mais la probabilité de réussite est de 8 sur 10 et croyez moi, si vous ne réussissez que 8 PS sur 10 c'est ... que vous n'êtes pas très "doués" !

par contre , je n'ai jamais aimé annoncer : attention , je pique car je trouve que c'est l'effet contraire , un peu comme dans une IM ( fesse par exemple ) .

généralement la personne se contracte et c'est plus douloureux ( j'ai quelques anecdotes sur la chose ) .

à chacun sa "technique" ...

vous avez raison de demander à ne plus passer avec cette personne mais sachez qu'il y a aussi l'inverse : un ou une infirmier qui ne veut pas s'occuper de quelqu'un ( le courant ne passe pas et la confiance n'est pas au rendez-vous et sans cette confiance , pas de bon travail ) .

après 43 ans d’exercice, j'avais encore toujours une "petite appréhension" avant chaque PS même si la pratique était là ... une appréhension qui s'envolait dès que je voyais le bras ( ou autre lieu , j'ai piqué sur le pied, la jambe, la main , le poignet, l'épaule ( oui, l'épaule ! ) ... debout, assis , allongé, dans des positions scabreuses  ( une fois chez quelqu'un , c'était à la fenêtre à la lumière du lampadaire de la rue , une autre fois, carrément assis sur le bras d'une personne âgée qui ne voulait pas se laisser faire, une autre fois , il a fallu parlementer un bon bout de temps  et avec les enfants, c'est toujours délicat ( ne pas traumatiser ) ... ! ) et pour les IM, j'en ai vu des fesses , des dos, des haut de bars !!!!!

et je ne parle du reste du travail car le métier, ce n'est pas que cela ( loin de là même ) .

pour les cathé , c'est plus "classique" coté technique , il y a juste la taille qui change mais cela peut poser des problèmes quelques fois ( une infirmière au CHR s'y est repris à 3 fois pour m'en poser 1 et pourtant ... j'ai des veines pas si mauvaises ! ).

alors ... il faut un peu d'indulgence , c'est un métier qui réclame de la pratique et quelques fois ... un peu de "chance" ( ou de science ) .

mon "record" : 11 fois ! ( c'était un drogué et l'infirmière l'avait piqué 7 fois sans rien obtenir , moi je n'ai eu besoin "que" de 4 fois . Je l'ai piqué à plusieurs reprise mais jamais moins de 2 fois et une fois où j'étais vraiment à la peine , je suis allé voir le médecin en lui proposant de lui poser un cathé , sa réponse a été nette : vous n'y pensez pas ... il s'en servirait pour se shooter  et en partant , je me suis dit : que tu es bête , laisse le se piquer et toi viens mettre ta seringue ensuite  ( ils n'hésitent pas à piquer et repiquer et farfouiller si besoin ) !

bonne journée.

P.-S : sur le pied, ce que "j'aime bien" ce sont les varices ( je sais ce n'est pas orthodoxe ) mais ça évite bien des soucis mais demande quand même à faire attention à ce que l'on fait ( cela doit rester de l'ordre de l'exception ) .

Il y a 19 heures, pic et repic a dit :

bonjour, 

vous savez, il y a des jours avec et des jours sans !

un jour, vous avez l'impression que vous pouvez faire n'importe quoi et le lendemain c'est le : je pique comme un pied aujourd'hui !

la prise de sang, ce n'est pas une science exacte et vous pouvez facilement ... faire un raté .

il ne faut par-contre jamais s'obstiner et si vous loupez une fois , puis une seconde , ne pas hésiter à passer la main ( cela arrive ) .

il existe des machines capables de faire des PS ( si, si , j'en ai vu en action ) mais la probabilité de réussite est de 8 sur 10 et croyez moi, si vous ne réussissez que 8 PS sur 10 c'est ... que vous n'êtes pas très "doués" !

par contre , je n'ai jamais aimé annoncer : attention , je pique car je trouve que c'est l'effet contraire , un peu comme dans une IM ( fesse par exemple ) .

généralement la personne se contracte et c'est plus douloureux ( j'ai quelques anecdotes sur la chose ) .

à chacun sa "technique" ...

vous avez raison de demander à ne plus passer avec cette personne mais sachez qu'il y a aussi l'inverse : un ou une infirmier qui ne veut pas s'occuper de quelqu'un ( le courant ne passe pas et la confiance n'est pas au rendez-vous et sans cette confiance , pas de bon travail ) .

après 43 ans d’exercice, j'avais encore toujours une "petite appréhension" avant chaque PS même si la pratique était là ... une appréhension qui s'envolait dès que je voyais le bras ( ou autre lieu , j'ai piqué sur le pied, la jambe, la main , le poignet, l'épaule ( oui, l'épaule ! ) ... debout, assis , allongé, dans des positions scabreuses  ( une fois chez quelqu'un , c'était à la fenêtre à la lumière du lampadaire de la rue , une autre fois, carrément assis sur le bras d'une personne âgée qui ne voulait pas se laisser faire, une autre fois , il a fallu parlementer un bon bout de temps  et avec les enfants, c'est toujours délicat ( ne pas traumatiser ) ... ! ) et pour les IM, j'en ai vu des fesses , des dos, des haut de bars !!!!!

et je ne parle du reste du travail car le métier, ce n'est pas que cela ( loin de là même ) .

pour les cathé , c'est plus "classique" coté technique , il y a juste la taille qui change mais cela peut poser des problèmes quelques fois ( une infirmière au CHR s'y est repris à 3 fois pour m'en poser 1 et pourtant ... j'ai des veines pas si mauvaises ! ).

alors ... il faut un peu d'indulgence , c'est un métier qui réclame de la pratique et quelques fois ... un peu de "chance" ( ou de science ) .

mon "record" : 11 fois ! ( c'était un drogué et l'infirmière l'avait piqué 7 fois sans rien obtenir , moi je n'ai eu besoin "que" de 4 fois . Je l'ai piqué à plusieurs reprise mais jamais moins de 2 fois et une fois où j'étais vraiment à la peine , je suis allé voir le médecin en lui proposant de lui poser un cathé , sa réponse a été nette : vous n'y pensez pas ... il s'en servirait pour se shooter  et en partant , je me suis dit : que tu es bête , laisse le se piquer et toi viens mettre ta seringue ensuite  ( ils n'hésitent pas à piquer et repiquer et farfouiller si besoin ) !

bonne journée.

P.-S : sur le pied, ce que "j'aime bien" ce sont les varices ( je sais ce n'est pas orthodoxe ) mais ça évite bien des soucis mais demande quand même à faire attention à ce que l'on fait ( cela doit rester de l'ordre de l'exception ) .

En fait vous ne m’ avez pas comprit . 

Mal piquer c’est ok ça arrive .

Ce que je voulais souligner c’est le fait de mettre des pansement avions, train, camion pompier à un adulte sous ptetexte qu’il est autiste.  

Je trouve le geste maladroit, voir carrement déplacé . 

Il y a 23 heures, querida13 a dit :

On le considère comme un mal nécessaire mais on est tellement focalisée sur la délivrance et sur la rencontre avec son bébé, qu'on finit par tourner la page!

Voilà c'est cela, on ne se dit pas sur le moment que ce que l'on subit n'est peut-être pas bien normal.

Il y a 9 heures, Atipique a dit :

La dernière fois que j'ai du voir un gynéco, il se trouve que c'était une femme. Je l'ai trouvée bien plus délicate et consciente de la douleur qu'on peut ressentir. Et pour cause, elle aussi est passée par là.

Ah moi c'est tout l'inverse, j'ai trouvé qu'un gynécologue homme était beaucoup plus délicat, en tout cas d'après ma propre expérience.

il y a 2 minutes, Passiflore a dit :

 

Ah moi c'est tout l'inverse, j'ai trouvé qu'un gynécologue homme était beaucoup plus délicat, en tout cas d'après ma propre expérience.

Moi aussi

Il y a 12 heures, Sittelle a dit :

Je trouve le geste maladroit, voir carrement déplacé . 

bonjour,

effectivement , j'avais mal interprété votre réponse et je suis d'accord avec vous ... un ( ou une ) autiste n'est pas un enfant mais croyez moi sur parole, ce n'est jamais facile de leur faire une prise de sang , ou autre chose , même la prise d'un cachet pouvait être compliqué ( j'ai eu une patiente jeune autiste et rien n'était facile , il fallait prendre son temps ) .

et pas que les autistes , les jeunes trisomiques sont quelques fois d'un abord complexe .

bonne journée.

Le 29/10/2025 à 21:21, Neopilina a dit :

Comme on peut le voir ci-dessus, ces comportements ne sont pas spécifiques à l'obstétrique et à la gynécologie. Pour le traitement de la douleur à l'hôpital, il y a eu des pays " sous-développés " en avance sur l'hôpital français. Des médecins étrangers étaient stupéfaits de voir comment ça se passait en France.

Tu as des exemples? Je ne mets pas en doute, mais j'ai toujours entendu que la gestion de la douleur était une priorité, en France en tout cas. Notamment de la part de médecins/infirmiers. Ensuite il ne faut pas confondre avec des examens naturellement douloureux, qu'il faut supporter quelques minutes sans autre conséquence. Par exemple le dentiste est désagréable pour tout le monde, s'il est professionnel tu ne dois pas ressentir une douleur insupportable non plus.

Pour revenir à l'obstétrique, il n'est pas toujours simple de tomber sur le bon endroit ou les bonnes personnes, surtout lorsque tu te retrouves au milieu d'un désert médical. Il faut quand même retenir que ça se passe très bien dans la majorité des cas, même des cas graves, et heureusement. Lorsqu'on pense qu'il y a eu abus et négligence il faut pouvoir le signaler, sans pour autant en attendre trop : c'est le pot de fer contre le pot de terre, ce n'est un secret pour personne. Par contre à force de signalements on peut rompre le tabous. La clinique où j'ai accouché de ma grande a fini par fermer pour ce type de raisons. J'y avais aussi eu quelques soucis de non respect (j'avais 19a, je n'osais rien dire) mais ils ont été négligents avec la péridurale à l'époque, qui n'était pas aussi démocratisée.

Il y a 3 heures, Out of Paprika a dit :

Je ne mets pas en doute, mais j'ai toujours entendu que la gestion de la douleur était une priorité, en France en tout cas.

L'hôpital français est l'un des pays où la prise en charge intégrée de la douleur a été la plus tardive. Un exemple avec la douleur chez l'enfant (!) : https://www.larevuedupraticien.fr/article/histoire-de-la-prise-en-charge-de-la-douleur-de-lenfant

Il n'y a rien avant 1975, 1980, et ça prendra un temps fou. C'est un fait culturel reconnu. Nos toubibs étaient des brutes, et y'a de beaux restes. Hommes et femmes, hein, ils fréquentent la même fac. Mourir d'un cancer en 1960 en France, c'est un calvaire indicible. 

il y a 12 minutes, Neopilina a dit :

L'hôpital français est l'un des pays où la prise en charge intégrée de la douleur a été la plus tardive. Un exemple avec la douleur chez l'enfant (!) : https://www.larevuedupraticien.fr/article/histoire-de-la-prise-en-charge-de-la-douleur-de-lenfant

Il n'y a rien avant 1975, 1980, et ça prendra un temps fou. C'est un fait culturel reconnu. Nos toubibs étaient des brutes, et y'a de beaux restes. Hommes et femmes, hein, ils fréquentent la même fac. Mourir d'un cancer en 1960 en France, c'est un calvaire indicible. 

D'accord, mais on est en 2025? je pense qu'aux époques que tu cites, mourir d'un cancer était un calvaire indicible un peu partout dans le monde.

il y a 10 minutes, Out of Paprika a dit :

je pense qu'aux époques que tu cites, mourir d'un cancer était un calvaire indicible un peu partout dans le monde.

Désolé mais non. La médecine française est l'une des meilleures du monde depuis longtemps. Mais là on parle de la douleur, un symptôme, et de comportements, d'atitude. En matière de prise en charge de la douleur, d'usage d'antalgiques, valait mieux mourir d'un cancer en 1960 en Angleterre, en Allemagne, etc. La prise en charge de la douleur de façon systématique à la fac, à l'hôpital, en infirmerie, etc., ça commence dans les années 1990. Je cite : 

La loi du 4 mars 2002 consacrait le soulagement de la douleur comme « droit fondamental de toute personne », et celle de 2004 érigeait la lutte contre la douleur en priorité de santé publique. Dans ce même mouvement, 3 plans nationaux ont permis d'améliorer considérablement la prise en charge des patients douloureux.

il y a 11 minutes, Neopilina a dit :

a loi du 4 mars 2002 consacrait le soulagement de la douleur comme « droit fondamental de toute personne », et celle de 2004 érigeait la lutte contre la douleur en priorité de santé publique. Dans ce même mouvement, 3 plans nationaux ont permis d'améliorer considérablement la prise en charge des patients douloureux.

Et donc la gestion de la douleur est considérée comme un droit fondamental, c'est ce que j'ai écrit, non? je ne parlais pas des années 60....