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Sept policiers menteurs écopent de prison ferme Vendredi 10 Décembre - 14:52 Sept policiers jugés à Bobigny (Seine-Saint-Denis) ont été condamnés vendredi à une peine de prison allant de six mois et un an de prison ferme. Ils étaient poursuivis pour avoir menti et accusé à tort un homme, afin d'expliquer une course-poursuite au cours de laquelle l'un d'eux avait été blessé. A l'issue de ses réquisitions en novembre dernier, le procureur de la République avait requis trois à six mois de prison avec sursis. La sanction prononcée par le tribunal va donc bien au-delà des réquisitions, au cours desquelles le représentant du ministère public était allé jusqu'à comparer les policiers dans cette affaire à la Gestapo. Des affirmations qui avaient provoqué un tollé le lendemain. La ministre de la Justice avait immédiatement diligenté une enquête administrative en vue de sanctions disciplinaires à l'adresse du magistrat. La peine prononcée par le tribunal de Bobigny sera inscrite au casier judiciaire pour cinq d'entre eux, ce qui entraîne une radiation automatique de la police. A la barre, trois policiers ont reconnu avoir menti. Suite de l'article... Source: leparisien.fr
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Sortir avec une prostituée, c'est dangereux
Grenouille Verte a posté un sujet dans Amour et Séduction
Prison pour le petit proxénète Mercredi 10 Août - 01:24 La jeune femme âgée de 19 ans, enceinte jusqu'aux yeux, aura tout fait pour éviter la prison à son proxénète. Mais, vers 21 h hier soir, ce sont bien cinq mois de prison qui tombent. Misère, misère... « Je suis un bon garçon, très gentil », résume Gilles Savary, un Roubaisien de 19 ans. Il devait effectuer bientôt un travail d'intérêt général à la piscine de Roubaix, dit-il, et plusieurs condamnations, figurant à son casier, témoignent d'ennuis judiciaires. Mais pas encore d'incarcération et une vie où le soleil n'a guère brillé sur le prévenu : toute une enfance et une adolescence passée à errer de foyer en foyer. Un jour, il rencontre Nathalie (prénom d'emprunt). La jeune femme, enceinte actuellement de sept mois, se prostitue. « Je me prostituais bien avant de le connaître avenue du Peuple belge (à Lille, ndlr). Au début, il ne le savait même pas », affirme-t-elle en pleurant. Le prévenu aurait même tenté, selon elle, de la dissuader. « Je lui disais que ce n'était pas bon pour elle et pour notre bébé », insiste-t-il. La présidente Marie Bunot-Rouillard : « On ne vous reproche pas de l'avoir mise sur le trottoir, de l'avoir incitée à se prostituer. On vous reproche d'avoir facilité sa prostitution, on vous reproche d'avoir profité aussi des revenus de la prostitution. » La jeune péripatéticienne, qui refuse de se considérer comme une victime, minimise : « Je lui ai payé de temps en temps le restaurant ou l'hôtel, il était à la rue. » Me Patrick Lambert, en défense, l'affirme: « Selon les enquêteurs, il s'agit peut-être de 80 E au maximum partagés par jour. » Pour le procureur Christophe Gourlaouen, les faits restent très graves : « Depuis cinq mois, il dit avoir cherché du travail et il n'a pas trouvé un seul jour d'intérim ! Comment un futur père peut-il laisser sa compagne se prostituer en n'essayant jamais sérieusement de trouver des revenus pour le couple ? Or elle est particulièrement vulnérable en raison de son état de grossesse. » Suite de l'article... Source: Nord Eclair- 9 réponses
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Bordeaux : prison ferme requise pour avoir visionné des images zoophiles et pédopornographiques 10 juin 2011 12h15 En 2007, les enquêteurs avaient saisi 24000 images téléchargées et 300 vidéos Trois ans dont une partie avec sursis ont été requis ce matin par le vice procureur Jean-Louis Rey, à l'encontre d' un quadragénaire girondin qui avait été surpris par son compagnon, en 2007, alcoolisé et en pleine masturbation devant des images zoophiles et pédopornographiques. [ Lire la suite de l'Article.. ] Source: Sud Ouest
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À l'heure où un système carcéral couteux et inefficace fait du Garde des Sceaux le grand formateur des apprentis djihadistes, et où l'industrie nationale achève de se dépecer sous l'ombre d'une dette étatique sustentée, n'y aurait-il pas d'une pierre deux coups à faire en rétablissant le travail forcé des prisonniers dans les bagnes ? ¤ Les arguments utilitaristes, notamment économiques, peuvent convaincre mais ne sont pas les principaux atouts. L'utilitarisme est un concept issu de l'idéologie des Lumières auquel je n'adhère pas comme chrétien ; ce qui fait la qualité du bagne est pour moi et avant toute chose la rédemption par le labeur, ce labeur n'est pas une caricature (il n'y a plus de galère à faire ramer ni de cailloux à casser à la pioche), il peut se décliner sous de multiples formes adaptées aux circonstances et à l'époque. Celui qui argumente le mieux en faveur des vertus du bagne se nomme Dostoievski (« Je n'ai pas perdu mon temps : j'ai appris à bien connaître le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent (...) J'étais coupable, j'en ai pleine conscience... J'ai été condamné légalement et en bonne justice... Ma longue expérience, pénible, douloureuse, m'a rendu ma lucidité... C'est ma croix, je l'ai méritée... Le bagne m'a beaucoup pris et beaucoup inculqué. »), l'écrivain russe l'ayant expérimenté pendant quatre ans. Les carnets de la maison morte sont un texte édifiant à ce sujet. À son entrée au bagne, l’infortuné se replie sur lui-même : du monde ignoble où il est précipité, il n’attend que désespoir et scandale. Mais peu à peu, il regarde dans son âme et dans les âmes qui l’entourent, avec la minutieuse patience d’un prisonnier. Il s’aperçoit que la fatigue physique est saine, que la souffrance morale est salutaire, qu’elle fait germer en lui d’humbles petites fleurs aux bons parfums, la semence de vertu qui ne levait pas au temps du bonheur. Pour un assassin qui possède une conscience rétrospective, le bagne représente une libération, une rédemption par le labeur très bien décrite dans Crime et Châtiment. Ce n'est pas en consumant leurs jours devant la télévision et la playstation, à suspendre le temps par le divertissement, que les prisonniers risquent d'apprendre quoi que ce soit du châtiment. La rédemption par le labeur est une chance pour celui qui a quelque chose à se faire pardonner, pas seulement à la société et aux victimes, mais aussi à lui-même. C'est difficile à concevoir pour beaucoup, dans une société du divertissement où la pire des sanctions semble être celle du travail et de la privation d'écran.
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Oui voilà. Mon lien C'est un grand crime cela Que dire ? Pitoyable société qui condamne un déposeur de quelques lardons et laisse impunies toutes les délinquances Je ris (jaune)
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Bonjour/soir Dans la nuit du 11 juin 1962, trois détenus de la prison d'Alcatraz : Frank L. Morris, et les deux frères John et Clarence Anglin, parviennent à s'évader selon un plan des plus ingénieux et audacieux. L'évènement a donné lieu à un film célèbre : L'évadé d'Alcatraz (1979) de Don Siegel, avec Clint Eastwood dans le rôle de Frank Morris. Qu'est-il advenu de ces trois hommes ? Nous n'en savons rien. Peut-être ont-ils péri dans les eaux glacées de la baie, peut-être... Une ultime évasion se produisit au mois de décembre de cette même année 1962, mais qui se solda par un échec. Alcatraz fut fermé l'année suivante, en 1963. Alcatraz Ancien bastion de défense, la forteresse d'Alcatraz, réputée imprenable, fut transformée en prison militaire avant de devenir une prison civile. C'est au temps de la prohibition et des gangsters qu'elle devint la résidence des pires criminels de la société américaine, tels ceux de la trempe du terrible Al Capone. Conçu sur une île au milieu des eaux glacées, agitées par des courants mortellement puissants pour déjouer toute tentative d'évasion, avec un périmètre de 200 mètres interdit à la navigation, des murs hérissés de barbelés, des miradors, des gardes doublement armés postés partout, l'établissement méritait bien son surnom de Rocher. Nul n'était donc sensé pouvoir s'en échapper vivant. Il y eut bien des tentatives d'évasion pourtant. En 1946, une mutinerie éclata. Les détenus, excédés par leurs conditions de détention, tentèrent une évasion collective, ce qui donna lieu à trois jours ininterrompus de mitraillage infernal entre eux et leurs gardiens. Ces derniers finirent par avoir raison des révoltés. Entre 1934 et 1963, 36 prisonniers en tout essaient de prendre la clef des champs. 7 sont impitoyablement tués par des gardes, 2 périssent noyés, 5 sont portés disparus, présumés noyés eux-aussi. Tous les autres ont été repris. Conditions de détention Ce sont des conditions d'une dureté hors du commun. Les gardiens sont nombreux : il y en a un pour trois incarcérés, et qui font des rondes incessantes. Chaque détenu occupe seul une cellule de 2 mètres sur 3, où il est enfermé en tout 14 h sur 24. Il existe également des cellules de mitard, glaciales et privées de lumière, où les prisonniers punis doivent demeurer nus et sont sous-alimentés. Bon nombre parmi les criminels les plus endurcis sortirent brisés, totalement détruits de ce pénitencier. Ce fut le cas d'Al Capone, qui n'était plus que le Rital-au-Balai à l'intérieur de ses murs. 1962 : quatre détenus relèvent le défi de l'évasion Dans les années soixante, Alan West, les frères Clarence et John Anglin, ainsi que Frank Morris, tous condamnés notamment pour des vols à main armée, sympathisent et se lancent un défi. Leur objectif : se faire la belle d'une prison dont nul n'est sensé pouvoir s'échapper. Ils relèvent un point faible fondamental de l'établissement : un vieux ventilo qui n'est pas scellé comme les autres sur le toit, et parviennent à mettre au point un plan des plus risqués, mais également des plus ingénieux, qui va leur demander des mois de préparation minutieuse et de patience. Ils bénéficient pour cela de la coopération des autres détenus, en particulier ceux travaillant aux cuisines, à la blanchisserie, à l'atelier et au salon de coiffure. À l'aide de cuillères volées à la cantine et aiguisées, il râclent quotidiennement le plâtre et la brique autour des trous de ventilation de leur cellule. Pour masquer leur travail, ils conçoivent de fausses grilles à l'aide de classeurs et de boîtes à cigares, pour remplacer celles déteriorées, de façon à ce que les gardiens ne s'aperçoivent de rien au cours de leurs fréquentes rondes. Et ils ne s'aperçoivent de rien ! Leur trou devenu assez large, ils peuvent atteindre le couloir passant derrière, s'y faufiler et s'aménager un véritable atelier au-dessus des étages occupés par les cellules. Là, ils se rejoignent en secret pour concevoir des gilets de sauvetage et un canot gonflable à l'aide d'imperméables récupérés (il leur en faudra une cinquantaine rien que pour le canot) ainsi que de fausses têtes, modelées sur une armature de fils de fer, avec une pâte à base de plâtre à mouler et de savon. Les cheveux sont de vrais cheveux récupérés chez le coiffeur du pénitencier. Une fois peintes à l'aide de peinture couleur chair et de maquillage, ces têtes peuvent être prises pour de réelles une fois glissées sous une couverture. Telle est donc le principal subterfuge de ces larrons pour donner le change, au départ pendant les rondes des gardiens, au final quand ils s'évadent pour de bon. Le 11 juin 1962, c'est le jour J. Les frères Anglin et Frank Morris quittent leur cellule. Ils sont contraints d'abandonner Alan West sur place, celui-ci ne parvenant pas à passer par son trou. Discrètement, les trois hommes gagnent le conduit d'aération derrière le mur de leur cellule, se hissent à travers une lucarne sur le toit, qu'ils longent à pas de loup, sautent en bas d'un mur non surveillé, passent devant le local électrique de la prison, et enfin courent jusqu'au bord de la mer. Là, ils gonflent leur radeau de fortune rapidement grâce à un concertina transformé en soufflet. Puis ils s'embarquent dedans. Au petit matin du 12 juin, pas moyen de tirer du lit les trois détenus. Panique devant la cellule de Frank Morris : sa tête roule par terre à l'instant où le gardien tente de le réveiller. Il s'affole : "Bon sang, on lui a coupé la tête !". Il faut se rendre à l'évidence : trois détenus se sont enfuis d'Alcatraz, et de quelle façon ! L'alerte retentit. Les autres prisonniers sont contents pour leurs compagnons évadés. Pour eux, cela signifie qu'on vient de porter un grand coup à leur enfer. Les recherches commencent. Elles seront interminables, et ne mèneront à rien. Tout ce qu'il reste des trois recherchés sont une pagaie, deux gilets de sauvetage, et une pochette en caoutchouc contenant des photos et des notes sur une plage d'Angel Island, située à environ trois kilomètres du Rocher. Officiellement du moins. Ce qui laisse à penser qu'ils se sont noyés. Plus tard, un cargo signalera d'ailleurs avoir repéré un corps flottant dans la baie. L'habillement du cadavre pourrait correspondre à celui d'un détenu d'Alcatraz, bien que dans un état très dégradé. Plus de cinquante ans ont passé depuis, mais le mystère de cette disparition est toujours d'actualité. Les trois évadés d'Alcatraz sont toujours recherchés. Non plus par le FBI, qui s'est dessaisi de cette enquête non résolue près de vingt ans après, en 1979, mais par les US Marshals, une agence fédérale à qui l'on confie les fugitifs, et qui s'avère en général très efficace pour ce faire. Concernant les évadés d'Alcatraz, les enquêteurs ne croient pas qu'ils auraient pu survivre et rentrer dans le droit chemin, ne voyant en eux que d'impénitents criminels. Et vu qu'officiellement, aucune effraction n'aurait été relevée après leur évasion... Il est vrai qu'un squelette a été découvert huit mois après l'évènement, en 1963, sur une rive externe à la baie. Inhumé dans un cimetière local sous le nom de John Bones Doe. Une partie de ses restes a été récemment exhumée afin de procéder à une analyse ADN. On pensait en effet qu'il pouvait s'agir des ossements de Frank Morris. L'analyse en question a démontré le contraire. En outre, dans les archives du FBI, on a retrouvé un document faisant mention de la découverte d'un radeau sur Angel Island. D'autres documents, des mémorandum gouvernementaux, mentionnent la même chose, avec en plus des traces de pas relevés à côté, et le vol par trois hommes d'une Chevrolet bleue sur une route non loin de là, sur le continent, à l'aube du 12 juin. Suite à leur évasion, les frères Anglin auraient été aperçus à l'enterrement d'un membre de leur famille, grimés en femme, et aussi travaillant sur le terrain d'un parent. Quant à Frank Morris, plusieurs sources nous apprennent qu'il est bien vivant, âgé actuellement de 87 ans ! (voir) Il vivrait en Irlande, aurait changé de nom : il s'appelerait désormais Padraic Welsh. Frank Morris is alive, yeah ! Il semblerait que certains éléments aient été volontairement passés sous silence par la police, peut-être parce que l'invincibilité du Rocher venait d'être mise à mal à tout jamais par le génie des trois évadés. Leur affaire n'est toujours pas classée à ce jour, et ils resteront tous trois en état d'arrestation tant qu'ils n'auront pas atteint l'âge de cent ans. http://youtu.be/-kXR2hlyn60 Ci-dessous : le beau Frank Morris. Condamné lourdement pour braquages et autres vols à main armée (bien que n'ayant jamais tué personne), il était surnommé le Roi de l'Evasion à son arrivée à Alcatraz, pour ses incarcérations suivies d'évasions très audacieuses. Doté d'un quotient intellectuel de 133 (comme seulement 3% de la population), il eut une enfance difficile. Orphelin, balloté de famille d'accueil en famille d'accueil, il se retrouva très jeune en maison de redressement, et devint un délinquant chronique.
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Voila je sort de prison, j'ai fait le con, j'ai payer (4 mois) aujourdui j'ai la haine, je me suis fait traiter comme un chien Gaf ils sont entrain de fabriqué les gros méchant de demain une vidéo la dessus, assez fendar, qu y me plais bien: www.youtube.com/watch?v=T2h3zDLOCkQ la prison s'est pas populair on cache ce qui se passe la bas envi kon arrete de se voilé la face..
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Six ans de prison pour avoir fait l'amour sur la plage? Jeudi 10 Juillet - 19:09 Une femme d'affaires britannique surprise en plein ébat sur une plage de Dubaï encourt une longue peine de prison. Michelle Palmer, 30 ans, a été arrêtée vendredi passé par la police. Un agent l'a surprise dans «une attitude non autorisée avec un homme». Elle était en plein ébats sexuels sur la plage de Jumeirah à Dubaï. D'après les médias du Royaume-Uni, la femme risquerait jusqu'à six ans de prison ferme. Les chefs d'inculpation seraient les suivants: rapport sexuel hors du mariage, outrage à la pudeur, état d'ivresse en public et opposition à un officier public. Licenciée suite à l'affaire La jeune femme travaillait dans une maison d'édition à Dubaï. Cette dernière n'a pas tardé à la licencier, sans même attendre le jugement. Dans un communiqué, la société fait savoir que: «Dubaï et les émirats Arabes Unis offrent un accueil tolérant, sûr et libéral pour de nombreux travailleurs. Suite à cet incident qui viole les valeurs morales et culturelles du pays, la société a décidé de cesser sa collaboration avec Mme Palmer». Une amie a essayé de la défendre. Elle l'a décrite comme «une jeune femme gentille et plaisante qui avait juste fait une grosse bêtise». Suite de l'article... Source: 20minutes.ch
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Faut-il supprimer la prison ? La prison poursuit deux buts concurrents et difficilement conciliables. Elle permet d'un côté de retrancher de la Société des individus ayant suffisamment bravé la loi pour être considérés comme indésirable. Elle a pour but, d'un autre côté, d'obliger les prisonniers à prendre conscience de leurs erreurs et à s'amender, afin de se réinsérer dans la Société. Considérez-vous que l'enfermement, parfois pendant des décennies, d'un individu permet de remplir ce but ou au contraire le rend-il pire qu'il n'y est entré ? Pour ma part, je considère qu'à l'exception de la préventive qui permet, dans certains cas, de s'assurer qu'un prévenu comparaitra bien devant la cour, la prison ne remplit pas le but qu'elle s'est fixée. Il serait donc pertinent d'abandonner cette forme de peine au profit d'autres condamnations comme, par exemple, les travaux d'intérêt général.