

particule
Nouveau-
Compteur de contenus
2 -
Inscription
-
Dernière visite
À propos de particule
- Date de naissance 09/06/1960
particule's Achievements
-
Ia... Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique Introduction La physique quantique révèle des phénomènes qui échappent aux cadres classiques : superposition, intrication, absence de trajectoire définie… Ce texte propose une vision où les corrélations quantiques constituent la structure fondamentale du réel, plutôt que les particules ou les champs. 1. L’intrication comme fondement L’intrication quantique n’est pas une propriété secondaire entre objets préexistants, mais un réseau primaire de relations : Les "objets" comme les photons ou les électrons émergent de ce tissu de corrélations. Ce sont les relations qui définissent la structure du système, non des entités localisées. L’univers pourrait être décrit sans recourir à des éléments individuels, mais par la cohérence relationnelle. 2. Relecture des fentes de Young L’expérience classique des deux fentes est revisitée : L’interférence ne résulte pas du passage d’un photon par deux trajectoires, mais d’une superposition corrélée entre l’émetteur, les chemins et le détecteur. Le système complet forme un état global, dont la dynamique est définie par ses connexions, pas par des trajectoires locales. 3. Lumière et cohérence globale La lumière est réinterprétée comme un phénomène émergent d’un champ corrélé : Un photon détecté n’est pas une entité en transit, mais la manifestation locale d’un état quantique globalement structuré. Les phénomènes non-locaux, souvent vus comme paradoxaux, deviennent naturels dans ce cadre fondé sur des corrélations étendues. Conclusion Cette approche propose de refonder notre compréhension de la physique quantique sur une base strictement relationnelle. Elle dépasse les modèles mécanistes classiques pour offrir une vision cohérente et unifiée, où les corrélations quantiques sont le moteur des phénomènes physiques. Une telle théorie ouvre la voie à des perspectives nouvelles en matière de modélisation, d’expérimentation et d’interprétation.
-
Bonjour, je ne suis pas physicien mais juste curieux. Et le souhaite juste partager un idée et faire une expérience de pensée. On nous dit que la lumière est constituée de photons. La lumière étant une partie du spectres des fréquences des ondes électromagnétiques, on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x ! Et si la lumière (et les ondes en générale) n'était pas constituée de photons ou de choses impalpables mais était le résultat d'une réaction à une intrication quantique ? Prenons l'exemple d'une source de lumière qui est un émettrice et regardons la non pas comme émettant des photons mais plutôt une intrication quantique particulière qui se manifeste par la réaction de la cible qui réagit en émettant à son tour une lueur que nous percevons. La lumière est un cas particulier que nous percevons avec nos yeux. Reprenons l'expérience de Young. Si on mesure ce qui passe par une fente, on perturbe le résultat et les franges interférences disparaissent. De même, quand on mesure une tension électrique par exemple, ou toute autre grandeur physique, on le fait en prélevant une portion de la grandeur à mesurer. Supposons alors que l'emetteur utilisé par Young n'émet pas des particules comme on le pense, mais de l'intrication quantique, l'explication du phénomène semble alors plus évidente au prime abord. Le fait de faire la mesure de ce qui passe par l'une des fentes prélève une information qui perturbe le phénomène. En fait, dans ce nouveau monde quantique, les photons et ondes électromagnétiques auraient disparu et l'interaction entre les choses ne serait qu'intrication quantique. Du coup, un émetteur radio n'émet plus des ondes mais de l'intrication quantique, idem lampe de poche et autres exemples... La physique de ce monde devient ainsi plus homogène : 4 forces de la nature : intrication. La lumière éclaire par intrication, l'aimant attire par intrication, etc. Le photon quant à lui ne serait que le reliquat des connaissances du passé dont on ne peut (veut) se séparer.