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Marzhin

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  1. Relativiser positivement le bien ... c'est relativiser le bien en bien ... donc sur la base d'un supputé bien absolu ... c'est succulent, l'illogisme, chez notre musulman prosélyte.
  2. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    C'est là qu'on retombe sur mes premières interventions, volontairement loufoques, sur le topic.
  3. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Bref, on est d'accord pour dire que l'égalitarisme forcené ne fait pas sens.
  4. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Non mais c'est juste qu'on a diabolisé le patriarcat, et qu'il n'est pas diabolique, car quotidiennement il faut bien vivre avec sa femme, en couple, avec risque de divorces et gestion des biens, du patrimoine et des finances. Le nombre de femmes mourant chaque année, est en fait un roulement criminologique naturel, rapporté à l'ensemble de la population, à comparer au nombre d'hommes mourant chaque année dans les mêmes logiques. A partir de là, la vérité, c'est qu'ici comme ailleurs, les chiffres sont manipulés. Dans les milieux complotistes, on s'en prend beaucoup à George Soros, l'Open Society Foundation et plus généralement "la société ouverte", pour cela. C'est-à-dire : pour dramatiser au nom du "Bien". Tout ça a naturellement Soral dans le nez. Mais, concrètement, je pense que tu restes sur une mise en perspective d'arrière-garde. Si bien sûr il y a injustice là, on peut aussi bien te répondre que c'est parce que c'est structurellement toujours inadéquat. Ou alors, que le mari était niais. Mais en vérité, sur le fond, c'est moralement dans l'ordre des choses, que l'homme se sacrifie pour la femme et la progéniture ... même si biologiquement, l'instinct territorial du mâle prime tout, y compris la survie des siens, encore qu'il ne s'en prenne jamais à eux directement. Mais en cas d'attaque du territoire, il défend son territoire à en oublier de protéger en priorité la femelle et la progéniture parfois.
  5. Eh oui, les dieux ne sont pas automatiquement bons. Ils démontrent leur puissance. Par exemple, Taranis chez les Celtes, dieu des tempêtes. Je ne pense pas qu'on ait intérêt à jouer les nunuches devant lui, puisque c'est aussi un dieu de la guerre. Inutile de le prier comme "le bon dieu", ça ne fait pas sens. Autant affronter les éléments, les temps comme les assaillants. Voilà qui fait plaisir, et honneur aux dieux. Et puis faut voir comme les dieux prétendus uniques et absolus, sont en fait d'anciens hénothéismes (dieux principaux, dédiés) qui ont jalousés d'autres dieux à vouloir se les écraser ou récupérer leurs fonctions.
  6. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    L'article, et le site Matricien en général, est une supercherie. Rien, rien, absolument rien, ne permet de parler de matriarcat, anthropologiquement. Ça n'existe pas. Ce qui existe, ce sont des déesses mères et autres déesses, parmi les dieux, au milieu de sociétés paritaires. Les peuplades dites matriarcales existant toujours, sont des sociétés effectivement avunculaire, qui s'appuient sur l'oncle. C'est très contemporain, cette idée de matriarcat, sur un mode infantile, piètre et revanchard antipatriarcal, j'en ai parlé là. En fait, les sociétés peuvent être soit paritaires, soit patriarcales, et c'est tout, le féminisme étant une revendication d'égalité démocratique aboutie, logiquement, après les (r)évolutions démocratiques, que cela plaise ou non à Alain Soral. C'est que quoiqu'il en soit, la grossesse situe la femme, alors qu'elle est nécessaire pour la perpétuation de l'espèce, donc pour la femme enceinte au premier ordre : même si, en tant que personne, elle peut méditer, concevoir et s'adonner à des activités supérieures ou différentes - chose de plus en plus conspuée par les crétin(e)s, dont l'ignardise et la mesquinerie a voix au chapitre grâce à Internet, en toute bonne logique égalitaire (et pour tout ce qui regarde la défense de l'ignardise et la puissance de la mesquinerie, les crétin(e)s ont une ingéniosité sans pareille, jusqu'à l'agnotologie utile en ingéniere sociale et qui devrait être interdite au même titre que le marketing adressé aux mineurs au moins). Où le propos d'Alain Soral semble tout à fait intéressant mais, là où Alain Soral se plante, c'est sur son point de départ. Alain Soral fait une lecture qui se veut protectrice et maternocentrique, de la femme. D'emblée, il se pose comme le gardien du foyer, ce qui n'est pas une mauvaise chose en réalité, mais une chose dont on comprend bien qu'elle regarde le problème comme les enfants s'amusent à se servir d'un rouleau de PQ en guise de longue-vue. C'est un coup de bite scatologique, puisque c'est queutard a laisser la femme au trou. Évidemment, il me dirait que mon discours est conditionné, il ne serait pas d'accord. Oui, mais en regard des quelques décennies démocratiques industrielles seulement (une quinzaine tout au plus, pour la France, depuis 1870). Alain Soral reste moderniste dans la démarche, or le modernisme constitue la femme comme au foyer, certes pour de pas mauvaises raisons industrielles, mais pas de bonnes raisons non plus. C'est la corde raide sur laquelle doit danser toute femme, aujourd'hui, funambuliquement, d'autant plus qu'autant que pour l'homme, l'hygiène et la technique libérateurs deviennent remplaceurs, entre insémination et futurs incubateurs artificiels. Il n'y a que sur la base des biotechnologies, à la limite, que certains se sont amusés à imaginer une fin de l'homme et un matriarcat, c'est-à-dire avant tout une pyramide sociale avec des femmes à tous les étages, et rien que des femmes, ce qui pose évidemment les problèmes de classe soulevés par Alain Soral. Truc de oufs. La femme celte, elle, sur la base de parités pré-celtiques ou non (Jean Markale abondamment cité dans l'article, n'est pas une référence scientifique ! et on ne met pas les peuples pré-celtiques dans la perspective de Boadicée, ça ne marche pas vus les siècles d'écart !), dispose d'une relative autonomie avant, pendant comme après le mariage, y compris en termes d'initiative de divorce, et de gains de ressources (qui feraient pleurer nos masculinistes). Inversement, il n'était pas rare que ces femmes comprennent que leur époux ait une concubine, pour ses passions d'homme. En tout cas c'est dire que des femmes celtes pouvaient se trouer un homme hors mariage, et même être entretenues par lui, sans compter que certaines combattaient et dirigeaient, dans les limites naturelles de leur grossesse (en plus des limites universelles d'âge, d'entraînement et de santé). La plupart de nos féministes n'envisagent aucune liberté sexuelle, surtout pas de la part de l'homme, puritaines dans la démarche, seraient-elles lesbiennes, à en vouloir aux passions d'homme juste parce que ce ne sont pas des passions de femme, allez comprendre. La jalousie est le fait du dieu monothéiste, prétendu unique et absolu, obsessif jusque chez ces militantes-là, en termes d'échos de moeurs occidentales. On a du pain sur la planche, c'est moi qui vous le dit.
  7. Je ne vois pas que quiconque, aujourd'hui, divinise quelqu'un. Je veux des noms ! A part Macron, je veux dire, qui a eu droit à tout : Jésus, Jupiter, Atlas ... la folie.
  8. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Ce sont des manifestantes, qui occasionnent la Révolution française, certes ne songeant pas aller par là, mais l'impulsion et la récupération bourgeoises furent données.
  9. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Dans la Rome et la Grèce, effectivement, sociétés méditerranéennes influencées par- ou sensibles au- Moyen-Orient. C'est ainsi, et j'en parle dans l'article. Sinon, quant à ma croyance, tout est là sur ForumFr. J'ajouterai que je disais tout à l'heure, que l’impérialisme était cause de la subordination féminine. C'est ce que tu as oublié de lire, zenalpha, et qui a été cautionné par Aruna je crois. Mais il faut que je me corrige : c'est l'urbanisation, qui est en cause, du moins avant l'hygiène et la technique à l'enfantement, qui datent de deux siècles seulement ... ! Car même chez les Gaulois, du moment qu'il y eut urbanisation, les femmes perdirent de l'importance. Mais pendant l'époque féodale, dans les campagnes, la paillardise/paysannerie (+90% de la population) est largement franchouillarde et paritaire dans l'âme, même si l’Église joue les rabat-joise. En somme, l'immense majorité de la population était gauloise ... La gauloiserie, c'est la vie. Prenez la reine Boadicée.
  10. CourrierInternational - L'athéisme progresse parmi la jeunesse arabe
  11. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Pas plus tard qu'hier, j'ai publié ça : https://mobile.agoravox.fr/actualites/religions/article/un-oracle-neo-celtique-contre-220822
  12. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Au fait, le procès Weinstein est en cours, on a envie de dire "enfin" depuis le temps. Weinstein est très probablement un salace, mais il est aussi la tête de Turc du showbiz. C'est comme une ambiance de milieu dont il paie le prix, avec des collusions/complicités hommes-femmes confondues, car il n'y a pas que des victimes dans le lot, mais aussi des consentements, éventuellement retournés aujourd'hui en victimisme pour la thune, mais avant tout des ambiances salaces assimilables à des mafias. Ce n'est de loin pas partout comme ça, puisque 90% des viols hélas, se font sur mineurs, à caractère incestueux. 10% relèvent de la société globale, où d'ailleurs les prêtres sont aussi des têtes de Turc. On leur reproche avant tout leur trahison, rapport aux vertus prétendues ou du moins l'éthique et l'exemplarité attendues, et tout simplement la charité. Mais statistiquement vous avez moins de chances d'être violé par un prêtre que par un laïc, y compris en proportion de violeurs dans le milieu. Dans la vie il y a des salaces, hommes et femmes confondus, bien que chez les hommes se soit plus saillant, les garces savent se faire scred et ont pour elles un préjugé naturel en faveur des femmes, et c'est totalement véreux. PS. Il n'y a pas que les peuples DITS premiers, mais bien plein d'antiques, qui n'étaient pas toujours à caractère sauvage (wild, mythe du bon sauvage, commerce équitable, etc.).
  13. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Tout dépend de quelle société on parle, mais le patriarcat est avant tout, aujourd'hui, le fait des monothéismes qui usurpèrent d'anciennes déesses mères, paritaires avec d'autres dieux et d'autres déesses que mères d'ailleurs, encore que les dieux parents/tutélaires soient hiérarchiquement plus impressionnants. Évidemment, les monothéismes ne sont pas les seuls patriarcaux, et c'est surtout en Afrique et en Orient, que le patriarcat a de l'influence, ainsi d'ailleurs qu'en Amérique du Sud. Toutes les civilisations d'Empire en fait, comme Rome aussi. Sur la question du militantisme et de la philosophie, il faut bien comprendre 1. qu'on peut philosopher sur une impulsion militante, de façon non-idéologique, justement la philo sert rationnellement la cause, qui sinon resterait passionnelle et faussement orientée, ce qui n'empêche pas que les militants reprennent passionnellement les philos. 2. La névrose narcissique n'est pas le narcissicisme, mais le narcissisme commun est un problème, c'est que Narcisse en est mort quand même. A ne pas confondre avec psychanalytiquement un narcissisme primaire inconscient, bordel de merde, utile mais qui n'a rien à voir avec le narcissisme secondaire plus conscient, et vaniteux, sans parler donc du narcissisme névrotique, qui en fait est la psychose, et c'est sans parler de la perversion.
  14. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    C'est du délire, en outre, de croire que le passé ravalait la femme à son ventre. C'était évidemment crucial l'enfantement, avec la mortalité infantile et autre de ces temps. Donc déjà c'est incomparable avec le nôtre. L'hygiène et la technique sont principales causes du soulagement de la femme*, qui logiquement aspire à plus d'envergure alors, du moins selon le tempérament de chacune, on n'en voudra à aucune de vouloir des enfants, même si des crétins leur en veulent. Ce sont des violateurs tyranniques totalitaires. Dans toutes les époques, les femmes furent des actrices avec lesquelles il fallut biographiquement, existentiellement, sociopolitiquement compter. L'Europe est très bien placée sur Terre : son passé païen a connu des reines et des guerrières, son passé chrétien a connu des reines bien placées aussi, mais surtout Jésus fréquentait humblement les femmes, même s'il a fallu des plombes aux croyants pour le comprendre ; finalement, l'Europe seule accoucha du féminisme. Et ce n'est donc ni un hasard culturel, ni un hasard technique/hygiénique. Voilà qui est tout à notre honneur, contrairement à tout le reste de la Terre, en dehors de quelques îlots tendanciellement paritaires, qui durent hélas faire preuve d'autant plus d'agressivité dans la nature plus sauvage. En somme, les hargnes publiques contemporaines sont essentiellement des crises d'enfants gâtés-pourris, bien qu'elles charrient leurs lots de sincérités voire de réalités parfois. * Mais je vous ferai aussitôt remarquer qu'à peine développée, la technique est déjà post-féminine, puisqu'elle veut créer des humains OGM artificiellement dans des incubateurs.
  15. Marzhin

    Compétitivité et sexisme

    Et ces nobles philosophes font des généralités, des théories, des spéculations, des raisonnements épicènes, c'est-à-dire ni neutre, ni masculin, ni féminin, ou bien à la fois neutre, masculin et féminin. Aujourd'hui, non content de croire pouvoir s'immiscer dans l'intimité pour la normer, on croit injustement pouvoir traiter intellectuellement de chaque cas, ce qui est robotique et imbécile. Le viol, ici, provient des antisexistes, qui finalement en toute évidence psychiatrique, répètent les violences réelles ou imaginaires qu'elles croient avoir subies deliramment sur le même mode, à t'en faire des militances, alors que chaque personne est unique et gère parfois ça en se réfugiant dans une tour d'ivoire, ce qui est tout aussi voire plus respectable que tous les entre-soi collectifs prêts à lyncher le premier perplexe, au nom d'une libération de la parole en vérité vaste supercherie à procurer des quarts d'heure de gloire et des bonnes consciences automatiques, à faire du monde un asile de thérapie de groupes. Ainsi, c'est crétin, d'avoir cru pouvoir m'opposer ces philosophes qui, comme tous philosophes, restent criticables. Mais Badinter la première, que j'honore particulièrement, s'est intéressée à ce que je dis. Elle a le scrupule et la maturité de ne pas dégueuler sur la place publique. Faut pas être névrosé narcissique, chère interlocutrice, parce que c'est malade.
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