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Hérisson_

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  1. Hérisson_

    Einstein s'en est servi...

    Bonjour, Je pense que l'objet est venu de Berlin par le hasard obscur des braderies de matériel et des successions. L'article laisse le lecteur dans une grande impression de perplexité, en raison de l'absence de détails : qu'y avait-il donc à l'intérieur du solénoïde ? L'axe de la bobine devait maintenu en position verticale; à l'intérieur devait se trouver un cylindre ferromagnétique suspendu à un point fixe par un fil de torsion, et solidaire d'un miroir permettant de mesurer sa rotation par la mesure de la déviation d'un faisceau lumineux: La mention du miroir figure lisiblement (!) sur l'image accompagnant l'article: Il est possible de remonter à l'expérience en cause par la mention du physicien auquel Einstein s'est associé, Wander Johannes de Haas: https://fr.wikipedia.org/wiki/Wander_Johannes_de_Haas La biographie indique clairement l'enjeu théorique de l'expérientation: Considérant l’hypothèse d’Ampère d'après laquelle le magnétisme est engendré par les rotations microscopiques de charges électriques, De Haas et Einstein voulurent éprouver la théorie de Lorentz selon laquelle les particules en rotation sont des électrons. Le but de cette expérience était de mesurer le couple développé par inversion de la magnétisation d'un cylindre en fer. C'est ainsi qu'en 1912-13 ils observèrent la création d'un mouvement de rotation sur un cylindre ferromagnétique suspendu par un fil au centre d'un solénoïde, lorsque le solénoïde est parcouru par un courant électrique (effet Einstein-De Haas). https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Einstein-de_Haas Cet effet correspond à la rotation communiquée à un matériau ferromagnétique (de forme cylindrique) initialement au repos, suspendu par un fil au centre d'un solénoïde, lorsque le solénoïde est parcouru par un courant électrique9. À cette rotation d’un corps ferromagnétique (disons du fer), on associe un moment cinétique qui, en vertu de la loi de conservation du moment cinétique, doit être compensé par un moment antagoniste de même intensité au cœur du matériau. Étant donné qu'un champ magnétique externe, ici engendré par la circulation d’un courant électrique à travers le solénoïde, produit la magnétisation du spin des électrons dans le matériau (ou une inversion de spin dans un électro-aimant — à condition que le sens du courant soit convenablement choisi), l’effet Einstein–de Haas met en évidence que le moment cinétique de spin est effectivement de même nature que le moment cinétique des solides en rotation tels que le décrit la mécanique classique. C’est là un fait remarquable, puisque le spin des électrons, qui est une grandeur discontinue, ne peut être décrit dans le cadre de la mécanique classique. ... / ... Les calculs fondés sur le modèle de spin d'électron en tant que mouvement de charge électrique sous-estiment ce moment magnétique d'un facteur d'environ 2, le facteur de Landé. La description correcte de ce moment magnétique requiert les hypothèses de l’électrodynamique quantique. À ce stade, on comprend un peu mieux en quoi consiste l'hypothèse d'Ampère, à laquelle se réfère l'article de France 3 ...
  2. Bonjour, L'article est très intéressant, les photos montrent des détails d'une finesse extraordinaire - l'observation peut encore être améliorée par l'augmentation du contraste des images ... Il y a d'autres liens directs sur le sujet https://www.cnrs.fr/fr/presse/un-gisement-fossilifere-preservation-exceptionnelle-decouvert-dans-le-sud-de-la-france https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-zoo-fossile-dun-demi-milliard-dannees
  3. D'autres liens permettent d'accéder à des informations complémentaires: https://fr.wikipedia.org/wiki/Altermagnétisme https://actu.epfl.ch/news/l-altermagnetisme-prends-place-dans-l-arbre-geneal/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Dioxyde_de_ruthénium Le dioxyde de ruthénium (RuO2) présente une structure cristalline ionique du type rutile (TiO2) ; la maille quadratique est un prisme droit à base carrée, dont les cations (Ru4+ ou Ti4+) occupent les sommets et le centre (boules grises présentes sur la première image – en rouge, les ions oxyde O2-). L’image inférieure indique la répartition des spins nucléaires ; ceux-ci sont identiques sur toute droite parallèle à l’axe d’ordre (4) de la maille – donc aux petites arêtes (c) de celle-ci ; il y a deux orientations possibles, parallèles à l’une des diagonales de la base carrée : Le tellurure de manganèse (MnTe) présente une structure cristalline de type nickeline (NiAs), à maille hexagonale ; les atomes métalliques (Ni ou Mn) y constituent un réseau hexagonal simple, et s’alignent sur des droites parallèles à l ‘axe de symétrie d’ordre 6 du réseau (boules vertes de l’image ci-dessous) : https://rruff.geo.arizona.edu/AMS/result.php https://fr.wikipedia.org/wiki/Tellurure_de_manganèse(II) Les noyaux atomiques forment un arrangement hexagonal compact dans des plans parallèles et équidistants; les spins s'inversent lorsque l'on passe d'un plan à son voisin: https://www.researchgate.net/figure/Crystallographic-and-magnetic-structure-of-a-MnTe-The-three-super-exchange-paths-are_fig1_342543130
  4. Bonjour, La résonance magnétique nucléaire concerne les variations du spin des noyaux de certains atomes placés dans un champ magnétique, le plus souvent ceux d'hydrogène 1 (les protons 1H), mais aussi ceux de quelques autres nucléides tels que le carbone 13 (13C), le fluor 19 (19F) ou le phosphore 31 (31P). Il s’agit plus généralement des nucléides présentant un nombre impair de protons ou de neutrons, le nucléon non apparié conférant au noyau un moment magnétique permanent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Résonance_magnétique_nucléaire
  5. Le rayonnement stellaire modèle les disques où naissent les planètes Grâce au télescope spatial James-Webb, une équipe internationale emmenée par un chercheur du CNRS a observé que le rayonnement d’étoiles très lumineuses faisait s’évaporer le gaz contenu dans un disque protoplanétaire. Par Pierre Barthélémy Publié le 29 février 2024 à 20h00, modifié le 01 mars 2024 à 15h14 La région de la nébuleuse d’Orion, vue par le télescope spatial James-Webb, analysée par les chercheurs. NASA / ESA / CSA / S. FUENMAYOR / PDRS4ALL Imaginez la scène au petit matin : pendant la nuit s’est déposée au sol une fine couche de neige qu’un soleil radieux illumine. L’occasion ou jamais de faire un bonhomme de neige avec les enfants (ou les petits-enfants…). Il faut vite les réveiller, servir leur petit déjeuner, chaudement les habiller. Mais, le temps de se préparer, la chaleur de notre étoile a fait son œuvre et de ventru bonhomme tout blanc il n’y aura point. Tout juste pourra-t-on former quelques menues boules de neige. C’est ce scénario, adapté à un contexte astronomique, qu’une équipe internationale raconte jeudi 29 février dans Science : elle a observé que le rayonnement d’étoiles très lumineuses faisait s’évaporer le gaz contenu dans un disque protoplanétaire et y empêchait la formation de planètes géantes analogues à nos Jupiter et Saturne. La scène que ces astrophysiciens ont regardée se déroule dans la nébuleuse d’Orion, la plus proche des pouponnières d’étoiles, qui se situe à moins de 1 300 années-lumière. Pouponnière car, comme l’explique Olivier Berné, directeur de recherche au CNRS à l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP) et premier auteur de l’étude de Science, « la nébuleuse d’Orion a tout au plus quelques millions d’années. Soit un millième de l’âge du Système solaire, qui est de plus de 4,5 milliards d’années, et on peut vraiment dire qu’on assiste à la petite enfance de ces étoiles ». C’est le moment où, dans les disques de gaz et de poussières qui entourent les soleils naissants, se forment les planètes. A l’aide du plus puissant instrument actuellement à leur disposition, à savoir le télescope spatial James-Webb (JWST), les chercheurs se sont focalisés sur le disque protoplanétaire nommé d203-506. Il abrite une étoile naine, invisible car cachée par la matière du disque. Cet astre masqué n’est cependant pas tranquille dans son coin de nébuleuse car, à quelques années-lumière seulement, se trouve l’amas du Trapèze, un groupe d’étoiles dont certaines sont très grosses et brillantes. « La plus massive, précise Olivier Berné, a une luminosité cent mille fois supérieure à celle du Soleil. » Phénomène de photoévaporation Pour d203-506, cet étincelant voisinage n’est pas sans conséquence, car il émet un rayonnement très énergétique, composé d’ultraviolets (UV) et de rayons X. Grâce aux instruments du JWST, les astrophysiciens ont pu déterminer à quel point la surface du disque était chauffée par cette lumière. Température estimée : un millier de degrés Celsius. Or, rappelle le chercheur de l’IRAP, « la température, c’est la mesure de l’agitation des particules. Quand elles s’agitent trop, elles peuvent acquérir une vitesse telle qu’elle leur permet de s’échapper du champ gravitationnel ». Pour le dire autrement, le disque protoplanétaire perd son gaz. A quelle vitesse se produit cette « photoévaporation », pour reprendre l’expression savante ? Les chercheurs estiment que la perte est de l’ordre d’un millionième de la masse du Soleil chaque année. A ce rythme, « en moins d’un million d’années, il n’y aura plus de matière, calcule Olivier Berné. En conclusion, ce sera difficile de former des planètes et en particulier des géantes gazeuses. Il est possible que ce soit compliqué aussi pour les planètes telluriques ». Cette étude est importante car elle permet de mettre des chiffres sur le phénomène de photoévaporation, que la théorie prévoyait et que l’on avait déjà observé sans jamais pouvoir le quantifier. Un manque que la précision du James-Webb a permis de pallier. Ce résultat va donc enrichir les modèles qui simulent les disques protoplanétaires et il peut expliquer pourquoi les petites étoiles, qui apparaissent souvent au sein de « portées » stellaires, sont moins fréquemment accompagnées de planètes analogues à notre Jupiter. Par ricochet, l’article de Science nous renvoie aux balbutiements de notre propre Système solaire. Sans être aussi minuscule que l’étoile de d203-506, notre Soleil n’en est pas moins considéré par les astronomes comme une étoile naine. Par ailleurs, les cosmochimistes ont trouvé dans des météorites un isotope d’aluminium indiquant la présence d’au moins une étoile massive non loin du Soleil au moment de sa naissance. Cela n’a cependant pas abouti à l’évaporation du disque protoplanétaire. Jupiter et Saturne ont pu se former en se gavant de gaz, sans doute parce que le Soleil, qui est cinq à dix fois plus massif que l’étoile de d203-506, disposait d’un champ gravitationnel suffisamment puissant pour que son disque ne se fasse pas dépouiller. Pierre Barthélémy
  6. Bonjour, Pour quelques détails supplémentaires, voir https://www.cnrs.fr/fr/presse/le-rayonnement-des-etoiles-massives-sculpte-les-systemes-planetaires https://www.univ-grenoble-alpes.fr/actualites/a-la-une/actualites-recherche/le-rayonnement-des-etoiles-massive-sculpte-les-systemes-planetaires-1393286.kjsp https://lio.univ-lyon1.fr/recherche/actualites/le-rayonnement-des-etoiles-massives-sculpte-les-systemes-planetaires et aussi: https://www.youtube.com/watch?v=vyL8w0sJLl4
  7. C'est l'inverse: la structure est là pour soulager la crise du logement prévisible sur le corps central ... Mais ce type de logement social se révèlerait sans doute hors de prix !
  8. Lorsque les réacteurs sont arrêtés, donc en l'absence de poussées supplémentaires liées à l'éjection de gaz chauds, tout engin spatial suit une "orbite 0 g" puisque son barycentre se déplace sur une trajectoire identique à celles de tous les objets qu'il contient, et ce quelle que soit la nature de cette trajectoire, qu'il s'agisse d'une conique (cercle, ellipse, hyperbole) ou d'une courbe plus complexe résultant de l'influence de plusieurs centres d'attraction (planètes ou Soleil). Tu imagines apparemment une construction torique tournant autour de son axe de symétrie, et dont le centre coïncide toujours avec celui de la planète: Dans un repère tournant lié au vaisseau, le champ gravitationnel résultant gtot = gc + g admet pour composante sur l'axe radial (Ou): gtot = gc - g , expression dans laquelle interviennent - l'accélération centrifuge gc = r*ω² = 4π²N²*OM , et - le champ d'attraction du corps central: g = GM/r² , avec ici G (constante gravitationnelle) = 6,6743E−11 m^3/kg.s² , M = 9.46E20 kg (dans le cas de Cérès) , ce qui donne dans le cas d'un rayon (r = OM) de 500 km: g = 0.253 m/s² . 1°) On obtient à gravité locale nulle (gtot = 0 , d'où g = gc): N = √(g/r)/(2π) = 1.131E-4 Hz = 0.407 tour/h . 2°) Si l'on veut produire une gravité locale comparable en norme à celle de la surface terrestre (gtot = g° = 9.81 m/s²), il faut alors: gc' = g° + g = 10.06 m/s² , d'où une fréquence de rotation N' = √(gc'/r)/(2π) = 7.14E-4 Hz = 2.57 tour/h . Remarques: a) le gigantisme de l'installation exigerait le transport et l'assemblage d'une énorme quantité de matière; il ôte toute vraisemblance à ce genre de projet, même autour d'un astéroïde plus petit; b) la mise en rotation d'une telle structure produirait des tensions énormes auxquelles elles ne pourraient résister, et entraînerait son éclatement; c) la vitesse tangentielle très élevée du tore (v = rω = 2πN = 2243 m/s) rendrait tout abordage quasiment impossible; d) la stabilisation de la structure autour du corps central (c'est un problème original) n'a rien d'évident, elle serait d'autant plus difficile que le corps central serait plus petit. C'est un beau rêve, et malheureusement rien de plus.
  9. Hérisson_

    Le noyau terrestre

    Aurais-je écrit une bourde ?
  10. Tu confonds le mouvement de révolution orbitale du vaisseau autour d'un centre d'attraction (par ex. Cérès) - vaisseau à l'intérieur duquel tous les corps, passagers compris, se trouvent en situation d'impesanteur - avec le mouvement de rotation propre de l'engin autour de l'un de ses axes, qui par l'effet de force centrifuge créerait une pesanteur artificielle. Tous se passerait normalement en situation de quasi-immobilité; cependant des complications ne manqueraient pas d'apparaître pour tout corps lancé en mouvement libre à l'intérieur du vaisseau, en raison de l'intervention des forces de Coriolis: un match de foot, par exemple, mettrait certainement les équipes à bout de nerfs.
  11. Hérisson_

    Le noyau terrestre

    Pour la petite histoire: " Quoique l'œuvre humaine n'ait pas de cause complète. "
  12. ... On n'est pas là pour rigoler ! Certainement pas ! L'ennui est que l'on ne voit pas d'où vient le facteur 0.0011 (sans doute d'une conversion d'unité), et que tu n'indiques pas la vitesse de rotation du vaisseau. Dans un repère tournant lié à ce dernier, tout corps immobile placé à la distance (R) de l'axe de rotation serait soumis à l'accélération centrifuge g = Rω² = 4π²N²R , que l'on peut comparer au champ terrestre de pesanteur en calculant le rapport γ = g/g° = 4π²N²R/g° . En reprenant le premier exemple cité (R = 30 m, γ = 0.13), il vient: N = √(γg°/R)/(2π) = √(0.13*9.81/30)/(2π) = 0.0328 Hz = 1.97 tr/min . Par ailleurs, se satelliser autour de Cérès ne présente aucun intérêt, à moins que l'on ne veuille étudier cette planète. mieux vaudrait se placer pas exemple à l'un des points de Lagrange liés à la terre. La documentation produite pas JMECOMPRENDS_TT_SEUL apparaît toujours aussi fascinante; cependant Anachel a très bien décrit les obstacles insurmontables qui interdisent pour longtemps la construction de tels vaisseaux.
  13. Hérisson_

    Le noyau terrestre

    Ton intuition est effectivement juste, et la dernière citation rapportée correspond à l'un des (rares) dérapages d'Astronogeek. La composante du vecteur champ de gravitation (g) sur un axe quelconque (par ex. x'x) passant par le centre de la Terre supposée sphérique est une fonction impaire de la coordonnée (x); par raison de symétrie et de continuité, elle s'annule et change de signe au voisinage du centre. On montre facilement, à l'aide du théorème de Gauss, que la norme du vecteur (g) est proportionnelle à la distance du point considéré au centre de la sphère dans le cas d'une planète homogène de masse volumique locale constante: gx = - g°(x/R) d'où: ║g║ = g°(│x│/R) (g°) désignant la norme du champ de pesanteur au niveau de la surface (9.81 m/s²) et (R) le rayon de la planète (6 371 km). Si l'on veut tenir compte de l'augmentation considérable de la masse volumique locale, qui varie de 2.7 à 13 g/cm3 depuis la surface jusqu'au centre, les calculs sont plus lourds mais le résultat reste qualitativement inchangé.
  14. Hérisson_

    Le noyau terrestre

    Bonjour, L'étude de la propagation des ondes sismiques d'un point à l'autre de la surface du globe terrestre permet de connaître avec précision sa structure interne, parce que les perturbations mécaniques s'y propagent à une vitesse dépendant de la densité locale du milieu, et de sa compressibilité - ce qui explique la courbure des lignes de propagation et leur réfraction au niveau des surfaces de séparation: Les ondes de cisaillement (S) se propagent exclusivement en milieu solide; c'est pourquoi le noyau externe liquide constitue pour elles un obstacle totalement opaque. Les ondes de compression (P) se propagent, elles, dans tous les milieux et peuvent être détectées dans la région diamétralement opposée à leur source (séisme, explosion). Cependant leur réfraction fait qu'elles ne parviennent pas dans une "zone d'ombre" en forme de couronne circulaire, dont l'axe passe par l'épicentre. Ces phénomènes sont connus depuis près d'un siècle, et excluent catégoriquement la présence d'un espace vide à l'intérieur du globe (en dehors des raisons déjà données). http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/img.communes.pt/str.interne.terre.html https://fr.wikipedia.org/wiki/Noyau_terrestre https://fr.wikipedia.org/wiki/Noyau_interne De nombreuses théories de la Terre creuse ont vu le jour, dont Arnaud Thiry a fait justice dans l'une de ses vidéos, sur son site Astronogeek: https://www.youtube.com/watch?v=0Mlsn6_07rU
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