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Tout ce qui a été posté par de ghoul
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Impossible de dormir. Mon grand frère, de l'autre côté du lit, produisait des sons... inhumains. Un mélange de vache qui rumine et de volcan qui digère. Des ronflements qui semblaient jaillir de son estomac plutôt que de sa bouche. Alors, dans un élan de génie nocturne, j’ai pris une bonne pincée de sel et, tel un druide sadique, je l’ai balancée direct dans sa bouche grande ouverte. Le réveil fut apocalyptique. Il s’est redressé comme un cadavre dans un film d’horreur. Les yeux exorbités, la bouche en feu, la langue en drapeau, les bras moulinant l’air comme un hélicoptère en détresse. Il faisait des grimaces de lama possédé, suffoquant, bavant, grognant, dansant sur place comme s’il venait d’avaler la Méditerranée. Et moi ? Je faisais semblant de dormir, bien sûr. Un chef-d’œuvre d’hypocrisie. Il m’a repéré. Et ce jour-là… il m’a massacré. Littéralement. J’ai vu mes chaussettes voler. Ma dignité avec. Mais bon, encore une fois : souvenir éternel, douleur temporaire. Ça valait chaque gifle.
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Je n’ai jamais été un vrai garçon… j’étais un petit diable. Enfin, je l’étais. Un jour de fête, dans un élan de pure malice, j’ai versé discrètement un digestif costaud dans la marmite de chorba. Puis, l’air innocent, je me suis éclipsé pour assister au spectacle. Quelques minutes plus tard, c’était le chaos. Une file surréaliste se formait devant les toilettes: hommes, femmes, enfants, tous serrant les dents et le ventre, tapant des pieds, suppliant que « ça sorte vite là-dedans ! ». Certains frôlaient la danse traditionnelle, d’autres priaient pour une place au trône. Moi, j’étais plié en deux, mais de rire. Évidemment, j’ai payé le prix. Mais honnêtement ? Une douleur passagère contre un souvenir éternel… J’ai largement gagné au change. ---
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Comme tous les jours, je marchais avec mon voisin, alias Tête de batterie. – Je suis Hercule ! lançait-il. – Moi, Samson ! je répondais. Et ça défilait : Tarzan, Zorro, jusqu’à ce qu’il balance fièrement : – Et moi, d’Artagnan ! Une idée lumineuse m’a traversé comme un éclair. J’ai sorti mon canif, lui ai dessiné une croix sur le front et lancé: – Et moi, Lagardère… je marque les traîtres ! Je vous jure que je lui fait une très belle croix, mais j'ai payé un lourd tribut.
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Elle prenait des anti-dépresseurs et avec l'histoire que tu as raconté, c'est clair que tu dois faire attention à ne pas trop la fréquenter
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Moi un petit pétard dans cigarette, mais j'ai été massacré pour ça.
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L'IA possède des règles strict, elle ne répond pas à certaines questions
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Que faire quand on a rien pour plaire ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de CoinCoinfaitleCanard dans Quotidien
Axo te convient? -
La réponse est dans la dernière phrase
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Pourquoi tu dis être un pestiféré?
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Je sais pas, peut-être que je ne suis pas pareil. Mais je dois le dire. Franchement, je suis choqué par certaines réponses. Un gars écrit ici qu’il souffre, qu’il se sent rejeté, malade de solitude, et tout ce qu’on trouve à faire, c’est le rabaisser ? Il faut du courage pour parler de ce mal-être. Ce n’est pas une plainte, c’est un appel à l’aide. Si on ne peut pas tendre la main à quelqu’un qui tombe, alors à quoi bon ces forums ? On se croit forts, mais se moquer d’un plus fragile, c’est juste de la cruauté. Et toi, qui as écrit ce message : tu n’es pas seul. Ce que tu ressens est réel et tu as le droit d’en parler. Ne laisse personne te faire croire le contraire.
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Ne te mesure pas au temps. Il est trop vaste, trop impitoyable. Il ne se laisse pas saisir, et plus on le regarde, plus il file entre les doigts. Le temps n’est pas un adversaire à battre, c’est un décor mouvant. Oublie-le un peu. Ne vis pas en fonction de lui. Suis plutôt le chemin que ton cœur te montre. Écoute ce qui t’attire, ce qui t’élève, ce qui te parle dans le silence. C’est là que tu trouveras ta vraie mesure. Le temps n’est là que pour marquer les étapes, pas pour les décider. Ce qui compte, c’est ce que tu construis dans chacune d’elles. Ce que tu ressens maintenant, c’est peut-être une naissance intérieure, une invitation à vivre autrement. Tu n’as pas besoin d’être forte face au temps. Tu as juste besoin d’être vraie face à toi-même. Et ça, tu sais déjà très bien le faire.
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L'abbé Pierre est accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes
de ghoul a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
Surtout qu'il a vécu jusqu'à 94 ans. -
le but est de sauvegarder, de reconnaitre et transmettre ce genre de tradition culturelle. Et surtout attirer l'attention des responsables de l'état sur l'importance de cette tradition. Pour les inciter à essayer d'éviter la disparition de cette culture qui est très ancienne.
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L’officier, d’une voix plus forte, reprit le nom de ma fille. Cette fois, il le projeta avec une clarté qui ne laissait plus place au doute. Comme sous l’effet d’un sortilège, ou propulsés par une énergie soudaine venue des entrailles de l’attente, nous nous sommes retrouvés devant lui en quelques secondes à peine — deux automates surgis du fond de la file, comme tirés par un fil invisible. L’officier leva les yeux vers nous. Il détailla un instant le visage de ma fille, puis baissa les yeux vers la photo du passeport, les sourcils légèrement froncés. D’un ton abrupt, il lui demanda : — C’est bien toi, sur ce passeport ? Avant même qu’elle n’ait le temps d’ouvrir la bouche, je répondis à sa place, presque instinctivement, comme si je devais protéger ce moment fragile du moindre doute : — C’est ma fille. L’homme tourna son regard vers moi, intrigué. — Et toi, qui es-tu ? C’est toi la fille ? lança-t-il, un brin moqueur ou simplement confus. — Non, répondis-je calmement, je suis son père. Mon passeport se trouve juste en dessous du sien, dans la liasse que vous tenez.
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Les mains vides, l’officier fit demi-tour et reprit d’un pas lent le chemin de l’Office. Nous l’observions s’éloigner sans un mot, le cœur en suspens. Il resta enfermé là-bas près d’une demi-heure, pendant que, comme par enchantement, la foule autour de nous se mit peu à peu à se clairsemer. Des silhouettes fatiguées se dispersaient lentement, emportant avec elles leur lot de résignation ou de colère muette. Puis soudain, l’officier réapparut. Cette fois, il tenait en main une nouvelle liasse de passeports, soigneusement serrée contre sa poitrine comme un trésor. Le silence se fit naturellement autour de lui, chacun retenant son souffle. Il commença à égrener quelques noms, d’une voix neutre, sans inflexion, presque mécanique. Et puis, au milieu de cette énumération impersonnelle, j'entendis le nom de ma fille. Un frisson me traversa. Un instant, ni elle ni moi ne réagîmes. Ce nom, pourtant si familier, semblait s’être détaché du réel, flotter dans l’air chaud et lourd de tension, avant de venir nous frapper aux oreilles comme un murmure improbable. Nous nous regardâmes, incrédules, comme si nous avions mal entendu, ou peut- être rêvé. Dans attendre moi et ma fille
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Il existe même une certaine gastronomie française inscrite au patrimoine de l'Unesco Et le couscous aussi
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Je connais les vissititudes de la vie Vicititudes
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Et c'est pourquoi la Sebeïba est une fête rituelle et spirituelle multi millénaire, inscrite depuis 2014 au patrimoine immatériel de l’humanité par l’UNESCO.
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Un talon, talentueux.
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C vrai surtout que cette fête touareg, vieille de ,3000 ans, Commémore la victoire du bien sur le mal. où deux tribus rivales auraient choisi de régler leur conflit non par la guerre, mais par un concours de danse. Le duel devient alors symbolique.
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Merci mais malheureusement, je ne suis pas un touareg,
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4. Festival ancestral chez les Touaregs (Sahara algérien) À Djanet (Algérie), le Sebeiba, une fête vieille de 3 000 ans, a célébré son édition annuelle début juillet : danses rituelles, chants, tradition, et ~1 000 participants, confirmant l’impact positif du tourisme culturel
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Appauvrissement de la langue française.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Stop ! dans Langue française
Dire "la langue de Rabelais" comme si elle résumait tout le français me semble réducteur. Rabelais écrivait au XVIᵉ siècle, Molière au XVIIᵉ, Voltaire au XVIIIᵉ. La langue évolue sans cesse. Et aujourd’hui encore, elle continue de se transformer avec nous tous -
Les commerces physiques, c’est la fin ! 🏬📉
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Quotidien
La fermeture progressive des magasins en France me rappelle celle des salles de cinéma en Algérie. En 1975, ce pays décroche la Palme d’or à Cannes — une première dans le monde arabe. Puis tout s’effondre : crise pétrolière, fin des subventions, privatisation des salles, et surtout, l’arrivée de la vidéo. Les projections sur cassette remplacent les films en pellicule : le public fuit, les salles ferment, et le cinéma tombe dans le coma. Aujourd’hui, c’est le commerce physique qui vacille face à la montée fulgurante du numérique. Boutiques vides, vitrines à louer, achats en ligne et drives automatisés. Comme le cinéma d’hier, les magasins doivent se réinventer pour survivre, faute de quoi ils risquent, eux aussi, de devenir des lieux du passé. -
Appauvrissement de la langue française.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Stop ! dans Langue française
Le parfait n'existe pas Je n'avais pas remarqué me s dans fais. J'étais attiré par ''fôte'' Bonne nuit