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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. Engardin

    La bien-pensance.

    Tiens un exemple : est-ce que tous ceux qui répètent à satiété que la gauche est antisémite entrent dans la catégorie des bienpensants ? Telle que décrite par @MadeleinedeProut ? Il semble bien y avoir là tous les symptômes... Présent ! Lui ?
  2. Engardin

    piments multicolores

    Et j'avais oublié une couleur ! J'aurais dû me douter que passer du violet au jaune qui sont complémentaire, il fallait un intermédiaire ! C'est... une couleurs "qu'on sait pas dire" ! Un peu blanc ? gris ? rose? crème ?...
  3. Engardin

    piments multicolores

    Je vous ai dit que sur 4 de ces piments, deux avaient donné quelque chose... Mais là si ceux qui me les ont vendus essaient de restaurer des variétés anciennes, il semblerait quand même que leur gènes ne soient pas encore bien fixés, vu que les deux qui ont poussé sont différents ! Celui que je vous ai déjà montré : qui passe du Violet, au jaune, puis à l'orange, et enfin au rouge : Et l'autre qui a aussi pas mal poussé et qui passe directement du violet presque noir au rouge ! ça doit être un costaud : il vient de refaire quelques fleurs (violet clair en haut à droite de la plante !)
  4. Engardin

    piments multicolores

    Et puis, ils "tombent" pas comme les autres piments ou poivrons : ils poussent pointés vers le haut !
  5. au printemps je suis allé acheter des plants. Je voulais des piments forts... On m'a proposé ceux-là. je crois me souvenir qu'ils s'agissait de variétés anciennes. C'est à la mode ! Sur 4 plants; deux ont fini par pousser, les autres ont végété. Là c'est la photo de maintenant. Ils ont été longs à venir, Et ils sont tout petits (trois centimètres !). Mais question couleur, c'est étonnant : Ils sont violets au début, puis virent au jaune puis à l'orange et enfin au rouge ! J'en ai goûté un : je l'ai ouvert et croqué une graine : ça canarde !
  6. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Je fais un hors sujet : je m'en fous je suis chez moi ! On avait aussi "je suis un aventurier" de Dutronc dans le même esprit ! J'ai fait la vie à Varsovie J'ai fait le mort à Baltimore J'ai fait le rat à Cambera J'ai joué aux dés à Yaoundé J'ai joué aux dames à Amsterdam J'ai fait des games à Birmingham Je suis un aventurier Avec lequel il faut compter Je suis un aventurier Avec lequel il faut compter J'ai été borné à Bornéo J'ai été pompette à Papeete J'ai bu de l'eau à Bordeaux J'ai dit tant pis à Tampico J'ai été soldat à Bogota Et des calculs à Calcutta ...etc. et aussi j'ai été lourdé à Lourdes !... Très petit joueur ! J'étais alors en Espagne et avais rajouté : 'J'ai été madré à Madrid, Fait une carie à Cordoue ! c'est tellement minable que ça me fait toujours rire !
  7. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Merci ! Justement je me demandais : et si ça m'arrive quand je conduis ?... Je pensais aussi que dans ce cas il fallait ralentir le plus possible, voire s'arrêter. mais si ça t'arrive sur une autoroute ? Il faut y penser à l'avance. Pour le stress, je sais pas... Je suis inquiet sans doute, mais modérément... Pas tant que ça... ça fait des années que j'ai pas pris de vacances, Lever le pied complètement, ça doit faire du bien... Depuis le COVID ! Magasin fermé, (enfin !) En roue libre !
  8. En gros, je disais "tu m'étonnes" pour dire que tu m'étonnais... po !
  9. C'était juste pour abonder dans le sens de ce que tu disais... (Nos défauts d'humains et la difficulté pour comprendre le fond des choses.)
  10. Comme tu dis "po" au lieu de "pas", je me suis amusé à inverser les "o" et les "a" dans ton pseudo... Juste pou blaguer...
  11. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    J'adore ! "Banco à Bangkok" ! "Arizona zone A" ! "Agonie en Patagonie" ! ...Etc, etc... Et voilà les COUPABLES ! Là je viens d'y mettre un peu des couleurs : (J'ai mis un peu des images pour @MadeleinedeProut)
  12. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    C'est donc si mal écrit que ça ?
  13. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Il faut ! Moi, le jour, je bois guère d'eau, alors le soir je m'applique à boire trois grosses gorgées d'eau avant de me coucher... Allez, je file ! je retourne à mes ... cruches ! Bon aprèm !
  14. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    T'es fou ! tu risques de faire un malaise vagal ! Mais sans les vagues !
  15. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Tu veux parler d'un A.. WC, alors ?
  16. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Je dois dire que j'y ai pensé. Je me suis dis si ça passe pas faut appeler les Pompiers ou le Samu...
  17. Engardin

    J'ai eu un malaise !

    Avec ce yaourt grec, ne me parle plus de tomme !
  18. J'ai eu un malaise ! Et d'abord : "J'ai eu" ou "j'ai fait un malaise" ? Non ! je garde "j'ai eu" ! "J'ai fait" semblerait sous entendre que c'est moi qui ai voulu le faire et que je suis coutumier du fait. Ce qui n'est pas le cas ! "J'ai eu" : c'est fait, c'est fini. Et ça m'est tombé dessus sans que j'y sois pour rien. Bref, ça n'était jamais arrivé et ça n'arrivera plus ! Mais quel menteur ! En Crête, y a huit ou neuf ans. J'ai eu un truc comme ça... On était en famille avec les enfants et les petits enfants... En bons touristes. Le matin, au petit déjeuner, je me gavais ! Tartines, confiture, un bol de café au lait plus un bol de yaourt ! Il faut dire que les grecs on un yaourt un peu spécial. Pas liquide quand on le tourne comme ici. Il reste solide. limite du fromage blanc : on bâtirait un mur avec ! Donc bien calé, on part en vadrouille touristique... De grandes marches, une dizaine et en haut une sorte de galerie commerçante. Gigantesque. Haute de toit --une verrière-- et dans ce gigantesque espace fermé, des centaines de personnes qui marchent qui parlent ; des dizaines de boutiques ; des exposants et un mélanges phénoménal d'odeurs d'épices en tous genre ! A vous soulever le coeur. Et ça me l'a soulevé ! Ca s'est mis à tourner dans ma tête... un de ces vertiges !... J'ai demandé un sac en plastique que par chance on a pu me donner et je me suis précipité dehors ! Sur les dix marches je n'ai eu le temps d'en redescendre que cinq ! Et patatrac ! Un coup du yaourt grec ! Il ne voulait pas passer ! Plus la foule, plus les épices et l'espace clos. Mais voilà qu'aussitôt évacué (le yaourt et consort) tout est rentré dans l'ordre. A la minute. Et on a pu (j'ai pu) continuer la visite épicée sans problème... C'est là d'ailleurs que j'ai découvert "le Thé des Montagne" réplique Grecque ou Crétoise de notre Thé Sauvage... Mais revenons à aujourd'hui ! Ou plutôt à il y a deux jours... A MON MALAISE ! Vers 10 heures du matin, j'ouvre le magasin. Je monte à la manivelle les deux rideaux des portes fenêtres en façade dont celui de l'entrée, j'ouvre la porte ; puis je dispose mes poteries sur la triple étagère de devant, je sors les 3 belles jarres jaunes qui se voient bien depuis la route... etc. Quinze, vingt minutes. Dans le coin du magasin qui me sert aussi d'atelier, j'arrange quelques trucs à droite à gauche. De l'argile ç sécher ici, des carreaux là, les films plastiques qui ralentissaient le séchage pendant la nuit et que je retire... petite mise en train pépère... Puis, je m'assoie sur le tabouret devant le tour. J'ai un simple travail prévu : coller des anses aux cruches. Et il n'y en a que cinq ! J'en courbe une, je la colle... puis la deuxième... A la troisième il me semble que j'ai un peu la tête qui tourne... "De l'hypoglycémie"... que je me dis. Dans le genre coup de barre de 11 heures : "tête vide, ventre creux" comme on disait dans une vieille pub de "Mars" ! "Je dois manquer d'énergie... Bon on va pas s'écouter : je finis mes cruches et je vais aller manger un morceau ! Depuis le déjeuner vers huit heures j'ai dû un peu trop m'affairer..." Oh, mais non ! Cette troisième anse est bien plus difficile à coller ! Ca tourne de plus en plus ! Un vrai vertige ! Allez ! Je la finis et je file dare-dare à la maison... au moins m'assoir dans le fauteuil, faut que je souffl ! Là je me lève et... La porte pour rentrer dans l'atelier (le tour est dans le coin du magasin) est à 1 mètre cinquante, pas plus. Après je dois tourner autour d'une table et ressortir sur la gauche dans la cour intérieure. L'entrée de la maison est alors à huit mètres. Je fais ça cinquante fois pas jours ! Autant dire, c'est rien. Mais là non : Un mètre cinquante... JE PEUX PAS ! L'esprit fonctionne bien. je sais exactement ce que je veux, ce que je dois faire. Mais c'est la machine qui ne répond pas ! Je prends mon courage à deux mais mais surtout je vise les deux montants du chambranle de ces deux mains... Je ne sais pas comment j'ai fait : un exploit ! Mais là, le problème à ce moment, mon problème, c'est que les deux cruches et les deux anses qui restent à coller, si je les laisse comme ça, elles risquent de trop sécher, et d'être foutues... Je me retourne... tout tourne de plus en plus ! D'une main je m'accroche au montant de la porte et de l'autre j'attrape un sac plastique que je pose à bout de bras sur les deux anses qui restaient sur leur planche. Puis pareil, un autre plastique sur les deux cruches... Ca c'est bon ! Je me retourne encore... Mon seul but, mon seul projet : rentrer à la Maison ! La porte en est à dix, douze mètres. Une expédition ! je dois avancer tout droit sur deux mètres puis prendre à gauche autour d'une table pour sortir dans la cour... Après encore huit mètres et ça ira : je rentre. Mais non ! Les deux premiers mètres à faire pourtant tout droits sont impossibles ! Je m'appuie contre le montant de la porte qui heureusement était ouverte... et je tente de faire le point. Je suis juste comme une machine qui ne marche plus ! Un robot ! Dont certains programmes ont beugué ! Lesquels ? La vue d'abord : Je ne peux pas m'y fier ! Les choses autour de moi, je les vois qui avancent et qui reculent. Comme si le monde tout autour respirait et essayait même de m'expulser ! Ensuite l'équilibre : deux pattes, dans ces conditions c'est pas assez ! Et le programme "marcher" ? Non plus : je ne saurais plus tenir sur un seul pied pendant que j'avance l'autre. C'est au dessus de mes forces ! Je suis comme HAL ! Dans 2001 ! Quand on débranchait ses circuits ! Certains de mes circuits sont débranchés ! Mais où ? Dans le cerveau ? Dans les bras, les jambes ? Il faut que je me dépêche ! Si d'autres se débranchent je ne répondrai plus de rien. Peut-être que je meurs ? En tout cas je me sens un peu ridicule de ne plus pouvoir faire des choses aussi simples ! La différence avec un robot, c'est que le robot débranché, il s'arrête et ç'est tout. Moi, là en plus, qu'est-ce que je suis mal ! J'ai l'impression que le monde me tombe dessus, s'écroule sur moi, m'enlise... Et ce mal au coeur... avec le vertige. Si je ferme les yeux ça va un peu moins mal mais dès que je les ouvre ça tourne encore plus ! Et cette évidence qu'après chaque pas si j'arrive à en faire un ça va être encore pire ! Bon là, faut que j'arrive à sortir de l'atelier, jusque dans la cour. Deux mètres tout droit, un à gauche et encore deux tout droit. Ca devrait être faisable. Deux jambes et deux bras en se tenant bien penché vers l'avant : ça fait quatre pattes ! Et il y a des tables partout pour s'appuyer ! Est-ce mon instinct de Grenadier Voltigeur qui a pris la relève ? En tout cas j'ai réussi ! Et je me suis retrouvé dans la cour juste devant la porte de l'atelier. Un exploit ! Mais juste devant, à peine sorti donc, et pas plus loin. J'ai calé ! A bout de force. Et une de ces envies de vomir ! J'ai fermé les yeux et appuyé le front contre le volet de la porte... -- Raoul ! Comme disait mon Grand Père : j'ai "appelé Raoul !" Une fois ! Deux fois, trois fois ! Avec cette sensation abominable que l'estomac va se retourner comme un doigt de gant et qu'on va l'expulser au dehors. Qu'il va s'arracher ! Mais non ! Il est bien accroché au fond ! Et... Mais... rien à vomir ! Du tout ! Entre chaque fois j'essayais de respirer bien à fond, pour m'approvisionner en oxygène. "Respire ! respire ! L'air c'est le meilleur aliment" comme disait Pagnol. Et puis, tant qu'on respire on n'est pas mort ! Allez donc comprendre pourquoi après ces spasmes horribles qui ne m'avaient pourtant permis de rien expulser, de rien éliminé, ça allait un peu mieux. J'ai donc pu traverser les 8 mètres de la cour et rentre à la Maison. Mon havre ! Là je me suis recroquevillé sur le fauteuil où je suis d'ailleurs maintenant en train d'écrire ; et j'ai plus bougé. Mais putain que j'étais mal ! Un Robot ne le supporterait pas ça : il en exploserait ! Et couvert de sueur ! Un Robot ne sue pas no plus ! Le problème qui envahissait mon esprit, c'était ma main droite. Avec laquelle j'avais collé ma troisième anse et qui maintenant restait poussiéreuse d'argile rouge. Mais j'était totalement incapable de me lever pour aller la rincer. Ca m'inquiétait ça, cette main poussiéreuse. Je la sentais énormément poussiéreuse... Irréparablement. J'ai demandé une bassine pour si j'avais encore envie de vomir... Je me suis retrouvé dans le fauteuil tout seul en boule, à luter contre le monde entier pour survivre. Et un monde entier qui à l'évidence m'en voulait ! Je me suis endormi quelques minutes mais je me suis réveillé. Tout allait toujours aussi mal. Puis à nouveau une envie de vomir. Celle qui vous surprend, comme un hoquet, irrépressible, avec l'estomac qui se retourne. Deux ou trois fois... heureusement j'avais la bassine. Mais toujours rien à éliminer. Rien n'est ressorti. Et là comme la première fois, ces contractions, ces spasmes ça m'a calmé et je me suis endormi pour de bon. Quelques heures après je me suis réveillé... Question : ça va ou ça va pas ? Ma foi... Tout avait l'air normal... Plus de vertige, plus de mal au coeur, tout autour de moi restait bien à sa place... Et je pensais même plus à ma main poussiéreuse ! Sans l'avoir rincée ! Quand tout à coup une évidence s'est imposée : Putain : J'AI FAIM ! Il était plus de quatre heures et j'avais raté le repas de midi ! -- Je me suis rarement senti aussi mal ! -- Tu exagères toujours ! Et c'est pas faux ! Mais je suis comme ça : J'ai un peu mal au coeur et déjà, je meurs, moi ! Non ! Là, je veux faire le malin : j'étais vraiment pas bien !
  19. Oui, et c'est bien pour ça que j'ai dit que c'était la même chose... inadmissible si c'est une obligation.
  20. Moi, je m'informe... Les Africains et les personnes d’ascendance africaine représentent 145 000 personnes. 2,6 % de la population norvégienne selon le bureau national des statistiques. Et aussi : Il y a eu des incidents de violations des droits de l'homme et de recours excessif à la force par la police norvégienne envers les Africains et les personnes d'ascendance africaine, qui ont été affrontés en toute impunité au cours des 20 dernières années. Les rapports montrent un racisme structurel et une discrimination systémique dans les pratiques de contrôle de la police, ainsi qu'une moindre confiance dans la police parmi les groupes minoritaires. La fonction de la présence (surprenante) de personnes d'origine africaine dans des situations sociales importantes semble donc être bien l'éducation du bon peuple... Norvégien... (Je ne trouve pas de pourcentages de femmes homosexuelles en Norvège ... )
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