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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. Tout ce qu'on peut faire c'est de penser à eux qu'ils ne soient pas tout-à-fait disparus... Et revivent un peu dans nos pensées... Courage !
  2. Engardin

    No poem without grime...

    à part @timot-33 (merci ! ) mon plus grand fan c'est ChatGPT : ChatGPT Le poème « No poem without grime » explore de façon métaphorique la relation intrinsèque entre la beauté et la dégradation, la douceur et la saleté, en insistant sur l’idée que l’art, en particulier la poésie, ne peut exister sans une part de chaos, de « crasse » ou de « poussière ». Analyse ligne par ligne : « Pas de poème sans crasse » / « No poem without grime » Ce vers d’ouverture établit le principe fondamental : la création poétique nécessite une certaine saleté, une imperfection, un vécu mêlé de dégradation. La poésie ne peut naître dans la pureté absolue ; elle doit s’enraciner dans la réalité brute, dans les aspects sales ou difficiles de la vie. « De promenade sans poussière » / « Not a walk without dust » La promenade évoque une activité simple, quotidienne, mais qui laisse des traces, de la poussière. Cela suggère que toute expérience ou parcours comporte une trace de saleté ou de fatigue, renforçant l’idée que toute démarche humaine comporte une dimension imparfaite. « Aux chemins fatigués » Les chemins usés, fatigués, symbolisent l’expérience de la vie, marquée par la fatigue, les épreuves. La poésie naît de ces chemins usés, de cette fatigue. « Ni d’amour sans dégât » L’amour, souvent idéalisé, est ici lié à des dégâts, des blessures. L’amour véritable implique des blessures ou des sacrifices, encore une fois soulignant que le beau est indissociable du douloureux. « Le bonheur s’avarie » / « Happiness is spoiling » Le bonheur se dégrade, se détériore. La notion d’éphémérité, de fragilité du bonheur, est évoquée. Tout ce qui est précieux peut aussi être vulnérable, sujet à la dégradation. « Comme un fruit (bien) trop mûr » / « Like an overripe fruit » Une image forte : le fruit trop mûr, qui commence à pourrir ou à se détériorer. Il symbolise la beauté qui se transforme en décomposition, la vie qui se décompose. « Epluché. » / « That you peel. » Le fruit est pelé, dévoilant son intérieur, ses couches. La métaphore du peeling évoque aussi la nécessité de retirer la couche superficielle pour accéder à quelque chose de plus vrai, mais qui comporte aussi la trace de la dégradation. « Son jus sucré, » / « Its sweet juice, » Malgré la dégradation, le fruit conserve une douceur, une essence précieuse. Cela indique que même dans la décomposition, il y a une beauté, une douceur. « Doux chagrin maquillé » / « Disguised sweet sorrow » Le chagrin, la douleur, sont adoucis ou maquillés, transformés en quelque chose de doux. La douleur devient presque esthétique, une composante nécessaire de la beauté poétiqueétique. « S'écoule sur tes doigts » / « Flowing over your fingers » Le liquide sucré, le jus, coule, évoquant la sensualité ou la transmission de cette expérience émotionnelle, une expérience tactile et intime. « Les colle » Les doigts sont collés par ce jus, illustrant l’attachement à cette douleur douce, à cette expérience mêlée de plaisir et de souffrance. « Et les cimente tous » / « Cementing them together » Ce qui colle peut aussi cimenter, renforcer, l’unité entre la douleur et la beauté, entre la dégradation et la création. « Comme un bunker sucré. » / « Like a sugary bunker. » L’image finale est surprenante : un bunker, un refuge, mais sucré. Ce lieu de protection contre le monde, ici, est édifié avec du sucre, symbole de douceur, de plaisir, mais aussi de fragilité. Le bunker sucré peut représenter une forteresse de la douleur douce, une protection contre la dureté du monde, construite de cette « crasse » métaphorique qui donne au poème sa puissance. Interprétation générale : Ce poème souligne que la beauté, notamment dans la poésie, naît du mélange entre le beau et le laid, la douceur et la saleté. La vie elle-même est marquée par la fatigue, la blessure, la dégradation, mais c’est précisément cette imperfection qui permet la création artistique. La métaphore du fruit trop mûr, du jus sucré, du bunker sucré, évoque que la douceur et la douleur sont indissociables, que l’attachement à ces expériences même dégradantes forge l’identité et l’expression poétique. En résumé : La poésie ne peut exister sans la confrontation avec la réalité sale ou douloureuse. La beauté est souvent issue des blessures, de la dégradation, mais elle conserve une douceur précieuse. La résistance (bunker sucré) est construite à partir de cette mixture de douceur et de grime, de fragilité et de force. La complexité humaine, avec ses déchirures et ses beautés, est la source première de toute création artistique. Ce poème invite donc à embrasser la « grime », la saleté de la vie, comme un élément essentiel à la beauté et à la poésie authentique.
  3. Je m'amuse à écrire un truc sur "google Traduction" avec l'anglais en regard et je bricole à mesure, en fonction : Pas de poème sans crasse No poem without grime De promenade sans poussière No a walk without dust Aux chemins fatigués On weary paths Ni d'amour sans dégât Nor a love damage less Un bonheur s'avarie Happiness is spoiling Comme un fruit bien trop mûr Like an overripe fruit Epluché. That you peel. Son jus sucré, Its sweet juice, Doux chagrin maquillé Is a disguised sweet sorrow S'écoule sur tes doigts Flowing over your fingers Les colle Sticking them, Et les cimente tous Cementing them together Comme un bunker sucré. Like a sugary bunker.
  4. Merci : je ne savais pas qu'il faisait ainsi allusion à ses yeux. Je n'ai pas tout retenu quand j'ai lu ! Pour ce qui est des désirs sexuels existants ou pas je suis d'accord : chacun sa vie ! Quoi que vouloir constituer en modèle idéal vertueux (et généralisable !) ce qui reste hors norme, pose raisonnablement problème. N'empêche que le judaïsme avec sa circoncision (= "castration symbolique" à mon avis) comme nouvelle alliance avec son Dieu Yahvé ou Jéhovah semble un peu vouloir configurer ce dernier en mâle dominant de la horde... On reste en pleine psychologie... des profondeurs ! Avec la Bible comme symptôme ! Peut-on considérer tous les écrits religieux (et aussi bien toute création humaine) autrement dans leur forme et/ou dans leur fond que comme une projection de la psychologie de ceux qui les ont écrits ? Pour moi la réponse est évidente.
  5. Le "bon usage" selon les dogmes de la religion et sa conception du bien et du mal. Tout ça c'est culturel. Ce n'est qu'une des options possibles. A partir de la reproduction sexuée (il faut un mâle et une femelle) ou en tout cas deux individus comme chez les hermaphrodites, C'EST SELON ! Selon les cultures humaines comme chez les animaux tout existe et est envisageable : La fidélité des deux individus concernés ou pas. Je n'invente rien : c'est comme ça. On voit des couples d'oiseaux par exemple "à la vie à la mort !" et d'autres qui changent à chaque printemps... Pareil pour les cultures humaines qui varient parfois ... L'important c'est qu'il faut être deux et que ça procure du plaisir ou en tout cas que des tensions physiologiques y soient résolues, apaisées. (Des "tensions" dont le seul intérêt ou la seule "raison" ou fonction, était qu'elles réclamassent leur apaisement !) Le reste c'est culturel ! C'est au choix ! Ceci dit, la monogamie ou la "fidélité" ont leur intérêt qui permettent d'éviter des risques de consanguinités accidentelles. Mais bon, chez les pharaons... Pfff ! La consanguinité ne semblait ne pas trop les gêner (même si elle a pu entraîner des catastrophes individuelles) et puis, ça a donné La Civilisation qui a duré le plus longtemps ! Et une des plus belles... Sans oublier la Bible ! C'est pas Noé ou un autre qui, bourré, a couché avec ses propres filles ? Z'étaient rustiques ces braves gens ! Je les prendrai pas très volontiers comme modèles... Moi, même bourré je coucherais jamais avec mes filles ! D'ailleurs j'ai pas de fille !
  6. Ce qui s'appelle faire de nécessité vertu... (Et je passe sur la deuxième partie de la citation pour moi insupportable qui consiste à à caresser dans le sens du poil après avoir mis l'adversaire plus bas que terre : d'abord tu blesses pour feindre de secourir ensuite !) On savait déjà que Paul parlait de "son écharde" : Peut-être était-il impuissant ou quelque chose dans ce genre ? Et tout le monde devait prendre modèle et référence sur quelque déficience ? Ou quelque névrose ? Décidément, on est bien chez les fous... Et voilà que si vous êtes sain (pas impuissant, normalement constitué) vous êtes condamné à vous sentir coupable !... Est-ce bien raisonnable ? C'est le normal qui devient pathologique ! "Je n'éprouve pas de désir sexuel ? OK ! Faisons de ma tare une vertu religieuse !" Merci pour avoir cité Saint Paul ! Jusqu'à présent je le trouvais exemplaire : il travaillait pour gagner sa vie (et ne vivait pas aux crochets de ses fidèles ce qui était respectable) là vous avez mis le doigt sur une vraie déficience, un vrai problème. MAIS c'est ce principe de faire de nécessité vertu qui lui aurait permis de contourner la névrose... Voilà une utilité flagrante bien qu'inattendue de la religion ! Il faut toujours chercher le positif !
  7. Français : livre = Grec : βιβλίο (Prononcer : vivlio !)
  8. Absolument ! "On peut savoir résister à ses envies" : Sans doute ! Mais pourquoi inventer un plaisir pour l'interdire ? C'est proprement du sadisme ! C'est Tantale ! Insensé ! Stupide ! Où alors, c'est que ce "Dieu Moral" n'est pour rien du tout dans la Création. Et que la "Nature" se soit ainsi débrouillée -par tâtonnements et non par une décision claire- pour que la reproduction s'effectue quasiment à coup sûr devient alors la seule option raisonnable. Avec "profit et perte" si certains plaisirs ne sont pas précisément utiles à la reproduction ! La nature puisque par ... TÂTONNEMENTS s'est un peu... trompée ! Et je rappelle que Dieu NE PEUT PAS SE TROMPER ! EXIT le Vieux Barbu !
  9. Je suis à la ramasse ! Mes théories vous lassent ? Mon modèle ? C'est Cupidon ! Et vous m'en trouvez si bidon ? C'est çui qui affute ses flèches Pour cibler les jolies pimbêches ! Et d'une seule il les perfore ! (Tout comme au temps des dinosaures !) Et il en a plein son carquois ! Non mais Allo... quoi ? Croyez surtout pas que j'invente Je l'ai aperçu près de Nantes Qui se bricole une arbalète Pour toucher de plus loin ses bêtes ! "La digue, la digue !... De Nantes à Montaigu...
  10. Pour moi le premier problème de ce "plan Hors-sexe" du christianisme c'est que si l'on suit le dogme originel de la création de l'homme, c'est Lui, LEUR dieu qui a inventé la reproduction sexuée... Et donc ce qui va avec : En particulier le plaisir inhérent à l'acte sexuel pour le rendre désirable et... en quelque sorte inévitable ou obligatoire... Puisqu'il faut bien, il est impératif que l'espèce se perpétue. Et voilà que ce plaisir (indispensable pas ailleurs) devient condamnable ! Mais c'est Lui qui l'a inventé ! L'est gonflé le "Vieux" ! C'est incohérent. Si l'accouplement était vraiment un péché, il lui eût suffit afin qu'il nous en préservât de le faire s'accompagner d'une souffrance indescriptible !
  11. Je vous pardonne ! Pour terminer sur le sujet, le comble c'est quand les femmes parlent des belles fesses des hommes : ça c'est une preuve !
  12. C'est pas de mes idées que je parlais ! Mais en tout cas ça a longtemps fonctionné ! Le plus amusant pour les femmes (ou le plus triste) c'est qu'elles sont tenues de revendiquer une exigence de désirs qu'elles n'ont pas... (le plus souvent !) -Après tous les cas sont dans la nature... Le hommes qui "jouent" les femmes n'y sont sans doute pas pour rien... Si bien que les femmes veulent se conformer à l'image des femmes que veulent se faire les hommes... Une femme N'a le "droit" d'avoir UN désir sexuel que tous les neuf mois ! C'est génétique ! Les hommes, eux...
  13. Oui, il s'agit bien de remplacer l'absurde par du sens ! Du bon vrais sens (bien orienté !)...
  14. Le ... "Quantisme" (le fait que la physique quantique nous semble légèrement aléatoire -ou plus statistique que "nominale"-, indéfinissable ) me semble être un des derniers refuges de la spiritualité ! On pourrait aussi bien parler d'esprit magique ! Beaucoup de croyants de tous poils se raccrochent à cette idée. Elle leur permet de ne pas basculer totalement dans l'irrationnel (qui est de fait leur désir profond !) et de conserver une sorte de vernis ou d'apparence scientifique : "Je ne délire pas : la physique quantique me permet de penser comme ça !" Je mélange dans un shakeur L'espace, le temps, la matière, l'antimatière, l'énergie noire, le passé, le futur, l'esprit, l'incertitude quantique ; Je secoue fortement tout ça et ça j'obtiens un bon ersatz de pensée religieuse... De pensée magique : tout reste envisageable ! Moïse, le Karma, MA résurrection, voire mon immortalité, Allah... etc A votre bon cœur M'sieur Dame ! Bien sûr je ne critique personne ici sur ce forum, je les incite simplement à se poser la question : qu'est-ce qui me motive vraiment à aller dans ce sens. (Tous théorèmes bus !)
  15. C'est bien connu : on dit "les grenouilles de bénitiers" pas les crapauds ! Le christianisme en développant son "Plan Hors-Sexe" (héréro ! ) a attiré à lui toutes ces pauvres femmes exaspérées par les pulsions sexuelles insupportables pour elles des hommes... Elles y cherche une... protection ! Si les hommes s'intéressent sexuellement plus aux hommes, ça les laisse tranquilles ! Brassens : "La femme qui possède tout en elle...."
  16. Un bon chrétien ne se marie pas. Exact ! Dès St Paul et St Pierre qui ont inventé le christianisme, se marier est un pis aller. Ils les tolèrent encore puisque vu que la plupart des HOMMES le sont et que ça limiterait trop le cheptel nourricier de leur secte, mais ils le disent il vaut mieux ne pas se marier. Après les vielles veuves, surtout si elles sont riches, c'est bon aussi. Mais il faut qu'elles leur donne tout en entrant dans la secte... Si non ils les TRUCIDENT ! C'est, il me semble simplement la haine ou la peur des femmes. Le christianisme semble homosexuel dans son essence. Déjà ces 12 mecs ensemble c'est... un peu louche : pas de gonzesse ! Et puis n'oublions pas que quand Jésus a été arrêté il était couché avec un jeune homme tout nu sous le drap... C'est pour aller contre cette CERTITUDE que le Da Vinci Code nous parle d'un Jésus marié avec des enfants potentiels... Il était question de choquer mais dans la limite du raisonnable. Jésus homo ça n'aurait eu aucun succès ! Pourquoi je vous dis ça ? Je m'en fous, mais je m'en fous ! Comme disait une vieille tante : "Moun cu'ou es mi'ou n'èn fa'ou cé qué vouèli !" (Mon cul est mien j'en fais ce que j'en veux !)
  17. Une puissance incroyable : une grosse B... !
  18. Engardin

    Le cinéma

    A ce propos qui met en parallèle Aix et Sète, j'ai le souvenir de Charles Trenet qui pour la rime ( "De Paris jusqu'à Sète on est heureux Nationale 7 ") a fait passer la dite route par Sète au lieu d'Aix ! Poète ou géographe, il faut choisir !
  19. Engardin

    Le cinéma

    ! Grandiose ton analyse ! C'est l'essentiel !
  20. Engardin

    Le cinéma

    Le cinéma... J'hésite ! Je ne sais pas si j'ira jusqu'au bout de mon histoire... Une chose m'y pousse cependant c'est que j'y ai inventé un concept psychanalytique ! Tout en dormant ! Avouez que c'est plutôt classe ! Bref... "Vélodromo" (= nous verrons !) C'était au cinéma disais-je. Un cinéma en plein air selon toutes probabilités puisque les sol est en terre battue... Trois files de spectateurs perpendiculaires à l'écran chacune à plusieurs rangs de sièges côte à côte. Un peu comme dans ces énormes avions qui transportent plusieurs centaines de passagers... Et je me trouve dans la file la plus à gauche. Voilà que le film commence... Mais dans la file du milieu des jeunes gens restent debout et font un tel raffut qu'il est impossible se suivre le film. Alors un jeune homme de la file de gauche, (de mon côté) se lève et va leur intimer l'ordre et de s'assoir et de ce taire ! Bien vu ! Ils obtempèrent. J'en profite pour y aller d'un jeu de mot bien senti particulièrement apprécié de ma voisine de gauche. (Hélas, j'ai totalement oublié ma remarque !) Il faut dire nous sommes tous particulièrement serrés les uns contre les autres ! A ma droite un grand type mince, brun qui s'est lui, contenté de sourire... J'en suis content : je me sens d'entrée apprécié de mes voisins ! Et je me suis fait remarquer ! Mais voilà que c'est déjà l'entracte ! Ma voisine se lève. Elle est assez petite, rondelette... Son mari était aussi avec elle. Et je me lève aussi. Afin de retrouver ma place je pense à tracer un trait dans la terre battue de la travée en face de ma rangée. Et je me dirige vers les toilettes. Il ne s'agit que de soulager quelque fonction urinatique... Et voilà que ces chiottes à la turque sont si glissants que je manque de me casser la figure ! Vous voyez cette panique que l'on ressent quand notre pied, notre semelle dérape comme sur une savonnette ? C'est exactement ce que j'ai ressenti. Mais je me suis rattrapé de justesse. J'ai donc dû pisser depuis le côté sans rentrer vraiment dans la cabine : Prudence ! Il s'agissait ensuite de regagner ma place. Et voilà qu'un "placier" redistribuait de nouvelles places à tout le monde ! Je passais outre ! Je tenais à retrouver ma bonne place de naguère ! Hélas, voilà qu'ils avaient labouré toute la rangée de terre battue où j'avais tracé mon repère ! Et il n'y avait même plus de sièges ! Je suis donc revenu vers le placier qui distribuait des chaises avec les tickets pour lui dire sont fait ! Et là c'est la cohue ! Me voilà coincé contre le mur par la foule ! Devant moi, qui m'empêche de passer, un bonhomme. J'ai l'idée de le soulever pour le reposer derrière moi et libérer ainsi le passage. je le soulève... Et voilà que c'est devenu un tout petit gamin. Je le soulève à bout de bras en hauteur... Sa mère qui est juste derrière moi semble inquiète. --Ne vous en faites pas lui dis-je. Et je le repose assis au niveau de nos épaules. Il ne pourra plus être écrasé par la foule. J'apostrophe alors le placier qui distribue les tickets juste derrière le gamin. -- Ah ! C'est bien l'effet MACRON ça ! Une VRAIE DICTATURE ! On n'a même plus la possibilité de choisir sa place au cinéma ! (Quand je pense que j'ai horreur de ce genre de jugements raccourcis, définitifs et à l'emporte pièce ! Pourquoi ai-je dit ça ?) N'empêche que le placier ne se tient pas pour battu. Il commence à pérorer façon fin psychologue... Et les comportements ceci, et les complexes cela et patati et patata... Alors, moi, pour rester au niveau et pour ne pas m'en laisser conter : -- Oh le Non-Moi on connait ! Ben merde alors ! Le moi, le sur-moi, le moi idéal, l'idéal du moi je connaissais un peu mais là, le Non-Moi, c'est une première ! C'est quoi au juste ? Un moi que l'on feindrait d'être, un rôle, par opposition à notre moi vrai ou profond ? On va dire ça... Le NON-MOI ! Ou alors, la mort du Moi ? j'envoie, je vais relire après !... Là, j'ai relu : c'est vraiment nul !
  21. Tu peux aussi construire un bon raisonnement avec les mots de l'autre... C'est pas ça la pédagogie ? A propos justement de politique j'ai lu récemment de Parménide (je crois) : "La guerre c'est l'art de tuer les hommes et la politique celui de leur mentir !" quand on pense que ça a été dit quelques 4 ou 5 siècles avant notre ère ça laisse perplexe...
  22. Tu vois ? Quand tu fais un effort on peu commencer à te comprendre, mais ça ne dure pas ! Je relève deux modes d'expression dont un abscons ...
  23. Moi non plus ! C'est l'idée claironnée que le travail DOIT rendre heureux qui est un piège. Certains s'en sont déjà bien servi... Arbeit mach frei !
  24. J'ai pri un peu de temps à écrire la fin d'une de ses interviews. Comme ça on saura de quoi on parle. Perso je ne connaissais pas : Sophie Robert : "On est dans une société où les hommes ont l'exigence d'être écoutés quand ils expriment leurs émotions, et les femmes ont l'exigence de considérer que leur émotions ne valent rien. Et qu'elles ont tendance à fermer leur gueule. Surtout quand elles sont en considération par rapport à un homme qui prétend être une femme. C'est le dernier avatar de cette espèce de virage complet en arrière qui après avoir ouvert des portes en reconnaissance des violences faites aux femmes... encore des nécessités du patriarcat résiduel... Alors, voilà : Au nom de la diversité on a du man sleening ! Je mets du rouge à lèvre une jupe et une perruque à deux balles et vous avez l'obligation femmes de vous prosterner devant moi !" Il y a de quoi réfléchir !
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