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Tout ce qui a été posté par Neopilina
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Il y a " quelques " propriétés privées en France qui sont mieux protégées que le Louvre, peut être même aussi bien que des sites sensibles (militaires). Pas loin de chez moi, une petite route longe une propriété privée, même si c'est illégal, on sait tous qu'en passant sur cette route, on est filmé. Il y a un couple de gardiens, et des chiens idoines lâchés sur le domaine, etc. Quand à la société de sécurité privée où tout cela est " branché ", elle ne fait pas de pub à la télé et n'en fera jamais.
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Pas impossible. Mais avec Kadhafi t'as des tonnes d'infos classées, et rendre public des infos classées, c'est a minima les gendarmes, la police, c'est selon, à 6 heures 0 - 0 devant ta porte. Coll hein, pas les " cagoules " ( ), ils vont sonner, toussa, " Bonjour madame, etc. "
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Je te l'ai déjà dit, un " jour ", " La France et Kadhafi ", ça fera un très très gros livre. Le dernier chapitre s'intitulera " Kadhadi et Sarkozy ".
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C'est fait. Infiniment trop tard à mon goût.
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Premièrement, je respecte les lieux, il va de soi, je vais adapter mon comportement. Mais on comprend vite que les cimetières c'est aussi une partie du patrimoine forcément. Il s'est passé un certain temps, un temps certain, avant que je rentre chez moi. Et j'ai visité pas mal de cimetières, me dirigeant toujours vers les sections les plus anciennes. P.S. J'ai vu ci-dessus le mot " catacombe " pour Paris, même si le terme est rentré dans l'usage commun, ce n'est pas stricto-sensu des catacombes. Cette présence prodigieuse d'ossements humains dans d'anciennes carrières souterraines sous Paris est le fruit du déménagement du cimetières des Innocents, devenu absolument urgent, décrété par Louis XVI. Wiki : " Conformément à la déclaration royale du 10 mars 1776 relative aux cas d'autorisation d'inhumation, il fut fermé en décembre 1780, puis vidé en 1786 pour des raisons sanitaires, tandis que l’église des Saints-Innocents fut rasée à la même époque. Le 9 novembre 1785, sur la suggestion de l'inspecteur général des carrières, Charles-Axel Guillaumot décida de transférer les restes secs (c'est-à-dire les ossements qui se trouvaient dans les charniers et sur une profondeur d'un mètre cinquante) dans les anciennes carrières transformées en catacombes situées sous le lieu-dit de la Tombe-Issoire, ce transfert se faisant pendant quinze mois selon des processions quotidiennes de tombereaux en présence de prêtres ". Stricto-sensu, une catacombe a d'emblée une vocation funéraire.
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Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
Pour moi, le voile fait parti de l'arsenal conquérant des islamistes. Donc ? Pas de H.S. Qu'est-ce que tu penses d'une femme qui postule à un emploi, habillée normalement, et qui une fois embauchée se pointe voilée au taf ? J'aimerais une réponse à cette question précise. -
Qu'une I.A. ressortent, transmettent, les a priori, les travers, etc., de ses concepteurs, c'est, si on y pense un peu, la moindre des choses. C'est " comptable ".
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Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
Etc. Y'a un petit truc, trois rien, qui t'as échappé sur la photographie ci-dessus, on peut voir : " Shari'ah for Britain ". Même moi, qui cause " très bien " l'anglois, j'ai compris. -
Il y a plus de D6 à Gaza que de D9. Mais le D9, le plus gros de la gamme, c'est un peu une tête de gondole, comme le plus " gros " char. Caterpillar fait, entre autres, les meilleurs bulls du monde. J'ai vu un D9 qui avait 40 ans de service, il était nickel-chrome.
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Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
" Bon ", tu ne comprends toujours pas. Ce n'est pas à moi qu'il faut dire ça, mais à l'Inquisition, et, plus proches, à nos cathos-ultras, qui ne sont pas franchement des enfants de choeur (désolé). Merci pour cette information, je comprends mieux. Et j'avais pris la peine de préciser que les proxénètes n'étaient pas musulmans, mais que ces réseaux " tournent " uniquement avec cette clientèle. Je caricature un peu, mais comme toute caricature, " y'a un peu de ça ". Je m'en fous de ce que dit Moïse, et tous les Prophètes de l'A.T., je m'en fous de ce que dit Jésus, je m'en fous de ce que dit Mahomet. Je regarde les faits. Et les faits, passés et présents, ne plaident vraiment pas en faveur des religions en général, et du monothéisme des Livres en particulier. Il y a eu quelques saints hommes, et femmes, mais ce n'est jamais le gros du troupeau. -
Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
C'est toi qui ne voit pas, pas du tout, ce que je veux dire. Autre exemple. Quand monsieur part au boulot, il enferme, pour de vrai, sa femme, en sortant du boulot, il va voir une " professionnelle ", ensuite, il rentre chez lui. Et ça, c'est pas la faute à l'Occident. Comme ce n'est pas très politiquement correct de dire ça à la télé, je vais t'informer un petit peu. Il existe des réseaux de prostitution réservés à une clientèle musulmane (très discrète, pas chiante, etc.) et les proxos ne sont pas musulmans, un réseau démantelé à Commercy (Meuse, 55), un réseau démantelé dans la banlieue de Nancy (54), etc. Depuis la nuit des temps, il y a des empires, les Occidentaux n'ont rien inventer dans ce registre. " Aller à Canossa ", google est ton ami. Même en Europe, on a eu des dirigeants sous tutelle d'une religion, et pas qu'un peu. Il a fallu se battre partout pour s'émanciper de ces conneries. Et on n'a pas envie de recommencer avec les " Barbus ", c'est clair ? -
Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
Et une fois que le christianisme est religion impériale, en moins de 50 ans, les chrétiens martyrisés se sont mis à martyriser. Ça, c'est vrai, et, pour le moins, je ne m'en suis jamais caché, et je ne suis pas " raciste " : elles ramassent toutes, et le plus notoirement du monde, le monothéisme des Livres, la pire de toute. Je le dis haut et fort, fort et clair. Les religions veulent figer, sauf que dans cet univers il n'y a absolument rien de vraiment figé. -
Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
Sauf que l'extrême se répand. Une voiture immobilisée par les gendarmes. Monsieur est accompagnée de madame, qui a le permis, mais monsieur appelle quand même un cousin pour prendre le volant. Il y aussi pas mal de femmes qui ne connaissent pas le code de la carte bleue, etc. -
Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
Moui. Et au Moyen Age en Europe, il y avait un lieu de châtiments corporels, infamants, d'exécutions, publics tous les 15 kms et on brulait pas mal de sorcières (et quelques sorciers), et autres. Pour les délits mineurs, c'était souvent sur le parvis de l'église, ou la place publique, pour les alcooliques qui avaient raté la messe, etc. Et puis " on progresse ", on passe du châtiment corporel à l'amende, etc. La haine de la femme, le christianisme a aussi bien donné, on connaît. C'est peut être même pour ça qu'on n'a pas envie de recommencer. -
N'importe quoi. Vas sur une bourse aux minéraux et fossiles du " circuit " officiel, annuel, et tu pourras t'acheter une petite pépite lambda australienne, etc., pour quasiment le prix des cours officiels (or brut sans la moindre " valeur ajoutée ").
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Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
En classe de seconde générale, la meilleure élève de ma classe était d'origine maghrébine, " bon ", je la " cramais " quand même en français, en histoire-géo et en biologie (future S.V.T.) et pas que sur notre classe, et, même sans flirt, ce qui ne m'aurait pas déplu, on était vraiment potes, complices, on avait les mêmes fréquentations dans la " Cité scolaire ", " on trainait ensemble ", c'est la formule consacrée, etc., j'insiste lourdement sur ce point, pour qu'on comprenne bien la suite, j'entends sa voix, je vois son visage, j'aimerais la revoir, savoir ce qu'elle est devenue, etc. Et malgré tous mes efforts, je n'arrive plus à me souvenir si elle était d'origine algérienne ou marocaine, il y avait les deux dans ma classe. C'est dire à quel point c'était " important ", hein, à " l'époque ". -
Le port du foulard chez les lycéennes
Neopilina a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Société
J'ai 56 ans, donc mes années lycée, c'est la fin des années 80. Je passe du petit collège rural à la " Cité scolaire ", c'est son nom officiel, la grande ville, l'internat, sans transition : un collège, un L.E.P. et un lycée général complétement mitoyens, deux stades, " une piscine " (x bassins), bref, une " usine ", et pas la plus petite, conseil d'administration et tout le cirque. Pour le lycée général, selon les années, 10, 11, 12, 13, classes de seconde. Des " maghrébins " partout, même dans ma classe (Dieux merci, ). Et pas un voile. C'est un fait. " Ensuite ", on en fait ce qu'on veut. -
" Mais deux têtes valent mieux qu'une ", Homère.
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Les pépites d'or qui ont été volées au Museum valaient bien plus que leur poids en or brut du marché, c'étaient, d'un point de vue scientifique, géologique, etc., des pièces exceptionnelles, qui dans n'importe quel pays du monde seraient dans un musée, fondre ça pour le prix de l'or brut, c'est un crime, une aberration aussi vénale que possible. Une chinoise a été arrêtée. Mais où sont les pépites ? Peut être qu'il est déjà trop tard. Idem pour ce casse en Allemagne, un vrai traumatisme : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cambriolage_de_la_voûte_verte_de_Dresde
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Rigoureusement exact. Quand Daesh arrive, y'en a déjà un paquet qui ont fait leurs " courses ", y'a eu des voleurs, pour le fric, et des destructeurs, les tarés fanatiques. Des états, équipes européennes, soutiennent à fond l'état irakien en matière de patrimoine, la Mésopotamie, aujourd'hui, c'est l'Irak.
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Donald Trump, le cauchemar américain.
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
Lors de l'épidémie de Covid-19, des ministres, etc., russes ont proposé de " taper " dans le fonds souverain pour financer des mesures contre la pandémie, le " Vlad " a dit " Niet ". Pour moitié moins d'habitants que les U.S.A., il y a eu 1 million de morts en Russie. Le dit fond souverain a été ou est en passe d'être cramé par cette guerre. Au début de la guerre, j'avais vu que ce fonds tiendrait jusqu'à 2025. Si on compare la situation globale de l'Ukraine, aidée à tous points de vue par une foule de monde, et celle de la Russie, cette guerre est chaque jour plus intenable pour la Russie. Même s'il n'y paraît pas, c'est bien elle qui a un besoin de plus en plus urgent d'au moins un cessez le feu. Un cessez le feu, c'est pas une armistice, et certainement pas une paix. Pour les deux Corée, à vérifier, c'est juste un cessez le feu ou une armistice, les deux pays sont toujours en guerre depuis 1953. Une petite " trivialité " : c'est la guerre. Et donc forcément, on ne sait pas le 10° de ce qu'il se passe en coulisses (transfert de technologies vers l'Ukraine, etc.). Si le grand public peut le savoir, alors l'ennemi peut le savoir, c'est aussi simple, et radical, que ça. -
Donald Trump, le cauchemar américain.
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
D'accord. La Trumpie ne pourra pas faire aux U.S. ce que la Poutinie fait en Russie, etc. Mais je suppose qu'une petite guerre civile aux U.S. fera plaisir à pas mal de monde. -
Donald Trump, le cauchemar américain.
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans International
La réalité plus forte que la fiction. On sera bien un jour comment, pourquoi, un président U.S. est devenu le laquais, le commis voyageur, d'un dictateur mafieux, et surtout russe. J'aimerais bien que ça soit le plus rapidement possible. -
Guerre en Ukraine - Sujet général
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Allez Vladimir, encore un effort, et tu vas renouer avec des " ratios " dignes de 14-18 ou 39-45. Sachant que la Russie vivait déjà une grave crise démographique avant cette guerre. Il y a moins d'un mois une brigade mécanisée (5 ou 6 000 hommes) s'est faite écrasée, etc. -
Tout ce qui suit s'entend selon moi, en l'état, etc., toutes précautions indispensables prises. Je me suis efforcé de réduire à l'essentiel. Si quelqu'un est intéressé, il peut réagir en public mais aussi me contacter en privé. Je propose d'ajouter les textes suivants à la bibliographie de Sade (seul ou en collaboration) : - " Journal de Paris ", n° 331 du samedi 7 novembre 1778. Un pseudonyme, Sade selon moi, soumet un article et un projet, avec planche dépliante, d'élévation des tours de l'église de Saint Sulpice alors discutée. - " Observations critiques et philosophiques sur le Japon et les japonais ", 1780. - " Conseils d'un militaire à son fils ", 1781, " Le Guide du jeune militaire ", rééd. augmentée de 1802. " De l'officier ", tirage limité à usage interne de l'École de l'Air, 1959. Éditions en anglais très augmentées et adaptées à ce lectorat tel que le signalent les préfaces, dont une aux U.S.A. en 1808 à Salem. Il n'y a peut être qu'une traduction, rééditée à de nombreuses reprises, je n'ai pas pris la peine de vérifier ce point. - " Adélaïde ou mémoires de la Marquise de M*** ", 1782, rééd. en 1783. - " Pensées sur les femmes et le mariage dédiées aux hommes ...", 1782, rééd. en 1803, " Nouvelles pensées ... ", rééd. sans date (1863), " Un million de pensées ... ", chez Passard. C'est cette édition qui permet l'attribution à Sade. - " Les aventures d'un provincial ou histoire du chevalier de Jordans ", 1782, rééd. peu après sans date : " Les aventures d'un provincial, nouvelle parisienne ". - " Les folies philosophiques d'un homme retiré du monde ", 1784. - " Les confessions d'une courtisane devenue philosophe ", 1784. E.O. Chez Couturier [fils] à Paris, très souvent oubliée par les bibliographes. Un ou deux tirages de colportage sur gros papier par Le Francq de Bruxelles (pirate bien connu), la page de titre, même police, même vignette, se trouve avec deux adresses différentes. Rééd. en 1883 : " Confessions d'une courtisane ...". On trouve à la fin, sans la moindre explication, un petit conte gai, " Corne pour corne ". - " Les adieux de soeur Rose à son cloître ", 1784. - " L'Étourdi ", 1784. Rééd. par Gay et Doucé en 1882, 500 exemplaires. - " Le vicomte de Barjac, ...", 1784. 7 éditions en 1784, une à " Londres ", en fait Paris, chez Valade, format Cazin, peut être l'E.O. Les six autres à " Dublin ", en Suisse en fait. Une seule des sept éditions comportent les clefs pour identifier les personnages réels mis en scène, et qui n'ont pas apprécier. Classiquement attribué à Luchet, on le reverra. - " Olinde, ...", 3 éditions en 1784. Une à " Londres ", Paris, chez Valade, format Cazin, donnée comme E.O. Une à Genève, une autre sans adresse. - " Vénus en rut, ... ". Je place l'E.O. en 1784. Tous les grands bibliographes donnent curieusement 1770 pour l'E.O., introuvable, et cette date est intenable à lecture (ouverture du théâtre de Monsieur à Paris, etc.). Rééd. en 1790, deux en 1791, 1794. " La belle libertine, ... ", 1793, 1797, 1889, est une réédition partielle du premier. - " L'insuffisance de la vertu ", 1784, " La comtesse de Tessan, ou l'insuffisance de la vertu ", 1785. J'ai vu un exemplaire avec les deux pages de titre, un autre avec celle de 1785. Je n'en ai pas vu avec celle de 1784. Texte très rare. - " L'amitié fraternelle ou le triomphe de la vertu ", 1785. " Repris " en 1787, le volume double : " Alphonse d'Inange ou le nouveau Grandisson ". - " L'exemple et les passions ou aventures d'un jeune homme de qualité ", 1785. Réédition partielle en 1789 : " Anecdotes amoureuses d'un jeune homme de conditions ou l'exemple des passions ", 1789. Ce texte ainsi amputé devient incompréhensible, c'est un coup de libraire, le nom d'auteur donné est le Chevalier de Boufflers ! Sade ne peut pas être en cause dans cette avanie. - " Lettres de madame la comtesse de L *** à monsieur le comte de R *** ", E.O. en 1785. Deux autres en 1785. Et une 4° dont la page de titre de la première partie porte la date de 1785 et celle de la seconde partie celle de 1786. Très bien écrit, façon Marquise de Sévigné, sauf qu'il ne se passe absolument rien : on allait s'endormir. Et puis, soudain, une pauvre jeune femme, prénommée Pélagie, séduite et abandonné par un roué, accouche d'une fille, prénommée Justine ! - " Mémoires de la duchesse de Morsheim ", deux éditions en 1786, une sans adresse (a priori, E.O.), une à l'adresse de " Dublin ", Suisse en fait. 2 rééd. en 1787, idem. - " Mémoires de Mademoiselle de Baudéon ... ", 1786. - " L'hypocrite démasqué ou Félix et Colombe ", 1786. Une deuxième édition sans date peu après à l'adresse de Toulouse, la permission est datée de 1786. - " L'heureux jeune homme. Histoire orientale ", 1786. - " Aventures du chevalier de Mossther ou la force des passions ", 1786. Rééd. en 1788 à Francfort chez les Frères Van Düren (pas vue). - " Tableau des moeurs d'un siècle philosophique. Histoire de Justine de Saint Val ", 1786. - " Voyages et réflexions du chevalier d'Ostalis, ... ", 1787. Peut être une E.O. en 1786 : l'approbation et le privilège portent la date de septembre 1786. - " La femme vertueuse, ou le débauché converti par l'amour ", 1787. - " Le comte de Saint Méran ... ", 1788. E.O. en in-12, la 2° en in-16. Rééd. en 1789. - " La suite du comte de Saint Méran ... ", 1789. Une réédition de 1791 chez Maradan, porte en page de titre par erreur : " Le comte de Saint Méran ... ", mais c'est bien la suite. - " Lettres d'un vieillard à un jeune homme qui entre dans le monde ", 1788. - " Vie et amours d'un pauvre diable ", 1788. Portrait de l'auteur en frontispice. C'est la vocation principale de cet ouvrage réjouissant. Ça fait 11 ans que Sade est en forteresse. - " Éloge philosophique de l'impertinence ", 1788. L'auteur posthume, M. de la Bractéole, est un personnage du comte de Saint Méran. Rééd. en 1806, avec un frontispice dépliant en trois volets. - " Lettres de Mademoiselle de Tourville à Madame la Comtesse de Lenoncourt ", deux éditions par Barrois en 1788, la 2° est sans approbation ni privilège. - " Justine d'Arancy ou la vertu calomniée ", 1788. - " Une seule faute, ou les mémoires d'une demoiselle de qualité ", deux éditions en 1788, une à l'adresse de " Londres " (sans doute fausse, Paris) et l'autre à Bruxelles. - " L'oreille, conte asiatique ", 1789, deux éditions en 1789 par Barrois, une de luxe en trois volumes, avec approbation et privilège. La seconde est en deux volumes, sans approbation ni privilège, et la dédicace à Madame de F ***** a disparu. - ? " Le dépositaire ou choix de lettres sur différents sujets ", 1789. Recueil de morceaux parus dans le " Journal de Paris ". A minima, on trouve des pièces de Sade et des réponses faites à celui-ci. Il est peut être le compilateur. - ? " Nouvelle correspondance ou choix de lettres intéressantes sur divers sujets ", 1789. Même idée que le titre précédent, mais en plus sérieux. Sade peut être compilateur. - " Journal de la ville ", 8 numéros par Luchet et Sade : du 24 au 31 juillet 1789. Sade est écarté du projet, au profit de Mirabeau. Luchet a fait un choix, c'est Mirabeau l'homme du moment. Et Sade et lui se détestent depuis des années. - " Almanach du Trou-Madame ", 1791. Infâme brochure, ni faite ni à faire, mais instructive, beaucoup de souvenirs de prisonnier. N'a d'almanach que le nom, c'est une succession de 12 petits textes très bien bâclés. - " Frère Bonaventure, et la belle Angélique ", 1793. Mauvaise idée de railler les Frères Jacobins, même religieux, ça ne trompe pas grand monde. - " Mémoires philosophiques du citoyen Henrion ", 1793. Rééd. en 1795 (avant et après la Terreur). Dans le cas des textes signés " Henrion ", je ne mentionnerais pas les pièces pièces de théâtre, etc., très bien référencées dans la littérature spécialisée. - " La Champêtréide ou les Beautés de la paix et de la nature ", Henrion, 1795. - " Almanach général des Postes aux Lettres ", 1796. Jamais vu, peut être une erreur dans le titre et donc dans les référencements. Ouvrage administratif mentionné par le bibliographe allemand Ersch, toujours fiable, attribué à Chrisnen Henrion, qui a occupé un poste dans cette administration. Cet Henrion apparaît comme un complice, prête-nom, parfaitement résolu de Sade. - " Opuscules philosophiques et poétiques du Frère Jérôme ", 1796, chez Mercier de Compiègne. Pour moitié de Sade, pour moitié du grand Gabriel Peignot, qui refusera toujours de l'admettre même confondu. Dés le début du XIX° siècle, les collectionneurs s'arrachent l'ouvrage qui passe de rare à la plus grande rareté, rarissime, en quelques années. 2° édition en l'An VI : " Le Cousin du compère Mathieu " (pas vu). Les bibliographes signalent qu'un des textes (de Sade) a fait l'objet de, je cite, " tirés à part ", qu'ils ne datent pas : " Songe systéma-physi-comico-moral de M. Jérôme ". Pas vu. - " Révélations d'amour ", Henrion, 1796. - " Les incroyables et les merveilleuses ", Henrion, 1797. - " Charles de Rosenfeld ... ", An VII (1798-1799). - ? " Les loisirs d'un réquisitionnaire sur les religions, Thermidor de l'An VII ". Pamphlet qui porte bien son titre. Signé D....... - " Encore un tableau de Paris ", Henrion, An VIII (1799-1800). - " C'est cela !, ou questions parisiennes, petite revue de nos grands travers ", Henrion, 1801. - " Sylvestre ou mémoires d'un centenaire ", 1802. - " Le philosophe de Charenton. Par l'auteur de la gastronomie " (cette dernière mention est une usurpation), 1803. - " Amours de Manon la Ravaudeuse et de Michel Zéphyr ", Henrion, 1803. Rééd. sans date, en 1806, signée par Anagramme Dauneur (Ragueneau de la Chainaye, complice des plus notoires de Sade lors de cette période). L'adaptation pour le théâtre a également été imprimée, le titre commence par " Les amours ... ". - " Alcymadure ou le Premier musicien ", Henrion ", 1803. - " La vie et les opinions d'un bijou, ... ", 1804. J'ai vu un exemplaire où la page de faux titre de l'E.O. (imprimée sur un cahier) a été remplacée par un frontispice d'Eisen représentant les trois Grâces. L'exemple n'est peut être pas unique. L'ouvrage compte deux parties, il n'y a qu'une page de faux titre pour le tout, eut égard aux usages, on attendrait une page de faux titre par partie (pas sûr de moi). Sur le dit exemplaire, on voit bien que la page de faux titre a été coupée avec une large marge, confortable, pour coller la page du frontispice. Cette opération a peut être été anticipée à l'impression pour un nombre limité d'exemplaires. - " Les veillées de Momus, ... ", Henrion, 1805. Rééd. en 1820 (pas vu). - " Le bâtard de Lovelace ... ", avec Cuisin, 1806. - " Variétés philosophiques et littéraires ", 1808, avec George-Louis Bernard. Textes de l'un et de l'autre. - " Les goguettes du bon vieux temps, ... ", 1810. Recueil de chansons, vaudevilles, etc., grivois, paillards, " Par un vieil amateur ". J'attribue la préface à Sade. Nota bene. Il y a une deuxième édition la même année, augmentée de 306 à 344 pages, mais la préface a disparu. - " Couplets chantés à Son Éminence Monseigneur le cardinal Maury, archevêque de Paris, le 6 octobre 1812, à la maison de Santé près de Charenton ", Paris, 1812. Cités par Royer Collard dans la " Revue rétrospective ", pages 254 à 264, tome 1, 1833. Royer Collard ne cite pas sa source, on peut très facilement supposer qu'il répugne à le faire. Il a pourri les dernières années de Sade à Charenton.
