Elisa*

Rien de nouveau dans ces pratiques commerciales ayant pour but -comme énoncé plus haut- d’appâter le chaland et/ou de simplement le fidéliser par des pseudo-avantages qui, évidemment, ne sont que de la poudre aux yeux. La base du commerce quoi. Après on peut refuser ce système basé sur la séduction, l’enfumage et revenir au troc hein. Business is business… qui veut s’enrichir : le commerçant ou le client ? Ne soyons pas naïfs, cela a toujours plus ou moins existé sous des formes diverses.

Je dirais l’exutoire relativement civilisé de nos névroses inconscientes ou parfois totalement assumées en tant que telles.

Oui cela arrive bien trop souvent en France aussi mais elle n’est pas légitimée comme en Inde.

Ça tourne à l’obsessionnel cette histoire de frotteur… et ta mauvaise foi devient évidente. Tu sais pertinemment qu’il ne peut y avoir de comparatif entre l’Inde, le Japon et la France : d’autant plus en matière de mœurs, de sexualité, d’éducation, de condition de la femme, etc… cela n’a absolument rien à voir ac la France. Nous ne sommes ni en Inde, pays dans lequel la femme est maltraitée, violentée, violée par son époux, et même tuée pour sa dot ; ni au Japon, où la sexualité est presque tabou. Donc il me semble peu logique de faire une analogie dans la façon particulière qu’ils ont de séparer hommes et femmes dans leurs transports en commun et de vouloir le transposer en France. Heureusement il n’y a pas non plus que des victimes et des frotteurs dans les transports en commun dans notre pays même si évidemment ce phénomène est lamentable. On pourrait se nicher dans des bulles transparentes comme ça on éviterait ceux/celles qui puent aussi ou qui nous déplaisent tant qu’à faire.

Ok… on en parle de la sexualité dans ces pays-là ? Peut-on faire un comparatif ac la société française ?

Je me suis fait la nouvelle saison de « Black Mirror »… mais ça m’a moins emballée que la première saison que j’avais trouvée incroyable.

Les vestiaires c’est un autre problème. Il y a un rapport indirect à l’intimité puisque l’on se déshabille : ce peut être gênant, etc… Tous les hommes ne sont pas de gros pervers.

Je comprends pour les Uber car le contexte est délicat puisqu’il n’y a que le conducteur et la cliente : le sentiment d’insécurité est logique. On ne sait pas à qui l’on a affaire… Je n’ai pas de solution mais je n’aime pas l’idée de séparation homme-femme. Ce n’est pas ma conception de la société, pareil pour les piscines, le corps médical, etc… Un monde « puritain » diabolisant les hommes, ça me dérange.

Je viens de tilter juste au dessus ! Je suis contre même si évidemment j’en comprends maintenant le sens. Il n’y a pas que des psychopathes dans les transports.

Ah je viens de réaliser : c’est en lien ac les « frotteurs » et autres énergumènes irrespectueux ?

Je ne saisis pas trop. Pourquoi donc uniquement pour les femmes ? Il n’existe pas d’hommes fatigués, malades, handicapés ?

Moueff… pas toujours, ça dépend des familles.

Soupir*

Soupir*

Ce chiffre, c’est trop, de toute façon même un seul enfant maltraité, violenté, agressé… inadmissible, inconcevable, je ne comprends pas.

Comme quoi on aura tout vu !

Arrête de faire « Coin-coin » !

La Coin-coinnerie !

Absolument pas en ce qui me concerne, je n’ai pas ce pouvoir « devinatoire ».

Rechercher de quelle manière ? Rendez-vous en terre inconnue ?

Ils étaient clairement au dessus -si je puis dire- des autres : le deal était de pousser jusqu’au retranchement sans aucune considération pour leurs « proies ». Le coup d’éclat était leur fonds de commerce. Le but étant le dieu Audimat. C’était du show trash sans la moindre once d’empathie, de sensibilité. Et du reste, quand je vois aujourd’hui le visage de Baffie s’excusant, je ne sens aucune espèce de regret, toujours aussi impassible, le regard vide.

« Les conseilleurs ne sont pas les payeurs » : ma grand-mère me disait souvent ça et même si c’est un poncif, il me semble mesuré, censé.

Mais personne ici n’a à le faire déjà car tu ne sais absolument pas qui sont ces personnes auxquelles tu t’adresses derrière ces pseudos, leurs intentions, leurs niveaux de compréhension, d’intelligence, de perspicacité, et évidemment d’honnêteté. Tu ne peux pas accorder ta confiance à des personnes que tu ne connais pas ! Et d’autre part, je suis désolée de te dire que je n’ai pas plus confiance en la réalité, l’objectivité du récit de ton histoire.

Du coup, je n’y suis pas allée. J’étais sur « Knokke Off », série sur la jeunesse dorée belge ac des acteurs que je trouve plutôt bons, voire attachants. Peut-être ce soir, je te dirai. Je voulais te rejoindre quand même sur les séries françaises que tu as évoquées plus haut : oui, une certaine qualité mais à mon sens, on les remarque tant elles sont peu courantes.

À toi de savoir si tu as l’envie de continuer ac un individu qui, d’après ce que tu décris, me semble peu dans l’expressivité de grand chose.