Auger

Tu as tout compris : les NB, c'est inadmissible !

Plus sérieusement : quand on me refile deux/trois maladies, qu'il y a des mecs dans mon plumard et qu'ils me piquent mes New Balance............... Je pense qu'il faut rompre !

Merci, Votre Altesse !

Non, l'indifférence n'est pas toujours visible : et c'est quand elle est caché, que l'intérêt est simulé, qu'il y a véritablement tromperie !

Oui, mais dans ce cas, pas de différences entre tromperie "sexuelle" et tromperie "relationnelle" (celle qui me tient particulièrement à cœur) (ou alors tu es tro z'intelligente et subtile pour moi ! )

Coucou "Romy" !

Euh, j'ai rien compris !

Tu as raison, mais - de mon point de vue - faire semblant de maintenir une relation sentimentale avec quelqu'un alors que tu te fiches complètement de ce qu'il éprouve, pense, vit, souffre... relève davantage d'une forme de trahison dans la relation de couple que d'avoir des besoins sexuels à satisfaire ailleurs.

Marrant de toujours considérer que coucher ailleurs = tromper = trahison = rompre. Je me suis davantage senti trahi par des partenaires qui n'en n'avaient, finalement, rien à cirer de moi (sans coucher ailleurs pour autant) que pour des histoires de coucheries extra-conjugales...

En France, on est pour le favoritisme quand on en bénéficie soi-même (c'est alors "normal") et contre, quand ce sont les autres qui en profitent.

Très beau texte, très douloureux. Que dire ? Rien... ou qu'il faut vivre malgré tout, se reconstruire ou pas, aimer ou pas, comprendre ou pas, accepter ou pas, pardonner ou pas : faire juste ce qu'on peut.

Les préfaces dans les bouquins : 9 fois sur 10, c'est saoulant, saoulant, saoulant ! (encore un drame de ma vie) Du coup, maintenant je les zappe, na !

Le préservatif (ok, je sors...)

Quand tu n'as pas le choix, tu es bien obligé de faire avec (ou sans)...

Il n'est pas trop dans mon tempérament de tourner autour du pot, aussi vais-je te répondre franchement : oui, à 100 % !

Merci pour ton témoignage.

J'ai l'impression que cette phobie te permet de te protéger d'autre chose... Mais c'est juste une sensation que j'ai... Quoi qu'il en soit, bon courage.

A quoi bon vivre le restant de sa vie en prison, sans espoir de sortir un jour ?

Allez, je vais être transgressif... Ce type ne méritait que la mort, une mort la plus douce possible, mais la mort. Et ça n'a rien à voir avec la barbarie supposée d'un état (les états tuent légalement et régulièrement via leur armée, souvent des innocents : voir l'armée française au Mali) ou qu'on soit au 21ème siècle (argument à mes yeux complètement irrationnel).

Je te remercie - sincèrement - de ta sollicitude. Mais, au-delà de mon cas personnel qui est de peu d'importance - je souhaitais surtout (modestement j'espère) lever un tabou sur la solitude, réelle ou "ressentie". Alors, je sais bien, nous sommes tous heureux, nous débordons tous d'amour partagé, les vacances se passent super bien, les dimanches sont remplis d'activités et de rencontres : bref, nos vies doivent être pleines comme des œufs durs. Du coup, celui (celle) qui arrive en proclamant que sa vie n'est pas tout à fait comme ça, il nous renvoie à une forme de réalité niée ou cachée, alors on le rejette, on ne l'écoute pas, ou on se demande pourquoi il semble souffrir autant... C'est contre ça que je voudrais me battre (et contre lequel je me bats humblement tous les jours), contre ce déni de réalité de nos vies quotidiennes, et on a le droit d'évoquer l'ennui, la frustration, le désamour, la... solitude... sans être, au fond, si différent des autres. Ces autres qui n'osent peut-être pas exprimer qu'ils ressentent la même chose : alors peut-être qu'en libérant sa propre parole, on peut aider à libérer la parole d'autrui. Sur ces bonnes paroles : bonne journée !

Je ne sais pas : honte, douleur trop forte pour être exprimée, sentiment d'être le seul à éprouver cela, désintérêt pour sa vie intérieure comme si ça ne servait à rien et renvoyait à des tourments adolescents...

Ah, le sujet tabou par excellence : plutôt crever qu'admettre éprouver un sentiment de solitude...

Peut-être que cette solitude provient du sentiment de ne pas être compris, donc pas accepté... Pour dire la vérité, je n'en sais rien et préfère presque, Dieu sait pourquoi, ne pas le savoir...

On peut être très entouré et se sentir - intérieurement - seul. Cette "maladie", cette solitude intérieure permanente et incompréhensible, je ne la souhaite vraiment à personne.