CAL26

Non, tous les signes religieux font partie intégrante de la société française dans les espaces publics. C'est vrai depuis au moins 1905.

Oui ton commentaire un peu ironique me permet de pousser un cri : Après ce cri tonitruant (mais que vous n'avez peut-être pas entendu si vous êtes loin), je dois dire que deux choses me dérangent dans quelques messages lus ici et je les trouve assez représentatives : d'abord les réactions que provoque un signe religieux musulman et la nécessité alors qu'il y aurait à représenter toutes les catégories des habitants : un voile musulman défierait la laïcité à moins de représenter toutes les religions. Mais la laïcité n'interdit pas de porter un signe religieux dans un espace public (une croix ou une Kippa auraient-elles incité à un tel appel à l'équilibre dans la représentation des religions ?). Faudrait-il alors une exhaustivité dans la représentation de chaque catégorie de personnes pour que ce que permettent les lois dans l'espace public ne soit pas considéré comme non respecté et pour que ce que permettent ces lois respectent nos principes républicains ?

Au lieu de vouloir refaire le procès ici lisez donc le jugement : https://static.blast-info.fr/attachments/stories/2025/-BmT3bXXQC-y7JH3Ez9RuA/attachment-6qVvja8ySnGcls8XXjgQ1g.pdf?fbclid=IwY2xjawNKNYxleHRuA2FlbQIxMABicmlkETFvQjliNDBTMUVwZE9DSENVAR4kO_dg5o0AwA_zW8iBOAWP2kxKteAHwGksSg1mbM0v3acPDHK7tn01bpxhAQ_aem_FUEE4SrHAuYKG3xkxWfoPQ Au minimum, avant de le contester.

Des précisions juridiques ont été apportées dans l'émission "C ce soir" diffusée hier sur France 5 et ce qui est apparu c'est quand même la faiblesse de ce qui a fondé cette décision d'exécution provisoire mais c'est lié au manque de critères bien définis dans notre législation pour ce genre de décision. Un des arguments du procureur adjoint de la république de Meaux, sûrement invité en tant qu'expert et secrétaire général adjoint du syndicat majoritaire de la magistrature, c'est que statistiquement les décisions d'exécutions provisoire sont majoritaires pour les peines de 5 ans et plus.

Il voulait se donner du temps pour lire "la princesse de Clèves". 5 ans, il est large.

"Je ne vois pas..." c'est une forme de question. Mais effectivement tu peux ne pas répondre, inutile de continuer à polluer le topic.

Je ne vois pas ce qui te fait rire @timot-33. L'émission apportait effectivement des nuances et très peu de français connaissent les termes du verdict rendu ou le fonctionnement judiciaire français. Mais c'est peut-être hilarant.

L'émission C CE SOIR sur France 5 aborde le sujet. Il y a au moins les nuances qu'on ne trouve pas ici entre ceux qui crient sans savoir au complot ou à la partialité politique des juges et ceux qui n'en sachant pas plus ne semblent pas plus se poser de question quant à la légitimité de la sanction.

Alors pour que tu comprennes je vais rappeler l'historique En réponse à Morfou tu évoquais les freins et les conseils que les juges ont pu recevoir. Et comme cela avait été précédemment suggéré, j'ai pensé que tu soupçonnais comme d'autres forumeurs une pression politique qui aurait influencé le jugement final. Donc quand je dis "peut-on sérieusement penser que ce qui est décisif..."..."ce sont des consignes données aux tribunaux de première instance puis..." je dis le contraire de ce que tu me fais dire en découpant ma phrase. Comprends-tu l'importance de "peut-on sérieusement penser que" ? C'est comme une négation de la suite.

Nathalie Gavarino a relaxé François Bayrou, jugé François Fillon et alors ? Le seul sujet ici c'est le dossier du financement de la campagne de Sarkozy pour la présidentielle de 2007. Tu affirmes qu'il est vide : tu as donc eu accès au dossier d'instruction constitué de 10 mille pages. Alors ce qui serait pertinent c'est une argumentation précise basée sur ce dossier d'instruction.

Absolument pas : Relis bien, merci.

C'est aussi une valeur républicaine de ne pas refaire un procès à partir de simples bribes aperçues dans les médias. Alors peut-être as-tu eu accès aux 10 mille pages du dossier d'instruction ce qui permettrait pour toi et sur des bases solides de qualifier le procès de procès stalinien ; ou à défaut tes valeurs républicaines ne laissent pas de place à la justice.

Disons que l'Etat a une activité non marchande et le privé une activité marchande. Ces deux activités contribuent à l'ensemble de l'économie et donc rapportent. La question est qu'ont fait les entreprises des aides perçues ? Et pourquoi il apparait dans l'article mis en lien une tendance politique ultralibérale augmenterait la dette.

C'est peut-être soluble avec une guitare ou dans une conserve de cassoulet. Ton passé te donne ces armes.

Sauf si elle est comme ma tante, si elle en a.

Je ne vois pas pour quel(s) motif(s) il serait intéressant de prendre le risque de corrompre les juges pour un ancien président qui n'est plus rien politiquement et ce depuis plusieurs années. Peut-on sérieusement penser que ce qui est décisif dans l'affaire Bygmalion, l'affaire des écoutes puis dans le financement de sa campagne de 2007, ce sont des consignes données aux tribunaux de première instance puis pour l'affaire Bygmalion et pour celle des écoutes à la cour d'appel et enfin à la cour de cassation pour l'affaire des écoutes ?

Déjà tout dépend de ce que l'on entend par le terme "nazi", tant @Danoketian n'apporte pas de précision. Si on se limite aux théoriciens, aux haut dignitaires qui ont conçu ou appliqué avec zèle les conséquences des idées hitlériennes, la proportion est forcément faible. Mais si on élargit à tous ceux qui on défendu la politique du parti national socialiste, ce n'est plus une minorité de l'Allemagne des années 30/40. Il y a aussi tous les "petits" exécutants qui par peur ou par conviction ont tué, torturé ou massacré avec zèle soit parce il fallait montrer son dévouement soit parce que le sadisme bénéficiait de conditions favorables. La France sous l'occupation est par contre de fait moins active. Alors les collabos ou résistants étaient une minorité par rapport à ceux qui ont attendu que ça se passe.

Tu pourrais peut-être préciser ce qu'il y a dans le documentaire qui t'a inspiré ce sujet, tant il y en a sur le nazisme. Et parmi les nazis il y a sûrement de tout, tant le contexte était singulier, comme il y avait de tout chez les français sous l'occupation dont une partie dénonçait alors qu'ils n'avaient pas l'obligation immédiate de le faire. Une chanson de Goldman dit ça simplement : Et la morale est un combat incessant et sur du sable mouvant : les nazis ont tué en masse mais au nom d'une certaine morale, née d'une idéologie, mais une morale néanmoins. Elle était juste à l'opposé de l'humanisme.

Quant le sujet est son travail de recherche il n'est effectivement pas incongru de se fier à lui plus qu'aux médias qui passent (maman... etc etc) . Mais cela ne signifie pas qu'il est plus pertinent en tout autres sujets que le scientifique dont il a vu le podcast sur le forum : la pertinence d'un scientifique se limite surtout à son domaine de recherche mais il ne fait pas à priori autorité en métaphysique ou sur des sujets assez politiques.

Peut-être un second Jean-Claude Roman qui veut faire croire à tout le monde qu'il est premier ministre. c'est terrifiant quand on connait la fin du fait divers.

Sûrement pour ce que le médecin appelle l'empathie émotionnelle mais l'empathie cognitive (il me semble qu'elle est parfois désignée par le terme bienveillance) consiste à s'efforcer de comprendre même des situations qu'on n'a jamais subies. L'empathie émotionnelle donne un embryon à la morale, mais ce que l'on appelle la morale n'est ce qu'elle est que par l'empathie cognitive.

Si tu penses que @vizizioment, je peux dire que son récit me semble crédible. Surtout la guitare pour séduire la conseillère financière, zaï, zaï zaï (oui en plus le gars est allé là haut sur une colline).

Quand on est seul, on ne se pose pas la question "de qui vient le pet" ? Alors on en sait plus sur soi, loin du bruit du monde.

Egalement reçu un très hygiénique "veuillez agréer toute ma merdouille". Nos administrés ont du talent.

J'en ai lu une adressée à mon administration : "bisous". Il faut dire qu'il avait commencé par un "ma couille" de courtoisie.