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Tout ce qui a été posté par satinvelours
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Rosa Bonheur (exposée au musée d'Orsay jusqu'au 15 janvier 2023)
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Je ne me pose pas ce type de question. Je ne pense pas qu’il soit possible de dire pourquoi par exemple quelqu’un a pensé l’ordinateur, pourquoi Turing en a jeté les fondements. Nous nous posons peut être ce type de question lorsque les choses ont été créées. Mais celui qui innove ne sait pas lui même ce qu’il va créer avant que l’inspiration enfin ne lui ouvre une voie de création. L’écrivain ne sait pas ce qu’il va écrire avant qu’il n’ait écrit. Il n’est pas possible d’enfermer tout ce qui est dans un discours rationnel même si je comprends la tentation de tout expliquer, de tout réduire à des causes, même si je comprends cette volonté de posséder le monde dans la pensée, et de penser ainsi le dominer. Je n’ai pas une telle volonté de puissance car je crois que cette volonté de puissance est vaine. Il n’est pas possible de tout expliquer, le vivant déborde largement la raison. Je ne suis pas non plus à l’aise avec des mots aussi abstraits que : la technique, le risque est de s’égarer dans des discours qui n’auraient plus aucun rapport avec le réel, le vécu. Pour la technique je préfère penser : machines, outils, etc, je préfère la pensée pratique d’un Jancovici par exemple, je vois ce qu’il veut dire. Enfin je ne crois pas que la technique en soi, que les machines en soi, posent un problème. C’est plutôt ce que nous voulons en faire qui fait débat. S’il y a un problème civilisationnel il ne vient pas des machines, il y en aura toujours même dans une autre civilisation. Le problème est plutôt au sein de nos représentations. Les représentations sont nécessaires aux hommes pour qu’ils continuent d’aller de l’avant, continuent de s’engager, continuer d’aimer chercher, etc. Les représentations usuelles s’écroulent, les représentations religieuses d’abord mais aussi les représentations que nous offrent non les machines mais les scientifiques. Les religieux nous offraient une fin du monde avec un jugement dernier à la fin, il y avait encore une continuité. Les scientifiques nous offrent aussi une fin du monde, mais celle ci est absolue : c’est la mort de tout à la fin, sans plus aucune rédemption. Il reste peut être les philosophes. Mais je vois que nos deux têtes pensantes françaises ou déclarées comme telles par les media, Onfray et Houellebecq prédisent, avec une certaine satisfaction, l’apocalypse. Bon, religieux, scientifiques, philosophes chantent la fin du monde. Cela me donne l’envie de ne pas la chanter cette apocalypse, et de penser…une sortie possible. En fait d’apocalypse elle concerne surtout la fin de notre civilisation, ce qui est une toute petite apocalypse. Ce qui naîtra après sera sans doute très intéressant et la technique, les machines seront toujours là. En attendant ce monde nouveau nous commençons à vivre un effondrement local au sein duquel nombre d’entre nous feront leur chemin et le font déjà.
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La personne qui lance ce sujet a manifestement un a priori contre le wokisme. Mais au lieu de réfléchir sur elle-même et de distinguer ce qui, en elle, provoque ce rejet, elle va choisir un interlocuteur tel qu’elle pourra descendre en flèche cet interlocuteur, ce qui, dans l’esprit de cette personne revient à disqualifier le wokisme. C’est un peu enfantin. Derrière, le troupeau, qui lui aussi, ne distingue pas très bien ce qu’il peut bien exécrer dans le wokisme, suit, tête baissée. Spectacle triste d’êtres humains appliqués à se comporter en troupeau asservi à je ne sais quelle convenance.
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Je réagis maintenant au reste de votre intervention. La technique dont vous parlez, celle qui mène à privilégier les interactions, la coopération, les symbioses concerne surtout, à mon avis, les techniques de l’information partagée, l’informatique, les ordinateurs, les smartphones, etc. Certains voient par exemple dans l’invention du smartphone la réalisation du rêve libertaire de la génération hippie. Je pense en effet que ces supports techniques apportent beaucoup et permettent une activation soutenue de la communication entre humains. Je ne distingue pas précisément, pour le moment ce que cette communication de plus en plus soutenue apporte concrètement. Mais il y a un rapport entre cette communication de plus en plus soutenue, entre personnes parfois très éloignées entre elles à tous points de vue, et une prise de conscience personnelle plus aiguë de soi même et des autres, et aussi une prise de conscience des enjeux sociaux, politique, et même civilisationnels. Il ne me semble pas que ce soit la technique ( de l’information) qui engendre par elle même de nouvelles représentations, c’est plutôt la technique, en tant que médium ( mise en relation) qui permet à la pensée humaine d’être stimulée par l’intercommunication, stimulation qui conduit à de nouvelles représentations. Ces nouvelles représentations restent tout de même assez balbutiantes, mais nous pouvons en effet parler, pour le moment, de déconstructions. Je ne sais pas si le seul enjeu civilisationnel est celui du rapport de l’homme avec la technique ( vue pour le coup bien au delà de l’informatique, je pense à l’IA notamment). C’est à dire que je ne suis pas sûr que seule la science puisse construire notre avenir. Il existe une autre question fondamentale, c’est le rapport de l’homme avec le non humain ( avec le vivant non humain, avec l’inanimé, etc), le rapport de l’homme avec son passé, son rapport avec son avenir ( je parle là du sens).
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Je réponds, pour le moment, à ce premier paragraphe. Vous posez une question à laquelle je n’ai pas réfléchi jusque là. En effet, comment se fait il que certaines représentations deviennent vraies avant d’être finalement délaissées comme étant désuètes ? Ici il s’agit des représentations usuelles freudiennes telles que le moi, le ça, le surmoi, le conscient, l’inconscient, le subconscient, le soi, etc. Je peux répondre à cette question pour avoir vécu différentes vies. Ces représentations, je les ai utilisées lorsque j’avais 20 ans. Mes enfants par exemple, ne les utilisent plus. Pourquoi ? Vous avez raison, il existe une connection étroite entre nos représentations et notre environnement culturel social. Lorsque j’avais 20 ans, l’homosexualité par exemple, non seulement était considérée comme « coupable » par certains milieux mais elle était encore présentée par les freudiens comme un attachement infantile à la mère. Bref l’homosexualité n’était pas coupable pour les freudiens mais infantile. Les femmes en outre, pour les freudiens, enviaient le phallus et étaient déterminées par leur désir de posséder le phallus de leurs amants. Enfin, bon, bref. Pourquoi tout cela a été jeté dans les égouts ? Parce qu’il est arrivé un moment où les homosexuels se sont affirmés en tant que tels, dans l’indifférence totale de quelque causalité dévalorisante, et les femmes se sont affirmés en tant que telles dans l’indifférence également totale des causalités freudiennes voulant rendre compte d’elles-mêmes. Les personnes se sont affirmées en tant que telles dans leur désir en disant : quelques soient les déterminants de mes désirs je m’affirme et je n’en ai rien à foutre de vos déterminants savants ou freudiens. Pour ce qui est de l’abandon de la galaxie du moi, ça, surmoi, etc. ce sont les neurosciences qui jettent dans les égouts ces représentations. Encore que tout dépend comment sont lus les exposés des neuroscientifiques. Il y a donc d’un côté les évolutions sociales ( les homo et les femmes se sont affirmés en tant que tels surtout après les événements de 68 à travers de nombreux mouvements sociaux et politiques) et de l’autre nos représentations intimes. Il y a un rapport dialectique entre les affirmations sociales, les conquêtes sociales ( surtout dans les mœurs) et les représentations intimes. Il y a aussi un rapport dialectique entre les propositions scientifiques concernant par exemple le fonctionnement cérébral et nos représentations de la psyché.
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Oui j'ai remis ce tableau, ci-dessus, parce que j'aurais dû le commenter, pour expliquer pourquoi je le mettais là. Voilà, le commentaire est désormais écrit.
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Je réédite ce tableau. Parce que c'est l'œuvre qui m'intéresse ici plutôt que l'auteur. Cette œuvre me saisit. Cette énorme baie jette toute la lumière sur les personnages. Elle grandit à l'extrême les personnages. Mon regard fonce sur eux. D'autant que l'extérieur est sombre et désert. Il y a d'abord ce couple dont je m'interroge sur leur histoire. L'un est vêtu bleu foncé, elle est vêtue rouge. Le chapeau contre la chevelure. La retenue de l'homme, l'extravertie à côté de lui. Peut-être un lien d'amour, ou un lien d'affectivité forte. Il y a l'homme solitaire en face. Solitaire mais qui tient une place tout aussi importante que le couple. Je le devine plongé dans ses pensées. Il y a le garçon, le waiter, je ne parviens pas à décider qui il regarde. Mon indécision me conduit à regarder encore le tableau. Il y a mes souvenirs, mes longues marches dans Paris, mes coups d'œil à l'intérieur des cafés, surtout les gens accoudés au bar, au zinc. Encore aujourd'hui j'aime m'accouder au zinc, au milieu de personnes souvent étonnantes, surtout dans les quartiers populaires.
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Reproduction pas très nette, dommage. Mais ce tableau m'étonne par la dissymétrie entre le sujet (au premier plan) et l'image (dans le miroir). Au premier plan je devine une jeune fille et même une jeune femme. Dans l'image je vois une enfant. Il y a dans ce tableau une vision saisissante de l'adolescence. [Ce pourrait concerner aussi un garçon]. Ce passage entre l'âge adulte et l'enfance. Sur les genoux du modèle, un magazine avec la photo d'une femme, probablement une actrice : le modèle pour l'adolescente. La poupée est jetée. Il y a aussi la succession de cadres dans cette peinture. Le cadre général, le cadre miroir. Le cadre général fait ressortir la jeune fille ou la jeune femme, que je devine assurée, le cadre du miroir enferme l'enfant, qui est triste, l'enfance s'échappe dans le passé.
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Il est probable qu’il n’existe pas plus de moi que de surmoi, que de « ça ». Il est probable que « je » n’est pas un autre. Il est probable que nous n’avons que des représentations ( du moi, ça, du surmoi, etc.), que ces représentations sont des tentatives de compréhension de la psyché elle-même dans sa complexité. Il est probable que nous sommes sans cesse en travail, en travail d’une organisation psychique unifiée. Il est probable que l’unité se réalise le plus souvent dans la décision qui, elle-même, advient le plus souvent dans l’action. Il y a bien une activité dite consciente, et une activité dite inconsciente, mais les deux activités sont en synthèse constante, en travail constant de synthèse, il est probable qu’il n’y a pas d’activité consciente séparée de l’activité inconsciente et vice versa. Il n’y a que des représentations, parfois utiles, parfois nuisibles, le moi est ainsi une simple représentation qui permet de distinguer artificiellement l’activité consciente de l’activité inconsciente…Mais cette représentation devient nuisible quand elle institue l’existence réelle d’un moi. Ce sont nos représentations de notre psyché elle-même qui nous aident mais qui aussi nous égarent. Il est nécessaire de garder une souplesse d’esprit telle que nous puissions passer de l’existence du moi quand cette représentation est utile à son inexistence que cette représentation devient inutile.Un cerveau qui vieillit est un cerveau qui finit par solidifier ses représentations, et qui finit du coup par créer, dans cette solidification des entités telles que le moi, le surmoi, etc. entités qui fracturent le cerveau et accélèrent sa sénescence. Nos représentations de notre psyché à la fois nous aident et nous égarent. Elles nous aident dans le cadre d’une activité analytique mais elle nous égarent quand elles sont telles qu’elles empêchent l’activité synthétique, qui elle travaille sans cesse à construire l’unité.
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Dans l’hebdomadaire le Un Hebdo, il y a un article écrit par Frédéric Gros qui évoque « la monstruosité de l’obéissance ». Là où je relevais un désir ( ou un besoin) de soumission chez une forte minorité de personnes lui relève un désir d’obéissance. Il incrimine les Lumières qui humanisent le monde en prônant l’obéissance à la Loi commune ( toute bonne éducation passant par l’obéissance). Il relève donc l’apparition d’une obéissance automatique et « machinique ». C’est possible après tout. Possible que l’idéal de toute une minorité d’individus soit la Machine parfaite, l’IA. Laquelle Machine idéale se distingue par sa conformité avec le calcul économique, les algorithmes financiers, bref par sa conformité avec l’idéal libéral. Possible. Dans le cadre du calcul économique parfait, que ce calcul serve telle ou telle pensée, l’IA est en effet parfaite. Elle nous montre la voie, la Machine idéale : ne plus se permettre de commettre un biais cognitif ou encore arriver à l’heure à ses rdv.
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C’est une coïncidence…Je m’interrogeais hier sur un possible phénomène que je n’avais pas jusqu’alors vu : le possible besoin de soumission qui habitent certains. Si ce besoin de soumission ( je ne parle même pas de désir ou de volonté de soumission, mais de besoin de soumission) existe réellement cela oblige à revoir beaucoup de nos idées ( notamment sur l’égalité). Or je lis ce matin un article du monde ( donc malheureusement accessible seulement aux abonnés) traitant du phénomène sectaire qui ne cesse d’augmenter en France. Et l’article pose cette question ( dans la foulée d’une étude de la psychologue Delphine Guérard) : et si les victimes étaient elles aussi actives dans le processus d’aliénation qu’est l’emprise sectaire ? Si une minorité de gens avaient un besoin irrépressible de soumission ? Les conséquences d’une telle possibilité, si elle devenait observation avérée, oblige à penser autrement la politique.
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Il y a quelque chose dont je ne m’étais jamais aperçu c’est qu’il existe chez beaucoup un besoin de soumission intellectuel ( ou spirituel). C’est plus qu’un désir, c’est un besoin. Je m’aperçois de cela dans cette soumission aveugle de certains à la nouvelle idéologie que quelques intello élaborent à partir des neurosciences. L’idéologie des biais cognitifs, heureusement dénoncée par de nombreux universitaires entraîne derrière elle des personnes qui se mettent à plat ventre devant cette idéologie. Et je m’aperçois que ma colère devant ces disciples zélés est en fait inopérante car ce que j’ai devant moi c’est un formidable besoin de soumission à une idéologie. Il m’apparaît de plus en plus que les idéologies de toutes sortes, religions, fascisme, stalinisme, libéralisme, etc. ne pourraient jamais rencontrer autant de succès s’il n’y avait pas face à elles des gens possédés par un irrépressible besoin de soumission. J’ai toujours pensé que la soumission mentale était soit subie ( par le peuple dans le sens que lui donne certains : le peuple est la communauté qui subit sans pouvoir se défendre le pouvoir des puissants) soit acceptée par lâcheté (confer Sartre, qui ajoute aux lâches les salauds). Et bien je me suis trompé. La soumission est aussi un besoin irrépressible chez certains. Ce qui est étonnant c’est que ce besoin irrépressible de soumission à une idéologie quelconque est surtout le fait de quantité de gens instruits et éduqués. C’est un phénomène dont je n’ai jamais tenu compte. Ce phénomène explose et ruine du coup la notion d’égalité. L’égalité n’est pas possible dès lors qu’une forte minorité de gens sont littéralement possédés par un besoin de soumission à une idéologie, à une idée.
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« Tu étais habillée comment ? », une expo démonte les préjugés sur le viol et libère la parole
satinvelours a répondu à un(e) sujet de Plouj dans France
Je suis agacé quand je lis ça. Les autodidactes ont tendance à se coucher ventre à terre devant n’importe quel intello. C’est pénible cette disposition à l’esclavage. En plus voici qu’on nous parle ici d’action quand l’auteur a passé son temps à nous dire qu’il ne s’était engagé dans rien, où est l’action ? Ça ramène sa prose avec de grands airs et quand on demande, et votre œuvre c’est quoi ? On nous répond : c’est rien. Vivre bien planqué dans sa grotte est ce la valeur cardinale ? Ils sont là à détruire l’émotion sans même voir que l’émotion les guide. Le voici qui se met à plat ventre quand un intellectuel lui dit : attention aux biais cognitifs ! Bon sang après on va pourfendre les tentations fascistes de tel ou tel, mais c’est quand même une provocation une telle disposition à l’esclavage. -
Débats électriques dans l'hémicycle jeudi soir sur la réintégration des soignants non-vaccinés.
satinvelours a répondu à un(e) sujet de lafeeclochette dans France
Voici qu’un intervenant, @new caravagequi clame qu’il me met en ignoré se permet de me répondre. Bravo le courage. Il y a vraiment des gens qui doutent de rien. Ils vous attaquent, peut être avec raison, mais ils se protègent en vous ignorant. Je pense que quelqu’un qui met un autre en ignoré ne devrait pas non plus avoir le droit d’écrire à cet ignoré. -
Débats électriques dans l'hémicycle jeudi soir sur la réintégration des soignants non-vaccinés.
satinvelours a répondu à un(e) sujet de lafeeclochette dans France
Bien sûr qu’il faut les réintégrer. Mais les réintégrer cela pourrait affaiblir l’autorité des phallus called Macron ou Veran. Faut quand même vénérer le mâle dominant ( Blanc) quitte à laisser mourir des hommes de toutes façons Noirs. ( je fais référence à l’énervement du député noir). -
Il est probable que les changements à venir, induits par la conséquence de nos modes de vie sur nos conditions mêmes rendant possible nos modes de vie, induits par l’absurdité d’idéologies toutes tournées sur le devenir seul des hommes avec cette vision que seul l’homme mérite d’exister, vont ruiner toute une culture millénaire, ruiner les religions et les philosophies dans leurs fondements actuels. C’est étonnant comme danse l’humanité devant un ouragan qu’elle ne veut pas voir venir. Chacun reste accroché à ses habitudes. L’habitude engendre une inertie de laquelle les plus anciens ne peuvent plus sortir. Dans les nouvelles cultures à venir il est probable que l’homme aura une vision du monde décentrée. Il ne se considérera plus comme le centre. Il y aura partage au moins avec l’ensemble de tous les autres vivants d’un destin commun. L’homme quittera sa mentalité de colon par rapport à tout ce qui n’est pas lui. Il quittera son égoïsme qui le conduit à ne plus penser que pour lui, dans la recherche d’un confort en lequel il tend à mourir dans une sorte d’anesthésie.
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Il y a quelque chose d’indéfinissable dans cette conférence de Barbara Stiegler. Son analyse du nouveau libéralisme, le libéralisme autoritaire, reste imprécise. Il est possible que ce nouveau libéralisme aille au delà de la seule efficacité économique. Il est possible qu’il y ait désormais une volonté de domination des esprits, non plus pour maximiser la performance productive, mais pour la domination elle même. Il s’agirait alors d’obtenir la soumission volontaire des masses en vue de les rendre disponibles pour n’importe quel projet déterminé par les maîtres. La philosophe parle dans d’autres conférences de ces fameux biais cognitifs destinés à engager les masses dans la réforme de leur propre cerveau. Certains foromeurs déjà avancent ces fameux biais cognitifs comme les manifestations d’un cerveau inadapté. Ceux là sont déjà les milices avancées de ces nouveaux maîtres. Je suis pourtant moins inquiet que la philosophe. Les désordres qui vont arriver à cause du réchauffement climatique vont faire exploser cette nouvelle idéologie totalitaire.
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Une proposition de loi pour interdire la corrida
satinvelours a répondu à un(e) sujet de williams dans Politique
Pour vous c’est non ( pour moi aussi d’ailleurs). Pour d’autres c’est oui. Tout tourne comme toujours au rapport de forces. Ils ne veulent pas voir. Il faut y voir la culpabilité aussi. Difficile de dire : j’aime voir le taureau lutter dans le sang versé. -
Une proposition de loi pour interdire la corrida
satinvelours a répondu à un(e) sujet de williams dans Politique
La question est : a t on le droit d’être sadique ? Et si oui jusqu’à quel point ? Jusqu’à aimer la corrida ? Pourquoi pas. Une soupape. -
Guerre en Ukraine - Sujet général
satinvelours a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
On sent que celui là est un grand stratège. Dommage qu’il soit confiné à Pau. La France a besoin de tels génies. Il est tout content de guerroyer dans un désert celui là. En ignorant le monde il pense que le monde n’existe pas. Moi tout seul, je suis Dieu. -
Un choix crédible pour les Ukrainiens
satinvelours a répondu à un(e) sujet de CURIOSUS23 dans International
Donc la Russie n’a pas de légitimité à exister. C’est un vrai délire anti russe sur ce forum. Incroyable. Et en plus celui là cite Hitler, alors qu’il est tout simplement entrain de réciter Mein Kampf ! Incroyable. Finalement ça me fait rire de tels délires.