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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Jean-Paul Sartre peut-être par exemple? Mais c'est une référence classique... "La nausée", "Les mains sales", "Le mur", "Nekrassov" etc...
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Une rupture n'est pas toujours facile à vivre, même pour celui qui rompt. Et il n'est pas rare que celui qui rompt finisse par revenir sur sa décision ou par regretter sa décision, à un moment donné. Après une histoire de couple terminée, existent couramment quelques rancoeurs plus ou moins tenaces selon les cas, à tort ou à raison. Or si cette rupture n'est pas très récente, elle n'est pas extrêmement lointaine non plus. Il a été éconduit après avoir voulu revenir à un certain moment, probablement en a-t-il été logiquement déçu. Certains passent vite à autre chose, et pour d'autres c'est plus long, en fonction des histoires, de la personnalité, de la facilité ou difficulté à se remettre en couple, etc... N'est-il question que de rancoeurs, fondées ou non, à propos desquelles il veut discuter ou est-il encore attaché sentimentalement, difficile d'en juger pour moi sans plus d'informations. S'il devient véritablement harcelant à tes yeux, il faudra peut-être prendre des mesures ou l'avertir que tu pourrais le faire?
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L'un des premiers complexes auquel j'ai été confrontée, au sujet duquel j'ai d'ailleurs subi du harcèlement à l'école primaire, serait peut-être celui de la favorisée. Enfant, on me faisait davantage de compliments qu'à ma soeur en général, à l'école primaire on m'a traitée de chouchou jusqu'au harcèlement, d'une part par rapport à l'institutrice, et par rapport à la situation relativement aisée de mes parents. Au collège et au lycée j'étais plutôt populaire, mais ça m'a valu des rumeurs dégradantes à mon sujet, etc... A l'âge adulte c'est arrivé aussi. On m'a donné aussi confiance en moi en me renvoyant l'image d'une personne favorisée, mais j'en ai ressenti également une pression, des griefs à mon encontre, et je m'en suis sentie redevable. J'ai beaucoup cherché au cours de ma vie dès l'adolescence à avoir un mode de vie basé sur l'équité y compris pour les autres espèces...
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Je suis davantage de caractère introverti qu'extraverti. Et à mes yeux ce n'est pas un défaut dans une mesure raisonnable, c'est un trait de personnalité qui m'a beaucoup servi et qui convenait à mon parcours personnel, à mes choix de vie. L'introversion favorise la connaissance de soi, la réflexion et l'introspection entre autres, quand l'extraversion favorise la communication et l'activité relationnelle par exemple. A chacun de trouver la mesure qui lui convient le mieux par rapport à sa propre situation et à ses propres centres d'intérêt, mais en philosophie en tout cas, la connaissance de soi et la réflexion personnelle, sont essentielles, même si l'extraversion peut aussi lui servir pour d'autres raisons comme l'échange par exemple.
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J'aime la beauté des femmes, je les préfère belles et heureuses, que laides et malheureuses. Le bonheur pour moi ça se construit ensemble. -
Je me plais dans l'ensemble, j'aime me regarder dans le miroir et je suis fière de plusieurs de mes accomplissements. Je suis ma propre amie malgré les erreurs que j'ai pu commettre, j'ai quand-même confiance en moi, confiance dans ma raison d'être et dans ma nature, ça n'a pas toujours été autant le cas. J'ai réussi à traverser des moments difficiles dont j'ai douté parfois de pouvoir me sortir, ou dont je ne voulais pas forcément me sortir, et à en tirer des leçons utiles au quotidien, utiles pour moi et pour d'autres aussi à certains moments. J'ai acquis un certain nombre de connaissances dans des domaines qui m'intéressaient et qui comptaient pour moi, des connaissances que tout le monde n'a pas. Grâce au sport j'ai sculpté mon corps. Des gens m'aiment et tiennent à moi. Et j'ai plu à beaucoup d'hommes depuis mon adolescence. La vie est parfois difficile, et je ne sais pas si je tiendrai le coup longtemps, mais j'ai foi en l'avenir même s'il me fait peur. Et j'aime être avec moi-même. -
Le business utilise l'esthétique corporelle, surtout féminine, pour vendre, pour valoriser l'image de l'entreprise ou du produit. Or passé un certain âge le vieillissement devient généralement trop marqué dans cette démarche pour offrir une image assez parfaite et dynamique. C'est plus une question d'esthétique que d'âge, les femmes jugées les plus conformes esthétiquement, surtout plastiquement, sont bien davantage mises en avant publiquement. Cependant l'argument de l'esthétique féminine pour le produit n'est pas que valorisant, participer à l'objétisation féminine peut aussi nuire à l'image de l'entreprise ou du produit sans vraiment être un argument direct notable de leur valeur, donc ce type de mise en avant de l'esthétique féminine est aussi couramment critiqué, jugé biaisant et sur-usité, voire dégradant pour l'image des femmes dans la société, alors sur-assujetties à leur apparence physique, et certaines entreprises ou démarches publicitaires s'efforcent de s'en démarquer ou misent sur d'autres arguments, qui sont cependant censés "faire mouche" quasi-immédiatement pour retenir l'attention parmi la concurrence. A mon avis le culte du corps parfait n'est pas tout à fait que féminin, et de moins en moins suite à l'égalisation sociale des rôles de genre (même si le principe de femme-trophée corporel reste encore couramment usité), ce culte a ses raisons d'être pour la réussite personnelle, mais il devient malsain quand il s'impose outrancièrement, aux dépens du bon sens et du respect requis.
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Il m'est arrivé de me réfréner sur ce point car je l'ai parfois un peu trop dit à mon goût, ou bien on m'a aussi dit quelquefois que je n'avais pas à remercier quand je le faisais... Mais suis-je assez reconnaissante, et pas trop non plus, en tout cas il est vrai que je ne suis pas inconditionnellement reconnaissante, j'apprécie et admire les individus au fond pour bien des raisons, mais je m'en méfie ou les méprise aussi pour d'autres raisons, et je peux être très critique et distante, y compris vis-à-vis de bonnes intentions à mon égard ou à l'égard d'autres, bien que je peux quand-même à certains moments saluer l'intention le cas échéant. Je n'apprécie pas n'importe quel type de faveur, ou en tout cas pas tout à fait. Mais je crois que chacun a un potentiel bénéfique en lui-même pour tout le monde, qu'il réussit ou non à valoriser. Et personnellement, on m'a offert relativement beaucoup de chances, donc j'ai de quoi être reconnaissante à l'égard de beaucoup de monde, surtout certain.e.s, malgré les outrages que j'ai pu subir aussi parfois. Cependant je ne veux quand-même pas aller jusqu'à me rendre doucereuse pour autant, je m'efforce de jauger assez consciencieusement la partie remplie et la partie vide du verre en fonction de mes besoins, de distinguer l'éventuel degré de toxicité de la boisson en question, et de savoir si elle en vaut la peine ou pas. De réagir assez poliment mais sans trop de complaisance mal placée.
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Pour moi, c'est une évidence dans l'effet de séduction ressenti, le charme exercé sur moi, et un choix dans ce que j'en fais ou pas. Quand il n'y a pas cette évidence de sentiment spontané d'attirance, ou quand il est très fragile, la relation peut quand-même parfois exister mais c'est à contre-coeur ou hésitant en quelque sorte, normalement je refuse dans ce cas mais il y a des contextes particuliers. Quant à "c'est lui et pas un autre" ça dépend des cas, parfois je ne ressens d'attirance que pour un seul homme ou je préfère m'y consacrer exclusivement, ça peut durer plusieurs années éventuellement, et quand je me retrouve confrontée à d'autres opportunités intéressantes je les rejette alors. Mais je crois qu'on peut par nature être plus ou moins complémentaire d'avec différentes personnes, et on préfère valoriser une seule relation ou bien en valoriser plusieurs, en même temps ou alternativement. Personnellement j'écoute avant tout mon intuition pour ce type de relation, puis je gère en fonction de la situation et des évènements.
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Crise de la quarantaine...cinquantaine
sirielle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
Il y a eu des moments dans ma vie, y compris encore récemment, même si je ne suis pas encore très âgée, où je me suis dit que le temps passait, que l'avenir s'annonçait sombre, et qu'il me fallait profiter de ma jeunesse tant qu'il était encore temps. J'ai d'ailleurs été bercée durant mon enfance par le poème de Pierre de Ronsard "Mignonne allons voir si la rose". Mais cet état d'esprit m'a parfois un peu induite en erreur, soirées d'ivresse et relations douteuses avec des hommes par exemple... Ceci dit ce n'est pas toujours évident de faire les bons choix. Mais j'ai pris quelques résolutions depuis. -
Je suis complètement amoureux de ma collègue
sirielle a répondu à un(e) sujet de Maverik50 dans Amour et Séduction
A mon avis l'avenir apportera des réponses, il n'y a pas assez d'éléments à mes yeux pour connaître suffisamment l'état d'esprit de la collègue à ce sujet et ce que votre relation pourrait donner. En faisant davantage connaissance, ce sera probablement plus clair. Dans un cas comme celui-là pour ma part je serais vigilante par rapport au respect vis-à-vis de mon compagnon actuel quand-même, il me paraît légitime d'écouter ses propres sentiments, d'en tenir compte, mais pas au prix d'abuser de quelqu'un et de sa confiance... Donc, si nécessaire, j'envisagerais une mise au point avec mon compagnon actuel, mais seulement si les circonstances finissent par sembler induire que ça en vaut vraiment la peine. -
Certaines personnes ne font pas ou très peu confiance aux autorités sociales. Non pas qu'elles cautionnent forcément le geste, mais pour elles la police, la gendarmerie, ou la justice sociale ne sont pas considérées comme de bons recours, sauf peut-être dans des cas extrêmes. Peut-être que ces gens, s'ils condamnaient ce geste quand-même, auraient préféré par exemple une réaction plus à l'amiable, quelque chose de moins officiel, ou même peut-être rien faute de pouvoir intervenir soi-même... (Je précise que pour ma part j'estime que c'est plutôt du courage que d'avoir cherché à ce qu'il y ait une sanction sociale à ce geste. Mais dans d'autres cas, pas forcément, à juger au cas par cas.)
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Poupées, peluches, dessin, explorations de la campagne alentour, console de jeux ou jeux d'ordinateurs, jeux de magazines, jeux de société divers, corde à sauter, rollers, vélo, jeux de balles ou de ballons, chat perché, cache cache, déguisements/maquillage, chanter/danser, action ou vérité, jeux de piscine ou de plage, jeux de neige, etc... Seule, j'aimais particulièrement dessiner, me ballader et danser, jouer du piano aussi (J'ai commencé à prendre des cours de piano et de danse à l'époque de l'école primaire.).
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Déjà, à la base, c'est une expression que je n'aime pas beaucoup. A mon avis les méthodes traditionnelles, anciennes ou habituelles ne sont pas forcément les meilleures, voire elles sont parfois dépassées ou même viciées. Ce n'est ceci dit pas complètement faux, parfois se fier aux méthodes anciennes a du bon, mais ce n'est pas vraiment une règle à laquelle je me réfère forcément en tout cas, loin de là. Bien que souvent les proverbes sont à contextualiser pour révéler leur bon sens. Mais par contre associer cette expression à son partenaire dans une relation est à mes yeux rédhibitoire, pour moi c'est un manque de respect. Personnellement en principe si une personne me plaît, je ne la qualifierai pas de "vieux pot", ni ne généraliserai sans retenue notre relation. Il m'est arrivé plusieurs fois d'être en relation avec des hommes moins âgés que moi, s'il m'avaient sorti cette expression en parlant de moi, j'aurais estimé qu'ils sont grossiers voire je me serais éloignée d'eux, même en tant que blague j'aurais trouvé qu'ils prennent un risque. Et inversement, si un homme plus âgé me plaît vraiment, je ne parle pas de lui comme ça.
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Parce que mon point de vue diffère du tien. Pour moi physique et psychisme sont intimement liés, d'une part parce que le mode de vie choisi psychiquement impacte en partie l'aspect physique (alimentation (on dit d'ailleurs qu'"on est ce que l'on mange"...), activité physique, prise de risque mesurée, choix du lieu de vie, etc...), voire nos choix peuvent s'inspirer parfois de notre aspect physique, d'autre part le physique reflète aussi le psychisme à travers la gestuelle, le langage corporel, l'expressivité faciale et émotionnelle, voire le charme, etc... D'ailleurs à titre plus personnel, j'adapte au quotidien mon mode de vie en fonction de ce que je veux faire de mon corps et son aspect, selon une discipline réfléchie et évolutive. Bien sûr le physique ne dépend pas uniquement de soi, mais tout comme le psychisme, qui est soumis lui aussi à de nombreuses influences extérieures, et parfois à des déterminismes indépendants de notre volonté. Cependant dans les deux cas nos choix et notre créativité personnelle peuvent jouer un rôle dans leur évolution.
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Quel est le juste milieu pour séduire une femme ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Inclassables
En principe on adapte son comportement en fonction de la personne à qui on a affaire et du contexte. Quoi qu'il en soit pour séduire il faut se mettre en valeur sans pour autant devenir trop intrusif. Soigner les apparences, physiques, sociales, relationnelles, miser sur les affinités, les raisons valables de communiquer y compris pour son interlocuteur, tout en s'efforçant de ne pas devenir trop envahissant. Voire tendre à créer une attirance vers soi en devenant tentant par son agréabilité, et non pas encombrant, savoir s'éclipser suffisamment. Or c'est à juger en fonction de chaque personne. Car toute personne n'est pas disponible ou ouverte à telle ou telle sorte de relation identiquement, ou dans une même mesure. Il faut être assez attentif à ce que l'autre semble vouloir ou ne pas vouloir. -
L'ingratitude de l'adolescence par exemple (l'adolescence se terminerait vers 22 ans environ biologiquement), quand elle est habituée à être choyée au sortir de l'enfance mais qu'elle est pleine de vie et d'espoir n'est pas forcément une ingratitude très profondément ancrée dans la personnalité, mais parfois issue de l'atténuation progressive des responsabilités parentales et sociétales sur l'éducation, même si quoi qu'il en soit l'aspect physique peut aussi être impacté par le charme positivement ou négativement. A plus long terme, le rapport entre le physique que l'on a et le comportement que l'on choisit d'adopter devient plus important, parce qu'on devient plus autonome (même si l'environnement au sens large, entre autres, impacte aussi potentiellement le physique et son aspect, et pas uniquement les choix propres). Et puis "tout nous est dû" peut dénoter quand-même une ambition importante, et généralement, lorsqu'on a beaucoup d'ambition, c'est qu'on a conscience de certaines valeurs, et on finit normalement par prendre assez vite conscience qu'il faut s'en donner les moyens, ou bien qu'on pourrait perdre ce que l'on a, ne serait-ce qu'au travers l'observation d'autrui, si pour soi-même on n'a pas de difficulté à avoir le nécessaire. La langue française en tout cas propose ce terme à la fois pour la mentalité et l'aspect esthétique, ce qui n'est pas le cas pour tous les termes représentant un vice ou un trait de personnalité, et l'étymologie du terme reste la même dans les deux cas. On peut considérer que le terme renvoit au concept de grâce, terme lui aussi fortement lié en partie à l'esthétique corporelle, mais pas seulement. Or pour le physique on peut aussi tenir compte du langage corporel par exemple, physique et personnalité sont plus ou moins liés, font la personne que l'on est. La grâce, d'un point de vue physique, représente davantage "le charme et l'élégance" en résumé, qu'une plastique parfaite.
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Moi aussi en général mes relations commencent rapidement mais pas toujours dès le premier jour de la rencontre, et puis les périodes où je suis en couple peuvent parfois durer longtemps ensuite...
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Il m'est de temps en temps arrivé de me rapprocher d'un homme dès le jour de notre rencontre.
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Oui, chacun ses goûts, on n'est pas tous attirés par le même type de personne en fonction de notre propre personnalité.
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Le repli excessif sur soi, le manque de communication, l'évitement outrancier des contacts, des côtoiements, etc...
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Question de compatibilité d'esprits en effet, personnellement d'habitude j'aime les hommes qui ont confiance en eux et qui savent ce qu'ils veulent... Qui ne sont pas intimidés par moi, qui s'affirment. On peut évoquer les dérives éventuelles de ce caractère, comme on pourrait évoquer les éventuelles dérives de la timidité aussi, mais en tout cas pour ma part mes relations ont commencé comme ça, de mon adolescence à encore maintenant.
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Oui, je fréquente des hommes très sûrs d'eux en effet, je n'ai jamais été en relation avec un homme vraiment timide, ça ne matche pas avec moi.
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Ce n'est pas vraiment un conseil car toutes les femmes ne sont pas comme moi, à chacun de voir, mais il est vrai qu'avec moi c'est toujours à peu près comme ça que ça a fonctionné, y compris pour mes relations de plusieurs années. Grâce à l'attirance physique au départ (sans qu'il ne s'agisse obligatoirement d'un homme parfait physiquement cela dit), et pas trop de palabres pouvant, elles, m'éloigner au contraire. En général les hommes qui m'abordent me demandent d'abord mon numéro de téléphone sans beaucoup discuter voire sans discuter du tout, ensuite on se donne rendez-vous par téléphone et on se rapproche relativement rapidement. Et pour ceux que j'ai rencontrés par amis d'amis par exemple, ça revient un peu au même... Bien sûr plus la relation dure plus on a le temps de faire connaissance. Et s'il n'y a pas d'attirance physique ou si je ne suis pas disponible c'est non en principe.
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Quand on n'a pas le sens du mérite, on n'a pas non plus celui de la reconnaissance, tout le monde est alors logé à la même enseigne. On peut reconnaître une valeur équitable à chaque vie mais mesurer s'il le faut la respectabilité ou l'irrespectabilité des actes, actes aux responsabilités diverses. Et si on accorde une valeur à chacun, on peut quand-même soutenir le principe de légitime défense quand le contexte le nécessite. Ceci dit l'expression "tirer sur l'ambulance" représente habituellement un abus d'agressivité, s'en prendre à un adversaire déjà KO. Est-ce que c'est ce que je fais ou est-ce que j'aide l'ambulance? En tout cas l'un de mes buts essentiels est le bien vivre ensemble même s'il a pu m'arriver d'être en désaccord et de lutter pour mes principes, ou d'être simplement maladroite...
