sirielle

Musique d'inspiration religieuse, dont le thème principal ou l'ambiance renvoient à la religiosité, quelle qu'elle soit.

Je ne supporte plus du tout celle-là, drague lourde qui a fini par m'insupporter même si au départ je n'avais pas de souci avec:

J'ai un peu de mal avec Audrey Fleurot. Mais je changerai peut-être d'avis, je ne la connais pas beaucoup. Je trouve qu'elle a un air un peu puéril parfois.

Si elle dit non à reprendre votre relation, à mon avis il vaut peut-être mieux éviter de la "papouiller". Elle pourrait ne pas beaucoup oser te repousser pour préserver une entente pour les enfants, mais au fond d'elle-même être contrariée par cette insistance. En tout cas ce type de situation existe. (Personnellement j'ai d'ailleurs déjà eu ce type de sentiment quand je souhaitais rester en bons termes avec un ex pour certaines raisons.) Dans le doute il me semble qu'il vaudrait mieux tenir compte avant tout de ce qu'elle te dit. Qu'elle puisse ou non changer d'avis par la suite, tant que ce n'est pas fait il pourrait paraître irrespectueux de la toucher malgré sa volonté exprimée de ne pas reprendre votre relation. Ceci dit ça n'engage que moi, je ne connais pas beaucoup votre histoire.

Peut-être que cet intérêt qu'il éprouve pour d'autres femmes n'est que très superficiel, n'a que peu d'importance pour lui, même s'il n'y est pas tout à fait indifférent... Ou peut-être qu'il est vraiment sérieusement intéressé, voire coureur, et que son attitude en est un signe. Difficile avec si peu d'éléments pour moi de tirer des conclusions sachant aussi que son intérêt pour la professeure n'était peut-être pas de la drague, ou peut-être que si. Il lui a accordé plus d'intérêt lors de cet évènement, mais ça n'a duré qu'un court moment, et c'est avec toi qu'il est. Et même si elle lui plaisait au départ, pas sûr que ça matcherait entre eux s'ils se connaissaient davantage. Entre vous ça fait 5 mois, ce n'est quand-même pas qu'un ou deux soirs... Personnellement quand j'ai un doute, je laisse le bénéfice du doute. Et je ne surveille pas l'historique de mon compagnon, j'estime que c'est un peu son jardin secret, et puis ça évite de trop se poser de questions... Cela dit chacun ses choix, et en même temps il faut écouter ce que l'on ressent, être en accord avec soi-même. Et puis je comprends que ça puisse être désagréable d'avoir la sensation d'être avec un "mateur", ça peut être un peu malaisant effectivement. Donc peut-être devrais-tu mettre les choses au point avec lui, ou t'en éloigner si tu ne te sens pas bien avec lui, voire prendre quelques distances pour te changer les idées... Si tu hésites, tu peux aussi prendre le temps d'y réfléchir, attendre de voir un peu plus sur la durée.

Je connais quelqu'un dans mon entourage qui déteste être seul, même peu de temps. D'un côté on peut considérer qu'il apprécie la compagnie, mais d'un autre c'est aussi une dépendance exacerbée aux autres quelque part. Je ne sais pas s'il s'agit de ça pour les personnes dont il est question en introduction mais il existe en tout cas le concept de dépendance affective (pouvant être plus ou moins prononcée).

Même s'il s'agit d'une référence second degré, je me souviens d'un participant qui avait témoigné à propos de sa schizophrénie, de ce que j'en ai lu, il restait plutôt correct dans ses propos. Je crois qu'il existe beaucoup de préjugés trompeurs à ce sujet. https://hal.science/hal-02541585/document#:~:text=La littérature distingue trois principaux types de stigmatisation [10] ;

Dans ce cas, je ne pense pas être très malhonnête, à mes yeux les torts qu'on a vis-à-vis des autres ou de soi-même, on les paye d'une façon ou d'une autre même si on n'est pas "pris" socialement. Je crois au karma en quelque sorte. Pour moi avoir "bonne conscience" compte pour aller bien. Cependant, il m'est arrivé d'être égoïste parfois, ou trop agressive, etc..., par immaturité ou autre, mais je me remets régulièrement en question, j'essaie d'être assez respectueuse avec chacun, voire de me rattraper quand c'est possible. Le plus souvent quand je mens, c'est pour me débarrasser d'un homme trop insistant, lui inventer que j'ai un rdv ou autre, mais je crois que ce n'est pas vraiment de la malhonnêteté. Je n'aime pas les drogues illégales, je ne ressens pas le besoin de voler, ni d'enfreindre les lois françaises même si elles ne sont pas toujours parfaitement justes à mes yeux, ni toujours appliquées correctement, c'est selon les pays aussi. (Ceci dit pour moi quelqu'un qui enfreint une loi injuste ou trop rigide n'en est donc pas forcément malhonnête... Et être raccord avec la loi sociale n'est pas forcément suffisant pour être juste.)

Il y a des sujets sensibles où "on marche sur des oeufs", et où on peut facilement être repris ou stigmatisé si on n'est pas dans le "politiquement correct". C'est parfois un peu excessif, mais en même temps il y a des raisons à ça, ce sont généralement des sujets derrière lesquels il y a une souffrance importante...

Pour moi l'honnêteté ne consiste pas à ne mentir sous aucun prétexte, ni à diaboliser tous ceux qui ont fait un séjour en prison, ni à préférer toujours faire profil bas quand on est agressé, etc..., donc je ne fais pas tellement confiance à ce test, qui me paraît plus amusant (voire publicitaire) que pertinent. Mais quoi qu'il en soit, n'étant pas abonnée à Elle, je n'ai pas consulté mon résultat.

Je n'aime pas beaucoup parler d'habitude. J'aime comprendre mon interlocuteur, mais je ne cherche généralement pas à lui imposer mes idées, sauf s'il s'agit de devoir défendre ma propre liberté de choix, de refuser d'accepter telle ou telle proposition par exemple, dans ce cas je peux ne pas céder, mais je n'en discute pas forcément longtemps, je peux aussi raccrocher au nez de la personne (je le fais régulièrement), couper court d'une façon ou d'une autre... J'ai quand-même une tendance aussi à être conciliante, à tenter de trouver un terrain d'entente, voire à pouvoir accepter de faire quelques concessions, ou à remettre en question mes décisions, c'est selon les cas.

Je juge en premier lieu un homme à son attitude à mon égard et à son aspect physique d'ensemble, traits du visage, prestance, tenue. Un homme timide ne m'intéresse directement pas, de même s'il ne me fait pas bonne impression physiquement. Et je ne m'intéresse qu'à ceux qui me font par eux-mêmes des avances, je ne suis ni dragueuse ni curieuse normalement. A condition d'être disponible, or j'ai quelqu'un actuellement même si notre relation est relativement libre...

Je suis végane. Je privilégie principalement les fruits et légumes frais pour mon alimentation. Je trie les déchets, le verre, les ampoules, les piles... Je donne le matériel en assez bon état que je n'utilise plus à des associations (vêtements, livres, etc...). Je fais du compost pour mon jardin avec des restes de fruits et légumes. Je fais la plupart de mes trajets à pied, et je voyage peu. Je m'efforce de n'acheter que ce dont j'ai vraiment besoin. Et lorsque j'achète je fais autant que possible attention au mode de fabrication par rapport à l'environnement. Je m'efforce de préserver aussi les insectes, les petits animaux et les plantes de mon environnement (Je n'écrase pas les araignées ou autre, je les mets dehors par exemple. J'évite aussi de marcher sur la végétation, je prends les chemins.) ...

Choisissez-vous parfois vos séries ou vos films en fonction de la beauté des acteurs ou actrices, ou non? Que pensez-vous des séries ou des films où les acteurs sont beaucoup choisis en fonction de leur beauté physique, est-ce un plus pour vous?

Aujourd'hui, le 4 octobre, c'est la journée mondiale des animaux. Hier, le 3 octobre, la réunification allemande... Demain, le 5 octobre, la journée mondiale des enseignants... (Je ne me tiens pas forcément au courant des célébrations du jour, parfois je le suis parfois non.)

De toute façon d'après ton récit, Jonas t'a bloquée et Eli ne t'intéresse pas vraiment. Donc tout ça n'est pas allé très loin. Si tu te sens coupable par rapport à ton mari d'avoir envisagé une relation extra-conjugale, tu peux soit ne pas aller plus loin, soit mettre les choses au point d'une façon assez respectueuse pour ton mari, éventuellement en discuter avec lui si vraiment ton couple ne te convient plus par exemple, envisager un changement dans votre couple, un arrangement à propos d'un déménagement, une relation libre ou une séparation, voire un break...

C'est aussi que c'est triste pour tous ceux qui aiment la personne qui meurt, de près ou de loin. Et chaque individu a une certaine valeur à mes yeux. Personnellement je n'ambitionne aucun type de décès en particulier, ni donc de voir arriver, ou de ne pas voir arriver, ma propre mort. Par contre si les médecins constataient par exemple que je souffrais d'un problème de santé avec un pronostic vital associé, je préfèrerais qu'ils m'en fassent part dans la mesure du possible, ceci dit les médecins se trompent un peu parfois... Et dans une telle situation effectivement je suppose que j'envisagerais principalement de parler aux personnes auxquelles je tiens particulièrement si ça m'était possible...

Oui, si on est prévenu, on peut parfois en tirer parti, mieux profiter de ses derniers instants, etc... Je pense que l'expression "belle mort" peut faire allusion par exemple à une absence de souffrance, d'agression soudaine, au fait d'avoir vécu relativement longtemps, ou encore au fait d'être mort en héros, etc... Mais au fond toute mort est quand-même triste quelque part.

Je suis déjà consciente que je pourrais peut-être mourir aujourd'hui ou demain, donc je ne ressens pas tellement le besoin d'être avertie absolument davantage par avance, si du moins ça n'y changeait rien. Je pense que mes proches savent déjà que je les aime par exemple. Je ne m'en soucie donc pas, j'essaie d'aller bien et advienne que pourra. Par contre évidemment, souffrir inutilement au moment de ma mort n'est pas vraiment une éventualité séduisante pour moi.

Choisir le prénom d'un enfant n'est pas une décision anodine, et il peut paraître important que le prénom soit valorisant et non l'inverse, bien accordé au nom de famille également. Il existe d'ailleurs un certain contrôle sur ce point. Et en même temps c'est aussi à chacun de respecter assez le prénom d'autrui, plutôt que de trop chercher à lui trouver des défauts. Quand on cherche des défauts à outrance, on tombe dans la mesquinerie, et on peut faire des jeux de mots, ou trouver des références péjoratives, avec un peu tout et n'importe quoi si on le veut vraiment. Mais quoi qu'il en soit le manque d'originalité peut aussi causer certains soucis, comme d'avoir plusieurs proches ou connaissances portant le même prénom, et de devoir alors ajouter des précisions pour s'y retrouver... Tous les prénoms ont été inventés un jour, et le prénom "Théa" par exemple, cité en introduction, serait d'origine grec ancien (de "theos, dieu"), on en trouverait trace entre autres au IIIème siècle (Sainte Théa, Palestine). Ce prénom aurait fait son apparition en France vers le début des années 1900. Il s'agit donc d'un prénom dont l'invention est relativement ancienne, et particulièrement populaire dans le monde...

Il ne s'agit pas forcément d'une situation insoluble. Et il est possible de faire davantage attention aux mots que l'on emploie si on se remet (ou si on est remis) en question, et modifier au fil du temps sa façon de parler, l'adoucir. Ceci dit certaines habitudes de langage sont plus moins profondément ancrées, et un caractère "fort" en soi peut être une nature que l'on peut travailler, "ciseler", mais que l'on n'a pas à effacer totalement. C'est en pesant le pour et le contre de la relation, en écoutant ses sentiments, que l'on juge de si ça vaut la peine ou pas de tenter de trouver un terrain d'entente lors d'une mésentente, en répliquant par exemple, voire de faire éventuellement preuve d'une certaine tolérance parfois, ou bien d'estimer que la mésentente est trop pesante à gérer et "laisser tomber", voire poser un ultimatum.

A mon avis, attention à n'être pas trop envahissante (Je ne sais pas si c'est le cas ou pas, peut-être pas.). Mais il est un peu étonnant à mes yeux que tu t'inquiètes directement s'il est un peu plus distant depuis quelques heures seulement. En tout cas personnellement, les personnes qui m'envoient vraiment beaucoup de messages, et qui attendent une réponse rapide (alors qu'il n'y a aucune urgence objectivement), en insistant par exemple quand je ne peux pas répondre car je suis occupée, me dérangent vraiment. Quand un homme se comporte ainsi, je n'apprécie pas, même si au départ il me plaisait. Ceci dit, encore une fois, peut-être que ce n'est pas ton attitude, ou que ce n'est aucunement un problème dans votre histoire, mais je le dis au cas où.

Je ne crois pas que la sexualité doive être un sujet complètement tabou en société. La sexualité est un sujet auquel on peut s'intéresser au-delà de la seule pratique. C'est un domaine qui nous concerne tous, et qui ne va pas toujours de soi. Dont on peut parler en société sans obligatoirement devenir grossier ou obscène. Et si tout le monde ne sait pas toujours s'exprimer assez correctement sur ce thème, interdire radicalement le sujet me paraîtrait excessif, il faut parfois un peu de tolérance pour pouvoir avancer.

En même temps chacun ses centres d'intérêt, écouter les confidences d'autrui, s'intéresser au quotidien des autres, à leurs sentiments, c'est parfois s'intéresser à la psychologie par exemple. Et puis ce n'est pas comme s'ils imposaient leurs confidences, chacun est libre de s'y intéresser ou pas. On peut les critiquer, mais on peut critiquer tout le monde. Assumer ce que l'on est, ou s'en cacher, à chacun de mettre ses propres limites dans le cadre de la loi à mon avis. Quand les gens cachent vraiment beaucoup leur ressenti, ont très peur du regard des autres, ça peut être mauvais signe quant à l'état de la société. Et à propos d'impudeur, beaucoup d'artistes aussi se livrent à travers leur art, dévoilent leurs pensées sentimentales et autre, heureusement qu'ils en ont assez la liberté. Or la liberté n'existe parfois que si on la rend accessible.