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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Je connais un peu la Normandie, ceci expliquant peut-être cela. :-)
  2. ça dépend, il y a de nombreuses façons de l'être, c'est comme ceux qui sont plus classiques ça dépend de la façon dont ils l'interprètent.
  3. Il y a prostitution et prostitution. Sont interdits en France par exemple le proxénétisme, d'acheter les services sexuels d'une personne particulièrement vulnérable ou mineure, le racolage et l'exhibitionnisme, mais pas la prostitution dans un sens global, qui peut aussi éventuellement appartenir au cadre de la liberté sexuelle.
  4. sirielle

    Peine de mort

    Oui, c'est barbare aussi, c'est certain. Mais je considère que "œil pour œil, dent pour dent" n'est pas forcément une sanction correcte. Et que le sadisme n'est pas une véritable consolation. Je crois aussi que considérer officiellement que la mort peut être une sanction méritée c'est plus encourager la criminalité au bout du compte que la dissuader. D'autant plus que je suis loin de vouer une confiance immodérée au système judiciaire français et ceux qui le servent bien que j'approuve que la peine de mort ait été abolie. Je pense qu'il est de toute façon très difficile contrairement aux apparences de vivre avec des crimes abjects sur la conscience et que les criminels devraient plutôt payer que disparaître. J'ajoute au passage concernant l'entourage des victimes de crimes abominables, qu'ils ne sont pas pour autant tous en faveur de la peine de mort.
  5. Bonjour Promethee_Hades, bisous j'ai mis "peut être important" parce que dans certains cas ce rôle est plus ou moins optionnel, surtout quand il n'y a pas de jeune enfant au sein du foyer, c'est aussi une question de choix parfois et pas de nécessité. Quand j'évoquais la rancœur (et ce n'est pas forcément péjoratif dans mon esprit) je faisais allusion aux reproches qu'elle fait aux femmes, concernant par exemple le matérialisme, la rivalité, l'irresponsabilité, la futilité, l'égoïsme, la vanité. Elle en parle comme des défauts qu'elle a subi au point qu'elle en est restée méfiante et déçue des femmes occidentales (en général) encore à l'heure actuelle au point de préférer se passer volontairement d'amies (mais en acceptant quand même de fréquenter des femmes). Ce que je trouve intéressant dans son témoignage, c'est l'auto-critique féminine. Bien qu'on puisse trouver à redire à ses commentaires, je trouve important qu'il puisse y avoir des femmes qui défendent la cause des hommes ou qui critiquent les femmes, comme qu'il y ait des hommes qui défendent la cause des femmes ou qui critiquent les hommes. Que l'équité ou l'entente entre les hommes et les femmes ne dépende pas que d'une guerre des clans mais plutôt d'une évolution plus impartiale. Puisque de toute façon il est évident qu'elle ne condamne pas l'ensemble des femmes occidentales (dont elle fait partie) mais certains des comportements qu'elle a souvent déploré de leur part. Je ne pense pas qu'on protégerait efficacement les femmes ou le féminisme en les rendant trop intolérant.e.s à toute critique.
  6. Il ne me semble pas qu'elle s'oppose à la liberté sexuelle, en tout cas ce n'est pas ce qu'elle dit, elle dit plutôt que celles qui couchent à droite à gauche et qui ne veulent pas assumer de grossesse devraient plus penser à la contraception pour éviter les avortements et que, contrairement aux apparences, de nombreuses femmes mariées trompent leurs conjoints.
  7. Il semble que ce soit avant tout un mouvement "masculiniste" s'intéressant à la "condition masculine", dont les discriminations sociales ou désavantages sociaux (et familiaux) qui y sont liés.
  8. Ils ont un site Facebook en français. Mais ils ne se détournent pas tous radicalement des femmes.
  9. sirielle

    Peine de mort

    Je suis totalement contre la peine de mort que je trouve barbare. Et c'est un critère très important à mes yeux pour juger de la valeur d'une société.
  10. Je me doute que les hommes puissent être aussi motivés par l'argent, y compris malhonnêtement. En revanche quand c'est d'un commun accord et en toute conscience, il ne s'agit pas d'escroquerie. Chacun est libre d'avoir ses conditions propres. Mais il vaut mieux pouvoir voir les choses en face afin de s'épargner des désillusions trop tardives susceptibles de créer des tensions entre les hommes et les femmes. Effectivement beaucoup de femmes espèrent réussir socialement aussi grâce à leur physique et à l'homme ou aux hommes qu'elles fréquentent, c'est leur droit jusqu'à certaines limites et nombreux sont aussi les hommes qui en ont conscience et l'acceptent ou le comprennent. Surtout quand rien ne les oblige à les fréquenter et qu'il n'y a pas d'hypocrisie. Après si cette femme cultive une certaine rancœur envers les femmes occidentales en général pour différentes raisons, il ne s'agit quoi qu'il en soit que de son point de vue subjectif et de ses propres sentiments liés à ses expériences personnelles, je ne lui jette donc pas la pierre. Et puis concernant l'égoïsme et le matérialisme qu'elle évoque, il est vrai qu'ils sont courants dans cette société, venant des hommes comme des femmes. Quant aux femmes au foyer il me semble effectivement que leur rôle est parfois méprisé parce qu'elles ne sont pas insérées professionnellement et qu'elles s'occupent de leur famille, ce qui peut les rendre dépendantes financièrement de leur conjoint ou de l'état et compromettre davantage leur carrière que celle des hommes, ainsi que les isoler parfois socialement, mais pourtant leur rôle peut être important.
  11. Effectivement mais il peut être utile d'en discuter quand même car malgré la possibilité de se protéger des escroqueries conjugales certain.e.s ne l'ont pas fait peut-être par naïveté et n'ont quand même pas à s'en prendre qu'à eux-mêmes pour autant à mon avis, on peut aussi le déplorer si certain.e.s en profitent excessivement. Et les contrats de mariage ne garantissent pas l'équité du jugement concernant les enfants. http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille-pourquoi-les-peres-divorces-obtiennent-ils-rarement-la-garde-des-enfants_1544655.html Quoi qu'il en soit certaines femmes se marient avant tout pour la situation sociale qui va avec et leur fidélité peut elle aussi n'être qu'une apparence (parfois temporaire) censée préserver ces avantages matériels. Mais combien de femmes seraient vraiment heureuses d'être en couple avec un gigolo (qui prétend ne pas l'être)? Or il existe des femmes (ou des hommes) misandres qui se cachent derrière celles qui sont victimes des hommes en s'appuyant sur elles et en prétendant parfois parler en leur nom. Mais le sexisme n'existe pas que dans un sens et doit être condamné aussi quand il vise les hommes quels que soient leurs torts à eux.
  12. Quelque part si. Nombreux sont ici ceux qui rejettent en bloc et sans aucune nuance ses critiques concernant la "femme occidentale moyenne" alors que certains problèmes qu'elle souligne sont réels et non pas le seul fruit de son imagination même si certains n'en ont pas conscience et même s'ils ne représentent évidemment pas l'ensemble des femmes. Au bout du compte son message principal revient à approuver les hommes qui veulent rester prudents par rapport au mariage et à la procréation car elle considère que eux aussi peuvent éventuellement y courir un risque et s'y faire abuser. Et quand bien même on n'est pas forcément d'accord avec elle, je trouve que les attaques personnelles qui la visent et la déformation de ses propos ne sont pas des arguments convaincants. Combien y a t-il de sujets critiquant les comportements masculins répréhensibles vis-à-vis des femmes? Et qui devrait s'en offusquer alors que les victimes sont réelles? Il me parait normal que ça puisse aller un peu dans les deux sens même si les opinions divergent.
  13. Et pourquoi devrait elle être censurée ou méprisée si c'est encore d'actualité? Le mariage, le divorce et leurs inconvénients économiques ou familiaux peuvent être encore remis en question, y compris par prévention, ainsi que les relations sexuelles non protégées dont il est question. Et je pense moi aussi qu'il s'agit en partie d'une autocritique liée à ses propres valeurs en tant que femme mais pas en revanche d'une compétition d'avec les hommes ni d'avec les femmes d'autres zones géographiques.
  14. Elle n'a pas dit que verser une pension était injustifié, mais qu'elle déplorait par exemple que de nombreuses femmes cherchaient immodérément à soutirer le maximum d'argent à leurs conjoints sans ce soucier de ses droits parentaux et par intérêt personnel discutable et non pas familial. http://www.lepoint.fr/societe/les-plumes-du-divorce-20-09-2012-1695240_23.php# Elle parle de la "femme occidentale moyenne" comme on peut parler parfois vulgairement des "beauf". Personnellement, j'ai plutôt considéré son discours comme visant certains comportements féminins relativement courants et incitant à une certaine retenue ou prudence quant au mariage ou à la procréation et leurs éventuelles conséquences. (Même si les hommes peuvent aussi être critiqués et parfois pour les mêmes raisons.) Et j'ai aussi constaté que les femmes sont parfois extrêmement rivales entre elles au point que ça finit dans certains cas par décrédibiliser partiellement les critiques des femmes entre elles même quand elles sont fondées et potentiellement constructives. Et que le culte du corps et de l'image féminine idéale, parfois à l'excès discriminateur, était effectivement fréquemment cultivé par les femmes, et pas uniquement par les hommes.
  15. Elle explique clairement au départ que ses critiques ne justifient pas les comportements blâmables des hommes, dont elle a aussi conscience, mais qu'elle tient quand même à aborder ce sujet. Généralement quand on parle de violence physique conjugale, on sait qu'elle est majoritairement le fait des hommes. Concernant la vénalité en couple c'est plus souvent le cas des femmes, la plupart des gens en ont conscience. Quant à l'avortement, ce n'est effectivement pas un acte à prendre trop à la légère, c'est aussi la raison pour laquelle elle évoque la contraception et les droits parentaux respectifs. Qu'elle soit directement concernée dans son histoire ne lui enlève pas le droit d'avoir une opinion sur le sujet.
  16. C'est une question d'interprétation. C'est du registre familier mais qu'il est possible d'employer respectueusement. Mais bon c'est discuter de la forme. Le fond dénonce une certaine vénalité égoïste féminine vis-à-vis des hommes qui n'est pas le fait de toutes les femmes occidentales mais qui reste un aspect couramment évoqué, et avéré dans certains cas, qui peut mériter à mon avis d'être discuté ou reconnu aussi par des femmes.
  17. Il me semble qu'elle déplore avant tout des comportements excessivement vénaux ou irresponsables, plus que la prostitution dans son ensemble ou la liberté sexuelle. Effectivement le terme "pédé" peut être considéré comme homophobe, c'est ce que j'ai précisé. Alors que dire "J'ai été voir une pute." n'est pas forcément péjoratif bien que le terme puisse aussi être utilisé péjorativement.
  18. C'est votre interprétation mais par définition c'est différent.
  19. C'est différent, les termes "pédé" ou "pédéraste" font allusion à la pédophilie homosexuelle. Donc amalgamer l'homosexualité et la pédophilie peut être une insulte.
  20. Ce n'est pas mon impression, pas uniquement, seulement concernant certains abus.
  21. Il existe pourtant des femmes (ou des hommes) qui s'assument en tant que "putes" parce qu'avant tout il s'agit simplement de prostitué.e.s et non pas forcément d'idiot.e.s. Le terme a évolué et il n'est pas employé que péjorativement.
  22. Non, c'est un terme familier mais ce n'est pas forcément une insulte malgré l'intolérance ou le mépris que certains associent à ce terme.
  23. Que vous considériez que c'est une insulte ou pas, les putes existent, ce n'est pas la représentation d'un défaut mais d'un comportement consistant à associer un aspect lucratif à ses relations sexuelles, or la prostitution n'est pas interdite en France, bien qu'il y ait en revanche des actes liés à la prostitution qui soient sanctionnables. Quant au narcissisme, il n'est pas obligatoirement péjoratif sans excès, il s'agit avant tout d'une admiration de soi-même.
  24. Il y a heureusement des hommes féministes, or le féminisme a aussi ses travers. Il me paraît normal qu'une femme aussi puisse défendre la cause de certains hommes qui ont été maltraités, ne serait-ce que moralement par d'autres femmes, lors de séparations par exemple, même si son discours a des failles. Il ne s'agit que de quelques critiques féminines discutables, mais qui donnent à mon avis une vision plus impartiale que la victimisation parfois excessive des femmes dont certaines ont pu profiter et qui décrédibilise malheureusement le féminisme qui n'a pas que bonne réputation.
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