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Tout ce qui a été posté par Marioons
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Ah non alors. On ne va pas rester là les bras croisés à ne rien faire ! Il faut yaller, foncer dans le tas, et contrôler les gens jusqu'à ce qu'ils collent à notre idée de ce que devrait être un monde parfait. Lol je plaisante je joue la fille pas d'accord coûte que coûte :smile2:
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Je ne sais pas... Je pense de plus en plus qu'il n'est pas nécessaire d'entrer en guerre pour créer la paix. Qu'une force de lutte dans un sens génèrera tôt ou tard un même type de force dans l'autre sens. Qu'une force qui tend à diviser ne peux créer de véritable unité. Que les nœuds peuvent se défaire en coupant la corde mais aussi, sans faire de dégâts, en relâchant la tension de la corde. Et tout cela, que l'on parle de lutte intérieure ou extérieure (les deux étant de toute façon étroitement liées). Je préfère oeuvrer pour développer quelque chose qui me plait plutôt que contre tout ce qui me déplaît. Parce que je pense que ce qui fait l'objet de notre attention s'accroît.
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Comme tu dis : l'enthousiasme, cette petite étincelle immortelle mais si souvent malmenée
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L'amour, la confiance, la joie, ne se décrètent pas, ne se forcent pas. Ils ne sont pas le résultat d'une lutte. Ils jaillissent spontanément, telle une force puissante et pure, lorsque nous lâchons les armes et les masques. Ils s'érigent lorsque l'on déconstruit. Telle une braise trop longtemps asphyxiée, qui au contact de l'air devient feu. Nous ne sommes jamais aussi forts que lorsque nous abandonnons nos boucliers. Lorsque nous déclarons la paix à nous-même et au monde.
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Ciné Découverte - HER - Un film émouvant
Marioons a commenté un(e) billet du blog de zenalpha dans I comme Icare
C'est amusant que tu parles de ce film, un très cher ami à moi m'en a parlé avec passion il y'a peu de temps. J'ai d'autant plus envie de le voir maintenant. -
Malentendus clarifiés, repartons à zéro si tu veux bien ? Pourquoi selon toi ces notions sont relatives ? Qu'entends tu par là ?
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Que faire de ma vie Moi qui suis ici ? On me dit profite Mange du poulet frites On me dit suis tes rêves Sans aucune trêve On me dit travaille Y a que ça qui vaille On me dit médite C'est le meilleur des rites Et moi je me dis... A quoi bon tout cela, Si le coeur n'y est pas... ? Moi je voudrais, de minutes en heures, N'agir que de gaieté de coeur
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Pas compris
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Faites nous peur : "la maladie, la vieillesse, la solitude, la mort vous guettent ! " Infantilisez-nous : "au fond, n'oubliez pas que vous êtes incapables de réfléchir et de prendre de bonnes décisions par vous-mêmes !" Endormez-nous : "ne vous plaignez pas ! Il y'a bien pire !" Culpabilisez-nous : "vous n'aviez qu'à manger bio et faire du fitness !" Orientez nos rêves vers tout ce qui est extérieur à nous : "aaah quand vous serez enfin propriétaires... Quand vous aurez des enfants... Quand vos seins seront refaits... Quand vous aurez trouvé l'Ame soeur... " Et tentez ainsi de nous faire oublier à quel point nous sommes des êtres libres, généreux et puissants.
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Laissons aux autres ce qui leur appartient
Marioons a commenté un(e) billet du blog de Marioons dans Marioons blog
"Parce qu'il n'y a pas de vérité mais seulement des points de vue" : j'aime bien cette phrase Oui en effet, petit plaisantin d'inconscient va ^^. Cela illustre bien au fond mon impossibilité d'appréhender mon bien et celui des autres comme deux choses séparées et indépendantes. Je suis d'accord, nous restons le "coeur" du sujet pour nous-même, et je ne prône pas une fuite vers l'altruisme au détriment de soi. "Charité bien ordonnée commence par soi-même"... Je ne vois cet alignement avec les autres dont je te parle que comme un résultat naturel, automatique, provenant d'un état de bien-être qui a d'abord lieu en soi. Je suis loin de penser que c'est en satisfaisant les désirs des autres à la pelle et en s'oubliant que l'on accède au bonheur. Je pense que nous avons une fâcheuse tendance à confondre égoïsme et égocentrisme : L'égoïsme serait une forme de repli sur soi par peur de l'extérieur, d'avidité par peur de manquer, aussi nocif à soi qu'aux autres. L'égocentrisme, c'est se recentrer en soi, pour mieux s'aligner avec nos désirs profonds, et immanquablement être en harmonie avec le monde. Parce qu'on n'aura plus peur des conséquences des actes extérieurs sur soi, parce qu'on sera bien "ancré" en soi, mais dans une ouverture totale au monde. A l'inverse, l'égoïste n'ayant pas de racine, pas d'ancrage, il compense illusoirement en se forgeant une carapace, qui bloque les énergies dans un sens comme dans l'autre, et ne fait que renforcer ses peurs. Et en effet chacun est différent et réagit différemment à la stimulation d'une autre personne. Ceci dit, il me semble qu'une personne totalement ancrée, dans l'amour de soi et de l'autre, diffuse autour d'elle une lumière qui met à l'aise la majorité de son entourage. Et ceux qui ne supportent pas la lumière fuient tout simplement. -
Laissons aux autres ce qui leur appartient
Marioons a commenté un(e) billet du blog de Marioons dans Marioons blog
Très intéressant. "nous ne sommes pas forcément "quelqu'un de bien" mais quelqu'un qui cherche son propre bien..." "où ce qui fera du bien à l'autre n'est que rarement compatible avec ce qui nous fait du bien pour nous même" Pour ces deux phrases, je ne serais pas si catégorique au niveau de la dichotomie que tu décris. Et si notre bien-être venait justement de l'alignement entre nos désirs profonds et ceux des autres (ce qui nous ferait du bien aux autres nous ferait du bien aussi), entre qui on est (quelqu'un de bien)et ce que l'on fait pour chercher notre propre bien ? -
Et si nous cessions de laisser aux autres le soin de nous dicter ce qui est bien ou mal, bon ou mauvais pour nous ? Au fond, ce n'est pas tant l'acte qui compte que la façon dont nous le vivons. Or qui mieux que nous-même est capable de ressentir ce qui se passe en lui lorsqu'il agit de telle ou telle façon, lorsqu'il se retrouve dans telle ou telle situation ? Tout conseil suggestif que nous donne autrui est biaisé par ses propres peurs, ses propres désirs. Ne les rejetons pas, prenons les pour ce qu'ils sont le plus souvent : une tentative d'aide tout à fait subjective, et concentrons nous sur l'écho qu'ils font en nous plutôt que sur la question "a-t-il raison ? a-t-il tort ?". Que s'est il passé, que nous a-t-on dit, sous-entendu, pour que l'on ne fasse à ce point plus confiance en notre guide intérieur, en nos ressentis, intuitions, en nos rêves et en nos capacités de les accomplir ? A ce point que l'on ai tellement besoin de l'approbation des autres, d'encouragements, pour oser croire en la pertinence et la légitimité de nos motivations profondes ?
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De ?
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Tout à fait. C'est en constatant l'échec de ma tentative que je suis amenée à modifier ma façon de m'y prendre.
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Au nom de l'amour, je projette sur toi mes frustrations et mon mal-être intérieur. Au nom de l'amour, je m'évertue à construire un couple, plutôt qu'à déconstruire mes individuelles croyances. Au nom de l'amour, je te met sur un piédestal, pour plus tard shooter dedans lorsque tu auras déçu mon vain espoir de trouver la félicité par ton biais. Au nom de l'amour, je m'éloigne de l'amour.
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Marioons a répondu à un sujet dans Philosophie
Il me semble bien au contraire que les réflexions au sujet du concept de "Dieu" ont une place centrale en philosophie. Certes, pour ce qui est de l'utilisation abusive d'un mot. Est ce pour autant qu'il faut le bannir du vocabulaire de ladite discipline ? Et puis de toute manière, n'abuse-t-on pas finalement en permanence et forcément des mots puisqu'ils ne font que tenter d'étiqueter une réalité inétiquetable ? Ils ne sont qu'un moyen dérisoire en attendant d'accéder au ressenti... -
Le cercle vicieux des pensées moribondes !
Marioons a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Pas d'objections, tu m'as convaincue :) il est peut être plus juste de penser en terme d'idéal que l'on se fixe, telle une ligne droite dont on souffrirait dès lors que l'on serait à côté d'elle et non sur elle. Le trop comme le pas assez ferait peur et ferait souffrir. Faut il alors modifier notre idéal ? Faut-il y renoncer ? Ou faut il faire confiance à nos peurs et les considérer au contraire comme des guides...? -
Le cercle vicieux des pensées moribondes !
Marioons a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Oui c'est vrai, après, ce n'est pas pour vouloir à tout prix défendre mon propos, mais lorsque je disais "au fond" toute peur est une peur de perdre, je pensais vraiment "au fond". Je m'explique : la souffrance par exemple, quand se déclenche-t-elle ? Physiquement, lorsqu'on "perd" une partie de notre corps (même la plus minime égratignure = perte d'épiderme). Psychiquement, quand souffre-t-on ? Lorsqu'on perd (ou qu'on a le sentiment de perdre) quelqu'un ou quelque chose. Peur de passer l'arme à gauche car peur d'avoir des regrets ? C'est en fin de compte la peur d'avoir perdu notre temps, perdu des occasions de... En bref, c'est l'attachement aux choses qui provoque nos peurs donc nos souffrances. Car si je n'ai plus peur de perdre (un bout de moi par exemple), je ressentirais de la douleur physique certes, mais pas de souffrance. « La croyance en l'existence de l'ego est la source de toute souffrance dans la mesure où, nous assimilant à une entité limitée, tout ce qui semble en menacer l'intégrité nous fait souffrir ». Bokar Rimpotché -
Ce que je juge comme étant pour le moment le meilleur conseil qu'on ai pu me donner : "Ecoutes-toi" (et le ciel t'aidera ^^) Puisque l'on parle de "meilleurs conseils" : qu'est-ce pour vous qu'un "bon" conseil...? Comment devrait-il être formulé ? Sur quoi et jusqu'où peut-il prétendre aider?
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Croyance en Dieu et philosophie sont-elles compatibles ?
Marioons a répondu à un sujet dans Philosophie
Je dirais que c'est précisément parce que ce concept s'est prêté à trop de travestissements dangereux dans le passé qu'il serait extrêmement bénéfique que l'on ôte le tabou autour de ce mot et que l'on se permette d'en discuter ouvertement et en laissant un peu les pincettes de côté. Ce sont les tabous, les non-dits, le manque d'échanges libres qui laissent la voie libre aux "travestissements dangereux". Ce sont les préjugés et la méconnaissance qui véhiculent la peur dans les esprits à l'évocation d'un mot. Plutôt que de s'armer de pudeur pour en parler (cacher une nudité qui pourtant n'a rien de honteux, si ce n'est l'idée biaisée que l'on sen fait), je préconiserais simplement de s'armer de respect de l'opinion d'autrui. -
Le cercle vicieux des pensées moribondes !
Marioons a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Oui. Celui qui considère qu'il n'a rien à perdre semble donc en toute logique plus léger face à l'idée de la mort. Et il s'agit moins de n'avoir rien que de considérer que l'on n'a rien. Et là le verbe "avoir" a toute son importance. Dans une société où la plupart de notre énergie est consacrée à l'acquisition et à la sauvegarde de biens, on comprend aisément d'où viennent nos angoisses démesurées à l'idée de la plus grande perte qui soit… Toute peur n'est-elle pas au fond une peur de perte? Perdre un être cher, perdre la santé, perdre de l'argent, perdre son boulot, perdre ses moyens, perdre la face… Nous nous définissons tellement au travers de ce qui n'est pas nous, qu'il serait presque étonnant que nous appréhendions la mort sereinement... -
Le cercle vicieux des pensées moribondes !
Marioons a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Oui, mais seulement quand la foi concerne quelque chose vu comme extérieur à soi. Peut-être, mais ce que je veux dire c’est que si nous avons foi en la permanence de l’âme, ou en notre propre pouvoir créateur, par exemple, l’objet de nos croyances est intériorisé, il devient nous-même, ce qui ne nous incite en rien à renoncer à nous, bien au contraire. Quand je parlais d’extérieur à soi, je pensais par exemple aux croyances en un dieu tout puissant et supérieur, qui on peut le penser peuvent favoriser ce renoncement à soi, ou du moins une certaine déresponsabilisation fataliste. Parce que l’immobilité rappelle la mort, certes, ou parce que l’inaction laisse venir à la conscience des peurs que nous préfèrerions ne pas regarder en face. Mais cela ne prouve en rien que nous ayons « raison » d’avoir peur. L’enfant a peur du noir, parce qu’il ne lui permet pas de discerner les objets, et laisse place aux fantasmes de monstres en tout genre. Ces monstres existent-ils pour autant ? Et si nous osions regarder le noir en face assez longtemps ? Peut-être à notre (plus ou moins) grande surprise découvririons nous qu’il n’est pas si noir que ça… et finirions nous par discerner ce tout petit rond blanc caché au creux du « ying » noir ? -
Le cercle vicieux des pensées moribondes !
Marioons a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Je te rejoins, sauf pour l'idée de faire le deuil de ce que nous "sommes" : je dirais plutôt de ce que nous pensons être et que nous assimilons à tort au soi. Oui, l'idée de la mort du corps nous permet peut-être d'appréhender le concept plus global d'impermanence des choses. Elle nous incite tout au long de la vie, à nous détacher de tout ce qui n'est pas "nous" (corps, matières, événements, pensées) et à nous recentrer toujours plus vers ce que certains appelleront notre conscience, notre "être profond", notre "soi". Et ainsi à chercher notre socle, notre sentiment de sécurité à l'intérieur plutôt qu'à l'extérieur. Je ne sais plus où j'avais lu cela : "ne pas aller à l'intérieur, c'est aller en manque vers l'extérieur". Oui, mais seulement quand la foi concerne quelque chose vu comme extérieur à soi.