Mite_Railleuse

Amen.

On peut "combattre" pour d’autres que nous. Et si tourner les talons, en brandissant l’indifférence comme "méthode", était efficace, ça se saurait...

C’est quand même un peu l’exemple mis en exergue sur le sujet...

Ce serait bien aussi de les stériliser.

Humanité de merde, gens de merde, indifférence de merde. Comment peut-on être optimiste dans ce cloaque de merde…

L’indifférence… C’est ce qui autorise les harceleurs à continuer leurs exactions en toute impunité.

La violence n’a pas besoin de "surenchère" pour vivre, elle peut être absolument gratuite. Le harcèlement en est une manifestation incontestable...

Je vois l’addiction comme une béquille ponctuelle devenue petit à petit une colonne vertébrale qui tient tout, et devient le centre de tout. Et il est si facile aujourd'hui, pour quasi tout le monde d’avoir accès à une IA, sans sortir de chez soi, que ce risque d’addiction semble bien redoutable...

Il y a 1000 manières d’interpréter des chiffres. Les certitudes, les convictions, les peurs de chacun y veillent...

Et il suffit de se retourner sur notre Histoire pour en être convaincu…

Bah, c’est toujours plus facile quand on est pas concerné ! Soupir…

Ouais, y a un nid…

Et comme d’hab, racisme est devenu un fourre-tout indigeste qui ne veut plus rien dire…

Pourquoi serais-tu le seul ? Je n’ai lu personne ici qui sous-entendrait le contraire !

Le racisme, comme toutes les saloperies, sont universelles. En douterais-tu ?

Nan... rien...

Et il est bien flippant ! C’est un peu long, mais instructif… « Né dans une famille pauvre de l'Amérique rurale, chantre du triptyque "Travail, Famille, Dieu" et auteur d'un best-seller adapté sur Netflix, qui est J. D. Vance, le vice-président de Donald Trump ? Thomas Snégaroff raconte le parcours hors norme et l'idéologie d'un homme à l'ambition sans limites. Le monde entier l'a découvert à la fin du mois de février 2025. D'abord lors d'un discours historique à Munich, quand il déclare la guerre culturelle aux Européens. Puis, très agressif, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche, quand il tente d'humilier le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. "Je n'avais jamais rencontré un vice-président des États-Unis aussi présent et aussi puissant que J. D. Vance, souligne l'historien et journaliste Thomas Snégaroff. Les médias américains l'ont qualifié de chien d'attaque de Donald Trump, mais un chien obéit théoriquement à son maître. Je crois que ce n'est pas du tout le toutou de Trump, loin de là." Une histoire personnelle tragique J. D. Vance est né en 1984, à Middletown, dans l'Ohio rural et profond, l'Amérique de la musique country et des Hillbillies, ces "gars des collines" travaillant dans les mines de charbon ou l'acier de la Rust Belt, la "ceinture de la rouille". Une classe ouvrière blanche, conservatrice et ultra-religieuse, frappés par le déclin industriel. Il en tire un livre, Hillbilly Elegy, qui devient un best-seller, publié en France en 2017 et adapté sur Netflix sous le titre Une Ode américaine, avec Glenn Close dans le rôle de sa grand-mère, qui l'a élevé. "La pauvreté est une tradition familiale", écrit-il. Son histoire personnelle est marquée par le divorce de ses parents et une mère qui sombre dans l'alcoolisme et la toxicomanie, jusqu'à tenter de se suicider en voiture en compagnie de son fils de 12 ans. Il en nourrit une détestation pour le divorce, les familles non-conventionnelles et pour celles qu'il appelle les "Childless Cat Ladies", les "femmes à chats sans enfants", comme il qualifiera la démocrate Kamala Harris pendant la campagne présidentielle de 2024. Les pères spirituels : le philosophe René Girard et l'oligarque Peter Thiel Une vision ultraconservatrice qui l'amènera à proposer d'accorder plus de voix aux élections aux parents qui ont des enfants, et à prôner l'interdiction totale de l'avortement, y compris en cas de viol et d'inceste. Son triptyque : "Travail, Famille, Dieu". Selon Thomas Snégaroff, "la religion est capitale pour comprendre J. D. Vance", qui, après une période d'athéisme, s'est fait baptiser catholique en 2019. À son retour de la guerre d'Irak, où il s'est engagé dans les Marines comme correspondant de guerre, J. D. Vance parvient à intégrer la prestigieuse université de Yale. Il y rencontre sa future épouse, Usha Bala Chilukuri, mais également deux maîtres à penser qui jouent un rôle capital dans sa formation intellectuelle et spirituelle, et dans son retour à la foi : le philosophe français René Girard et l'oligarque Peter Thiel. Ce dernier, sorte de visionnaire libertarien, lui offre une carrière dans les nouvelles technologies et beaucoup d'argent… La conversion au trumpisme Sur le plan politique, J. D. Vance opère une conversion spectaculaire au tournant des années 2020. Lui qui haïssait Donald Trump au point de le qualifier en privé d'"Hitler américain" et d'avouer en 2016 qu'il préférerait voter en se bouchant le nez pour Hillary Clinton que pour lui, se présente soudain, en 2022, au poste de sénateur de l'Ohio... avec le soutien du milliardaire new-yorkais. Une campagne triomphale financée par Peter Thiel et dirigée presque exclusivement contre le wokisme. "Les premières semaines de Trump à la Maison-Blanche traduisent l'influence idéologique" de J. D. Vance, observe Thomas Snégaroff. Avec son histoire personnelle et sa trajectoire qui incarnent le rêve américain, peut-il faire figure de prétendant sérieux pour succéder à Donald Trump en 2028 ? » Source

Non.

... j’en suis convaincue. Mais paradoxalement, et à mon corps défendant, je trouve cette scène presque "jouissive", et je trouve qu’ils ont eu ce qu’ils méritaient, tant ce genre de comportement de harceleurs me dégoûte et me révolte. Je ne parle pas anglais donc je ne sais pas si c’est la réalité ou une mise en scène, mais ce n’est pas le propos. Le propos, c’est ce paradoxe que je trouve déstabilisant entre raison et émotion. Parce que je trouve "juste", la correction reçue par les harceleurs. Elle est pourtant l’exacte réplique que ce pourquoi elle est assénée...

Et ils se croient seuls au monde...

Et pis y a les vieux cathos ! Le cumul des mandats...

On en cause des "boomers" dans leurs camping cars, sillonnant les routes en long et large, en travers, à 50 à l’heure parce qu’ils "sont pas pressés", en faisant chier tout le monde ??

Ça peut-être sympa aussi la prostate...

Oui mais qui a envie d’arranger Bayrou ?

Faut quand même pas être douée pour ne pas trouver un p’tit resto où on bouffe bien dans le Périgord...