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Virginie31

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Tout ce qui a été posté par Virginie31

  1. La plèbe, en conflit avec le patriciat, s'y retira plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle obtint reconnaissance de ses droits, notamment en 494 av JC lors de l'insurrection du Mont Sacré et en 449 av JC lors de la deuxième sécession de la plèbe, d'où l'expression " retiré sur son Aventin " C'est ce qu'on dit sur Wiki dans l'article sur l'Aventin :)
  2. Je ne connaissais pas non plus !
  3. Tu peux préciser ? Qui te dit qu'on ne va pas vers ce genre de dénouement ?
  4. Souvent femme varie, bien fol est celui qui s'y fie Paroles attribuées à François 1er par Brantôme dans sa Vie des Dames galantes. Le roi les aurait gravées sur une fenêtre de Chambord. Ce qui signifie qu'il ne fait pas faire confiance aux femmes car elles changent souvent d'avis.
  5. Je pense qu'on se dirige gentiment vers une révolution... Entre les bonnets rouges et les entrepreneurs qui portent des t-shirts " Attention un jour ça va péter ", nous ne sommes pas loin de vivre des jours historiques...
  6. Virginie31

    Comment oublier

    Je vais peut-être te paraître simpliste mais... t'as pensé à sortir ou aux trucs genre speed dating ? - je dis ça car un ami a rencontré quelqu'un grâce à ça il n'y a pas longtemps... Si ta solitude te ronge, il faudrait peut-être que tu tentes d'y remédier... ?
  7. Qui m'aime me suive ! Ce mot, passé dans le langage courant, fut dit par Philippe VI de Valois. Appelé au secours par le comte de Flandre, Louis de Nevers, incapable de venir à bout de ses sujets révoltés, le roi, qui venait à peine d'être sacré (29 mai 1328), répondit avec enthousiasme, trop heureux d'avoir l'occasion d'une "belle chevauchée". Mais ses barons se montrèrent beaucoup plus froids; ils appréhendaient d'entrer trop tard en campagne et de se trouver sous les armes pendant l'hiver. Le connétable, Gautier de Châtillon, leur fit honte: "Qui a bon coeur trouve toujours bon temps pour la bataille." Philippe VI embrassa son connétable pour cette bonne parole et claironna: "Qui m'aime me suive!" Il fut bien suivi, entra en Flandre le 20 août et massacra les rebelles flamands à Cassel.
  8. A coeur vaillant, rien n'est impossible Devise de Jacques Coeur, argentier de Charles VII qui veut dire qu'avec du courage et de la conviction, on arrive à bout de tout.
  9. Surtout en s'attaquant à un type qui œuvre pour que les musulmans soient bien intégrés à notre société Quand on voit sa baraque, on se doute bien que c'est pas le petit délinquant qui va dévaliser mémé au distributeur de billets
  10. Un bel exemple de connerie Mais ça montre aussi que les gens sont en train de bien péter un câble. La cocotte-minute ne va plus tarder à imploser.
  11. On se fait encore prendre pour des cons
  12. Virginie31

    un jour... un poème

    A Villequier Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres, Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux ; Maintenant que je suis sous les branches des arbres, Et que je puis songer à la beauté des cieux ; Maintenant que du deuil qui m'a fait l'âme obscure Je sors, pâle et vainqueur, Et que je sens la paix de la grande nature Qui m'entre dans le cœur ; Maintenant que je puis, assis au bord des ondes, Emu par ce superbe et tranquille horizon, Examiner en moi les vérités profondes Et regarder les fleurs qui sont dans le gazon ; Maintenant, ô mon Dieu ! que j'ai ce calme sombre De pouvoir désormais Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l'ombre Elle dort pour jamais ; Maintenant qu'attendri par ces divins spectacles, Plaines, forêts, rochers, vallons, fleuve argenté, Voyant ma petitesse et voyant vos miracles, Je reprends ma raison devant l'immensité ; Je viens à vous, Seigneur, père auquel il faut croire ; Je vous porte, apaisé, Les morceaux de ce cœur tout plein de votre gloire Que vous avez brisé ; Je viens à vous, Seigneur ! confessant que vous êtes Bon, clément, indulgent et doux, ô Dieu vivant ! Je conviens que vous seul savez ce que vous faites, Et que l'homme n'est rien qu'un jonc qui tremble au vent ; Je dis que le tombeau qui sur les morts se ferme Ouvre le firmament ; Et que ce qu'ici-bas nous prenons pour le terme Est le commencement ; Je conviens à genoux que vous seul, père auguste, Possédez l'infini, le réel, l'absolu ; Je conviens qu'il est bon, je conviens qu'il est juste Que mon cœur ait saigné, puisque Dieu l'a voulu ! Je ne résiste plus à tout ce qui m'arrive Par votre volonté. L'âme de deuils en deuils, l'homme de rive en rive, Roule à l'éternité. Nous ne voyons jamais qu'un seul côté des choses ; L'autre plonge en la nuit d'un mystère effrayant. L'homme subit le joug sans connaître les causes. Tout ce qu'il voit est court, inutile et fuyant. Vous faites revenir toujours la solitude Autour de tous ses pas. Vous n'avez pas voulu qu'il eût la certitude Ni la joie ici-bas ! Dès qu'il possède un bien, le sort le lui retire. Rien ne lui fut donné, dans ses rapides jours, Pour qu'il s'en puisse faire une demeure, et dire : C'est ici ma maison, mon champ et mes amours ! Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient ; Il vieillit sans soutiens. Puisque ces choses sont, c'est qu'il faut qu'elles soient ; J'en conviens, j'en conviens ! Le monde est sombre, ô Dieu ! l'immuable harmonie Se compose des pleurs aussi bien que des chants ; L'homme n'est qu'un atome en cette ombre infinie, Nuit où montent les bons, où tombent les méchants. Je sais que vous avez bien autre chose à faire Que de nous plaindre tous, Et qu'un enfant qui meurt, désespoir de sa mère, Ne vous fait rien, à vous ! Je sais que le fruit tombe au vent qui le secoue, Que l'oiseau perd sa plume et la fleur son parfum ; Que la création est une grande roue Qui ne peut se mouvoir sans écraser quelqu'un ; Les mois, les jours, les flots des mers, les yeux qui pleurent, Passent sous le ciel bleu ; Il faut que l'herbe pousse et que les enfants meurent ; Je le sais, ô mon Dieu ! Dans vos cieux, au-delà de la sphère des nues, Au fond de cet azur immobile et dormant, Peut-être faites-vous des choses inconnues Où la douleur de l'homme entre comme élément. Peut-être est-il utile à vos desseins sans nombre Que des êtres charmants S'en aillent, emportés par le tourbillon sombre Des noirs événements. Nos destins ténébreux vont sous des lois immenses Que rien ne déconcerte et que rien n'attendrit. Vous ne pouvez avoir de subites clémences Qui dérangent le monde, ô Dieu, tranquille esprit ! Je vous supplie, ô Dieu ! de regarder mon âme, Et de considérer Qu'humble comme un enfant et doux comme une femme, Je viens vous adorer ! Considérez encor que j'avais, dès l'aurore, Travaillé, combattu, pensé, marché, lutté, Expliquant la nature à l'homme qui l'ignore, Eclairant toute chose avec votre clarté ; Que j'avais, affrontant la haine et la colère, Fait ma tâche ici-bas, Que je ne pouvais pas m'attendre à ce salaire, Que je ne pouvais pas Prévoir que, vous aussi, sur ma tête qui ploie Vous appesantiriez votre bras triomphant, Et que, vous qui voyiez comme j'ai peu de joie, Vous me reprendriez si vite mon enfant ! Qu'une âme ainsi frappée à se plaindre est sujette, Que j'ai pu blasphémer, Et vous jeter mes cris comme un enfant qui jette Une pierre à la mer ! Considérez qu'on doute, ô mon Dieu ! quand on souffre, Que l'œil qui pleure trop finit par s'aveugler, Qu'un être que son deuil plonge au plus noir du gouffre, Quand il ne vous voit plus, ne peut vous contempler, Et qu'il ne se peut pas que l'homme, lorsqu'il sombre Dans les afflictions, Ait présente à l'esprit la sérénité sombre Des constellations ! Aujourd'hui, moi qui fus faible comme une mère, Je me courbe à vos pieds devant vos cieux ouverts. Je me sens éclairé dans ma douleur amère Par un meilleur regard jeté sur l'univers. Seigneur, je reconnais que l'homme est en délire S'il ose murmurer ; Je cesse d'accuser, je cesse de maudire, Mais laissez-moi pleurer ! Hélas ! laissez les pleurs couler de ma paupière, Puisque vous avez fait les hommes pour cela ! Laissez-moi me pencher sur cette froide pierre Et dire à mon enfant : Sens-tu que je suis là ? Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes, Le soir, quand tout se tait, Comme si, dans sa nuit rouvrant ses yeux célestes, Cet ange m'écoutait ! Hélas ! vers le passé tournant un œil d'envie, Sans que rien ici-bas puisse m'en consoler, Je regarde toujours ce moment de ma vie Où je l'ai vue ouvrir son aile et s'envoler ! Je verrai cet instant jusqu'à ce que je meure, L'instant, pleurs superflus ! Où je criai : L'enfant que j'avais tout à l'heure, Quoi donc ! je ne l'ai plus ! Ne vous irritez pas que je sois de la sorte, Ô mon Dieu ! cette plaie a si longtemps saigné ! L'angoisse dans mon âme est toujours la plus forte, Et mon cœur est soumis, mais n'est pas résigné. Ne vous irritez pas ! fronts que le deuil réclame, Mortels sujets aux pleurs, Il nous est malaisé de retirer notre âme De ces grandes douleurs. Voyez-vous, nos enfants nous sont bien nécessaires, Seigneur ; quand on a vu dans sa vie, un matin, Au milieu des ennuis, des peines, des misères, Et de l'ombre que fait sur nous notre destin, Apparaître un enfant, tête chère et sacrée, Petit être joyeux, Si beau, qu'on a cru voir s'ouvrir à son entrée Une porte des cieux ; Quand on a vu, seize ans, de cet autre soi-même Croître la grâce aimable et la douce raison, Lorsqu'on a reconnu que cet enfant qu'on aime Fait le jour dans notre âme et dans notre maison, Que c'est la seule joie ici-bas qui persiste De tout ce qu'on rêva, Considérez que c'est une chose bien triste De le voir qui s'en va ! Victor Hugo (1802 - 1885 ) ______________________________________ Un poème triste, dédié à sa fille décédée Léopoldine qui m'a toujours profondément émue.
  13. Faut convaincre le jury :) Mais c'est beau d'avoir foi encore en la justice. On n'en parle pratiquement plus, faudra voir la suite des évènements...
  14. Coups mortels aggravés. Comment tu peux la condamner pour ça en se basant sur les seules paroles de son concubin ? Sans le corps pour attester et prouver les dires ? Et encore ! Qui prouve que c'est la mère - ou le concubin - qui les a infligés ?
  15. Ca va chercher dans les combien, ça ? En attendant, toujours pas de trace du corps de la gamine
  16. Je ne te fais pas la morale méchamment, désolée si tu l'as perçu comme ça. Tu poses des questions que tu aurais pu posées à ta mère directement. Mais je suis heureuse de t'avoir fait suffisamment peur pour que tu lui en parles. Excuse-moi si je trouve que coucher à 15 ans est trop jeune. Les gamins de nos jours perdent leur virginité de plus en plus tôt et je trouve ça absurde ! Enfin, quand tu auras mon âge, tu te rendras compte que 10 mois, ce n'est rien. Je te souhaite de rester avec lui le plus longtemps possible et bon courage dans ta vie :)
  17. Alors je vais te raconter une histoire qui te fera réfléchir : je connais une gamine qui a été mère à 13 ans et demi. De deux jumeaux. Parce qu'elle ne voulait pas en parler à ses parents qu'elle avait copulé avec un gamin de 15 ans pendant 2 minutes à une soirée. Ca s'appelle un avenir gâché. Ma mère m'a eue à l'âge que tu as aujourd'hui. Elle non plus, elle n'a voulu rien dire et elle ne savait pas quoi faire. Ce n'est pas elle qui m'a élevée. Alors avant de te dire que tu n'as pas envie de te prendre une branlée ou qu'on te fasse la morale, fallait réfléchir avant de coucher avec ton copain parce que ça fait 10 mois que tu es avec lui. 10 mois c'est rien. Il t'a dit que le préservatif n'avait pas craqué alors soit tu lui fais confiance, soit t'as rien à faire avec lui. Franchement, tu serais ma fille, je te dirais d'aller voir un gynéco et de prendre une pilule contraceptive. Je suppose que tu n'as pas envie de devenir mère maintenant. Réfléchis avant d'agir et c'est ta mère. Elle est là pour toi et pour parler avec toi de ces choses-là. Tu en parles bien sur un forum. Prends ton courage à deux mains et parle-lui en.
  18. 15 ans et tu as des rapports... ? Je ne vois pas pourquoi tu t'inquiètes si tu as les règles espacées Un test sanguin est sûr - c'est comme ça que j'ai su que j'étais enceinte de mon fils après un positif et un négatif avec un test de grossesse. Tes parents verront que tu as été dans un labo. Mais ne vaut-il pas mieux que tu leur en parles ? Parce que si tu es enceinte, ils le sauront tôt ou tard
  19. Merci pour votre message :) mais apparemment y a des gens qui sont aussi contre mon avis ^^'

  20. Non, il passait pour un homme d'Etat qui respectait les alliances et qui demandait appui au pays qui s'en sort le mieux en Europe Faut arrêter de s'exciter comme ça
  21. Surtout ne faisons pas plus de tapage, y en a assez eu comme ça
  22. Mais laisser le choix à une gamine entre la France et ses parents, ne crois-tu pas que c'est vite fait ?
  23. Tu as du répondant, c'est cool :) Bienvenue sur le forum :)

  24. J'ai parlé d'un truc similaire après, Cochise :)
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