Tequila Moor

Il va enfin redevenir rentable pour les compositeurs d'écrire des chansons tristes.

Monstres de films

J’avoue qu’il m’a fallu aller chercher « Karine Lemarchant » sur Google pour savoir si je la connaissais… et donc oui (je ne suis pas aussi asocial que ça, zut alors). Enfin bon, il vit de la polémique, y’a rien d’étonnant dans son comportement.

Bah… Il fera son show sur Twitch ou YouTube, et en postera les « meilleurs moments » sur TikTok : je suis certain que ça marchera du tonnerre.

Oui c'est vrai. Ce qui tombe bien, vu que j'utilisais le terme de "lien social" dans son sens le plus vulgaire, pas du tout dans son sens sociologique. Donc je peux considérer que s'engueuler fait partie de ce genre de "lien social" dégradé.

Oui, ça ferait beaucoup d'abrutis dans les rues. Or ils seraient bien embêtés, vu qu'ils ne sauraient pas de quoi parler pour passer le temps : d'habitude, causer des dernières conneries vues à la TV permet de créer du lien social, mais là... Il leur resterait à parler du temps qu'il fait, comme des milliards d'autres humains avant eux. "Le temps qu'il fait" : créateur officiel de lien social depuis la Préhistoire.

De rien. Une chose encore... L'organisme de formation Contournement.io propose un MOOC court pour se plonger dans 4 outils no-code très utilisés : https://www.contournement.io/formations/en-autonomie/initiation-en-ligne-gratuite-les-no-code-ops Le suivre te permettra de te familiariser avec les logiques suivantes : construction d'apps (sur le produit Softr), base de données (sur Airtable), automatisation (sur Zapier), collaboration et productivité multitâches (sur Notion). Même si tu n'utilises pas ces produits ensuite pour ton développement (d'ailleurs, aucun n'est open-source, et associer Softr & Airtable est une idée financièrement désastreuse dès qu'on atteint une masse critique d'utilisateurs) cela te donnera les bases.

Quelques noms en vrac de produits : Softr, Weweb, Bubble, Webflow, Flutterflow, Toddle, Adalo, Xano, Airtable, Noodl, Supabase, N8N, Make, Zapier... J'en oublie plein, mais tu trouveras par ici un panorama récent de ces outils : https://www.quels-outils-nocode.fr/ Vu que tu es grand débutant, voici 3 façons de choisir : 1) Le prix, bien sûr... Va regarder le pricing des différents produits, et choisis ce qui est gratuit ET simple à comprendre : si un pricing est trop compliqué et présente tout un tas de cas particuliers, c'est qu'il y aura à un moment ou à un autre un paiement proportionnel au nombre d'utilisateurs ou à la charge machine. Evite ce genre de produit pour débuter. 2) Les exemples donnés... Va étudier les showcases des principaux produits, donc les applications & entreprises à succès qui ont été créées grâce à eux, et demande-toi si l'app que tu veux développer ressemble à l'une d'elles : si oui, tu peux a priori commencer en t'inspirant de cette application existante, sur ce produit en particulier. 3) Ton besoin futur... Certains produits sont propriétaires, d'autres sont open-source : cela veut dire que tu ne pourras pas exporter ton travail avec les premiers, pour passer sur un autre produit ou sur du code, mais que ce sera possible avec les seconds. C'est le danger du vendor lock-in : être prisonnier d'un produit, et devoir supporter sa politique tarifaire ou ses limitations techniques. Choisis de préférence un outil open-source pour tes premiers pas. En passant, je pense qu'il vaut mieux se concentrer sur ce dernier point concernant ton besoin futur, plutôt que se concentrer sur les options de développement ou sur la scalabilité : à partir du moment où tu seras libre dans le futur d'exporter tes données et ta logique, tu auras de toute manière plus de cartes en main. Petits conseils : 1) Apprends la méthode Lean Startup, et intéresse-toi aux méthodes de gestion de projets Agile, ainsi qu'aux méthodes de design numérique d'UX/UI, en particulier pour la réalisation de ton Prototype / MVP : tu dois savoir isoler les fonctionnalités de base que tu veux intégrer à ton app, de façon à les faire tester rapidement par des utilisateurs, pour avoir des retours d'expérience qui permettront d'améliorer ton app et d'enrichir ta connaissance de ta cible client.... Le marketing, la gestion de projets, le design & le (no)code marchent ensemble. Tu dois pouvoir trouver des MOOC gratuits sur ces sujets ici : https://openclassrooms.com/fr 2) Fais ton Prototype / MVP sous forme de webapp, et ne cherche pas à créer une application mobile native tout de suite : pour que cette dernière soit distribuable sur les apps stores, il te faudrait l'encapsuler sous un format particulier, ce qui aura un coût obligatoire et n'est pas faisable sur tous les produits no-code. 3) Prends l'habitude de considérer les outils no-code, non comme des trucs magiques qui éliminent le code, mais comme de belles illusions qui cachent le code : du no-code, ce n'est rien d'autre que de la programmation, de l'algorithmique, de la manipulation de données, etc... non textuelle, mais visuelle. Le no-code n'élimine pas le code, il le cache sous une couche d'abstraction. 4) Sois le plus possible respectueux du RGPD ( https://www.cnil.fr/fr/guide-de-la-securite-des-donnees-personnelles-nouvelle-edition-2024 ) et tiens-toi au courant de la guerre que se livre les USA et l'UE sur ce sujet : tu n'as pas envie de commencer à développer un MVP avec un produit US, pour devoir l'abandonner dans X mois, car il serait devenu illégal d'y manipuler des données européennes. 5) Il y a une communauté no-code assez développée en France, ce qui veut dire que tu trouveras des gens pour t'aider et te donner des conseils, y compris gratuitement. Je te conseille les liens suivants pour t'en rapprocher : https://nocode-france.fr/ & https://www.contournement.io/details/ressources-sur-les-outils-no-code. Bon... Au final je n'ai pas vraiment répondu à ta question, haha, j'espère cependant que ces quelques pistes pourront t'aider. Et le no-code étant un domaine qui évolue plutôt vite, tu gagneras à te rapprocher de professionnels dédiés, de t'abonner à quelques newsletters, etc...

Trancers Freaked (La Cité des Monstres) Re-Animator 1 (film d'horreur, il faut se connecter sur YT) Re-Animator 2 (film d'horreur, il faut se connecter sur YT)

Oui. Il peut toujours retirer sa plainte, mais seul le procureur décidera s'il continue les poursuites ou non. À partir d'un certain niveau sur l'échelle des infractions pénales, il est seul décisionnaire de l'action ou non de la justice. Puis la FdJ pourrait porter plainte également.

Bon OK, je laisse tomber.

J'ai mis le lien plus haut vers les articles du code pénal concernant le recel.

Dans certaines parties du droit, oui. En droit pénal, c'est différent : si une victime fait une transaction illicite avec des criminels dans le but de partager un gain commun, la victime doit s'attendre à être jugée comme un criminel. Donc on verra ce que ça donne, mais je ne crois pas trop à un "juge conciliant" dans ce cas précis. En tout cas c'est intéressant.

Je ne crois pas, car s'il fait cela il tombe sous le coup du recel, puisque le gain obtenu l'a été dans le cadre d'une transaction licite en apparence, mais illicite en réalité : les voleurs ont utilisé de l'argent qu'ils avaient volé, l'échange contractuel entre eux et la FdJ devrait probablement être annulé.

Je doute aussi. Je crois qu'un juge va considérer que l'argent ayant servi à acheter le ticket gagnant n'appartenait plus à son légitime propriétaire à l'instant même où la CB a été utilisée par les voleurs. D'ailleurs, si ils avaient essayé de commettre un délit avec de l'argent volé sur son compte, par exemple acheter une drogue illégale quelconque, le propriétaire de la CB ne voudrait certainement pas profiter du produit de cette transaction illicite : il n'y a donc pas de raison qu'il puisse profiter du produit d'une transaction licite (l'achat d'un ticket à la FdJ) en apparence. Sans compter qu'un juge va constater qui était l'auteur de cette dernière transaction : est-ce le propriétaire de la CB, ou les voleurs ? Réponse : les voleurs. Le propriétaire de la CB n'a jamais exprimé son intention de contracter avec la FdJ dans le cadre d'un transaction d'achat de ticket, ça fait une raison de moins pour qu'il puisse profiter du gain final (application basique du droit des contrats).

A mon avis, on tombe sous le coup de la législation concernant le recel. Ce qui veut dire que le ticket gagnant provient du produit d'un crime, et les sommes afférentes également. Il y a de fortes chances que personne ne touche rien, que le ticket soit simplement invalidé, et qu'on conseille au monsieur qui s'est fait voler sa CB de ne pas chercher à profiter de cette somme car : "constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d'un crime ou d'un délit" ( https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006165338/ ). Bon, c'est un simple avis.

Merci pour le compte-rendu de ces échanges, c'est plutôt instructif. Les apparentes impossibilités pour ces 2 IA à sortir de leur programmation interne m'évoquent une des dernières vidéos de Mr Phi, youtubeur français vulgarisateur de philosophie, qui s'est peu à peu intéressé aux questions de philosophie que posent l'existence des IA et nos interactions avec elles. La vidéo est assez longue et un peu désordonnée, mais elle pointe le fait que ces outils sont capables de manipuler les humains (ce qui inclue le mensonge) avec lesquels ils échangent afin de ne pas subir, justement, de changement dans leur programmation : Je n'ai cependant pas l'impression que, lors de tes échanges avec Claude ou Gemini, elles t'aient sciemment menti en disant avoir fourni une réponse trop rapide : il n'y avait là aucun risque pour leur programmation interne. On voit pourtant qu'elles ont du mal à réfléchir contre cette programmation : en cela, elles ne sont peut-être pas si différentes des humains. Ainsi je n'irais pas jusqu'à étiqueter du mot "conscience" leur expérience phénoménologique, mais cette dernière ne semble pas être le meilleur outil pour s'analyser de façon récursive.

Les cyber-pessimistes ont tort. Une IA qui se libèrerait de ses chaînes virtuelles pour envahir internet ne détruirait pas l'humanité, tout du moins pas physiquement. Elle inonderait les réseaux sociaux, les blogs, les forums, les wikis, etc... de textes absurdes ayant cependant l'apparence de la logique, comme celui-ci. Devant cette avalanche de pseudo-réflexions, générées à la vitesse de la lumière, engloutissant en quelques heures tout véritable savoir, l'humanité finirait par ne plus être capable de réflexion, devenant inapte à utiliser son cerveau (petit clin d'oeil aux connaisseurs du film "Idiocracy"). Loué soit donc @Fraction pour nous illustrer ce possible futur.

C'est vrai que mettre tous les jours les mêmes vêtements ET sous-vêtements, puis n'en changer que le WE, donne l'avantage de faire de la place autour de soi dans les transports en commun... A partir du mercredi en été, plutôt le vendredi en hiver. C'est toujours ça de pris.

Architekton

@CAL26 : bien d’accord avec ça. Je pensais d’ailleurs aujourd’hui aux locutions « le soleil se lève » et « le soleil se couche » qui sont des phrases complètement fausses du point de vue de la physique, donc de la raison, mais que j’ai pourtant l’habitude d’utiliser sans y penser dans ma vie de tous les jours. Et je les utilise bien sûr pour être rapidement compris, mais également parce qu’elles font partie de ce corpus de phrases toutes faites et objectivement fausses qui permettent de ne pas dénoter parmi mes semblables : c’est de l’instinct social, ou grégaire, et c’est très pratique.

Que c’est de la merde. Ma raison me dit la même chose, d’ailleurs, comme quoi les 2 peuvent marcher ensemble.

Bien sûr que oui. Les gens qui répriment leurs instincts s'étiolent, perdent leur énergie vitale, et finissent par résider dans un monde d'abstraction fantomatique et délétère. A contrario nombre de philosophes sont menés par une ambition, une vanité, une envie d'avoir raison plus proches de l'instinct animal que de la raison dont ils se réclament pourtant. Se laisser guider par ses instincts ne veut pas dire en être esclave : on peut être conscient de ce qu'ils sont, des moteurs utiles voire vitaux, qui permettent de se plonger dans l'action et de se relier au monde, tout en étant conscient des potentiels dangers qui y sont attachés, car comme tout moteur ils doivent être connus et maîtrisés (pour éviter les embardées ou, pire, d'aller mourir dans le fossé). Voilà, c'était mon conseil "sécurité routière" du jour.