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Tout ce qui a été posté par zenalpha
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On peut l'oublier...je ne sais pas si vous parlez de l'énergie du photon ou de son impulsion vu que vous ne formulez pas correctement votre phrase mais un... photon... n'est ni une énergie ni une impulsion, c'est un quantum du champ électromagnétique Non. LORS D'UNE MESURE, le simple fait de mesurer, change l'état de la particule puisqu'une mesure fait s'effondrer la fonction d'onde de probabilité D'une superposition d'états probabilistes (imaginez un "nuage de probabilités" comme etant ce quantum du champ qui occupe tout l'espace), l'acte de mesure génère l'effondrement de la fonction d'onde avec l'ensemble de ses superpositions probabilistes Le principe d'indetermination concernant la position et la quantité de mouvement (une des différentes possibilités de variables dites complémentaire) nous indique que, après mesure, il devient dès lors possible de connaître UNE seule position OU une seule vitesse pour la particule car son etat a changé On estime plus des probabilités, on a Mesuré...mais ce qu'on mesure, c'est une particule qui a changé d'état du fait même de la mesure... Et que, mesurant ce nouvel etat de la particule, si on souhaite connaître ET la vitesse (quantité de mouvement) ET la position, cela ne sera pas possible de manière précise. Plus on a une information precise sur l'une de ces deux informations et moins on en aura avec précision sur l'autre Pourquoi mon cher ami ? Parce qu'on a, après mesure, selectionné UN seul VECTEUR D ETAT parmi tous les vecteurs d'états qui étaient probabilisés selon les probabilités de l'équation de schrodinger Et un vecteur d'etat, celui forcé par la mesure qui a provoqué l'effondrement de la fonction d'onde, c'est une combinaison ou la vitesse et la position ne commutent pas L'observable est un opérateur hermitien dans l'espace de Hilbert Donc...l'écart type de la "vitesse" multiplié par l'écart type de la "position" seront toujours superieur ou egal à la constante de planck sur 2pi Non... Les manifestations d'une particule sont ondulatoires ou corpusculaires Une particule a des caractéristiques ondulatoire ET des caractéristiques particulaires Ce n'est NI une onde NI une particule Mais c'est un quantum du champ... Non Quittez ce que vous ne comprenez pas et ne cherchez pas à comprendre mais ce qui vous permet d'ecrire sur un terminal électronique pour vous connecter sur internet à ... vos représentations... non vérifiées puisque....fausses... Sortez de l'impasse Joseph...
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Non C’est la vision idéaliste auquel s’oppose la vision réaliste avec quelques variantes (structuralisme, constructivisme...) Non plus Une particule dans son état fondamental est une excitation du champ quantique, un quantum du champ C’est l’ensemble du champ qui est affecté ce qui permet par exemple l’intrication quantique ou la teleportation quantique contrairement à une onde bien localisée dans l’espace
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Je connais bien les œuvres de Kant Ici, Étienne Klein évoque le temps chez Kant (donc la causalité) comme "une condition subjective de notre intuition dans lequel s’ordonne les sensations" en reprenant la formulation de Kant Mais en fait, je reprends les termes precis de Kant qui ont ce malheur d’être enfouies dans mon cerveau Vous retrouverez ces mêmes termes d'a priori de notre sensibilité chez Jostien Gaarder Vous le retrouvez ici également https://www.les-philosophes.fr/kant-critique-de-la-raison-pure/Page-10.html Extrait "Qu’en déduire ? Cela signifie que l’espace est l’une des formes a priori de notre sensibilité (ou de notre intuition). Impossible en effet d’intuitionner quelque chose sans recourir aux formes de notre intuition. C’est pour cela que nous ne pouvons pas imaginer intuitionner quelque chose sans recourir à l’espace."
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Une science en effet Et sans le pass sanitaire la covid ne peut pas voyager, elle se fait refuser dans tous les aéroports sans son QR code. Il faut envisager des traîtres à la douane.
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Vous voyez bien que vous n’avez pas fait le tour des systèmes de croyances et que vous êtes dans un jugement de valeur personnel sur base de fondements ridicules (le substantif comme construction du langage devient fondamental...) Avez vous jamais vu quiconque considérer un élément formel du langage comme représentant une vérité ? Ou encore de la malveillance concernant le bouddhisme ? Vous êtes dans une impasse Joseph Prenez cette main tendue dans l’échange mon frère
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D'autres alternatives existent mon frère Soit la causalité n'est qu'un a priori de notre sensibilité (kant) et donc c'est l'homme qui ne voient que des relations causales là ou il n'y en a pas et là ou il n'y a pas que ça Soit le temps lui même n'est pas fondamental en soi, dans la nature et s'il n'est qu'un principe émergent de la variabilité intrinsèque du quantique (rovelli, connes) alors la causalité n'est pas fondamentale en soi Soit on admet la causalité fondamentale sans qu'il n'y ait une cause première mais un tissu relationnel ou ce sont les relations qui sont fondamentales et non les objets qui en sont conséquence Le problème Joseph est que vous abordez les questions avec une logique classique de tiers exclu (soit / soit) sur des représentations traditionnelles contestables (independance du temps) pour ... tenter... des enchaînements logique Or vous ne respectez pas suffisamment les enchaînements de la logique classique, il vout faut apprehender la logique intuitionniste pour des fondamentaux plus rationnels ainsi que des concepts mathématiques et physique plus subtils et votre axiomatique fondée sur le temps est contestable Avant de toucher l'absolu et on en est loin, loin, loin..., évitons déjà les petites erreurs superficielles à notre portée et pourtant si petites petites petites...
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Certainement pas, c'est d'une naïveté sans borne. Il faut évidemment des décisions et il y en a et une décision ne plait pas à tout le monde Mais la forme est fondamentale, vous le decouvrirez par la vie Là aussi, si je mets des "coups de pieds dans le derrière" c'est pour déclencher une réaction Mais l'idée est toujours que l'autre comprenne a minima et adhere dans l'ideal Il n'y a pas de meilleure décision que celle qu'on prend pour soi même Le pass sanitaire a cette portée. Après tout, le choix reste LIBRE mais les conséquences de son choix deviennent évidentes Il y a donc un chemin chez l'autre à faire depuis les conséquences Il est IMPOSE pour rappeler ce qu'est un engagement Si on s'engage a être médecin ou personnel en contact du public, on applique les règles du metier Mais... Si on a ce simple respect d'egal a egal et non dans un necessaire processus obligatoire d'enseignement par la contrainte du maître à l'eleve On impose le moins possible pour que les règles s'imposent Ça sera peut-être une leçon de vie quand vous l'aurez suffisamment vecue petit scarabée
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Non Néphalion Réduire une opposition de principe à une simple difficulté pratique, je m'amuse à le faire également en parfaite conscience que ce n'est pas la motivation essentielle De même que réduire une opinion à un manque d'information ou de pédagogie est un manque d'humilité devant l'intellection de l'autre. Si on est dans le fritage subtil, c'est une remarque habile. Elle sous tend des debiles paresseux Il y en a, mais pas que.
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Non mon frère Si vous faites cet effort de lister objectivement les termes positifs des termes négatifs de votre propos, tout révèle votre souffrance Comprenez que pour le bouddhisme, ne pas avoir d'existence autonome permanente fondamentale n'est pas le rejet d'une existence relationnelle De même que l'inaccessibilité de l'ensemble de l'univers ou du niveau fondamental ne signifie pas son inintelligibilité Cette subtilité vous echappe, mais comprenez que lorsque votre illogisme ou vos abus de langage se manifestent au niveau les plus simples, ceux où ils prennent encore valeur de fausseté objective, vos erreurs du niveau le plus simple ne vous amènent pas sur la bonne trajectoire pour apprécier l'harmonie et la subtilité du complexe. Votre âme pourrait s'apaiser, s'ouvrir, fleurir. Notez qu'ici, je vous accompagne et vos compagnons de route sont rares.
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Hello Joseph Non, un bouddha n’est pas un Dieu, c’est une personne qui est parvenue au Nirvana en transcendant le samsara, le cycle de réincarnation et de souffrance Un Nirvana qui n’est pas un paradis mais une fin d’identification de l’ego comme permanent et autonome Pour le bouddhisme, Dieu n’existe pas, l’âme n’existe pas, tout change, tout est impermanent, le karma est davantage une graine qu’aurait laissé des vies antérieures dans ce cycle de réincarnation mais il n’y a aucun fil rouge identitaire L’homme existe, mais il n’y a pas un sens à cette existence, ni raison ni cause, c’est une vision relationnelle, expérimentale Mais je suis un zen...le zen ne se definie pas
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La vérité, c'est ce qui est vrai Ce qui est vrai, c'est la vérité Vous continuez de confondre vérité et réalité Dire qu'une table est réelle, ca transmet une information Dire qu'on a affaire a une vraie table, ça transmet du vent...il n'existe pas de fausse table... Soit c'est une table soit ce n'est pas une table C'est la vérité vraie mon frère
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Il avait son pass sanitaire et l'a présenté En quelques mots, pourquoi a t'il été refusé par son patron ?
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Il a le pass sanitaire ou pas ?
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Je le disais, aucune définition de soi-même n'est jamais suffisante ni objective par définition Le libre arbitre est un sujet en soi dont un parti pris pragmatique est de considérer qu'il existe mais certaines représentations religieuses et scientifique le mettent clairement en doutenotamment ici mais pas seulement Quant aux facultés de perception et de ressenti, nous savons d'ores et déjà qu'elles sont trompeuses, ce qui nécessite de découvrir des lois qui a priori semblent contre intuitives Votre démarche de connaissance est de mon point de vue mauvaise
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Dieu est une réponse satisfaisante à ta quête d'absolu de l'être puisque permanent et autonome Mais il s'agit d'une pirouette logique quand on raisonne en terme de causalité puisqu'étant sa propre cause, causa sui... Cet argument ontologique de Dieu est donc vieux comme les rues et d'autant moins facile à tenir que des relations entre entités élémentaires s'affranchissent de la causalité et réclament même de la retrocausalité. On peut décider d'observer OU une particule OU une onde APRES que l'onde de probabilité ait franchit les fentes dans l'expérience des fentes de young Ça signifie qu'on décide en mesurant dans le présent d'un état de la particule dans le passé Quand on sait que l'univers a été infiniment petit, on ne peut écarter cette propriété du quantique Ce sont notamment les écoles plus ou moins idéalistes de la filière wheeler Feynman Hawking qui ont construit des modèles de cosmologie quantique exploitant ce principe. L'état passé est conditionné par la situation présente OU "le passé bouge encore" Si la causalité n'est pas un principe fondamental, exit le causa sui déjà contestable, exit l'être permanent
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Non... Etre : avoir une réalité définie par des caractéristiques Rien n'est en soi sans cadre de réalité ni sans caractéristiques dans ce cadre
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si être est défini par permanence et autonomie Alors Non seulement être n'est pas fondamental mais être n'est pas un état envisageable Telle est la conclusion du bouddhisme par exemple Pour le Coran, seul Dieu est l'être, le reste est le néant car sans les caractéristiques de l'être Pour le tsimtsoum de la kaballe, c'est par un retrait en lui que Dieu a créé le vide ayant laissé de la place à la création, le seul être véritable reste Dieu, le vide etant création divine Pour la mécanique quantique, aucun être fondamental ne peut-être défini sans une superposition d'états verifiant le principe d'indetermination Une quantité observable est un opérateur agissant sur les vecteurs d'un espace de Hilbert complexe qui est une généralisation d'un espace euclidien à dimension infinie Pour la gravitation quantique à boucles, ce sont les relations qui créent les objets et non les objets definis qui ont des relations, l'espace temps fondamental est représenté par une mousse de spin équivalente au nuage de probabilité quantique pour une particule de matière Par ailleurs la récursivité est une propriété mathématique qui suppose qu'on retrouve de tout raisonnement logique dans un système dit récursivement enumerable les axiomes des theorèmes a partir desdites règles de construction logique or vous definissez le lien être essence par cette notion de récursivité sans expliciter ni postulats ni logique bref le mot est abusivement employé Vous utilisez un simple raisonnement autoreferentiel circulaire illogique Bref...J'émets un petit doute sur votre préambule Joseph
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Il n'y a donc plus qu'a vous convertir conformément aux enseignements des textes mon frère
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Hello @Scénon Je comprends mieux votre position, merci Néanmoins, je la trouve frustrante, c'est la votre, je la respecte. La mienne n'est pas simplement une vision historique même si, clairement, les rédacteurs du nouveau testament s'inscrivent dans l'histoire. Elle est aussi théologique Le fait de savoir si Jésus est divin ou non est une question théologique, les interrogations sur la trinité, la question de la résurrection, la question de l'adoration de Jesus et des saints etc etc... Tout celà, c'est d'abord une question théologique Et vous voyez bien qu'un juif, un catholique, un protestant, un musulman répondront de manière très différentes aux faits historiques au travers....des réponses théologique Et bizarrement, je me sens beaucoup plus proche de ce rabin que vous Vous pensez être proche mais j'ai l'exacte impression inverse. A savoir qu'évidemment, on peut étudier les textes saint comme matière première presque sans référence aux interprétations des églises Mais on va rater énormément de représentations théologiques fondamentales C'est d'ailleurs pourquoi je vous demandais votre religion Un catholique ou un chrétien n'a pas ce rapport aux textes, les textes sont aussi la manifestation de Dieu dans sa représentation indiquée par l'eglise. Franchement, un chrétien qui indique que peu importe le fait de savoir si Jésus a existé ou pas ... n'est tout simplement pas un chrétien Qu'êtes vous donc ? Et toujours mon étonnement que cette question de sincérité vous pose tant de difficulté Et bien figurez vous que je ne le sais pas. Vos écrits me laissent dubitatif non historiquement mais théologiquement. Au risque de me tromper, je dirai que vous avez développé un simple hobby pour cette culture judeo chrétienne Vous m'êtes une énigme mon frère Dieu vous garde
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Je vous donne mon avis Quelle que soit la définition que vous vous donnez pour vous même elle est incomplète voire infiniment incomplète Votre inconscient, tous les phénomènes qui vous sont propres par la génétique ou l’épigénétique, tout ce dont vous êtes capables ou pas L’image de soi n’est pas soi D'ailleurs le moi comme être permanent n’existe pas Si pour vous avoir conscience de soi c’est connaître, vous vous connaissez pleinement au regard du fait que votre conscience conscientise pour vous-même tout ce que vous appelez connaissance Mais la raison nous dit que ce que les autres pensent de nous demontre déjà que ce que nous pensons être n’est déjà pas ce que les autres pensent de nous Mais ce qui est un plus gros choc encore, c’est que c’est totalement accessoire dans la vie. A trop réfléchir sur la vie on rate le passage existentiel de la vie. Pour finir par ne rien en connaître Je ne sais pas si c’est clair ce que je dis...
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Je rappelle que Voltaire nous a transmis l’idée que tant qu’on permet aux détracteurs de pouvoir s’exprimer alors nous sommes assurément en démocratie Mais une démocratie a aussi ses règles et ses lois. Il est essentiel de les appliquer et de pouvoir les critiquer positivement ou négativement .. en les respectant ou en assumant ses responsabilités si désobéissance Il y a une éthique en médecine, le serment d’hypocrate en fait partie mais n’à pas valeur de droit Il y a donc d’autres règles du secret médical à la protection des données en passant évidemment par l’ordre des médecins, la loi... Que faire en cas de violence conjugale, de demande à une mort accompagnée etc etc Il y a.. des protocoles.. Un médecin n’est pas libre de tout comme....personne...n’est libre de tout Chacun peut en revanche penser ce qu’il veut er rares sont les pensées qu’on ne peut légalement exprimer avec certaines raisons précises Donc c’est important aussi de recevoir des critiques y compris loufoques Malheureusement le piège est de tomber dans les cow boys contre les indiens, de défendre n’importe quoi par principe Si on sait qui on est ce qu’on est ce qu’on défend, il n’y a pas de souci à ce qu’un contradicteur se rende ridicule Idéalement mieux vaut quand même s’entendre sur ce qui nous réunit Oui, refuser de vacciner étant médecin pose un problème de déontologie quand le vaccin est indiqué Donc il y a des sanctions
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Vous n’êtes qu’un bruit de fond pour moi Je rappelle juste la vocation du conseil national de l’ordre des médecins C’est lui qui est intéressant
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Peu importe ce que vous considérez Les conseils de Vichy qui ont commencé par dénoncer les médecins juifs ont été dissous en 1944. Et la vocation de l’ordre des médecins n’est pas administrative mais de veiller à l’éthique et au dévouement indispensables à la pratique de la médecine.
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La connaissance n’est pas la simple perception ni la simple conscientisation d’un stimulus ou d’un concept Si vous connaissez l’existence de la relativité ni vous ni moi ne la connaissons véritablement et il m’est même assez facile de considérer que vous ne la connaissez pas...du tout. Votre définition est une erreur en soi Et vous vous en servez de cadre pour comprendre les implications d’une caractéristique que Scenon assigne à Dieu sans vous demander ni le sens qu’il donne à sa déclaration ni le raisonnement qui l’amène à la faire ou encore sans connaître sa source s’il s’inspire d’un texte. Vous en êtes conscient ?
