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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Primo : je ne "vomis" pas la société d'avant. Deuzio, tu n'y as pas vécu, dans cette société d'avant. Moi j'ai toujours entendu mes grands-mères, ou des femmes de leur âge, me parler de types qui se faisaient virer du tramway parce qu'ils avaient les mains trop baladeuses, de filles rentrées en larmes chez elles après avoir été suivies dans la rue, de fillettes choquées par un curé vicieux au catéchisme, etc. ces choses-là existaient déjà. Quant aux clips où des nanas dansent presque à poil et des films X, ce sont des choses de notre époque, mais autrefois il y avait les maisons closes : n'importe quel homme pouvait, moyennant quelque argent, faire pour de vrai avec des esclaves sexuelles tout ce qu'aujourd'hui on ne peut que se contenter de regarder sur un écran, et c'était de loin plus sale, plus cruel et plus grave. La prostitution était d'ailleurs très répandue car beaucoup de femmes se retrouvaient à la rue (suite à un divorce par exemple) et finissaient par entrer dans une de ces maisons de tolérance, poussées par la faim et/ou le froid.Pour ta petite phrase finale : tout le monde est au courant que le harcèlement sexuel est une réalité, il n'y a que les comme toi qui ne veulent pas en entendre parler, préférant rejeter toujours et encore la faute sur les victimes. Je ne vais donc pas me casser la tête à aller taper pour toi : harcèlement sexuel-témoignages ; harcèlement sexuel en France, etc.
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Encore un qui n'a rien compris au féminisme. Débrouille-toi ! Je viens de te dire que des exemples de harcèlement sexuel, tu en trouverais des tas sur le net, alors si ça t'intéresse vraiment, tu sais ce qu'il te reste à faire, ce sera en outre pour toi l'occasion de t'ouvrir un peu sur le monde qui t'entoure. (Nan mais il voulait que je lui mâche le boulot, en prime !).
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Bien oui parce que le fait d'exercer un tel métier, ce n'est pas ce qui les empêchera d'être coquettes, d'apprécier la mode, de devenir maman et d'aimer leur mari, leurs enfants, de ne pas supporter les malotrus qui leur manquent de respect... enfin plein de trucs qui font qu'elles soient toujours aussi féminines. C'est toi qui stagne dans un passé que tu idéalises mais n'était en réalité pas heureux ; c'est toi qui t'obstines à croire ta pédagogie intelligente, sans compter que vouloir faire de la pédagogie à des adultes, c'est du grand n'importe quoi et c'est déjà une erreur : on n'est pas des gamin(e)s, merde alors ! On est pas plus bêtes que toi, on a le droit de ne pas adhérer à tes idées d'un autre temps, de ne pas être d'accord avec toi, de penser autrement. Moi je me sens bien dans mon époque et pour rien au monde je ne voudrais mener la vie des mes ancêtres féminins. Ce n'est pas du déni, c'est être en accord avec son époque.
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Concernant le harcèlement dans le tertiaire ? Bien sûr ! Cela m'est arrivé : j'avais un boss qui, d'une part, disait toujours du bien de mon travail, donc je n'étais pas nulle, et puis d'une autre protégeait, au motif que c'était notre supérieur, son adjoint qui suivait les employées dans la rue et leur caressait les genoux ou les seins sans qu'elles s'y attendent. Perso, moi il ne m'a jamais touchée car je l'ai rembarré dès le départ quand il a commencé à me suivre à la sortie du bureau, mais par la suite qu'est-ce qu'il a pu me faire chier, qu'est-ce qu'il a pu être agressif et humiliant pour se venger. Bon, je n'aime pas trop parler de ma vie, alors je vais m'arrêter là, en revanche si c'est des exemples que tu veux, tu en trouveras des tas sur le net. En ce moment, on parle d'ailleurs beaucoup d'énergumènes comme Georges Tron, DSK, etc.
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Mais personne ne culpabilise les femmes d'aimer être ce qu'elles sont, il y a juste des sclérosés qui veulent les culpabiliser d'être indépendantes et qui n'acceptent pas l'évolution de la société. Allez rencontrer les femmes chauffeurs d'autobus, de camion, celles qui bossent dans les usines, sur les chantiers, dans la police, etc. vous verrez qu'elles sont toujours féminines.
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ça aussi, c'est faux : le tertiaire a son lot de harceleurs et si dans leurs boîtes des femmes ne parviennent pas à se faire une place, ce n'est pas par manque de compétence professionnelle, mais parce qu'elles sont fières et ne veulent pas céder aux avances d'un vicieux.
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Non mais, sérieux, tu crois vraiment que la femme qui travaille dans un secteur autrefois réservé aux hommes, singe les hommes ? Elle ne singe personne, elle bosse pour gagner sa vie, c'est tout, et le fait qu'elle manipule un engin de chantier, soit chef d'orchestre, gendarme, juge, etc. n'ôte rien à sa féminité, pas plus que l'homme qui exerce un métier autrefois réservé aux femmes ne singe les femmes. C'est une idée que tu te fais : les femmes ne copient pas les attitudes des hommes.
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Mais les femmes sont toujours des femmes, elles n'ont pas changé ! Le fait que les deux sexes naissent avec les mêmes droits n'y changent rien, c'est toi qui t'obstines à ne pas le voir. La société d'aujourd'hui se passe qui plus est de plus en plus de la force physique : on ne demande pas aux ouvrier du BTP de construire des pyramides, ni aux gendarmes de se battre à l'épée... Or il se trouve qu'une femme peut conduire un engin de chantier, porter une arme à feu, etc. donc les femmes peuvent exercer tous ces métiers jadis réservés aux hommes, ce qui n'ôte rien à leur féminité. Elles sont même plus belles qu'avant, en ces temps où on serrait les femmes comme des rôtis dans des corsets jusqu'à les faire suffoquer parce qu'on croyait que ça tiendrait jamais tout seul. Sans compter que ces femmes-là, en usant continuellement de malice pour parvenir à leurs fins, prenaient un peu les hommes pour des cons, cela ne pouvait plus durer : assez avec toutes ces hypocrisies surannées !Concernant le mot masculinisme, je ne l'ai pas inventé, cela fait longtemps qu'on l'emploie pour désigner la pro-phallocratie convulsive des hommes qui ne supportent pas l'idée qu'une femme soit indépendante et investie des mêmes pouvoirs qu'eux. Ce sont d'ailleurs ces hommes-là qui sont les premiers à geindre dans notre société, au passage ! Car oui : les masculinistes sont lugubres, toujours à geindre comme des veaux, se croyant entourés de femmes ennemies, malveillantes, castratrices, oppressantes, monstrueuses même, alors que pour eux c'était tellement chouette, tellement simple quand toutes ces oies pétries de religion s'abaissaient devant eux et disaient bleu quand eux disaient bleu même si elles constataient que c'était rouge. Pour s'en persuader encore plus, ces maniaques passent leur temps à éplucher les journaux en quête de faits divers relatant les actes d'une veuve noire ou autres criminelles en talons aiguilles. C'est vrai qu'autrefois, les femmes délinquantes, les criminelles, ça n'existait pas, c'est une nouveauté toute fraîche, hein ? Regardez un peu mon œil ! Pour finir, la mongole te remercie bien : j'ai plussoyé Crabe Fantôme à maintes reprises.
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Je parle de patriarcat avec raison puisque répondant à ton post 73 : Alors, qui qu'c'est le premier qu'a parlé de patriarcat, hein ? Non, parce que moi, au départ, j'avais parlé de faire plaisir, être gentil, courtiser, et à cela tu viens parler des bienfaits du patriarcat ! Pour le reste : la dimension de la puissance de l'homme sur la femme, la malice féminine, la crise d'hystérie interminable des femmes modernes, les féministes qui imitent les hommes, et caetera, tout cela n'est que la sempiternelle fumisterie que tu nous ressers régulièrement depuis que tu fréquentes ce forum, or il se trouve que les hystériques en question, qui hurlent et qui roulent des mécaniques comme des loubards, hormis peut-être dans certains bas-fonds mal famés où même les femmes s'endurcissent, ça court pas les rues. Alors soit c'est parce que tu fais de la propagande au service du masculinisme et c'est pas très glorieux, soit tu as réellement une vision déformée des femmes et il faut consulter un psy, soit tu vis dans une ville dont je ne citerai pas le nom et dont les habitants -femmes incluses- sont la vulgarité incarnée, toujours à brailler dans les rues, triviaux et agressifs au possible, et dans ce dernier cas il faut déménager.
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Tu confonds patriarcat et respect des femmes. Le patriarcat, ce n'est pas le respect des femmes, c'est un système fondé sur l'autorité du père, ce qui implique que ni la mère, ni les filles n'aient plus leur mot à dire, et que celles qui osent désobéir à l'autorité des mâles soient rejetées par la famille d'abord, puis par la société ; donc pour le respect, on peut mieux faire. On peut d'ailleurs très bien vivre dans une société qui n'est pas patriarcale et être respectueux avec les femmes. Je dirai même plus : l'homme qui se détourne des femmes parce qu'elles sont libres et qu'il ne peut donc pas en user comme de petits joujoux est un homme faible, creux et immature, parce que la femme indépendante et sûre d'elle lui renvoie l'image de sa médiocrité, et c'est ça qui l'insupporte en vérité. Donc l'homme qui ne se sent capable de bomber le torse qu'en face de femmes soumises et résignées ne fait que jouer un rôle : il fait montre d'une force et d'une assurance qu'il n'a pas, il se ment à lui-même.
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C'est peut-être une question de méthode ? Ces hommes d'Europe du sud savent bien qu'il faut commencer par complimenter beaucoup et faire plaisir pour commencer. Ils sont très patients quand ils veulent une femme, et attendent de la sentir conquise avant d'envoyer les mains. Peut-être qu'en France les hommes se sont trop habitués à avoir tout tout de suite et sans efforts, mais alors c'est surtout la résultante d'une mentalité générale qui s'installe dans les sociétés de consommation, et le féminisme n'y est pour rien. Perso j'ai conservé le souvenir des hommes des années soixante-dix, quatre-vingt, qui ne craignaient pas de se prendre des râteaux, mais surtout qui étaient capables d'exprimer le sentiment amoureux qu'ils éprouvaient pour une femme en la courtisant des mois voire plus s'il le fallait. En somme, tant qu'ils aimaient, ils ne baissaient pas la garde. Si les Français n'y arrivent plus, c'est peut-être qu'ils ne daignent plus faire plaisir, qu'ils trouvent que dire des gentillesses pour conquérir un coeur c'est ridicule et c'est se rabaisser, qu'ils sont trop empressés, qu'ils ont été trop gâtés dans leur enfance et trop habitués à tout recevoir d'un claquement de doigt. Evidemment, un mec qui se pointe avec ses gros sabots et qui propose le plus vulgairement du monde le plumard et de but en blanc, il a de grandes chances d'être accueilli par des hurlements. C'est pas comme ça qu'il faut s'y prendre.
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Tu nous sors toujours la même rengaine. Tu fais partie de ces masculinistes qui refusent de comprendre que le féminisme n'a pas pour but de faire croire qu'hommes et femmes soient identiques, mais que leurs droits doivent l'être à 100 %. Si non égalité des droits il y avait pour différence de sexe dans un pays, alors ce pays ne mériterait pas le nom de démocratie. Pour le reste, si les harceleurs et les violeurs potentiels sont une réalité, cela ne veut pas dire que tous les hommes soient mis dans le même panier. On s'en doute que tous les hommes ne sont pas des harceleurs, des violeurs potentiels, mais il faut bien faire quelque chose contre ceux qui le sont ! La culture du viol aussi est une réalité, une réalité qui nous vient de très loin dans le temps, et qui s'appuie sur le fait que les femmes seraient inférieures parce que pénétrables par les hommes, réduites à un corps pourvoyeur de plaisir, qu'il faut cacher, qui ne leur appartiendrait pas. Casdenor et Yardas avaient rédigé d'excellents topics pour expliquer la culture du viol. En fait, ce que tu ne comprends pas, c'est que les féministes visent seulement à égaliser les droits, et aussi à lutter contre une vision déformée des femmes entretenue par une culture profondément machiste. C'est pour cela qu'elles ont réclamé la suppression du "mademoiselle" sur les formulaires administratifs, et qu'elles font annuler certaines publicités réduisant les femmes à des choses consommables, des êtres limités et autres aberrations. Alors évidemment, cela prive les machistes du plaisir de voir les femmes comme des créatures inférieures, manipulables, risibles, qu'ils pourraient rabaisser à souhait, et voilà que le féminisme devient leur cible : ils l'accusent de tous les maux, ce qui fait que quand un malheur a lieu, c'est toujours à cause des féministes. Le chômage ? La faute aux féministes ! La délinquance ? La faute aux féministes ! Un viol ? Et allez, hop, c'est la faute aux féministes ! Une famille assassinée ? C'est encore la faute aux féministes. Un attentat ? Indirectement, ce ne peut être que la faute aux féministes. Tellement que cela en devient inquiétant.
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C'est quoi une "vraie femme" ?!!! Une femme, une vraie, n'est-ce pas tout bonnement un adulte de sexe féminin ? Qu'est-ce encore que cette histoire ? :gurp:
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J'espère que c'est pas une farce (nous sommes le 1er avril) :
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Est ce qu'un employé a le droit de changer une ampoule sans habilitation électrique ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de Lilou Frances dans Inclassables
Si l'employé a un tout autre rôle dans l'entreprise que celui d'électricien ou de factotum, et que son supérieur ou un client l'enjoint à changer une ampoule, alors tout accident qui pourrait survenir pendant ce changement d'ampoule (châtaigne, chute d'escabeau) serait à la charge de l'employeur. -
Si vous le dites, alors ça va.
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Actuellement, oui : on fait dans la provoc facile pour se faire connaître, conscient que la célébrité peut valoir des gains. Beaucoup "d'artistes" contemporains se sont fait un nom grâce à la provocation, et c'est dommage, parce qu'on s'éloigne de la culture.
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Bon, bah à partir de là, ceux qui ont besoin d'argent savent ce qu'il leur reste à faire : créer un groupe, avec un nom comme "Tueurs de vieux", "Vol à l'arraché", "les Pères incestueux", "Cogneurs de pédés", "Ratonade", avec des textes du même niveau. Ce sera juste punk, et puis faut respecter la liberté d'expression de chacun, alors faudra rien dire. :gurp: On marche vraiment sur la tête. On est bien loin de Pierre Perret avec "Mon p'tit loup", chanson touchante contre le viol.
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T'as raison, c'est vraiment une bande de lourds.
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Bonjour, L’histoire aurait pu être anecdotique si elle n’avait pas soulevé, une fois de plus, la question de la liberté d’expression et de création. Un groupe de punk-oi! nantais répondant au doux nom de Viol devait jouer vendredi 27 mars dans le bar-salle de concerts parisien La Mécanique ondulatoire (XIe) dans le cadre d’une soirée en partenariat avec Noisey, site d’infos musicales affilié à Vice. Sauf qu’en sus de s’appeler Viol, le groupe est l’auteur d’un morceau aux paroles très violentes, sorti en 2009, qu’on vous reproduit ci-dessous : Suite & lien
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Claudie Haigneré : scientifique, spationaute et femme politique française, présidente d'Universcience à Paris. Elle a été la première femme française dans l'espace. (Il me semble qu'on ne l'a pas encore citée). Trotula di Ruggieri : femme médecin et chirurgien qui travailla à Salerne, petite ville du sud de l’Italie, au XIe siècle. Elle faisait partie de l'École de Salerne.Plusieurs ouvrages traitant de la santé des femmes lui sont attribués, dont Les Maladies des femmes, Traitements pour les femmes, et Soins cosmétiques pour les femmes (désignés collectivement sous le nom de Trotula). Au Moyen Âge et après, ces textes ont constitué une source d'information gynécologique essentielle. Ces œuvres sont écrites en latin. Au Moyen Age, les hommes cherchent à s'approprier la pratique de la médecine en accusant leurs consœurs de sorcellerie. Au XIe siècle, Salerne, était devenue le centre de la médecine européenne. Son hôpital soignait les riches romains et les Croisés de retour d'Orient. Salerne abritait la plus importante école de médecine du Moyen âge qui enseignait la pratique et la théorie médicales en s’appuyant sur les textes anciens grecs, arabes et juifs. Salerne fut donc la toute première école de médecine laïque de l'Histoire et l'une des rares à y former des femmes qui étudiaient aux côtés des hommes, voire y enseignaient.
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Pas grave : sur la lune ya rien à voir :smile2:
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Qu'est-ce à dire "ça se retournera contre vous un jour" ? On va aller brûler en enfer, c'est ça ? Je suis outrée par tant de fermeture d'esprit et de malveillance de ta part, sans compter que c'est peut-être bien toi qu'attend l'enfer. Après tout, quel pauvre mortel peut prétendre savoir ce qui lui arrivera une fois mort ? Cela dit : en ces temps reculés dont il est question, l'esclavage était normal, est-ce que pour autant on devrait admettre que l'esclavage existe encore de nos jours ? Et c'était normal aussi que les filles soient données en mariage alors qu'elles étaient encore des enfants, serait-ce une raison pour l'accepter encore de nos jours ? Dans ce cas, alors supprimons l'électricité et puis revenons à l'éclairage à la bougie pour que tout redevienne comme avant ! Te rends-tu compte qu'à notre époque encore, des types violent et traumatisent des petites filles innocentes qui leur sont données pour épouses sans honte et sans remords, s'appuyant sur le fait que leur prophète aurait possiblement épousé une fillette de six ans, alors que nul ne sait quelle âge Aïcha avait en réalité de toute façon ? As-tu entendu parler de ces fillettes mortes dans des douleurs atroces après avoir été violées par leur époux, des hommes qui auraient pu être leur père ou leur grand-père ? ça ne te choque pas ? Pourquoi tu ne vas pas leur faire la morale à ces abrutis-là au lieu de venir nous balancer à nous que "ça se retournera contre nous" ?!
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Oh bin ça, oui, pour en arriver à prétendre que des gamines de six ans soient prêtes pour le mariage et d'esprit assez mûr pour y consentir !
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Je te lis et me rends compte à quel point la religion te fait perdre tout sens commun. Dire qu'une fillette de six ans à cette époque était complètement différente d'une fillette de six ans à notre époque, c'est être à 100 % dans le déni. Une fillette de six ans à l'époque ou aujourd'hui, c'est toujours une fillette. Pareil pour les adolescentes, et le fait qu'elles soient réglées ne fait pas d'elles des femmes accomplies, il n'y a donc pas lieu de les contraindre ou même de les convaincre à se marier. Quant au consentement d'une fillette pour se marier avec un homme, c'est tellement facile de convaincre une fillette que c'est bien de faire ceci ou cela que tu t'en trouves totalement et définitivement discrédité. Mais pourquoi est-ce que je perds mon temps à t'expliquer tout cela, tu n'y comprendras jamais rien.