Enchantant

Je me méfie particulièrement de ceux qui utilisent le mot « nos jeunes » à tout propos, en se présentant comme la référence morale et vertueuse en toute circonstance ! Comme si on intervenait nous-mêmes dans leurs histoires personnelles de fesses ? Et si je le faisais, je comprendrais parfaitement qu’ils me rétorquent l’évidence suivante : En quoi cela vous regarde ?

Je regrette, c’est absolument faux… Le racisme antiblanc en France s’est manifesté particulièrement dès le passage de la couleur de la télévision, initialement diffusée en noir et blanc. Lorsque la télévision était en noir et blanc, l’objectif de la caméra suivait le blanc car le noir était difficilement discernable. Dès le passage à la télévision couleur, le blanc manquait particulièrement de contraste et était plutôt fade à l’image. Depuis vous observerez que les caméras de télévision insistent plus sur le noir que sur le blanc… Si vous prétendez avec insistance que ce j’écris là est absolument con, je vous donne entièrement raison, c’est mon petit quart d’heure de délire !

Si ce sont des cures de désintoxication, alors là c'est de la connerie en barre... Mais je reste persuadé que cette cure est d'une autre nature, au regard du traitement du sujet par l'auteur, qui est plus de l'ordre de la provocation...

C'est fait exprès, car j'ai en souvenir que vous êtes passionnés par vos chats, ce que je comprend du reste parfaitement. J'ai eu beaucoup d'animaux dans ma jeunesse et j'en garde un tendre souvenir...

Les pisse vinaigre on aussi le droit de vivre, n'est ce pas Mr Wolfe?

Bonour Petit Pois, Bon d’accord, il faut bien admettre que certains propos dithyrambiques des supporter ou de certains journalistes sont un peu con-con sur les bords. Mais c’est la loi du genre dans le domaine sportif, de faire remarquer par ailleurs, que l’excès de boisson sur la jeunesse n’est pas totalement étranger à la ferveur. Dans toutes les communautés au monde, existe des instants d’expression populaire de désespoirs absolue, notamment quand le pays est envahi par l’ennemi, mais aussi des instants d’expression populaire de joie, lorsque son équipe gagne par exemple. La plupart du temps, nous ne sommes personnellement n’y à l’origine de la défaite ni à l’origine de la victoire, mais le sentiment d’appartenance à sa communauté est un sentiment universellement partagé. C’est dans cet esprit-là qu’il faut accueillir les choses. Pas de quoi fouetter un chat!

What that? Faut il comprendre le recours à un Mak?

En fait, c’est une réaction communautaire qui n’est pas si nouvelle que cela ! Au Moyen âge, alors que les campagnes étaient traversées par des migrants de toutes espèces, la notion de créer un bourg fortifié s’imposa naturellement, agglutiné autour du château fort, avec des enceintes murées et des portes que l’on fermaient à la tombée du jour pour sécuriser les biens. Ces habitants, protégés derrière leur muraille, étaient nommés par les migrants ou les nomades, les bourgeois. Actuellement aux USA, on assiste à un phénomène analogue, des camps retranchés privés ou les habitants paient des gardiens du privé, pour ne laisser passer que ceux qui appartiennent au camp. En fait, les mêmes causes produisent les mêmes effets, c’était déjà le cas hier, cela l’est aujourd’hui et le sera encore demain.

Ce qui est marrant, c’est d’observer la différence de préférence que nous avons personnellement avec celle des votants majoritaires … Je n’ai pas voté pour le sansonnet et son ver, mais j’aime beaucoup le naturel de cette photo et le texte qui l’accompagne. La photo qui remporte un franc succès est bizarrement celle que je trouve la moins naturelle et qui m’évoque plutôt des tripatouillages de couleur avec Photoshop. Tout en reconnaissant que cela n’a aucune espèce d’importance, l’essentiel est de participer…

de rien...

Bravo January, pour le traitement du sujet, plein d’humour, de légèreté, de gaité, concernant la coupe du monde de foot. J’aime beaucoup observer les supporter bariolés, avec l’originalité bon enfant qu’ils déploient pour spécifier leur pays, la joie qu’ils expriment quand leur équipe gagne et leur mine déconfite quand ils perdent. Pour ma part, le spectacle est tout autant dans les tribunes que sur le terrain…

A quoi bon polémiquer sur une telle évidence, qui prétendrait que de ne pas avoir de travail rémunéré serait équivalent à ne rien faire ? C’est beau et généreux d’avoir un idéal qui consiste à se sentir utile, mais s’il n’y a personne pour financer cet idéal, vous faites comment pour assurer votre pitance, nourrir votre famille, élever vos enfants ? Le travail rémunéré d’une façon ou d’une autre, sera toujours une contrainte pour celui qui l’exerce. Point n’est besoin de tortiller du popotin dans tous les sens pour le savoir et le comprendre. Mon père me parlait du cas d’un collectionneur de timbre passionné et me faisait remarquer que s’il était contraint de faire ce classement minutieux du matin au soir, 5 jours par semaine, il y a de forte chance pour que son discours ne soit plus exactement le même pour justifier sa passion !

Bonjour PLS maker, Je suis d’accord avec ce que vous écrivez, lorsque vous précisez que le travail nécessaire à l’individu est une prise de conscience relativement récente. Effectivement, la notion collective d’appartenance, de faire corps, de faire ensemble, était une prise de conscience sociale en plus, qui survenait autrefois, notamment dans des communautés de souffrance. Les écrits de Zola avec le monde des mineurs, les écrits de Roland Dorgelès sur les poilus de la grande guerre en témoignent abondamment. Dans nos sociétés actuelles et partout dans le monde simultanément, la transformation robotique et informatique de la production industrielle et agricole a pour effet d’exclure 15 à 20% de la population d’une participation économique du pays auquel ils appartiennent, ceci créant un sentiment de haine et d’incompréhension des uns envers les autres. C’est-à-dire les nantis qui ont un emploi et qui veulent conserver leur protection envers ceux qui n’en ont pas et inversement. Si l’homme en tant qu’espèce vivante, s’est aussi bien développé sur la surface du globe, c’est justement à cause de son intelligence ayant pour conséquence une adaptation fantastique à tous les problèmes nouveaux que les générations ont rencontrées au cours de leur existence. Il suffit de continuer sur la même voie.

Bonjour Versys, Les poètes et les chanteurs affirment quelquefois de telles évidences indépassables, que je reste toujours surpris qu’ont ne leur prête pas une oreille plus attentive. Félix Leclerc, ce chanteur et poète canadien chantait : La meilleure façon de tuer un homme, c’est de le payer à ne rien faire. Versys, vous écrivez avec la préoccupation sociale qui est la vôtre : « Finalement, le principe du Revenu Universel associé à une taxation de l'emploi robotisé pourrait se concrétiser par défaut » C’est une démarche généreuse, mais ne respecte pas fondamentalement la dignité des individus. Tous revenus doit être indexé à une contrainte et des obligations. A mon sens, la piste à creuser, c’est plutôt l’accès à un emploi de service en échange d’un revenu minimum, notamment dans le domaine des emplois qui ont disparu, justement à cause de la robotisation. Le Japon d'un point de vue sociale, donne certains exemples à suivre dans ce domaine, que nous devrions adapter chez nous, me semble-t-il ?

Et moi qui croyais que c'était un verbe réservé aux abeilles?

Cette observation est évidente. Cela c’était hier… Hitler est arrivé démocratiquement au pouvoir. Puis, une fois en place, il a supprimé purement et simplement les institutions de la démocratie. Cet épisode devrait entacher pour le moins la légitimité du principe démocratique lui-même. Ce dernier est pourtant aujourd’hui décliné sur tous les registres comme si démocratie impliquait justice et vertu. (...) Mais suffit-il d’être nombreux à avoir tort pour avoir raison ? La légitimité se dégage-t-elle seulement du nombre ? La qualité est-elle en ce domaine liée à la quantité ? Jean-Louis Caccomo Cela c’est aujourd’hui… Trump a été légitimement élu par la démocratie américaine, quand on observe la catastrophe politique qu’il représente, on est enclin de penser sérieusement que la démocratie, ce n’est sûrement pas l’assurance tous risques, des conneries dont nous sommes capables de réaliser collectivement ! S’il existait un régime politique au monde absolument parfait, nous le saurions depuis longtemps, n'est-il pas ?

Dans tous les cas, faut laisser les faits se faire !

Bonjour Promothée_Hades, Toute personne de bonne volonté, qui essaie de raisonner avec ses moyens qui sont les siens, a bien conscience que la productivité intensive exigé par les européens à la sortie de la guerre 1939/1945, correspondait avant tout à assurer l’indépendance alimentaire de nos pays ravagés économiquement. Difficile de demander à quelqu’un ou à une communauté de réfléchir à ses actes lorsqu’elle a le ventre vide. Le monde agricole, s’est adapté avec une formidable souplesse et adaptabilité à cette demande des gouvernements dès les années 1960, en assurant le minimum vital aux populations européennes. Avec tous les excès incontestables, que nous dénonçons aujourd’hui, car les peuples comme les individus ont la mémoire courte du présent et ne savent plus très bien ce que représentait les pénuries alimentaires d’hier. Ce que je trouve un peu curieux, c’est que l’agriculture écologique et l’élevage préconisé et attendu sentimentalement par le monde urbain d’aujourd’hui, est exactement l’agriculture que faisait nos familles agricoles dans les années 1950. Suffit juste de permettre à ces populations de paysans de pouvoir en vivre économiquement et nous joindrons l’utile, le beau à l’agréable. C’est très facile de l’écrire sur un forum, c’est une autre paire de manche que de le permettre dans la réalité. Il suffit de voir le niveau des revenus des petits agriculteurs pour se rendre compte qu’il reste un chemin énorme à parcourir pour y arriver. Vaste sujet j’en conviens…

Bonjour stvi, Le monde politique quel qu’il soit est toujours confronté à un devoir de réalisme. Le réalisme économique, c’est l’emploi, c’est le prix de ce que nous produisons, comparativement aux prix de nos voisins concurrents européens, néanmoins amis. Ce réalisme est toujours en opposition brutale et directe au lobby du sentimentalisme, exprimé avec toute la bonne foi et la véhémence convaincante des défenseurs de tous poils. Que le glyphosate soit interdit à une date butoir, afin de permettre au monde agricole de s’accorder et de trouver un procédé de remplacement c’est indispensable, mais cela ne peut se faire dans un claquement de doigt. Pour le bien être animal, il faut aussi accorder nos violons à l’échelon européen. Par exemple, le Danemark qui est un tout petit pays européens produit plus de viande de porc que la France en Europe. Parce que, s’il s’agit de protéger seulement la nature chez nous, pour exporter indirectement nos nuisances chez le voisin, via nos importations à bas prix, pour élever des chômeurs en batterie dans nos HLM, labellisé français, socialement c’est insupportable. Mon côté provocateur ici, c’est juste pour évoquer toutes les contradictions qui surviennent en fonction de nos choix et de nos idées. Le mieux est l’ennemi du bien, c’est ce que tout politique doit finalement assumer dans ses choix, mais c’est loin d’être le cas pour tous les politiques, notamment les YAKA, FOQUE, IZONKA.

Supprimer ou pas son compte, m’a toujours semblé une démarche dérisoire et sans importance. Je ne comprends pas cette fixette que peuvent faire certain sur le sujet ? Cependant pour le second point, je n’ai rien compris ?

Lorsqu’on évoque le QI d’une huitre, il y a le Q et le I certes… Mais le beau Q n’est pas nécessairement celui d’un homme ? Me trompe-je ?

Oh P’taing ! La poésie qui se dégage de cette superbe définition de la femme et de l’homme !

L’UMP et le PS sont des partis ou l’on compte des personnalités politiques responsables et raisonnables. De plus ce sont des sensibilités politiques, certes différentes, mais qui ont exercés le pouvoir, sans mettre à feu et à sang le pays. Des partis extrémistes comme le FN ou la FI au pouvoir, c’est la calamité absolue pour un pays et pas seulement le nôtre.

S’il suffisait d’associer ensemble deux toquards de chevaux de course pour les transformer en un seul cheval gagnant, il y a longtemps qu’ils seraient comme cul et chemise ! Les courses de chevaux, comme la compétition dans le domaine de la politique ne fonctionne pas sur ce mode-là. Le modèle politique italien et son pourrissement provient qu’ils n’ont pas eu un De Gaulle pour modifier leur constitution il y a 50 ans. Si nous étions restés au régime des partis, comme sous la IVème République, nous serions également dans l’instabilité gouvernementale chronique en France. De penser que certains zozos regrettent ce temps béni, me hérisse le poil ! Je ne réponds jamais à un sondage qui pose une mauvaise question.

Bonjour Sitelle, Comme le sujet semble vous tracasser, j’ai une petite blague à vous raconter sur le sujet… Un blanc de blanc, prénommé Robert, complexé par la longueur de son vit, va s’enquérir auprès d’un chirurgien réputé pour sa dextérité et ses réparations chirurgicales, frisant l’exploit dans le raboutage des tuyauteries. Robert, souhaite plus que tout autre au monde, que le bout de son membre atteigne le sol et s’en explique au chirurgien ! Le chirurgien, sérieux, attentif, pontifiant, dit à Robert avec beaucoup de conviction, j’ai une solution pour remédier à votre handicap, il faudra juste passer quelques nuits à la clinique, afin que l’on vous endorme pour cette opération délicate… Robert, ce blanc de blanc, avec ses grands yeux bordés de reconnaissance acquiesce et donne son accord au chirurgien. Le lendemain de l’opération, Robert est complétement groggy, le chirurgien vient de lui couper les deux jambes ! Robert s’exclame, mais ce n’est pas possible ! Et le chirurgien de répondre, vous m’aviez bien demandé à ce que votre sexe touche le sol ?